Morphologie dentaire - notes de cours PDF

Title Morphologie dentaire - notes de cours
Course PACES UE8 - Dentaire
Institution Université de Strasbourg
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notes de cours...


Description

Morphologie dentaire générale 7) Anomalies A) De nombre : a) Déficit : Lorsqu’il manque quelques dents, on parle d’hypodontie. Lorsqu’il manque entre 8 et 15 dents, on parle d’oligodontie. Lorsqu’il manque toutes les dents, on parle d’anodontie. Cependant cela est assez rare mais ca existe. b) Excédent : Lorsqu’il y a un excès de dents (le plus souvent entre 1 à 2 dents) on parle de poly/hyper dontie. Il existe une dent particulière surnuméraire qui s’appelle la mésiodens et qui se trouve soit entre l’incisive centrale supérieure et l’incisive latérale supérieure soit entre les 2 incisives centrales supérieures. L’autre possibilité d’avoir un excès de dent est le dédoublement. En effet, on peut avoir 2 fois la même dent et notamment 2 fois la 2ème prémolaire (sur la même hémi arcade) ou 2 fois la dent de sagesse (sur la même hémi arcade). Cependant, toute les dents peuvent subir un dédoublement.

c) Poly-phil-odontie : Physiologiquement, l’homme possède 2 dentures, la lactéale et la définitive. Cependant on peut avoir 3 dentures car il existe des dentitions pré lactéale, c'est-à-dire qu’on nait déjà avec des dents, ou des dentitions post définitive, c'est-à-dire que si on abime une dent définitive, il y en a une autre qui pousse.

B) De formes : dysmorphies : Les anomalies de forme concernent la dent dans son ensemble ou bien uniquement la racine ou uniquement la couronne. a) Totale : En ce qui concerne les dysmorphies qui touchent la dent dans son ensemble, on a :

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La gémination. Dans ce cas, il y a une division des germes et les dents sont accolées entre elles.

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La fusion. Dans ce cas, les 2 germes sont unis. Le dédoublement. Dans ce cas les 2 dents se séparent et existent individuellement La dens in dente (= dent dans une dent). Dans ce cas, il y a une dent qui pousse à l’intérieur d’une dent, c'est-à-dire dans la cavité pulpaire d’une dent. Le taurodontisme. Dans ce cas on a une très grosse chambre pulpaire avec en générale une très grosse couronne mais avec une petite racine.

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b) Coronaire : Pour les dysmorphies qui touchent la couronne, il existe de multiples possibilités et notamment : - La dent rizoïde (qui est ici l’incisive latérale supérieure) qui est une toute petite dent en grain de riz. Il s’agit d’une anomalie assez fréquente mais qui ne pose plus de problème pour être restauré puisqu’on arrive à faire des collages de facettes ou des collages de couronne par dessus sans tailler et sans abimer la dent.

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La présence de tubercule supplémentaire, c'est-à-dire une petite cuspide supplémentaire sur le volume initial de la dent. Par exemple sur la 1ère molaire supérieure on a un tubercule sur la cuspide mésio-palatine qui s’appelle le tubercule Carabelli. Sur la face vestibulaire de la molaire, on peut aussi avoir un tubercule supplémentaire qui est le tubercule de Bolk.

c) Radiculaire : Pour les dysmorphies radiculaires, il y a également des possibilités multiples et notamment : - Des dysmorphies de direction. Dans ce cas, on a des racines complètement courbées qui partent à angle droit. Cela est fréquent pour les dents de sagesse mais ça peut exister pour toutes les dents. On peut aussi avoir des racines tordues sur elle même comme un tirebouchon. - Des racines surnuméraires, c'est-à-dire en nombre excessif. On a déjà découvert une molaire qui possédait 7 racines.

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La concrétion (= fusion) de racine. Dans ce cas, on a par exemple une seule racine au lieu d’en avoir 3.

