Résumé du cours de la Psychologie Cognitive PDF

Title Résumé du cours de la Psychologie Cognitive
Course Psicologia cognitiva
Institution Université de Lausanne
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Summary

Riassunto del corso di psicologia cognitiva, redatto in lingua francese...


Description

Résumé Psychologie Cognitive Introduction Définition : La psychologie cognitive est l'étude empirique des processus de traitement de l'information qui interviennent dans les conduites humaines et animales. Elle vise en outre à analyser comment les sujets stockent les informations relatives au monde extérieur ou à eux-mêmes, interprètent ces informations, les modifient et les récupèrent dans des situations diverses pour générer des actions matérielles ou mentales (p.ex. pensée, prise de décision, jugement). Travaux de la psychologie cognitive : Ils recourent généralement à la méthode expérimentale sur la base d'études réalisées en laboratoire. (Attention ! ) On utilise les méthodes scientifiques pour comprendre l’expérience du soi dans son environnement.

Définition de la cognition: La cognition est définie comme les mécanismes de pensée qui donnent du sens à nos actions et font des associations. "Homunculus" Les parties les plus importantes prennent plus de place dans le cerveau. Donc beaucoup de place pour les mains et la bouche pour produire le langage. L’information est transmise dans la moelle épinière puis dans le cerveau. Filtrage où l'information arrive puis le cerveau donne sens à l’information et là il y a cognition. Ex : Un réflexe n’est pas de la cognition. La cognition regroupe les domaines suivants : Perception, Apprentissage, Mémoire, Langage, Image mentale, Formation de concepts, Pensées, Raisonnement, Créativité. La Perception : Création de l’esprit. Le monde physique n’a pas forcément de rapport avec notre perception, on peut avoir des illusions optiques. Le Top-down : C’est un concept important: du haut en bas, ce qu’on observe vient de l’extérieur et nous avons à l’intérieur de nous des attentes qui font qu’on voit des choses plutôt que d’autres. Si je suis en cours et je vois un chat, je vais être surprise. Mon attention sera captée par le chat parce que je ne m’attends pas à le voir, mais plutôt des chaises et autres choses. Ex : le lapin et le canard. L’Attention : L’attention portée à certaines informations est facilitée alors que d’autres choses échappent à la conscience. Apprentissage et Mémoire : Il faut répéter pour apprendre. Si on attend on perd du contenu. Nous apprenons des mots, une syntaxe, une grammaire, nous pouvons comprendre des textes, des livres, des conversations.

Le langage Chomsky : Il va prouver que certaines habiletés (observation du langage chez les enfants) ne sont pas explicables par les processus d’apprentissage mais plutôt des capacités innées. Visant à rendre compte des structures innées de la « faculté de 1 !

langage », cette théorie est souvent décrite comme la contribution la plus importante dans le domaine de la linguistique théorique du XXe siècle et on a parfois parlé de «révolution chomskyenne».

Espace-mental : Formation des concepts pour mieux s’orienter dans le monde. On crée des concepts pour ne pas devoir tout analyser à chaque fois, on regarde l’objet et on sait ce que c’est ou à quelle catégorie cela appartient. Nous sommes capables de créer des concepts pour à peu près tout: prototypes, stéréotypes, groupements (clusters), etc. Le problème est qu’on crée aussi des préjugés.

Histoire Les premiers psychologues cognitivistes : Franciscus Donders (1868): expérience sur le temps de réaction avec des personnes qui voient d’abord une lumière (prise de la mesure du temps de réaction), puis dans un deuxième temps, 2 lumières qui s’allument et tout cela pour voir le temps de réaction.

Hermann von Helmholtz (1850): inférences inconscientes. Avec un rectangle au dessus d’un demi-rectangle, on imagine que dessous il y a un autre rectangle mais c’est faux, (ex : 2 feuilles superposées) donc perception influencé par les attentes. Les expériences d’Ebbinghaus sur la mémoire (1885): rétention de syllabes sans sens. Il observait combien de temps on pouvait garder en mémoire des syllabes dénuées de sens. Courbe de rétention de syllabes sans sens où les gens apprennent mais oublient. C’est la courbe de l'oubli. C’était le premier psychologue cognitiviste.

