Psychologie Cognitive - Mémoire 1 PDF

Title Psychologie Cognitive - Mémoire 1
Author Noémie Bruyant
Course Psychologie cognitive
Institution Université de Poitiers
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Summary

Cours magistral de Psychologie Cognitive durant la L3 de Psychologie, concernant la Relation entre mémoire et conscience....


Description

Psychologi eCogni ti ve Relati on entremémoi reetconsci ence Schacter, D. (1999). À la recherche de la mémoire. De Boeck.

Introduction La mémoire est une fonction essentielle de l'être humain dans sa vie quotidienne ; puisque nous sommes ce que nous sommes de part nos souvenirs. ► Origine du mot ''mémoire'' L'origine du mot provient d'une déesse grecque de la mémoire, appelée Mnémosyne. L'art de la mémoire : poète grecque Simonide de Céos. Il était invité à un banquet et il a été appelé à l'extérieur par deux individus. Pendant ce temps, l'endroit au dessus du banquet s'est écroulé. Les corps été déstructurés. Le seul survivant était donc ce poète qui était sorti du banquet. Grâce à lui, les personnes ont pu être identifiées parce qu'il se souvenait de leur place. C'est la méthode des lieux. ► Origine des travaux sur la ''mémoire'' Jusqu'au XIXème siècle, les travaux sur la mémoire ont été l'oeuvre de philosophes (Platon, Aristote, Descartes...). Puis, on a la naissance de la psychologie scientifique. C'est à cette époque là qu'on a vu apparaître la première étude expérimentale sur la mémoire, faite par Ebbinghaus (1885), qui a mis en œuvre un protocole expérimental d'étude de la mémoire :

Encodage

Récupération

Stockage (délai temporel)

La mémoire est donc la capacité à encoder, stocker et récupérer des informations. ► LA mémoire humaine ou LES mémoires ? Les conceptions actuelles de la littérature développent l'idée selon laquelle il existerait plusieurs systèmes mnésiques. La mémoire est capable de mémoriser une telle diversité d'informations qu'elle est composée de plusieurs systèmes plutôt que d'un unique système. ○ Ces systèmes ont plusieurs caractéristiques : – Durée : durée limité ou plus longue – Capacité : limité ou infini – Nature des informations conservées – Niveau de conscience On ne peut pas dire que la mémoire humaine ait un système unique, mais plutôt qu'elle soit capable d'une grande diversité de fonctions. Et ceci se retrouve dans la littérature qui a mis en avant des dichotomies (= opposition entre deux systèmes de mémoire). Ses dichotomies ont pu être mise en évidence grâce à des manipulations expérimentales et des travaux de la neuropsychologie.

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Chapitre I. Les systèmes de la mémoire humaine I. Les principales dichotomies de la mémoire 1. Mémoire à court terme/de travail et mémoire à long terme Cette première dichotomie est basée principalement sur le délai de stockage (court ou long). Selon le temps qui s'écoule entre la phase d'encodage et la phase de la récupération on peut distinguer d'une part une capacité de mémoire immédiate et d'autre part une capacité de mémoire à long terme.La mémoire immédiate renvoi à la restitution d'une information qui vient juste d'être perçue. Si cette restitution de l'information consiste en une simple reproduction, alors on va parler de mémoire à court terme. Alors que si on doit opérer un traitement ou une manipulation sur cette information, on va plutôt parler de mémoire de travail. La mémoire à long terme renvoi à la production d'une information à laquelle on ne vient pas d'être confronté. ► Caractéristiques de la mémoire immédiate : On considère que la mémoire immédiate à une durée de rétention de +/– 20 secondes . Mais on peut utiliser des processus de rafraichissement pour maintenir l'information en mémoire (= processus d'auto-répétition), mais elle est sensible aux interférences. De plus, sa capacité est réduite à 7 éléments (+/– 2). Pour finir, sa recherche est séquentielle et exhaustive. ► Caractéristiques de la mémoire à long terme: La mémoire à long terme a une durée et une capacité de stockage quasiment illimitée ! Sa recherche est directe et avec des indices, comme dans une bibliothèque. Courbe de position sérielle (Murdock, 1962) Ça correspond au taux de rappel des mots en fonction de leur ordre de présentation. On remarque que les premiers mots sont mieux rappelés, ainsi que les derniers qui sont rappelés de façon nettement meilleure que les autres. On parle d'un effet de primauté et de récence. Effet de primauté : C'est pour les premiers mots qui arrivent en mémoire à long terme, il n'y a pas d'interférence donc ils sont mieux rappelés. Effet de récence : C'est pour les mots les plus récemment présentés, ils sont encore dans la mémoire à court terme donc ils sont mieux rappelés.

