Psychologie Cognitive - La compréhension du langage PDF

Title Psychologie Cognitive - La compréhension du langage
Course Psychologie Cognitive
Institution Université Rennes-II
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Summary

Cours intégral de psychologie cognitive de L3 sur la compréhension du langage.

Chaque chapitre est divisé de façon claire pour faciliter l'aprentissage, et chaque sous-partie est suivie d'un bref résumé pour se rappeler du contenu du cours d'un seul coup d'oeil !
Le cours est préc...


Description

I.

L'accès au lexique A. Les différents types de traitements de l'information linguistique"

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Différentes modalités d’entrées selon mot écrit, entendu ou illustration. Accès au lexique ( reconnaissance) et traitements lexicaux (activation connaissance) ne se font pas de la même façon selon les modalité, et donc possibilité de difficultés différente selon les modalité d’entrée. % La compréhension (Elaboration d’une représentation cohérente) = processus amodal, difficulté de compréhension pour tous ou aucun type de traitement. " 4#

B. Un modèle de l'accès au lexique"

4#

Modèle de lecture à deux voies, voie d’assemblage (Lettres => Phonèmes => sortie) et voie d’adressage (Lettres => Lexique orthographique => Lexique phonologique => sortie). Les deux voies sont complémentaires, priorité donnée selon le type de mot, les 2 se déclenchent toujours. % Les codes phonologiques sont activés même pendant la lecture à voix basse (fautes homophones). % En dénomination, on peut accéder aux unités sémantique avant d’accéder au lexique. " 5#

C. Les effets de fréquence"

5#

Effets de fréquence absolu : Vitesse de traitement plus rapide pour les mots fréquents que rare dans une tâche de décision lexicale. " 5# Notion de voisin orthographie (Voilure, voiture). Temps d’identification élevé pour les mots ayant des voisins ortho plus fréquents. " 5#

D. Les effets de régularité "

5#

C’est la voix d’adressage qui permet la lecture des mots irréguliers. Dans ce cas de figure, conflit entre les deux voies, ce qui explique le temps de traitement plus long pour les mots irrégulier, rare ou fréquents."6#

II. Les mouvements oculaires pendant la lecture A. Rappels sur le système visuel "

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Fovéa = que des cônes, forte acuité visuelle. On lit dans la zone fovéale et on peut entamer la lecture du mot suivant s’il est dans la zone para-fovéale. Déplacement oculaires nécessaire pour amener les mots dans cette zone. " 6#

B. L'enregistrement des mouvements du regard"

6#

Eye-Tracking : Technique de reflet cornéen. Permet de recueillir le parcours oculaire, une carte de chaleur des zones d’intérêts, les temps de fixation, la position de chaque oeil, le diamètre pupillaire. " 6#

C. Les différents types de mouvements oculaires"

7#

Fixation oculaire : Oeil quasi-immobile (saccades). Empan visuel d’environ 10 lettres identifiées à chaque fixation + qques lettre en para-fovéale. Parfois un mot non fixé peut être traité quand même. " 7# Durée moyenne fixation : 250 ms. Variation inter et intra-individuel révélatrices de difficultés d’ordre cognitif. Mots fixés légèrement à gauche du centre (sens de lecture). " 7# Saccades oculaires : Déplacement du regard vers nouvelle zone. Durée moyenne 30 ms. Peu de variabilité. " 8# Saccade régressives : Déplacement vers l’arrière dans le texte. 10 à 15% des fixations chez expert. " 8# • Saccades amples : début de phrase ou phrase précédente, reflet d’un pb de compréhension"

8#

• Saccades courtes : mot précédent voir même mot, reflet d’une erreur oculomotrice (mal fixé) ou bien d’un pb lexical (mal identifié) ou de compréhension. " 8#

