Typo morphologie urbaine PDF

Title Typo morphologie urbaine
Author Mohammed Reda Bougrine
Course Histoire de l'architecture
Institution École Nationale d'Architecture
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Rim Mrani

Typo morphologie & formes urbaines Mme Belarbi

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Le cours Typo morphologie des villes > Typologie de l’architecture et morphologie de l’urbanisme Introduction générale du cours

La mission de l’urbaniste en tant que professionnel mais aussi en tant que théoricien du champ disciplinaire de l’urbanisme, réside dans x x x x

Sa capacité à lire les territoires urbains Les analyser Anticiper leurs évolutions Proposer des projets d’aménagement urbains adaptés à leurs spécificités territoriales

« L’urbanisme est une discipline qui se distingue des arts urbains par son cadre réflexif et critique, et par sa prétention scientifique » Françoise Choay, l’urbanisme, Utopies et réalités. Cette définition fait ressortir l’acception scientifique de la discipline. Cette dernière s’articule beaucoup plus avec les sciences sociales (sociologie, géographie urbaine, anthropologie, philosophie…) qu’avec les sciences de l’ingénieur

« L’urbaniste n’est pas autre chose que l’arc hitecte » Le Corbusier En outre, l’architecte doit en effet avoir la compétence professionnelle pour concevoir des bâtiments, mais aussi pour concevoir des villes

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« La compréhension des formes architecturales et urbaines est un moyen aussi légitime et aussi efficace pour comprendre une société » Henri Raymond. Pour accomplir sa mission, l’urbaniste doit d’abord comprendre : x La dynamique sociale x Et la dynamique spatiale des villes. x C’est-à-dire qu’il y a une pratique, un vécu des villes. L’urbanisme est une science (hypothèse, confirmation d’hypothèses …) liée aux sciences humaines et sociales. On est dans le besoin de comprendre une société dans sa dimension pratique) Les villes constituent un ensemble de territoires en perpétuelle construction, au sein desquelles des formes urbaines se dessinent dans le temps, et reflètent l’image de la société, dans x Sa dimension identitaire, immatérielle (Dimension culturelle) x Et dans ses pratiques sociales et spatiales (Dimension sociale) L’urbaniste doit prendre en compte la dimension temporelle qui est très importante : être ancré dans le passé, vivre le présent et prévoir le futur

Comment est-ce qu’elle se représente l’espace mais aussi comment est-ce qu’elle la pratique réellement ? (Comment se font le déplacement … ?) Dans l’urbain Marocain, on a : x l’habitat non règlementaire, x Les bidonvilles x la médina, 3

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x les immeubles (alignés et orientés avec des espaces verts à l’intérieur) x les quartiers villas x L’habitat évolutif (dial Ecochard) La notion de forme urbaine : complexité et polysémie « Pénétrer dans l’univers des formes urbaines fait enter dans un monde flou, où se côtoient les constructions matérielles, es pratiques concrètes, les présentations des habitants et les idéologies des concepteurs » La forme urbaine est une notion polysémique, selon l’angle de vue de l’observateur. Que nous soyons architectes, urbanistes, sociologues, psychologues, géographes, ou autre, la compréhension de cette notion (non seulement dans son sens littéral, mais aussi dans son épaisseur et son sens opératoire) dépend directement de notre capacité à relier au stock des connaissances acquises. Comment les gens se déplacent ? Quelles sont leurs activités (rencontres, loisirs, méditations …) ? Quelles sont leurs pratiques ? Quels sont les consensus ? COMMENT LES HABITANTS PRATIQUENT L’ESPACE ? Qu’est-ce que les habitants pensent de l’espace ?

