Résumé ODS la rigueur du qualitatif de sardan PDF

Title Résumé ODS la rigueur du qualitatif de sardan
Course Socio-anthropologie du développement
Institution Université de Liège
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Summary

Prof : poncelet...


Description

Résumé ODS “la rigueur du qualitatif”:

Chapitre 1 : introduction, adéquation empirique, théorie, anthropologie : 1. l’approximative rigueur de l’anthropologie: un texte anthropologique ou. sociologique se doit d'être rigoureux, car sinon nous renoncerions à toute prétention scientifique,et se situe pourtant dans un registre de l'approximation, car la véridicité de nos assertions ne peut se prétendre vérité et relève plutôt de la plausibilité. En sciences sociale, la rigueur se situe à deux niveaux : une rigueur logique et une rigueur empirique (entre théorie produite et leur réel de référence). Cette exigence de combinaison de ces deux logique se retrouve dans toutes les sciences sociales fondées sur l’enquête. Il y à l’hypothèse réaliste : le fait que l’investigation du chercher le réel de référence est considéré comme existant.ne doit pas être confondue avec l'illusion réaliste, croît en un accès direct et objectif à ce réel de référence, et oublie que ce dernier est une construction sociale. La rigueur empirique du chercheur social est un double rapport d'adéquation: (a) le rapport d'adéquation entre l'argumentation et les données d'enquête; (b) le rapport d'adéquation entre les données d'enquête et le « réel de référence». Un handicap est qu’elle se déroule dans un registre de plausibilité et non de falsifiabilité, nous sommes donc dans de l’a peu prés.

2. anthropologie est sciences sociales: a thèse de Jean-Claude Passeron peut être décomposée en 3 énoncés fondamentaux enchevêtrés: (a) il n'y a aucun différences entre les diverses sciences sociales quant à leur régime de scientificité : malgrès tout elles ont chacun leur épistémologie! et ne produisent pas leurs données spécialement de la même façon.Ainsi des que contraintes institutionnelles différentes. (b) ce régime commun de scientificité se distingue des sciences de la nature etc. (c) s’inscrit cependant dans une visée scientifique car tente de produire une connaissance véridique du monde. Il y à beaucoup de stéréotypes hérités du passé qui tendent à réduire l’anthropologie à une image inexacte. 3. Epistémologie, théorie et terrain:

Le cœur de la légitimité anthropologique, ce au nom de quoi elle réclame une audience ou au nom de quoi on lui en accorde, est bien le travail d’enquête. Les autres sciences ont leurs place mais elles ne doivent d’abstenir de la validité anthropologique qui est l’enquête. Celui qui parle ne nous intéresse que pour ses réflexions personnelles mais sinon ce qui nous intéresse le plus c’est de qui ont parle dans les textes. En anthropologie il faut rapporter les actes et propos des autres avec véridicité et décrire pour garantir! Less interprétations théoriques enracinées dans le terrain se dotent simplement plus de contraintes que celles qui ne le sont pas. Il y à une opposition entre théories fondées sur des théories et théories données que enquêtes et théorie. le marche scientifique et universitaire préfère le premier. 4. Epistémologie morale : Le problème est double: - il est difficile de détecter le manque de vigilance car il n’y à pas de normes précises et claires et reconnues de la rigueur anthropologique. il y à donc une absence de contrôle. on est donc obligé de croire l’anthropologue sur parole. - On ne peut utiliser de quelconques tables de lois. car l’anthropologie ne dispose pas d’une méhtolodogie standardisée. les méthodes et le travail de terrain sont approximatifs. c’est surtout la méthodes approximatives qui est gênante pour évaluer le sérieux et la fiabilité.(cela ne signe pas renoncement à tout contrôle). Même s’il n’y à pas de règles il y à comme des choses qui ne se font pas. un anthropologue pourrait inventer ses données mais cela ne se fait pas. Il y à donc ici, le pacte ethnographique : anthropologue respecte le contrat moral latent passé par lui avec ses pairs et ses lecteurs. 5. Le pacte ethnographique : Les anthropologues utilisent dans leurs discours un effet de réalité “ je les ai rencontrés”. C’est le réel extérieur qui fonde toute l’écriture anthropologique. Seul son témoignage personnel en garantit la véracité. Ce pacte à été inspiré du pacte autobiographique, qui sait que aucun dispositif, ne permet de différencier le roman et l’autobiographie et pourtant c’est car il dit que c’est une autobiographie que ça en est une. dans le documentaire exemple : on réduit quelques image à la réalité et le réalisateur affirme que tout donne la réalité. les deux opérations centrales : - la description - la transcription ces deux sont proche de l’empirique et veulent garder les effets interprétatif innoppunrtuns.