À l'heure actuelle on parle de mémoire de travail. Dans un ouvrage de 1986, Baddeley défini la mémoire de travail comme un système servant à retenir temporairement les informations et à les manipuler pour une gamme importante de tâches cognitives telles que l'apprentissage, le raisonnement et la compréhension. L a mémoire à court terme renvoi à l’idée d'un stockage passif, alors que la mémoire de travail renvoi à un stockage actif. Cette dernière a pour fonction de conserver les informations et de les manipuler dans le cadre d’activités cognitives complexes. C'est une fonction mnésique essentielle pour l'ensemble des activités cognitives. Dans d'autres domaines, elle occupe maintenant une place très importance dans la compréhension des dysfonctionnements cognitifs liés à des pathologies. Si elle se trouve perturbée les fonctions cognitives qui en dépendent se trouvent perturbées en conséquence. C'est par exemple le cas dans la conversation, la prise de note ou encore le calcul mental (série d'opérations à appliquer). Psychologie Cognitive

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Les patients amnésiques ne sont pas complètement privés de mémoire. Par exemple, le patient HM (Milner, 1959) avait une mémoire à long terme dégradée mais une mémoire à court terme normale. Alors que le patient KF (Shallice & Warrington, 1970) avait le pattern inverse. Ces deux exemples montrent que les deux systèmes de mémoire fonctionnent de manière indépendante.

► Mémoire de travail et mémoire à long terme : systèmes indépendants On peut manipuler l'un sans manipuler l'autre. Des lésions peuvent entrainer des problèmes dans l'un mais pas dans l'autre... Mais on considère que les informations sont prioritairement traitées par la mémoire de travail puis, après phase de consolidation mnésique, vont dans la mémoire à long terme. Même si le patient HM démontrent l'inverse, on pense que la plupart des informations suivent ce schéma. L a consolidation permet l'inscription de l'information dans le registre à long terme. C'est un processus dynamique qui peut modifier les informations qui vont être stockées d'une part en fonction de facteurs externes (contexte dans lequel les informations sont encodés) et d'autre part en fonction de facteurs internes (informations déjà en mémoire et aussi de notre état psychologique au moment de l'encodage) . Suite à un traumatisme crânien, la perte de mémoire est plus ou moins importante. De plus, après la processus de guérison, la plupart des souvenirs vont être récupérés. En revanche, les quelques minutes qui précèdent le traumatisme sont définitivement perdues. La raison pour laquelle elle ne sont pas récupérées c'est parce que les connaissances ont besoin de temps pour être consolidée ; temps pour lequel il ne doit pas y avoir de perturbations. Le traumatisme est donc un choc qui intervient pendant la phase de consolidation et c'est pas bien ! On peut voir une similitude avec la perte de données informatiques... Modèle de la mémoire de travail (Baddeley, 2000)

L e Buffer épisodique est un système de mémoire tampon à l'interface entre différentes structures qui va redonner un sens (reconstituer un épisode) à partir d'informations de différentes origines. Psychologie Cognitive