Dans le discours des architectes et des urbanistes il y a : x Un manque de rigueur scientifique x Une faiblesse épistémologique x Une absence su la terminologie (forme urbaine, forme spéciale...) La forme urbaine A. L’approche de la forme urbaine comme forme du paysage urbain :

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L’espace urbain visuellement saisi dans sa tridimensionnalité et dans sa matérialité plastique (textures, couleurs, matériaux, styles, volumes, gabarits du bâti et des espaces publics …) Etudiée par, C Sittle 1889, Kevin lynch 1960 (plus contemporain que Sitte) Deux penseurs qu’il faut connaitre impérativement : Camillo Sitte 19ème siècle l’art de bâtir des villes propose comment est-ce qu’on aménage une ville par une méthode issue de l’observation des espaces publics existants, donc par une intégration de l’histoire dans les réflexions sur l’urbanisme. Au lieu de voir la forme urbaine sous d’autre angles, il la voit dans son encrage historique public qu’on observe (la place à cote de l’église qu’elles sont ses caractéristique ? Qu’est ce qui existe comme aspect esthétique... ? Kevin Lynch : architecte et urbaniste américain (20ème siècle 1918 1984) L’image de la cité 1960 : A partir de 3 exemples de villes américaines, il examine la qualité visuelle de la ville américaine en étudiant la représentation mentale de cette ville chez ses habitants : Kevin a étudié la représentation mentale de la ville chez l’habitant, qu’est-ce que les gens pensent de leurs villes ? Qu’est-ce que je retiens par l’espace où je passe ? Il a fait ceci avec un canevas pour voir quels sont ces éléments récurrents qui reviennent à chaque fois chez les habitats : x Les voies x Les limites (physiques et/ou symboliques : banque du Maroc, les arcs Æ symbolique ; le mur de la voie ferrée gris Æ physique) x Les quartiers (Qu’est-ce que le quartier ? C’est un lieu d’appartenance où se créent des solidarités qui se créent tous les jours) Est-ce qu’il a une forme urbaine particulière ? Peutêtre. 5

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x Les nœuds : C’est des lieux de convergence dans la ville, commerce, activités (exemple : bab el had, gare Rabat centreville) c’est le plus souvent des lieux qui drainent x Les points de repère : ça peut être des équipements, des lieux de cultes, une maison (exemple : dar lhamra) L’approche sectorielle de la forme urbaine comme forme sociale : L’espace urbain étudie dans son occupation par les divers groupes sociaux, démographiques, ethniques, les types de familles, ou la distribution des activités et des fonctions dans la ville (travaux d’E Durkheim (1960) (considérer les faits sociaux comme des choses) M; Halbwachs 1928 (mémoire collective, classes ouvrières et niveau de rive) l’école de Chicago (Gambeyer) R. Bedrut (1968) M. Roncayolo (1996) La fermeture peut être physique ou symbolique La forme sociale (sociologie urbaine) Emile Durkheim qui a posé le soubassement du travail du sociologue dans la ville : la distanciation : regarder et observer le fait social comme une chose, c’est la neutralité Lorsqu’on veut analyser une place publique : démarche scientifique, faire un constat, puis se poser des questions (pourquoi, pour qui, comment ?) Et c’est comme ceci qu’on va pouvoir faire des sous questionnements Il ne faut pas généraliser des notions dans tous les temps, il y a toujours des changement, des mutations, nous ne sommes pas figé , et la forme sociale doit se baser sur ça Ex : l’intimité est aussi recherchée dans les villas, lorsqu’on intègre tous les balcons chez soi, c’est une recherche d’intimité, par contre lorsqu’on est dans la médina c’est autre chose qu’on recherche, mais pas l’intimité, c’est peut-être des percées… 6