Behaviorisme :

(La discipline de la psychologie cognitive perd de l’influence, puis disparaît). Tout comportement et toute expérience humaine sont issus d’un apprentissage. On nie les cognitions, les événements mentaux, car on ne peut pas les étudier scientifiquement et que surtout il n’y a pas le besoin de les étudier pour ce courant. Voici quelques un de ces représentants : Burrhus F. Skinner qui a appris aux pigeons à taper à certains endroits pour obtenir à manger. John Watson qui réussit à inculquer la peur d’un rat au petit « Albert » en produisant des cris à chaque fois que le rat apparaissait. L’enfant a donc associé la peur au rat. La science de l’esprit La critique du behaviorisme : Noam Chomsky change la vision de la psychologie des années 1960. Il va prouver que certaines habiletés (observation du langage chez les enfants) ne sont pas explicables par les processus d’apprentissage mais plutôt par des capacités innées comme on a déjà vu. Ex : − − − −

Attention (pas forcément récompensée) Mémoire (oubli pas renforcé, faux souvenirs pas appris) Emotion (“cracher et frapper” pas récompensé) Langage (“Je te hais Maman”, n’est certainement pas appris)

Changer un mot d'une phrase rend la phrase différente mais l'enfant voit les différences sans apprentissage, donc il y a des mécanismes innés. Il y à un langage 2 !

inné car les enfants font des erreurs qu’ils ne peuvent certainement pas avoir appris avant. Théorie de l’alphabet universel. « Grammaire universelle » (c’est la somme complète de tous les principes immuables que l’hérédité implante dans l’organe du langage). Pourtant toutes ces cognitions peuvent être observées et mesurées comme des comportements !

Approches courantes modernes Neuropsychologie cognitive qui récolte des données sur des patients avec lésions cérébrales. Neuroscience cognitive qui mesure l’imagerie cérébrale (avec technique de l’encéphalogramme) des personnes sans lésions cérébrales. Psychologie cognitive et intelligence artificielle : La psychologie cognitive estime que l’esprit humain fonctionne comme un ordinateur, mais c’est une hypothèse car il y a des différences entre esprit humain et ordinateur. Les capacités humaines ne sont pas illimitées comme celles d’un ordinateur car l’homme ne traite et ne retient que l’information qui lui semble pertinente et il est actif dans son traitement. Ce traitement demande de l’énergie. e qui est de la cognition, et ce qui n’en est pas e distinguer entre quelques types de cognition ourquoi les premières tâches comportementales simples mesuraient la cognition? e tout ce que nous vivons, expérimentons et apprenons est juste le résultat de la réalité et d’un apprentissage (e.g. Skinner, Chomsky)? • Connaître les étapes historiques majeures et les raisons pour les changements.

La Perception Définition L’ensemble des mécanismes par lesquels nous reconnaissons, organisons et donnons du sens aux sensations qu’on reçoit à partir des stimuli de l’environnement. La réalité physique et notre réalité à l’intérieur ne sont pas égales. Perception mentale : On a l’impression que ce qu’on vit c’est vraiment la réalité mais ce n’est pas toujours vrai. Les autres personnes ne perçoivent peut-être pas la même chose. Notion de TopDown vs. Bottom-Up : Les deux se complètent pour former la perception. Expérience sur les singes et l’orientation d’une feuille : ils ont voulu voir comment le cerveau des singes réagit. Ils ont bougé un papier à travers le champ visuel du singe. Ils ont remarqué qu’une région était sensible pour la vision. Ils ont changé l’orientation du papier et il y a eu une réaction du cerveau, mais quand ils ont orienté la feuille dans un autre sens, il n’y avait pas de réaction au niveau du cerveau. Comment est-ce qu’on traite les objets?