C) De taille : Concernant les anomalies de taille, soit la dent est trop grosse (= macrodontie), soit la dent est trop petite (= microdontie). D) De position : dystopies : On distingue principalement 5 anomalies de position : - L’anastrophie est une dent tête bèche, c'est-à-dire que c’est la racine qui sort en 1 er et la couronne ensuite. Cependant, cette dent n’a pas une longue durée de vie. - La transposition dentaire est un échange de position des dents, c'est-à-dire que par exemple, une 14 va apparaitre à la place d’une 16. - L’ankylose est une dent qui ne fait pas son éruption car elle est bloquée, souvent par un processus mécanique (c'est-à-dire bloqué entre 2 dents qui sont très rapproché l’une de l’autre). - L’inclusion est une dent qui reste en place dans l’os mais qui ne va pas faire son éruption. - L’ectopie est une dent incluse mais pas au bon endroit. En générale, se sont les canines qui sont ectopiques. E) De couleur : dyschromie : Les dyschromies sont des anomalies qui affectent la couleur des dents. Ces anomalies sont presque toutes d’origines médicamenteuses ou proviennent de substance chimique. La dyschromie la plus connu est la fluorose qui survient lorsqu’il y a un excès de consommation de fluor chez l’embryon ou chez le nouveau né. On considère qu’il y a fluorose si on consomme plus de 2 mg de fluor par jour. L’érythrodontie se caractérise par des dents plutôt rouges, mais cela est tout de même assez rare, tout comme les dents vertes au contraire des dents jaunes ou des dents brunes qui sont assez fréquentes. Les dents sombres, grise, brunes, sont caractéristiques d’une dent dévitalisée. La chambre pulpaire est détruite par des bactéries anaérobies qui produisent une substance de décomposition brun-gris et les globules rouges s’oxydent se qui rend la dent sombre. F) De structure : dysplasies : La dysplasie touche soit l’émail soit la dentine. On a donc : - Des amélogenèses imparfaites, c'est-à-dire que l’émail est un petit creusé avec des teints plus opaques.

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I.

Des dentinogenèses imparfaites qui ne sont pas visible tout de suite car la racine est couverte par la gencive. Il faut donc attendre que la gencive se rétracte pour observer

Morphologie dentaire :

Sur se dessin est représenté la face occlusale d’une 46 (1 ère molaire inférieur droite). On nomme donc se dessin 46 FO.

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Remarque : Les faces mésiale et distale sont regroupées sous le nom de face proximale, car proximal veut dire de côté. On parle également d’espace inter proximal qui correspond à l’espace entre 2 dents adjacentes.

Sur la face occlusale on distingue un certain nombre de relief qui sont soit des creux, soit des bombés o

Les bombés :

La ligne de plus grand contour délimite la face occlusale. A l’intérieure de cette ligne de plus grand contour, on décrit la table occlusale. 4

Cette table occlusale va de la cuspide vestibulaire à la cuspide linguale et de la cuspide mésiale à la cuspide distale.

Le diamètre mésio-distal de la dent se mesure du point le plus convexe de la face mésiale au point le plus convexe de la face distale.

Le diamètre vestibulo-lingual se mesure du point de convexité vestibulaire au point de convexité linguale. Ces 2 points ne se situent cependant pas à la même hauteur.

Les reliefs saillants sont les cuspides et sont numérotées par taille, la cuspide la plus importante prend le numéro 1. Les cuspides sont des pointes qui possèdent donc des versants qui partent le long de cette pointe. La cuspide est donc constituée d’une monticule d’émail qui va couler et descendre selon 2 versants séparés par des arrêtes. La ligne qui passe par les sommets des cuspides et les vallons qui séparent ces cuspides s’appelle la ligne de crête (il s’agit de la ligne qui délimite la table occlusale). Cette ligne rejoint les cuspides

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vestibulaires et les cuspides linguales par une structure qui est également en relief qui est la crête marginale. Cette crête marginale (= crête d’émail) est un renfort d’émail qui relie les 2 cuspides vestibulaires et linguales.