D. Mouvements oculaires et traitements cognitifs en lecture"

8#

Temps de fixation très long au début de l’apprentissage de la lecture, puis diminuent rapidement pour devenir quasi identique au temps adulte à 10 ans. Fixations plus longues, saccades plus courtes et regressions plus nombreuses chez mauvais lecteurs. Pareil chez personnes âgées. " 9# Police old english plus difficile à lire, mot rares fixés plus longtemps que mots fréquents, ces effets sont exacerbés chez les vieux. " 9#

E. Conclusion "

9#

En résumé, la quantité d'information extraites au cours de chaque fixation est limitée pour des raisons physiologique, l'empan visuel de la fovéa. Les caractéristiques des mouvements oculaires dépendent des

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différences interindividuelles (âge, niveau de lecture), mais aussi des spécificités linguistiques du matériel (fréquence, prévisibilité, difficulté). Ces caractéristiques des mouvements oculaires sont des indices des traitements cognitifs réalisés pendant la lecture. " 9#

III. La compréhension A. Les niveaux de représentation pendant la compréhension"

9 9#

1) Introduction(:"

9#

2) Représentation linguistique et base de texte"

9#

Le premier niveau du modèle de Kintsch et Van Djik est la représentation linguistique, c'est à dire la représentation littérale, de surface, du texte. Hors cas de par coeur, elle stockée à très court terme en MT. Ce niveau n’implique pas de compréhension. " 10# Le deuxième niveau est la base de texte, une représentation sémantique du texte, une sorte de résumé mental du sens du texte stocké à long terme. Elle repose sur une conception propositionnelle de la lecture. La base de texte peut être divisé en deux niveau :" 10# La microstructure, qui correspond à l’échelle de la phrase ou du paragraphe (repérer les idées et les lien entre elles, etc.) " 10# La Macrostructure correspond à l’échelle du texte intégral, elle établit un résumé mental plus ou moins précis (selon l’objectif de lecture) à partir des idées importantes du texte, les «( macro-propositions( ». Ces propositions sont élaborées selon les règles de suppression, de généralisation et de construction. " 10# Ces propositions sont traités par cycles pour ne pas saturer la MT, certaines passent en MLT tandis que d’autres y restent pour s’articuler avec et comprendre la suite du texte. " 10# On reproche à ce modèle de se reposer uniquement sur les représentations propositionnelles sans prendre en compte les connaissances du lecteur" 10#

3) Le modèle de situation"

11#

Les représentations propositionnelles sont complétés par des représentations analogiques en mémoire... Cette conclusion à entraîné un changement du modèle. " 11# Le modèle est complété par un troisième niveau en 1983 : le modèle de situation, c’est à dire l’accord entre la base de texte et les connaissances du lecteur, à la fois des connaissances sémantiques et épisodique, ce qui en ferait le niveau de la compréhension. " 11#

B. L'activité inférentielle"

11#

Pendant la tâche de lecture pour apprendre, les lecteurs tentent de connecter les éléments du texte entre eux, tandis que pendant la tâche de lecture pour le plaisir, les lecteurs lient plus le texte à leur expérience personnelle. " 12# Cette étude démontre donc que l'activité inférentielle peut être une activité stratégique dépendant des buts du lecteur. " 12#

C. Conclusion(:"

12#

Comprendre un texte est une activité complexe qui requiert de traiter l'information verbale, d'organiser et de hiérarchiser cette information, de réguler son activité, d'établir des liens référentiels pour maintenir la cohérence, de réaliser des inférences pour combler l'implicite du texte. " 12#

IV. Difficultés de compréhension A. Introduction " 1. Enquêtes sur les difficultés"

13 13# 13#

Résultats(: Une proportion non négligeable de jeunes éprouvent des difficulté de lecture, qui peuvent avoir des origines variées( : L'identification des mots, l'étendue du lexique ou la compréhension, voir tout à la fois. Il semble qu'une partie de ces difficultés puisse être partiellement compensée. " 13#

2. Les sources de difficultés"

13#

Cinq facteurs affectant le niveau de compréhension sont retenus( : les connaissances préalables, les stratégies, le vocabulaire, la lecture des mots, les inférences. " 13#