Bottom-Up : Processus qui utilisent les informations provenant des organes sensoriels et analysent l’environnement seulement sur la base de ces informations. Top-down : Processus qui utilisent des connaissances concernant la structure de l’environnement et qui influencent la perception.

Concept de base

La perception se produit dès que des objets de l’environnement communiquent la structure du médium informationnel qui entre ensuite en contact avec les récepteurs sensoriels et conduit à l’identification interne de l’objet. 3 !

Feature Integration Theory (Treisman, 1986) Selon cette théorie, lorsqu’on perçoit, on décompose puis on recomposerait une situation selon ses caractéristiques primaires (couleur, orientation, intensité). Les objets ne sont pas traités de manière isolée mais selon des caractéristiques, collection de traits (binding – opération demandant de l’effort= integration de traits). Ceci est postulé empiriquement par le fait que si l'on dispose de peu de temps lors de la perception, on fait des conjonctions illusoires. On perçoit les chiffres mais la forme et la couleur sont traitées séparément car on a mis des conjonctions illusoires (on a mélangé les couleurs et les formes des triangles et des carrés). Lorsque notre attention n’est pas focalisée, et qu’on nous présente rapidement des éléments, des conjonctions illusoires peuvent se produire entre les traits des 2 objets présentés (illusion d’avoir vu une croix bleue alors que c’était une croix rouge et un T bleu qui étaient présentés). (La théorie de l’intégration des traits (feature-integration theory) développée par Treisman et Gelade (1980) explique que l’identification consiste à rassembler correctement les traits d’un objet analysés séparément au préalable. Selon cette théorie, l’identification d’un stimulus procède en deux étapes : la première, très précoce, consiste à enregistrer les traits. Les traits sont traités automatiquement et parallèlement. La deuxième étape assure la combinaison et la localisation correctes des traits et permet de percevoir l’objet comme un tout unitaire. Selon les auteurs, les opérations de cette étape sont exécutées sériellement et demandent de l’attention.)

Attention : Problème à ces caractéristiques ne s’expliquent pas/ ne s’appliquent pas à la vision 3D.

La théorie de la reconnaissance par composante (Biederman, 1987) Théorie de reconnaissance par composantes: Théorie selon laquelle on discernerait les parties d’un ensemble. Ces parties se nomment « Géons » (contraction de géométric ion) = alphabet des formes (Formes à la bases de ce qu’on rencontre dans le monde, connaissance du monde qui permet de m’attendre à qqch, assemblage de formes formant un objet, combien de géons pour ressembler a qqch). Le cerveau

parvient à remettre ensemble des éléments de base très simple qui constitue un seul élément complexe car les objets de notre environnement sont des combinaisons de formes plus simples. Une fois les attributs intégrés (analysé + reconnu), on perçoit l’objet. Il faut avoir un certain nombre de Géons pour détecter les objets, pour les reconnaitre. Combien de composantes on a besoin pour percevoir l'objet ? Chez les enfants la reconnaissance visuelle se développe entre 18 et 24 mois. La reconnaissance par traits, se développe avant le langage. Les enfants reconnaissent les représentations très concrètes et les choses abstraites sont peu reconnues. Les capacités augmentent avec le vocabulaire. Les enfants avec un bon vocabulaire aiment les objets abstraits. Plus on a de vocabulaire, des mots à disposition, plus on peut extraie des choses (+ de détails) de notre environnement, les enfants choisissent les objets + détaillés. Problèmes : La théorie de Biederman n’explique pas la complexité des scènes de tous les jours, il n’y a pas un seul objet mais plusieurs systèmes visuels. Solution: On a des tendances dans le traitement de l’information, des constances perceptives présentées ci-après. Ce sont des biais perceptifs (explication de scènes complexes).