Entre 2 dents, on distingue 4 volumes, 4 espaces : - 2 dans le sens vestibulaire - 2 dans le sens occlusal

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Ces espaces sont appelés des embrasures et on distinguera : Dans le sens vestibulaire : - Une embrasure occlusale - Une embrasure cervicale (au niveau du collet)

Dans le sens occlusal : - Une embrasure vestibulaire - Une embrasure linguale ou palatine (selon qu’on soit sur les inférieure ou supérieure)

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Les creux :

Les sillons sont la conséquence de la convergence des cuspides. On retrouve 2 sillons vestibulaires (un mésiale et un distal) et 1 sillon lingual. Parmi les structures creuses de la dent on a également la fossette marginale mésiale et la fossette marginale distale. Les fossettes sont de petites cavités coniques en pyramide inversée. Les sillons se rejoignent en formant un sillon à tendance mésio-distal (qu’on appelle le sillon MoD). Il s’agit du sillon principal de la dent qui parcourt la surface de la dent de mésial en distal en aboutissant de chaque coté dans les fossettes marginales mésiale et distale. Si on observe une arcade inférieure, on observe une continuité du sillon mésio-distal sur toute la longueur des dents cuspidées, c'est-à-dire les prémolaires et les molaires.

Mais la confluence des sillons forme également des fosses, c'est-à-dire des grands creux qu’on appelle : - La fosse centrale qui est la fosse principale - Les fosses accessoires, aussi appelé fossettes accessoires Il existe parfois des petits sillons qui quittent le sillon principal qui sont appelés des sillons accessoires ou sillons secondaires. Il existe même des sillons tertiaires. La dernière structure en creux concerne surtout les faces vestibulaires et les faces palatines. En effet, les sillons aboutissent souvent sur la face vestibulaire au niveau d’une fossette qui est la fossette mésio-vestibulaire ou la fossette disto-vestibulaire.

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Si on réalise une coupe de se schéma, on va observer les différentes fosses et fossettes. On remarque que la fosse principale est l’endroit le plus profond.

L’homme possède 4 incisives inférieures. Sur cette photo sont représenté des incisives jeunes d’un enfant de 12 ans.

Sur cette photo sont représenté des incisives d’un adolescent de 18 ans. On remarque qu’elles sont un tout petit peu abimé ce qui est tout à fait normale.

Voici désormais des incisives réelles qui ont été extraites. Il s’agit d’une incisive centrale inférieure droite vu en face vestibulaire (41FV) et en face linguale (41FL). 8

Lorsqu’on dessine des dents, on a l’habitude de les dessiner dans un cadre qui est composé par un axe de symétrie, en générale la ligne directrice de l’axe général de la dent, mais également par la ligne d’arrêt au collet. On remarque que l’apex de la dent se dirige toujours en distal, c'est-à-dire que le coté ou part la racine correspond au coté distal et l’autre au coté mésiale.

Lorsqu’on regarde désormais les dents dans le sens sagittal, on observe une face mésiale et une face distale. En générale, on ne fait que le dessin de la face mésiale car le coté distal est en symétrie.

On ne dessine donc pas les 4 faces de la dent, mais seulement 3 : - La face vestibulaire - La face linguale - La face mésiale

Ici est représentée la face occlusale. On peut noter que les dents sont souvent asymétriques. On peut voir sur cette vue occlusale la face mésiale, la face distale, la face vestibulaire et la face linguale.

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Pour dessiner la face vestibulaire et la face linguale de l’incisive centrale inférieure, on utilise les cotes suivantes (toutes les cotes ne sont pas a apprendre) : - Hauteur : 21 cm - Largeur : 5,5 cm - 9 cm pour la couronne - 12 cm pour la racine - L’axe longitudinal (= axe de la dent) est placé a 2,75 cm de large - On place également un repère à 6 cm du haut (= tiers inférieur cervicale de la couronne) et un à 6 cm du bas (mi hauteur de la racine).