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Les Geito doivent être localisés, un équipement social peut changer la dimension sociale d’un espace Registre social et spacial peut nous donner B. L’approche de la forme urbaine comme forme bioclimatique (approche Environnementale, géographique) Nous avons une connotation géographique de la forme urbaine (spécificité du site, forme…) L’espace urbain étudié dans sa dimension environnementale, comme microclimat urbain (lié au quartier) tant dans ses variations géographiques par quartier que dans sa diversité liées au type du tissus…) C. L’approche de la forme urbaine comme forme des tissus urbains (panarai, Langé, 2001) Il faut d’abord travailler par parcellaire (découpage, travail sur les surfaces, sur les géométriques) et les interconnexions entre les parcelles. L’étude des interrelations, entre les éléments composants : parcellaire/ tracé viaire / espace libre / espace bâti. Un des objectifs de cette analyse est de vérifier la relation dialectique et non et non causale entre la typologie des édifices et la forme urbaine, relation systématique qui a été perdue avec la ville moderne (CIAM) Nous sommes dans une interaction entre forme urbaine et typologie urbain. La typologie se focalise sur quoi ? Sur la densité résidentielle de la population et dans chaque pays on a une norme Nombre de ménage divisé par 5 Cette relation causale était beaucoup plus contestée par les Italien (Courant typo morphologique contre l’urbanisme moderne qui était lié au congrès de l’architecture moderne dont le monitor était Le Corbusier qui a réuni plusieurs architectes) 7

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A un moment donné, on a oublié la forme urbaine, l’espace public a perdu sa valeur et c’est la typo morphologie qui a fait la liaison entre la forme urbaine et (ET CHNOU ??) D. La forme urbaine comme forme du tracé urbain : Renvoie a la forme géométrique du plan de la ville (plan organique/Plan géométrique//plan orthogonal/plan radioconcentrique) R Unwin (1909 travaille sur les cités jardin) La lecture de la forme urbaine à travers sa forme classique Villes satellites autonomes connectées à la ville centre

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Résumé, comparaison entre les villes, et analyse du livre complet

Formes urbaines : de l’ilot à la barre Philippe Panerai, Jean Castex, JEAN-CHARLES DEPAULE

Le livre traite de l’urbanisme moderne. Cet urbanisme qui a su abolir les anciennes formes des villes, bouleverser leurs visages, et séparer leurs bâtiments. En mettant toutes les lumières sur le tissu urbain, il montre comment celui-ci fait le trait d’union entre les architectes des bâtiments et les urbanistes.

Comparaison entre les villes traitées dans le livre Le paris haussmanien 1853 - 2882 x Si l’on replace l’idée d’Haussmann c’était qu’il voulait que paris soit une ville bourgeoise à travers l’urbanisme qui est un outil de concurrence et de mise en ordre social parce qu’il y avait une concurrence universelle. Il voulait que la prospérité économique de la ville se reflète dans son urbanisme x Le contexte est à échelle régionale, nationale, mais aussi universelle x L’aspect symbolique de Paris a été basé sur son échelle d’intervention de façon à : ¾ Concurrencer, montrer combien la ville est forte ¾ Instaurer un nouvel ordre social x Haussmann intervient donc dans la ville dèja tructurée d’une manière ou d’une autre x Il est jugé par certains d’être le fonctionnaire bonapartiste typique

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x Instauration d’une commission officieuse établissant le type de rapport entre les différentes instances x L’idée de base est de relancer Paris économiquement, c’est-àdire redynamiser économiquement une ville pour qu’elle soit prospère avec des financements (roulement de l’argent, pour que meme la population soit consommatrice d’où l’injection des banques. La société devient une société de consommantion. x L’argument technique d’Haussmann était celui de la modernisation et de la salubrité, mais aussi : assainir, transporter et équiper x Il est juste a noter que les points de rupture entre Haussmann et les autres qui l’on précédé n’est pas la mise en place des théories hygiénistes, mais le chantier structurel lié à ses travaux . Il a instauré le règlement d’aménagement (Style architectural… Nous sommes dans la pensée classique, dans une réstriction réglementaire ) x A cette argumentation s’implique un objecif de systématisation et de contrôle dont ils deviennent l’instrument dans leur rapport à la structure urbaine x L’intervention d’Haussmann se fit même au niveau de la façade x Entre 1835 et 1848 Paris devint la plus grande ville industrielle au monde x Les embelissements de paris répondaient dèja à un problème de quantité lié à la croisance démographique du monstre industriel de l’époque x Les percées servaient de connectivité fonctionnelle mais aussi en terme de transports x Le réseau de percées a démaré progressivement de façon à rendre Paris une ville unifiée x Le réseau des percées était un des modes d’intervention sur la ville par excellence : il servait a maîtriser la ville tout entière (Ne 10