B. Les relations entre niveau d'accès au lexique et compréhension "

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Selon certains auteurs la compréhension de l’écrit résulterait de l’articulation entre accès au lexique, processus de décodage de l’écrit, et la compréhension de l’oral. Les différent troubles de la lecture résulterait d’un fonctionnement défectueux d’une ou de ces deux composantes. " 14# L'efficacité de l'accès au lexique est un facteur clé de la compréhension en lecture au début de l'apprentissage. Au fur et à mesure de la progression en lecture, c'est le niveau de compréhension orale qui permet de prédit le mieux le niveau de compréhension à l’écrit. L’accès au lexique s’automatise avec l’expérience. " 14# Théorie de l’encodage compensatoire : les personnes ayant des difficultés d’accès au lexique utiliserait des stratégies de compensation, ce qui rendrait négligeable l’impact de ces difficultés sur leur niveau de compréhension en absence de contraintes temporelles. " 15#

C. Les activités méta-cognitives (connaissances sur les processus cognitif)" 15# Trois grandes catégories d’activités de contrôle : La planification ; l’auto évaluation et la révision. "

15#

Ces études montrent un déficit des activités de contrôle dans la compréhension pour les mauvais compreneurs. Ils ne semblent être «( qu'en partie( » conscients de leurs difficultés dans les auto( évaluations, et n'utilisent que très peu de comportements stratégiques de relecture ou de ralentissement de la lecture. 1 " 6#

D. Mémoire de travail et compréhension de texte"

16#

Il existe un lien très fort entre l'efficience de la mémoire de travail et la qualité de la compréhension, ce qui n’est pas le cas avec la mémoire à court terme. " 16#

E. Effets des connaissances préalables"

16#

Des études montre que l’on retient et comprend mieux un texte lorsque l’on possède des connaissance préalable sur le sujet dont il traite. Cette différence peut être expliquée par le modèle de situation car on pourrait ainsi établir plus de liens entre ce qu’on lit et nos connaissances préalable et donc produire une représentation plus riche du texte en mémoire. " 17#

V. La compréhension des hypertextes A. Les différents types d'hypertextes :" lTrois types d’hypertextes : linéaires, hiérarchiques, en réseau"

B. Le traitement cognitif des hypertextes"

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17#

Conclusion(: Des études vont dans le sens d’un effet négatif de hypertextes sur la compréhension, évoquant notamment des problèmes de désorientation et d’augmentation de charge cognitives. D’autres études montrent une supériorité des hypertextes." 18# Il est impossible, dans l'état actuel de nos connaissances, de statuer de manière définitive sur l'efficacité de l'hypertexte. Par ailleurs, ces difficultés pourraient être limitées par un enseignement spécifique ou par des documents mieux conçus. " 18#

VI. Les aides à la compréhension

18

A. Introduction, qu'est-ce que l'ergonomie(?"

18#

B. La mise en évidence des informations importantes"

18#

Le repérage de la macrostructure, c'est à dire des éléments importants du texte via des mises en évidence, est bénéfique pour tout type de lecteur. Les titres ont un impact limité pour les bons compreneurs mais ont des effets positif sur la compréhension des mauvais compreneurs." 19#

C. Les organiseurs graphiques"

19#

Les graphiques organisateurs ont des effets très positif sur la mémorisation à long terme, sauf en cas de limite de temps importante lors de l’apprentissage. " 20#

D. Les questions insérées "

20#

On voit que les question insérées portant sur des éléments explicites du texte permettent une meilleure mémorisation. Elles semblent avoir des effets compensatoire pour des lecteurs en di fficulté de compréhension. En revanche, les questions complexes, semblent avoir des effets plus mitigés, voire négatif pour les élèves les plus jeunes. " 20

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Psychologie cognitive : La compréhension du langage

I.