Les 2 dessins qui suivent correspondent à une 31 avec la face vestibulaire à gauche (31FV) et la face linguale à droite (31FL). Pour savoir si c’est une 31 ou une 41 on rappel qu’il faut regarder l’apex de la racine puisqu’il se dirige toujours vers le coté distal. On voit donc sur cette face vestibulaire d’une incisive inférieure que la couronne à une forme de trapèze à grande base supérieure et à petite base inférieure.

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Les sillons des incisives inférieur divise la face vestibulaire coronaire (= couronne) en 3 parties égales. Ces 2 sillons divisent le tiers supérieur de la couronne mais ne sont pas tout à fait rectiligne puisqu’ils sont légèrement convergeant. Ils descendent obliquement vers le bas en divisant le 1er tiers supérieur de la face vestibulaire en 3 lobes de taille égale. La racine présente une légère asymétrie sur sa partie distale.

Comme le montre cette image, le point le plus convexe de la face mésiale se trouve au quart de la hauteur de la face mésiale et est appelé le bombé vestibulaire ou le bombement. On retrouve également une petite bosse à l’arrière qu’on appelle le Cingulum

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La racine descend parallèlement sur la 1ère moitié de son parcours à l’axe général de la dent puis devient conique et se termine en pointe au niveau de l’apex. Toujours sur cette face mésiale (mais également sur la face distale), l’incisive centrale inférieure comporte un léger méplat (représenté en gris sur la dent) qui est une partie légèrement concave. Ce méplat longe l’axe général de la racine, sur les 4/5ème de sa longueur au milieu de la racine.

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Pour dessiner la face occlusale d’une incisive centrale inférieure on utilise les cotes suivantes. Concernant les repères en pointillé : - La droite verticale est à 2,75 cm du bord - Une droite horizontale est à 2 cm du haut - L’autre droite horizontale est à 2 cm du bas

En ce qui concerne les 2 points sur la face vestibulaire, il s’agit des points de contact mésiaux et distaux. On remarque qu’ils ne sont situés sur la même latitude (un point est à 1,3 cm du bas et l’autre est à 1 ,5 cm du bas). En effet, l’arcade dentaire commence à s’arrondir, ce qui fait qu’on a un décalage dans le sens vestibulo lingual de la hauteur du point de contact.

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En générale, les incisives centrales et latérales (qui se ressemblent toutes les 2) sont plutôt de forme triangulaire, à base vestibulaire et sommet linguale. Les bords de ces incisives sont plus ou moins usés en fonction de l’âge de la dent. Lors de l’éruption des incisives inférieures (c'est-à-dire à 7 ans), on observe bien les 3 petits lobes de la dent. Cependant, très rapidement (vers 10 ans), ces lobes vont disparaitre.

Ces 4 photos correspondent aux différentes faces d’une 41 : - La 1ère photo (la plus à gauche) correspond à la face vestibulaire. Comme on peut le voir la racine part légèrement vers la droite, donc il s’agit bien d’une 41. On remarque également qu’il y a encore les 3 petits festons. Il s’agit donc d’une dent encore jeune. On remarque également que le feston distal est un petit plus important que le feston central, lui même plus important que le feston mésial. - Sur la face linguale, on remarque que les reliefs sont très doux - Sur la face mésiale, c'est-à-dire le 3ème schéma, on remarque que la dent n’est pas du tout rectiligne puisqu’elle part très en distal. Il y a une partie riche en émail au niveau du bord libre alors que la partie au niveau de la bosse cervicale vestibulaire et du cingulum est moins riche en émail. Le méplat qui parcourt la face mésiale de la dent est également visible (ce méplat parcourt également la face distale mais elle n’est pas représenté sur ces photo). - Enfin, sur le schéma 4, on n’a vidé la pulpe de la dent puis on a mis de la cire à l’intérieure pour mettre en évidence la chambre pulpaire

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B) Supérieurs : Comme on peut le voir sur ces photos, les incisives supérieures on beaucoup plus de caractères que les incisives inférieurs. En effet, elles sont beaucoup plus asymétriques. Les incisives supérieures sont les dents de l’esthétique, les dents du sourire et donc les dents du social. La couronne à presque la même taille que la racine, puisque comme on peut le voir sur la face palatine, l’émail descend presque jusqu’à mi hauteur de la dent.