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2. Mémoire déclarative et mémoire procédurale Opposition introduite par Cohen et Squire (1980). La mémoire procédurale concerne les représentations d'aptitudes cognitives et motrices. Ces représentations sont mises en œuvre de façon non consciente, et sont difficilement verbalisables. C'est une forme de mémoire indissociable de l'action, mis en œuvre par l'individu. En somme, c'est la mémoire de nos savoirs-faire. La mémoire déclarative est la structure qui concerne nos représentations de faits ou d'évènements, qui sont parfaitement accessibles à la conscience et sont tout à fait verbalisables. Cette structure correspond à la mémoire des savoirs, des connaissances et des souvenirs. L e patient HM était capable d'acquérir de nouvelles habiletés, mais n'avait aucune conscience du dispositif. C'est-à-dire qu'il s'améliorait, donc il conservait une trace de l'essai précédent, mais il avait l'impression que c'était la première fois qu'il était confronté à ça. Autrement dit, ce patient démontre une mémoire déclarative altérée mais une mémoire procédurale fonctionnelle. Le principe de l'apprentissage massé c'est apprendre de manière condensée, sans pause entre deux apprentissages. L'apprentissage distribué c'est apprendre avec des temps de repos entre les deux répétitions. La conduite automobile est mieux à apprendre en massé, parce qu'on est dans quelque chose de procédural qui fonctionne sur des automatismes. Le contenu d'un cours est mieux à apprendre en distribué, parce qu'on est dans de l'apprentissage de connaissances déclaratives.

3. Mémoire explicite et mémoire implicite C'est une dissociation qui a été proposé par Graf et Schacter (1985). L a mémoire explicite permet de récupérer consciemment et/ou volontairement une information. Cette mémoire est évaluée par des tests de rappel libre, indicé ou de reconnaissance. La mémoire implicite renvoie à toutes les situations mnésiques dans lesquelles on constate l'influence d'une expérience antérieure. Et ceci, sans que l'individu ait conscience d'avoir réalisé une activité de mémoire. Ce que l'on va rechercher dans les situations de mémoire implicite, c'est le phénomène d' amorçage (= priming) qui correspond au fait que le traitement préalable d'une information facilite le traitement ultérieur de cette même information, même si on n'a pas le souvenir de l'avoir déjà traité. Pour tester cette mémoire, on utilise la décision lexicale ou encore la tâche de complètement de mot. Cette mémoire a des effets très vastes dans la vie quotidienne. Les patients amnésiques ont une mémoire implicite préservée (ex : HM), mais une très forte dégradation de la mémoire explicite. Il existe également des situations expérimentales dont on montre que certaines modifient les performances de mémoire explicite sans modifier les performances de la mémoire implicite (= intermodalité, modifications perceptives). Et d'autre part, il existe des données qui montrent qu'on peut agir sur les performances de mémoire implicite sans modifier les performances de la mémoire explicite (= profondeur de traitement, attention). On est dans de la double dissociation expérimentale.

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4. Mémoire épisodique et mémoire sémantique C'est Tulving (1972) qui s'intéresse à cette dissociation. Selon cet auteur, la mémoire épisodique renvoie aux informations qui portent sur des souvenirs particuliers et personnellement vécus par un individu. Ces souvenirs ont la particularité de pouvoir être replacés dans un contexte temporel et spatial. Par opposition, on a la mémoire sémantique qui concerne l'ensemble des connaissances générales acquises au cours de notre vie sur le monde et notre environnement. Elles ont pour caractéristique de ne pas pouvoir être repositionné dans le temps et dans l'espace d'acquisition. Les patients amnésiques ont peu de souvenirs épisodiques mais ils ont des connaissances générales préservées. Bien qu'il y ait une dissociation entre ces systèmes, on peut considérer qu'ils sont en interaction. Par exemple, lorsqu'on apprend nos cours en comprenant c'est plus efficace que d'apprendre uniquement en pensant à la longueur des mots.