L'accès au lexique A. Les différents types de traitements de l'information linguistique

Il existe différentes modalités d'entrée auxquelles on va s'intéresser :

Mot écrit

Mot entendu

Illustration

Traitement des traits visuels, des lettres , puis reconnaissance du mot (=accès au lexique) et activations des connaissances en mémoire (phonologie, sens = traitements lexicaux)

Traitement des sons, des phonèmes, puis reconnaissance du mot (=accès au lexique) et activations des connaissances en mémoire. (Sens, code orthographique = Traitements lexicaux)

Traitement des traits visuels, puis reconnaissance de l'objet et activation des connaissance en mémoire.

Compréhension Les différentes étapes et types de traitement montre qu'il est possible d'avoir des difficultés différentes selon les modalités d'entrées, et donc, par exemple, d'avoir des difficultés de lecture mais aucune difficulté d'écoute. A l'inverse, la compréhension est un processus amodal. Cad que les difficultés de compréhensions, si elles existent, s'applique à tout les types de traitements.

Définitions : • • •

Accès au lexique : Processus qui vont permettre la reconnaissance du mot en mémoire Traitement lexicaux : Activation des connaissances liées au mot en mémoire Compréhension : Élaboration d'une représentation cohérente du texte en mémoire.

Différentes modalités d’entrées selon mot écrit, entendu ou illustration. Accès au lexique ( reconnaissance) et traitements lexicaux (activation connaissance) ne se font pas de la même façon selon les modalité, et donc possibilité de difficultés différente selon les modalité d’entrée. ! La compréhension (Elaboration d’une représentation cohérente) = processus amodal, difficulté de compréhension pour tous ou aucun type de traitement.

B. Un modèle de l'accès au lexique Le modèle de Ferrand (2004) : Entrée visuelle (Perception visuelle ; traits visuels) => Unités orthographique infra-lexicale (= avant le lexique, lettres et graphèmes) => Lexique orthographique (forme orthographique des mots, double fonction lecture et écriture) => Unités sémantiques (mémoire sémantique ; sens des mots)

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Entrée auditive (Perception auditive ; sons) => Unités phonologique infra-lexicale (phonèmes) => Lexique phonologique (Forme phonologique des mots) => Unités sémantiques (mémoire sémantique ; sens des mots)

Lecture à voix haute : Activation des lettres => lexique orthographique => lexique phonologique => sortie articulatoire. (Phonologie par adressage) Activation des lettres => Activation des phonèmes => Sortie articulatoire. (Phonologie par assemblage) C'est un modèle de la lecture à deux voie, qui sont complémentaires. Elles se déclenchent en même temps et l'une ou l'autre sera privilégiée en fonction du type de mot.

Phonologie et lecture silencieuse : « La lecture à voie haute est moins rapide que la lecture à voir basse » Les fautes homophones sont plus difficiles à détecter, il y a donc une activation des codes phonologiques y compris pendant la lecture silencieuse. Un cas à part : la dénomination (=prononcer à voix haut le nom d'un objet ou d'un visage) On peux dans ces cas la accéder aux unités sémantique avant d'accéder au lexique. (=Savoir à quoi ça sert, dans quoi il à jouer, etc... mais ne pas savoir donner le nom) Modèle de lecture à deux voies, voie d’assemblage (Lettres => Phonèmes => sortie) et voie d’adressage (Lettres => Lexique orthographique => Lexique phonologique => sortie). Les deux voies sont complémentaires, priorité donnée selon le type de mot, les 2 se déclenchent toujours. ! Les codes phonologiques sont activés même pendant la lecture à voix basse (fautes homophones). ! En dénomination, on peut accéder aux unités sémantique avant d’accéder au lexique.