cependant, leurs données sont produites à travers la subjectivité du chercheur. mais à la fois montrer que ce qui est dit à bien eu lieu. Toute critique qui met en cause la véracité des données recueillies par un anthropologue à un effet plus grave qu’une polémique interprétative ou u ébat théorique. = brise le pacte ethnographique (geertz pas de pacte rompu) Une traduction ne peut jamais être complètement fidèle et vraie car les champs sémantique ne se recouvrent jamais exactement. mais il faut en respecter le sens. traduire une culture : sa légitimité est toujours de se rapprocher du réel des autres sans jamais avoir les moyens d’y arriver totalement. 6. Une socio-anthropologie non culturaliste : car le culturalisme est une idéologie qui pèse sans cesse sur les sciences sociale envers lesquelles une vigilance incessante est nécessaire. elle à apporter beaucoup au niveau de l’histoire des domination etc. mais elle est devenue une menace dans la quête de rigueur anthropologique. Il faut la garder mais en évitants les formulations trop générales. Avec le culturalisme, les représentations et comportements sont partagés relèverait de valeurs communes et c’est ici ce que l’empirique ne peu garantir, le concept des valeurs est flou. le culturalisme pollue le travail de production et interprétation des données. = holisme idéologique. et quand on fait attention cela relève du holisme méthodologique. malgrès ça, la culture reste plus que jamais une totalité discrète et tout puissante : le culturalisme règne encore. l’anthropologie à nourri des idéologies inacceptables comme le traditionalisme, l’ethnisme ou le culturalisme. Mais elle en est dissociable. le terme socio-anthropologie utilisé sous anthropologie aussi, répond à plusieurs préoccupations : - la socio et l’anthropo on en commun leurs objets,, postures, problématiques. - double héritage méthodologique : l’ethnologie.

Chapitre 2 : La politique du terrain : sur la production des données en socio-anthropologie: 1. Introduction:

sociologie, anthropologie et histoire bien que partageant une seule et même épistémologie,se distinguent «malgré tout» tendanciellement par ·les formes empirique que chacune-d'entre elles privilégie, à ‘savoir .les archives pour l'historien, l'enquête par questionnaires ' . s'ocioiogie, et l'enquête de terrain pour l'anthropologie. ce n’est que des dominantes mais il arrive qu’elles aient chercher d’autres. Quand on parle de méthodes qualitative on croit qu’elle ne se soucie pas des grandeurs et chiffres ce qui est faux : le quali et quanti s’insèrent dans une série d’opérations intellectuelles communes comme la construction de problématiques de recherche mais il est vrai qu’au niveau spécifique de la production des données, ces deux méthodes suivent souvent des chemins divergents. l’enquête idéale devrait combiner les deux approches, et bcp prônent désormais des recherches multi-méthodes. mais vu qu’il y à des compétences complexes très différentes elles relèvent donc plus de copropriétés. le quanti possède beaucoup de manuels et d’enseignement alors que le quali est longtemps rester dans le flou et ceux qui le pratique ont plus de difficultés. Chaque type d’enquête à ses formes de rigueur : ses formes de validation, mais la rigueur de l’enquête de terrain n’est pas chiffrables à la différence de la rigueur de l’enquête par questionnaire. La pratique anthropologique incorpore et mobilise formation et compétence : problème est que cette compétence relève d’un savoir-faire et que la formation est de l’ordre de l’apprentissage et ne peut s’apprendre dans un mannuel (inverse du quanti) il faut avoir mené des entretiens., voir les malentendus etc. la rigueur ne peut donc s’apprendre que dans l’exercice même de l’enquête de terrain.

2. Les 6 types de production de données dans l’enquête de terrain : - L’insertion plus ou moins prolongée de l’enquêteur dans le milieu de vie - les entretiens - les observations - les procédés de recension - les sources écrites - les données audiovisuelles

a) l’insertion dans le milieu de vie (ou observation participante) : immersion dans le milieu et dans le quotidien des personnes, connaissance de la langue si elle est inconnue . il y à plusieurs formes d’insertion : l’observateur intégral, l’observateur qui participe, le participant qui observe et le participant