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pas croire que le contrôle se faisait partout, vu que l’espace a dèja une forme avant d’être haussmannisé x Le plan d’Haussmann établir partout des images de modernité de la symbloique à travers les persées x Les caractéristiques des percées haumaniennes se présente en trois réseaux : 1. Les opérations tout à fait éssentielles que l’état subventionne une part en prenant en charge les deux tiers de la dépense, parmis ces interventions la constitution de la rue de Rivoli par les boulevars de Sébastopol et Saint Michel 2. Un réseau se caractérisant par des dépenses d’un tiers par l’état et deux tiers par la ville, ce réseau consacre le cisaillement de paris par des voeis rayonnant en étoile autour de quelques grands nœuds qui entraînent le remodelage de plusieurs quartiers 3. Un troisième réseau dont la décision est brusquée par l’annexion des communes périphériques le 1er janvier 1860.En réalité c’est le fourre tout des opérations qui avaient été écartées du second réseau. x Récapitulation des transformations Parisiennes au temps d’Haussmann ¾ Au début l’ilot triangulaire (d’abord ilot rectagulaire en diagonale) n’était qu’une resulante de la persée ¾ L’ilot se limite par les vois de percement, les façades des bâtis sont le résulat du découpage de l’ilot ¾ Le système de maillage permet d’obteni run cadrage régulier ¾ L’ilot haussmannien est presque obligatoirement triangulaire résultant du découpage des mailles en étoiles mais il existe ussi des ilots rectangulaires

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¾ L’expropriation mène vers la volonté de déplacement d’une certaine population pour mieux mener à la politique Haussmannienne ¾ Création de l’espace semi public ¾ La dimension des ilots haussmanniens : 1. Séparation toujours perpendiculaires à la voie principale 2. Garder une forme d’unité ¾ Le principe de découpage des ilot rectangulaire : L T U pour donner une forme de symmetrie Caractéristiques de l’ilot haussmanien : x Apparition du zonage et exclusion des zones industrielles vers la périphérie x C’est le dedans de l’ilot, jadis riche avec ses propriétés fonctionnelles et sa richesse d’articulation, qui commence à disparaitre x L’ilot garde toute sa puissance en tant qu’élément de composition urbaine L’ilot dans la combinatoire urbaine : x Continue à fonctionner comme un élément indispensable à la structuration de la ville x C’est une unité combinable, la ville étant une combinatoire d’ilots x Maintient une rigoureuse continuité au paysage urbain : construction d’une image urbaine, pas de hiatus, pas de trou béant, l’espace urbain est fortement structuré x Incapacité d’articuler au-dedans la variété des fonctions et l’apparition de l’ilot spécialisé

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Comparaison de Paris et de Londres. Une comparaison historique est faite entre l'époque de la Renaissance et le XIX ème siècle. Pour mener à bien l'analyse, une étude minutieuse de l’îlot est engagée. Il s'agit de saisir comment est gérer l’îlot dans la conformité du schéma de la ville. Pour cela ils s'intéressent à l’îlot pré-haussmannien de sorte à mieux comprendre comment la réduction s'est faite. Par la suite ils essayent de trouver les limites de l’îlot haussmannien. Ils le définissent comme instable, statique et de plus en plus mono fonctionnel. Certains îlots se prêtent même à être des monuments sans plus aucun rapport avec la rue selon eux. Il est difficile d'approuver un tel rejet de l’îlotmonument à Paris, car dans une trame, c'est aussi l'exception qui fait la richesse du dispositif. De plus, de nos jours à Paris, les monuments sont aussi des signaux et des repères dans la rigidité du plan d'Haussmann. l’îlot a été revisité sous diverses formes. Les auteurs viennent Tout comme Paris,

l’urbanisation

l’existence d'une succession de petits centres. La cité jardin

Les auteurs s'attachent, tout comme dans l’îlot haussmannien, aux limites entre ville et