Constances perceptives (biais perceptifs)

L’éclairage et la distance des objets fixes ainsi que l’angle sous lequel nous les voyons changent continuellement suivant nos déplacements. Quand même, nous prenons rarement ces changements pour des modifications des objets eux-mêmes. La capacité de percevoir les objets comme stables et invariables s’appelle constances perceptives.

Constance de taille : Si l’on voit une pomme géante, on utilise les probabilités du monde pour savoir que c’est impossible et que c’est la perspective qui fait cela. Si l’on 4 !

enlève l’environnement, on se rend compte qu’ils sont de même taille. Un objet qui change de taille semble garder sa taille fixe et changer par exemple de distance. Les 2 bonhommes sur l’image ont la même taille, le contexte nous fait croire qu’ils n’ont pas la même taille. Constance de Forme : On ne voit pas directement les formes 3D, mais seulement leurs projections 2D. Lorsque les objets se déplacent d’une façon rigide (rotations, translations), leurs images projetées subissent des déformations. On ne perçoit pas ces déformations, mais plutôt les formes 3D rigides sous-jacentes. Peu importe la taille qu’occupe un objet dans notre système visuel (sur notre rétine), on saura grâce à nos connaissances du monde la taille réelle de l’objet.

Constances de Couleur : C’est la même chose pour la couleur. On ne voit pas forcément la couleur réelle (Robe doré-blanc ou noir bleu, différence interindividuelle)

Constance Perceptive : interprétation dans le contexte, pas d’individualisation de l’image perçu. C’est un lac ou une flaque?

La Profondeur : L’image sur la rétine apparaît en deux dimensions. Nous percevons la profondeur grâce à : 1) la distance entre nous et l’objet : (position égocentrique, on situe les objets par rapport à soi. ) 2) la distance entre deux objets : (position allocentrique, on estime la position d’un objet par rapport à l’environnement (points cardinaux par exemple). )

Il y a trois manières de percevoir la profondeur, notre système utilise les trois : - Indices monoculaires : indices qui nous permettent de voir la profondeur avec un seul œil. Ligne de perspective, Perspective aérienne : plus l’objet est loin, plus il devient flou. Texture, Emplacement dans le plan : celui qui est devant est plus proche. Ombres : dans le noir, avec juste une bougie, on perd la notion de la distance car les ombres ont disparu. (Shading : on perçoit d’une manière ou d’une autre selon l’ombre). Parallaxe : l’objet bouge plus lentement s’il est éloigné. - Indices binoculaires : (nous permettent de voir la profondeur avec les deux yeux. C’est la manière la plus utilisée par notre système. Stereopsis par exemple si l’on ferme un oeil et que l’on le ré-ouvre, si l’objet bouge, c’est qu’il est près. Plus il est éloigné, moins il bougera. Plus un objet a une grande différence de représentation entre les 2 yeux, plus il est proche.)

- L’adaptation des muscles oculaires : (accommodation par exemple.)

Perceptions des formes – Gestalt Elle s’intéresse à comment on perçoit les formes. Elle considère qu’on perçoit les formes comme des ensembles. Ils ont travaillé avec des illusions d’optiques. Les personnes s’intéressent à la manière dont on perçoit les formes => on cherche à voir les choses dans un ensemble. Principe de saillance : ce qui vient en premier à l’esprit, ce qui capte l’attention Principe de prégnance : on cherche constamment la cohérence et du sens (stabilité) dans ce que l’on voit. Cette recherche de cohérence s’appuie sur 5 principes : Proximité : quand des objets sont proches, on les associe et on les assimile à un même ensemble. Similarité : on associe les objets qui sont « pareils ». Continuité et Clôture: malgré que l’image soit cassée, on complète l'image en pensée, un même objet va avoir une continuité, ne s'arrête pas à un point

5 !

Symétrie : on cherche la régularité, l’harmonie.