II. Le modèle structural SPI de Tulving (1995) Modélisation de la mémoire humaine composée de 5 systèmes organisés entre eux. On le considère comme un modèle structuro-fonctionnel.

Système d'actions

Mémoire procédurale : Mémoire de nos savoirs-faire Système de représentations perceptives : Concerne les souvenirs relatifs aux aspects perceptifs des informations (forme, structure de ses informations). C'est ce système qui serait à l'origine des expressions non conscientes de la mémoire et qui sous-tendrait certaines formes d'amorçage, tel que l'amorçage perceptif. Ça renvoi un peu à la mémoire implicite. Mémoire sémantique : Renvoi à nos connaissances dépourvues de contexte spatiaux temporels. Mémoire de travail : Concerne la possibilité de stocker temporairement des informations et d'opérer des traitements dessus Mémoire épisodique : Renvoi aux souvenirs personnels que l'on peut replacer dans le contexte spatiauxtemporel.

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Il y a une distinction très nette opérée entre la mémoire procédurale et les autres systèmes. La mémoire procédurale est considérée comme un système d’action, qui intervient sur un mode automatique et donc on peut observer l’expression de son intervention dans nos comportement. Par opposition les autres systèmes sont considérés comme des systèmes de représentation cognitive. ○ Première distinction entre la mémoire procédurale qu'on oppose aux systèmes de représentation cognitives. La mémoire procédurale est considérée comme un système d’action , qui intervient sur un mode automatique et donc on peut observer l’expression de son intervention dans nos comportements. ○ Seconde distinction : SPI •

Encodage en série On encode les informations du point de vu perceptif, ensuite on leur attribut une sémantique... Si il y a un déficit d’encodage dans un système inférieur il n’y pas de possibilité d’encodage dans un système supérieur



Stockage parallèle Chaque information va être stocké dans les différents systèmes de mémoire. Par exemple, Paris est la capital de la France. Du point de vue du système de représentation je mémorise la forme de la tour Eiffel. Du point de vu sémantique, je sais que Paris est la capitale de la France. Du point de vu épisodique, je me souviens de la fois où je suis allée la voir.



Récupération indépendante Je peux récupérer l'information dans un système sans avoir besoin de le récupérer dans tous les systèmes. Par exemple, on peut demander la forme de la tour Eiffel, sans avoir besoin d'activer le souvenir de la fois où on est allée à voir.

○ Troisième distinction : Mémoire conscience et non consciente

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Chapitre II. La dissociation entre la mémoire implicite et explicite Introduction À priori, quand on parle de mémoire, on comprend tout de suite un acte conscient, c'est le fait d'accéder à un souvenir. C'est donc un acte conscient. Mais dans la réalité des travaux scientifiques, on a démontré qu'on pouvait accéder à la récupération en mémoire de deux façons : • Récupération consciente (souvenir) • Influence du comportement suite à une expérience antérieure sans conscience L'idée de mémoire non consciente est une idée très ancienne qu'on retrouve pas exemple dans la théorie psychanalytique de Freud. Les souvenirs refoulés agiraient sur le comportement actuel. ♦ Du point de vue de la psychologie cognitive, l'attrait est venu avec l'observation de patients amnésiques... Cas du patient HM (Scoville & Milner, 1957) Patient amnésique, mais capable d'apprentissage (dessiner une étoile en miroir) . Il n'a aucune conscience du dispositif et de l'apprentissage. Cas du patient Mickey (Schacter, 1999, p.199-200) Ce patient a été victime d'un traumatisme crânien grave et ne se souvient de rien de son vécu récent. Schacter s'assoit en face de lui et lui dit qu'il va essayer de lui apprendre différentes choses. Il lui pose des questions sur des faits peu connu comme ''Où a été joué le premier match de base-ball ?'' (Hoboken). Quand Mickey ne connaissait pas la bonne réponse, ce qui était souvent le temps, Schacter la lui donnait. Le patient a pris un certain plaisir à essayer de répondre à ses questions. Le médecin partait pour revenir 20 min plus tard, et à son retour, le patient n'avait qu'un vague souvenir de leur précédente rencontre. En particulier, le patient n'a aucun souvenir que Schacter lui a posé une série de questions. Par contre, lorsqu'il lui demande où le premier match de base-ball a eu lieu, il donne la bonne réponse sans hésitation. Mais il n'a aucune idée de la manière dont il a acquis cette connaissance, ça lui paraît évident. → Mémoire implicite fonctionnelle mais mémoire explicite déficitaire : dissociation ♦ Inférence de Schacter : Si il existe une mémoire ''inconsciente'' chez les patients amnésiques, il existerait également cette mémoires chez les personnes 'normales'. Donc, avec un autre auteur (Graf, 1985), ils vont montrer l'effet inconscient de la mémoire. C'est ce qu'ils vont qualifier la mémoire implicite, opposée à la mémoire explicite.