. dégager différentes formes d’îlots. On passe du close à la limite de la

hiérarchique entre le centre et les quartiers d’habitations. Seulemen des problèmes d’échelles et l'absence d’une

de la rue. L’intérêt porté

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close introduit une nouvelle hiérarchie par rapport à l’îlot traditionnel

Les auteurs illustrent donc ici une nouvelle forme d’îlot, le close, par l’intermédiaire des cité

Les auteurs décident ensuite de s’intéresser aux expérimentations de l'école d'Amsterdam sur l’îlot de 1913 à 1934. Cela, à partir d'une réflexion sur les cellules d'habitations et leur combinaison. Le cas d'une grande ville avec une forte croissance démographique est une fois de plus pris pour exemple. Compte tenu des contraintes naturelles qui composent la ville, le développement s'effectue selon deux axes orthogonaux dessinés par Kalf, opposant ainsi quartiers aisés et quartiers ouvriers. Pour une plus grande rentabilité, on voit apparaître des logements très exigus pour des familles entières. L'accroissement démographique ne cessant pas, on assiste à une densification extrême des logements populaires. Les pouvoirs publics prennent en charge la situation, accroissent leur territoire pour le logement social, instaurent un nouveau système de bail et libèrent des subventions aux sociétés de construction de logements populaires. Les difficultés pour viabiliser le sol, un sol marécageux, en dessous du niveau de la mer, incitent à concentrer les constructions et de porter une attention toute particulière aux fondations. Exemple du quartier ouvrier 15

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Spaarndammerbuurt, où l'on profite de l'isolement de la partie nordouest du quartier pour expérimenter à une échelle modeste le plan de Berlage. L'architecte Michel de Klerk va réaliser le premier ensemble de logements. Cette réalisation constitue le premier manifeste construit de “l'école d'Amsterdam” en architecture d'expérimentation. Les terrains devenus disponibles permettent de marquer l'espace urbain différemment, par des places et de nouveaux équipements publics. De même l’îlot n'est plus pensé comme unité interchangeable mais comme une portion du territoire dans la continuité du tissu, marquants des points et des fonctions singulières et créant des espaces variés. Le rapport entre les îlots est marqué par des symétries communes et des correspondances qui montrent une conception globale, une inscription d'une architecture dans un contexte. Dans le plan de Berlage, l'étude des îlots est à mettre en relation avec la structure d'ensemble et la manière dont cette dernière est raccordée à la ville existante. Le premier projet de Berlage, basé sur une cité-jardin fut rejetée pour manque de densification. Le second nie le plan orthogonal de Kalf ainsi que le tracé du parcellaire rural pour organiser, au sud de la ville, une nouvelle cité avec une structure qui lui est propre et un tracé des voies monumentales analogue à celui des canaux de la vieille ville. La continuité avec la vieille ville est assurée par le réseau routier et le système d’égout, ainsi que par des axes monumentaux et une continuité visuelle avec l'urbanisation ancienne. La structure globale de la ville repose donc sur deux systèmes. Un système monumental basé sur des figures symétriques simples, un alignement et une ordonnance des façades. Le second système assure la continuité avec le tissu ancien grâce aux commerces et aux équipements. Il est renvoyé vers le système monumental car peu visible dans sa globalité. L'ensemble de ces deux systèmes détermine un maillage occupé par un des ensembles d’îlots. Ici l'îlot est toujours fragmenté et attribué à des architectes différents. L’îlot d'Amsterdam, rectangulaire, suit une codification précise (hauteur, largeur, longueur, matériaux, traitement des bordures). Il ...


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