C. Les effets de fréquence Les effets de fréquence absolue : Paradigme de décision lexicale (est-ce un vrai mot ou non?) Comparaison de la vitesse de traitements entre des mots fréquents et rare et établissement de fréquence lexicale. => Le temps d'identification lexicale dépend de la fréquence du mot (Cf ; TD2). J'ai eu récemment un accident de voilure Notions de voisins orthographique : Terre, Verre, Serre La première hypothèse : plus il y a de voisins orthographique, plus un mot serait difficile. Les recherches montre que le temps d'identification lexicale dépend de la fréquence relative du mot : il est plus élevé pour des mots ayant des voisins orthographiques plus fréquents. Effets de fréquence absolu : Vitesse de traitement plus rapide pour les mots fréquents que rare dans une tâche de décision lexicale. Notion de voisin orthographie (Voilure, voiture). Temps d’identification élevé pour les mots ayant des voisins ortho plus fréquents.

D. Les effets de régularité Tâche de lecture à voix haute, lire les mots affichés un à un le plus rapidement possible. (Mots réguliers fréquents / rare et irréguliers fréquents / rare)

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Temps de lecture en ms pour des étudiants : Qu'ils soient rare ou fréquents, les mots irréguliers sont lus plus lentement. Ce phénomène peut être expliquer par le modèle de Ferrand => Il y a un conflit entre les deux types de phonologie dans le cas de mots irréguliers, ce qui prend environ 50 ms à résoudre dans le cas de lecteurs adultes. Les enfants, face à la même tâche, vont avoir tendance à régulariser les mots. C’est la voix d’adressage qui permet la lecture des mots irréguliers. Dans ce cas de figure, conflit entre les deux voies, ce qui explique le temps de traitement plus long pour les mots irrégulier, rare ou fréquents.

II. Les mouvements oculaires pendant la lecture A. Rappels sur le système visuel Schéma structure de l’œil : Cornée + Fovéa + Rétine + Nerf optique La fovéa est une petite zone de la rétine caractérisée par une répartition particulière des cellules photoréceptrices (cônes et bâtonnets), c'est à dire qu'il n'y a que des cônes. Cette caractéristique physiologique entraîne une acuité visuelle très forte à cet endroit, qui va diminuer au fur et à mesure que l'on s'éloigne de la fovéa. On va distinguer la zone fovéale (1mm environ) et la zone para-fovéale. Le lecture utilise une toute petite partie du champs visuel (entre 3° et 20°). L'acuité visuelle n'est suffisante pour lire que dans la zone fovéale, voire dans la zone parafovéale pour extraire certaines informations. Par conséquents, seules les lettres 'projetées' sur cette zone peuvent être lues. De fait, des déplacement oculaires sont nécessaires lors de la lecture, afin d'amener les mots à l'endroit ou l'on peut les traiter. Fovéa = que des cônes, forte acuité visuelle. On lit dans la zone fovéale et on peut entamer la lecture du mot suivant s’il est dans la zone para-fovéale. Déplacement oculaires nécessaire pour amener les mots dans cette zone.

B. L'enregistrement des mouvements du regard • Les méthodes d'oculométrie cognitive. (Eye-tracking) Écran avec diodes infrarouges et caméra HD situés en bas. Ce matériel utilise une technique de reflet cornéen. Le visage de la personne est bombardé d'infrarouge. L'appareil va utiliser les variations du reflet sur la cornée pour inférer la position des yeux et donc du regard. Cette • • •

technique permet de recueillir un certain nombre de données : Le parcours oculaire, c'est à dire le cheminement du regard. Les zones d'intérêts (ou carte de chaleur). Temps de fixation (regard ~immobile), position de chaque œil (coordonnées X.Y), diamètre pupillaire (fonction de la lumière, de certaines émotions, de l'effort mental).

Eye-Tracking : Technique de reflet cornéen. Permet de recueillir le parcours oculaire, une carte de chaleur des zones d’intérêts, les temps de fixation, la position de chaque oeil, le diamètre pupillaire.

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C. Les différents types de mouvements oculaires • Les fixations oculaires : Correspond au moment ou l’œil est focalisé sur une partie de la scène ou ...


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