I. Caractéristiques et évaluation de la mémoire implicite et explicite 1. Caractéristiques de la mémoire implicite/explicite La mémoire implicite est mise en œuvre dans toutes les situations dans lesquelles une expérience antérieure modifie le vécu actuel sans que l'individu ait conscience de la relation entre les deux. Par opposition, la mémoire explicite correspond à toutes les situations aux cours desquelles ont va récupérer volontairement, consciemment, une information dans notre mémoire. La dissociation proposée par Schacter ne correspond pas à une dissociation de système, mais à des modalités ou outils d'évaluation. (cf Modèle de Tulving → mémoire consciente/non consciente) Psychologie Cognitive

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2. Évaluer la mémoire implicite/explicite Test implicite : Les consignes n'impliquent pas une recherche volontaire (en général pas non plus un apprentissage volontaire) Test explicite : Les consignes induisent des stratégies intentionnelles et consciente de recherche en souvenir. Evaluer la mémoire implicite :

Phase de test

Phase d'étude Présentation des items cibles (ex : lapin)

Délais

+ activités annexes (ex : compter nb de lettre, Faire une phrase..)

Activités basées sur : – les items cibles identiques (ex : lap...) ou items cibles Différents (car...) – Des itemps contrôles (ex : tab..)

Important : les consignes pendant la phase de test n'induisent pas de récupération volontaire. On va chercher à mettre en évidence les phénomènes d'amorçage. Ça correspond à la facilitation ultérieure du traitement d'une information suite à une première confrontation, à l'insu de l'individu. Ce phénomène d'amorçage est quantifié par l'effet d'amorçage qu'on va calculer en opérant la différence entre les score obtenu sur les items cibles et les scores obtenus sur les items contrôles. L'idée sous-jacente c'est que quand un individu identifié un item contrôle, ça ne peut pas être un effet de mémoire puisqu'il ne lui a pas été présenté. C'est lié à autre chose, qu'on appelle le hasard. Comme pour les items contrôles, les items cibles sont aussi soumis au hasard ; il faut le prendre en compte. Et pour montrer qu'il y a un effet de la mémoire, il faut montrer une différence significative. Amorçage direct : La présentation préalable d'un item facilite son identification ou sa production ultérieurement. Exemple : LAP___

Amorçage indirect : La présentation préalable d'un item facilite l'identification ultérieure d'un item qui lui est associé. Exemple : CAR___

► Fractionnement des mesures de mémoire implicite ○ Selon la nature de l'opération impliquée dans la tâche. Tâche d'identification : Identifier un stimulus présenté dans son intégrité. Tâche de production : Produire le stimulus à partir d'une partie de cet élément ou d'un élément lié. ○ Selon la nature des indices fournis au test Test d'amorçage perceptif : L'information proposée donne des indications sur les propriétés physiques ou perceptives de l'item cible. Test d'amorçage conceptuel : Les indices fournis spécifient certaines des propriétés sémantiques du stimulus.

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► Exemples de tâches implicites


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