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Pour dessiner la face vestibulaire d’une incisive centrale supérieure on utilise les cotes suivantes. Concernant les repères en pointillé : - 10 cm pour la couronne (car la couronne ce dessine en bas puisqu’il s’agit d’une dent supérieure). - La droite verticale est à 4,5 cm du bord - Une droite horizontale est à 5 cm du haut - L’autre droite horizontale est à 5 cm du bas

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L’incisive centrale supérieure (ici la gauche) possède 3 lobes, le lobe distal étant le plus grand (avec 3,5 cm) puis vient le lobe central (avec 3 cm) et enfin le lobe mésial (avec 2,5 cm). Contrairement à l’incisive inférieure, l’incisive supérieure est asymétrique, déjà au niveau de la taille de ces faces proximales. L’angle distal qui résulte de la jonction de la face distale et du bord libre est relativement ouvert alors que l’angle mésial est à 80 - 90° (donc relativement fermé). Les 2 sillons de la face vestibulaire sont plus ou moins marqués selon les individus. La racine démarre au niveau de la moitié de la hauteur de la face vestibulaire

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Attention, pour dessiner la face palatine d’une incisive centrale supérieure il faut inverser 2 repères dans les cotes puisqu’il s’agit des mêmes cotes mais en symétrie (la face palatine étant sur la plan morphologique le miroir de la face vestibulaire) : - Pour le point du haut, les 5 cm sont à partir de la droite (et plus de la gauche comme avant) - Pour les 2 points du bas, on inverse le point à 3,5 cm avec le point à 2,5 cm

La racine est arrondie sur la face mésiale alors qu’il y a une petite encoche sur la face distale. Toujours pour la racine, la face mésiale est donc toujours bien convexe et lisse alors que la face distale est légèrement concave dans sa 1ère moitié puis devient convexe sur les 2 derniers tiers. La principale caractéristique de la face palatine, est d’être plus courte (d’un quart environ) que la longueur de la face vestibulaire. Parfois on observe sur les faces palatines un petit trou dans l’émail (représenté sur le dessin par la pointe du W) qu’on appelle le trou borgne.

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Pour dessiner la face mésiale d’une incisive centrale supérieure on utilise les cotes suivantes. Concernant les repères en pointillé : 16

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La droite verticale est à 5,25 cm du bord Le point à 1/3 est en réalité à 6,6 cm du bas et correspond au bombé. Le bombé est donc au tiers cervicale de la face vestibulaire de la dent Le carré jaune correspond à un angle droit L’axe général de l’incisive correspond à la diagonale en pointillé

La racine part parallèle à l’axe général de la dent, puis se termine en pointe au niveau de l’apex. Tout comme pour l’incisive inférieure, on retrouve un méplat radiculaire (représenté en gris sur le dessin). Malgré ce méplat, la racine ne contient qu’un seul canal tubulaire.

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Pour dessiner la face occlusale d’une incisive centrale supérieure on utilise les cotes suivantes. Concernant les repères en pointillé : 17

- La droite horizontale est à 3,5 cm du bas - La droite verticale est à 4,5 cm du bord On retrouve le petit décalage de hauteur entre les points de contact mésial et distal puisqu’on se trouve sur l’arcade.

La face palatine se termine par les crêtes marginales mésiales et distales (qui sont des renforts d’émail) avec le cingulum. Ces crêtes marginales se perdent occlusalement dans le bord libre. Elle est parcourue dans le sens mésio-distal par le bord libre.

La 22 est identique à la 21 mise à part quelque différence : - La 22 est plus petite que la 21 - Sur la face palatine de la 22 on n’a pas le petit M comme on l’a sur la 21 mais il y a une simple bosse (comme un U à l’envers).

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C) Caractéristiques des incisives supérieure et inférieure: a) Caractères communs (à connaitre) : Il existe plusieurs ...


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