intégral = mais quelque soi sont rôle il sera quand même en contact direct avec eux. • les données et corpus : les entretiens, observations se transforment en données via la transcription etc. nous faisons également des schémas etc qui représente les procédés de recension. les types de corpus ( discursif, obersavationnel, recentionnel, documentaire et audiovisuel.) les données ne sont pas des morceaux de réel cueillis et conservés tels quels par le chercheur pas plus qu’elles ne sont de pures constructions de son esprit ou de sa sensibilité. les données sont la transformation en traces objectives de morceaux de réel tel qu’ils ont été sélectionnés et perçus par le chercheur. on sait que les observations ou les entretiens du chercheur sont structurés ou orientés par ce qu’il cherche , par son langage , sa problématique, sa formation, sa personnalité.une problématique peut se modifier, se dépraver et s’élargir. qui modifieront les propres interprétations du chercheur. • l’imprégnation : pas seulement des séquences, mais en permanence immergé dans des relations sociales, verbales et non verbales simple et complexes. dans le monde de leur attitudes naturelles. les dialogues qu’il entend vaux autant que ceux qu’il à avec. même sans prendre des notes de tout et e vivant les moments on observe. B) les entretiens : car l’observation participante ne permet pas d’accéder à toute les informations, il faudra recourir au savoir ou au souvenirs des locaux. l’entretien est un moyen économique de produire des données discursives. se sont l’entretien et sa transcription qui constituent la plus grand partie du corpus de données de l’anthropologue. • Consultation et expérience : les entretiens oscillent entre ces deux pôles. car on consulte sur des référents sociaux ou culturels sans avoir de jugement de valeur sur les façon de pensée des personnes. ensuite l’enquété peut être sollicité sur son expérience personnelle. se sont des épisodes biographiques limités car la personne va dir ce qui est plus facile d’’accès. • entretien comme interaction : son déroulement dépend des stratégies de acteurs, de leurs ressources cognitives et du contexte dan lequel ils se situe. BRIGGS critique l’oubli assez général de cette réalité interactive et dénonce les mystification de l’interview, illusion réaliste et la fausse conscience d’objectivité. tout entretien soliccile au moins 3 niveaux de déchiffrage, dont aucun ne doit être négligé : info sur le monde, info point de vue de l’interlocuteur sur le monde, infos sur la structure communicationnel de l’entretien. (= dans une enquête ordinaire seulement des deux premiers) • l’entretien comme conversation : rapprocher au maximum l’entretien à une situation d’interaction banale est une stratégie récurrente de l’entretien pour éviter se se sentir

en interrogatoire. il va y avoir des hésitations, des pauses, des retours en arrière comme dans une conversation.le guide entretien sont des questions faites à l’avance et peut vite dériver sous forme de questionnaire interrogatoire alors que le canevas d’entretien lui relève d’un pense-bête. il faut transformer ces questions pour qu’elles aient du sens pour l’autre, c’est donc ce savoir -faire grâce a la pratique de l’observation participante. • La récursivité de l’entretien : il doit permettre de formuler de nouvelles question. repérer et décrypter au fil de l’entretien requiert du savoir faire du chercheur de terrain. cela permet donc un lei privilégié de production de modèles interprétatifs issus du terrain. • l’entretien comme négociation invisible : l’enquété et l’enquêteur n’ont pas les mêmes représentation de l’entretien et chacun essaye de manipuler l’autre sous son propre regard. l’enquété peut aussi manipuler et tirer du profit (donner peu d’infos, reconnaissance sociale, infos erronée.) • empathie dans l’entretien : l’empathie reste la règle, prendre au sérieux ce qui estdit. et c’est par cette empathie aussi qu’il peut combattre ses propres préjugés et préconceptions. « réalisme symbolique » « principe de charité »dilemme de combiner empathie et distance. • entretien et la durée: un entretien n’est jamais fermer, bouclé on peut refaire des entretien avec la même personne pour enrichir. • entretien de groupe : classiquement conçu comme un entretien à deux. mais pas exclusif cela peut être en collectif. elle est involontaire , non sollicitée par le chercheur. les familles, proches peuvent se mêler à une conversation. mais il peut aussi être programmé et sollicité avec des groupes constitués. (souvent naïveté et paresse )

C) les observations : souvent critiquées par les post-modernes, est pourtant une attitude naturelle mené dans les activités quotidiennes .. il y à les prédiscursif ou de l’infra-discursif, voire du silence. D) Les procédés de recension : dans l’entretien et l’observation en ce qu’il s’agit de produire systématiquement des données intensives en nombre fini : inventaires, plans, listes , généalogies… ce type de production ne doit être sous-estimée. c’est la que elle recueil de données émiques (discussions) se combine au recueil de données étiques (observations)

fait des fois ressortir des chiffres.

E) les sources écrites: littérature, presses, archives, production locales (déjà existantes avant la recherche) mais on peut aussi faire écrire les locaux pour l’enquête. F) les sources audiovisuelles : (MEAD et bateson) peu d’expériences ont été concluantes dans ce domaines. problèmes de traitement, ainsi que d’intégration des analyses dans une argumentation descriptive et interprétative nécessairement écrite. 3. La combinaison des données: A) l’éclectisme des données : à un grand avantage sur les enquêtes basées sur un seul type de données. il permet de mieux tenir compte des multiples registres et stratification du réel sociale que le chercheur veut investiguer. l’entretien est souvent utilisé comme n mode quasi exclusif d production de données , coupé de l’observation participante. alors que l’enquête de terrain est polymorphe. B) l’étude de cas: fait converger sur le terrain les 4 types de données autour d’une séquence sociale unique, circonscrite dans l’espace et le temps. « cas-prétexte » (=sur-interprétation). Le cas de terrain s’oppose donc la fois au cas abstrait, macro-social ou agrégé et à l’acceptation large de l’étude de cas.