Critiques : − Cette théorie ne tient pas compte de la vision en 3D mais seulement de la statique en deux dimensions. − Théorie descriptive est basée sur l’environnement qui n'explique pas vraiment le processus en jeu. Une théorie Bottom-up qui sous-estime la théorie Top-down. Elles estiment que tout le monde perçoit de la même manière.

Perception des formes Définir les contours : •Objets •Connaissances du monde •Fréquence d’occurrence

Perception : Shading Illusion, suivant nos expériences. On a acquis des connaissances sur la réflexion, la lumière. Normalement le soleil vient du haut. C’est pour cela qu’on voit 2 formes différentes. On observe les ombres sur les dessins et cela peut nous permettre de les voir en approfondi ou en surface par exemple.

Perception : Aftereffect

On voit un point d’une couleur différente qui bouge. Même phénomène quand on voit le soleil et qu’ensuite on voit ailleurs, on voit un petit point qui se déplace. Des récepteurs de la rétine se sont fatigués, c’est pour cela qu’on voit un point d’une autre couleur. On projette ce point de l’intérieur vers l’extérieur, car il n’existe pas vraiment. On peut changer notre perception.

Perception sans conscience Vision aveugle blindsight- agnosie (déficit de la reconnaissance) Weiskrantz en 1974 met au point une expérience avec des personnes pensant être aveugles (liaison dans le cortex visuel). Ils avaient une agnosie visuelle qui est un échec de l'identification visuelle de stimuli connus, qui ne peut pas être mis sur le compte de troubles sensoriels élémentaires (pas de lésions aux nerfs optiques). Ceux-ci traitaient l'information sans le savoir. Le patient pouvait dire si quelque chose avait été placée dans la zone aveugle (quadrant inférieur gauche), mais il pensait le faire au hasard. Il y a une vision aveugle, une habileté à répondre à un stimulus visuel sans en avoir une conscience visuelle (le patient n’a pas eu de réception de l’information consciemment). A Genève, des expériences ont démontré que la reconnaissance de formes et d'expressions faciales émotionnelles lorsqu'on ne pouvait les voir, se situaient à un taux au-dessus de la chance pour des personnes pensant être aveugles et pour qui la perception des formes étaient au niveau de la chance.

Visual priming L’amorçage désigne une famille de paradigmes expérimentaux basés sur la présentation préalable d'un stimulus (l'amorce) pour influencer le traitement d'un autre stimulus (la cible). Il y a un effet d'amorçage quand, par exemple, la cible est reconnue plus rapidement par les personnes exposées à l'amorce que par celles non exposées à l'amorce. Ex : Si une personne voit une image préalablement, elle sera en mesure de la 6 !

reconnaître plus rapidement si elle la voit à nouveau. Elle a donc été amorcée positivement la première fois qu'elle a été en contact avec la photo

Perception Subliminale

C’est une perception qui se situe en dessous du seuil de la conscience. La perception subliminale est limitée au stimulus trop faible ou trop rapide pour être traité consciemment. Un message subliminal peut ainsi être transmis à une personne sans que celle-ci en ait conscience. Des études faites au cinéma => pubs montrées entre deux images pour voir si ça influence le désir d’achat. En 2006, Karremans tente de reproduire l'expérience en introduisant des noms de marque telle que "Lipton Ice". La conclusion est qu'en effet cela influence le choix de la consommation mais que sur des personnes qui avaient soif, pas sur les autres. La perception subliminale existe, mais il faut rester prudent. La perception subliminale à moins d'influence sur le comportement que la perception subjective.

Perception sans stimulation Synesthésie : perception sensorielle où tous les sens se mélangent. Dans ce genre de cas, on peut ressentir des perceptions sans même avoir été stimulés. On voit une lettre en même temps qu’une couleur par exemple. Ce qu'on appelle des hallucinations : expériences subjectives de sensations perceptuelles en l'absence de stimulation. Est-ce créé dans l’esprit? NON, c’est perçu dans l’esprit Exemples: Hallucinations hypnopompiques lorsqu'on se ré...


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