4. La politique de terrain : le processus d’enquête requiert certaines exigences méthodologiques. le terrain relève d’une stratégie scientifique. il y à des principes pour optimiser la politique de terrain : A) lever l’hypothèque des hypothèses : on nous dit que l’organisation d’une recherche autour d’hypothèses de travail constitue le meilleur moyen de la mener avec ordre et rigueur. dans l’ouvrage il nuance cette assertion et qu’il y à d’autre méthodes pour être rigoureux. en quanti elle s’impose mais en quali pas nécessairement car en socio-anthropo les logiques sociale s’élabore progressivement et évolue. pas pour autant que l’enquête de terrain doit se

passer de construction du sujet ou de problématique. Mais il ne faut pas être prisonnier d’une structure mentale de l’hypothèse qui pourrait figer l’enquête autour d’un modèle. la structure mentale de l’hypothèse peut mener à un risque aussi, celui de raisonner e termes de causalité alors que le registre explicatif échappe à la démarche socio-anthropologique qui elle reste essentiellement descriptive. on peut avoir des pourquoi mais sans en abuser!. B) La triangulation et les groupes stratégiques : découper les parties de chaque personnes et rassembler est primordial. les groupes stratégiques : agrégation d’individus qui ont globalement face à un même problème, une même attitude. les personnes n’ont ni les mêmes représentations et intérêts et que selon les problèmes leurs intérêts et représentations s’agrègent différemment mais pas n’importe comment. il y à aussi les groupes invisibles ou extérieur qui sont indispensable à toute triangulation. C) l’itération : aller-retour, va et vient. linéaire et abstraite entre problématique et données, interprétation et résultats. au fil des rencontres , des entretiens on ne cesse d’avoir de nouvelles pistes. D) l’explicitation interprétative : le fait que les interprétations et reformulions de l’objet de recherches s’opèrent pendant la production de données débouche souvent sur une contradiction ou paradoxe. il faut constamment auto-évaluer, verbaliser, conceptualiser. le journal de terrain permet de faire le point régulièrement.

E) La construction de descripteurs : moment de l’explicitation par la recherche de données transformant les interprétations en observables. recherche de données cohérentes pour vérifier, infirmer ou amender une interprétation. F) La saturation : Quand on commence avec les différentes entretiens à avoir de moins en moins d’informations nouvelles. on commence à avoir fait le tour des représentations pour un champ d’investigation donné. associé à la construction progressive de catégories permettant les comparaisons. il est plus qu’un signal de fin : c’est une garantie méthodologique de première importance complémentaire de la triangulation. le groupe stratégique est complémentaire au principe de saturation : en faisant varier les personnes pour maintenir les

différences de perspectives cela repousse la saturation. également les contre exemples.

G) le groupe social témoin : nécessaire de se donner un lieu de recherche intensif. pour servir de base de référence pour des enquêtes plus extensives.Il varie selon les thèmes de l’enquête. le piège serait de s’enfermer dans ce groupe témoin et ne plus produire de monographies exhaustives de micro-communautés. H) les informateurs privilégiés: il peut être considéré comme un cas extrême de groupe sociale témoin restreint à un seul individu. souvent recouvre un point de vue culturaliste qui fait d’un seul individu considéré comme dépositaire d’une culture entière. mais il doit se combiner avec le principe de triangulation. il es impossible de se bassin de privilégiés car les affinités personnelles jouent un rôle. il y à comme privilégiés les : généraliste, médiateurs, passeurs, portier, experts. 5. La gestion des biais de terrain : A) modification des comportements : l’effet de la présence du chercheur sur le comportement et les propos de la personne étudié.? un part des comportent n’est en fait que peu modifiée par le présence de l’anthropologue. et c’est un dimension du savoir faire du chercheur de savoir laquelle.

B) l’encliquage : L’insertion du chercheur dans une société ne se fait jamais avec la société dans son ensemble mais à travers des groupes particuliers. dans certains réseaux et pas d’autres (=encliquage) cela est inévitable et pourtant ça apporte des inconvénient : on peut se voir fermer les portes des autres groupes. C) Monopole des sources : le monopole sur les données qu’il à produites est un problème méthodologique propre aux enquêtes de terrain. donc important de se donner des règle et notamment les principe d’identification des propos et le principe de la citation textuelle. D) Représentations et représentativité: quand quelques témoignages représentent une culture (‘une classe sociale ou d’un peuple) il y à aussi les représentations des pratiques. E) la subjectivité du chercheur: le r...


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