Sémiologie de l\'image - Notes de cours 1 PDF

Title Sémiologie de l\'image - Notes de cours 1
Author Camille Saje
Course Sémiologie de l'image fixe
Institution Université Catholique de Lille
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Sémiologie de l’image HA 270 - Dossier numérique avec poly à lire! -> plan apparent si possible rédigé + voir photo téléphone pour método ds ! OBJECTIFS:

-

Acquérir une méthode d’analyse semi-pragmatique Maitriser les concepts Développer sa culture en terme d’image Journalisme / Artistique Connaitre la biographie des photographes S’intéresser à d’autres photographes

JOUR DE L’EPREUVE:

- Biographie d’un photographe traité en cours + donner des références personnels (autre photographe)

- Contrôle continu de 2 heures + partiel de 3 heures. Mythe de Sisyphe -> Albert Camus 1942, cycle de l’absurde -> homme transportant quelque chose de lourd et qui doit traverser une montagne !

Photographe: Thomas Hoepker (Allemand 1936):! Il livre un témoignage concernant une photographie où l’on peut apercevoir un homme sortant un animal d’un van (rouge, sang), c’est un témoignage qui permet de nous alerter sur ce qu’il se passe dans certains pays, la photographie a une valeur informative, journalistique et permet de prouver ce qu’il se passe. Le mythe de Sisyphe photographié par T. Hoepker est une photo journalistique. ! Logos (grecque) = parole / logique ! Seneion = signe ! Les sciences qui permettent d’étudier les signes sont:! - L’image!

- Le son ! - Tactile ! - Gestuel ! La linguistique est fondée par Ferdinand de Saussure (1857), il s’est interrogé sur le fait de comprendre la science de la langue.! La sémiologie s’est construite à partir de la linguistique. Le signe = signifiant / signifié. La langue est une sous-partie du langage. Le signifiant renvoie à la forme et le signifié au fond. ! On écrit ce que l’on entend, c’est la phonétique, la prononciation. Ferdinand de Saussure prend l’exemple de «"arbre"», c’est une articulation arbitraire. On peut trouver 2/3 réalités différentes alors qu’on entend la même chose c’est l’acception. Quand on prononce des choses c’est forcément associé à un sens. !

SYNTAGME ET PARADIGME: L’axe syntagmatique: est la manière de structurer les phrases pour se comprendre, c’est l’ordonnance des mots! L’axe paradigmatique: est le contraire de l’axe syntagmatique, on reprend la même phrase mais on permute les mots jusqu’à temps que la phrase n’a plus du tout le même sens. Il nous permet de nous interrogé sur ce que l’on peut mettre à la place du mot. ! Le point de rupture est le sens du mot utilisé. ! Le signifiant est à différencié du signifié (camionnette)!

L’AXE PARADIGMATIQUE DE L’IMAGE: I.

La dangerosité de la situation ouvrière

-> suspendu à une poutre en hauteur -> photo noir/blanc rappelle le contexte du temps de guerre -> travail sans protection

II. Un contexte social et historique particulier -> chômage, 1932 -> l’émergence de grands buildings -> époque de la grande dépression C’est une mise en scène, et qui aurait pu amener à être truquer. La photo nous importe un certain nombre d’indices sur ce qu’il se passer. ! Journal «!François!» de Lambert sur Miss France: C’est un journal national, il parle de ce journal en faisant preuve d’ironie. Il va s’intéresser à l’image puisqu’elle a une fonction de preuve. Il parle ce la magie de la photographie de la presse, elle a une fonction informative. Elle présente la réalité comme si on y était. Il dit que les analyses que l’on propose ici n’ont pas l’innocence d’un premier regard. Il parle

de la similitude qu’à la photo. Lorsqu’il parle de la mythographie, il parle de maladie, il a un regard critique puisqu’il associe la photographie à la maladie et au vice, «"elle ronge et grignote l’effet réel."»! Il donne une définition de la mythographie: c’est une histoire représentée par l’image, cette histoire peut avoir un encrage dans la réalité ou non. Il est fort puisque c’est généralement un récit qui a une forme symbolique, il est doté d’une morale qui défend des valeurs. Il va s’intéressé à toutes ses histoires qui sont racontés à travers les images. ! Pour illustrer l’élection de Miss France en 1984, on a un article entouré de 3 photos. Ce messages est toujours intéressé par une partie des français. Sa résume le travail, la famille et la patrie, ça réconforte leurs valeur, si ça se trouve, miss France est aussi manipulée puisqu’elle n’a rien à voir avec ses valeurs là, ce qui n’est pas sérieux puisque ça ne représente pas la réalité de miss France. ! C’est une mythographie qui peut aller à l’opposer des valeurs et du choix de vivre de miss France, c’est une vice, une mésinformation. C’est un outil qui permet de traiter par l’image un événement, c’est un outil qu’il faut manipuler avec prévention, il peut nous éloigner de la réalité que l’on veut représenter, on peut parler de propagande quand on ne présente pas les choses explicitement au récepteur (lecteur). ! Tableau du 07/01/15 sur les attentats de Charlie Hebdo conservé au Louvre!

-> marche républicaine, liberté acquise, on se bat pour la liberté de l’expression écrite et de la communication.! -> événement historique et emblématique qui va marquer l’histoire de la France. C’est un rapprochement qui nous montre que les images ne sont pas éloignés les unes des autres. Elle ressemble à la photo d’E. Delacroix.!

Il y a une différence dans le combat qui est mené dans les deux tableaux. On légitime la violence, le combat pour atteindre des valeurs, les défendre et les imposer par la violence. Ils sont entrain de soutenir les gens qui sont victimes de terrorisme, de violence, ils ont tous les deux un message de paix afin d’arrêter la guerre, le sang et les tueries. Ce sont deux époques compléments différentes. On dénonce aujourd’hui en France et en Europe tout acte de violence qui est justifié contre les valeurs et avec de la violence. ! !

Révolution de la Libye source lemonde.fr:! Révolution Libye (2011), les révoltes ont réussi à renverser les pouvoirs en place, parfois ça a entrainé des régimes qui étaient pires dans certaines manières avec la abus de pouvoir. La mythographie nous induits en erreurs. Ce qui apporte plus de poids, un esthétique, ce qui va rendre l’image historique. !

-> Parti communiste aujourd’hui reprit par Mélanchon, sur cette photo c’est une réunion ordinaire qui pourrai avoir lieu par rapport aux élections, ça n’a rien à voir avec le dernier repas du christ. Même si ça donne beaucoup de poids pour cette réunion, on pourrait

dire que c’est un moment historique. Georges Marcher est identifié au Christ, le parti communiste qui provient du Marxisme n’a rien à voir avec la parole du Christ, il est seulement là comme étant le messager de dieu alors que les communistes sont contre la religion, selon eux l’histoire se fait à travers les hommes et Dieu n’existe pas. En revanche on peut dire que Georges Marcher est quelqu’un d’important puisqu’il a voulu changer le monde comme veut le faire le Christ. ! Sur toutes ces photos, on peut faire un rapprochement, il y a espoir en Libye, avec Charlie Hebdo avec l’arrêt du terrorisme mais sur la photo du parti communiste c’est quand même assez éloigné.! Cène de Vici 1496 Eglise Santa maria delle grazie milan:!

Dernier repas du Christ, le christianisme est identifié sur cette photo, elle nous permet de nous rappeler qu’il est toujours là depuis la Renaissance même s’il a mit du temps à bien s’implanter. ! L’eucharistie, c’est grâce à sa crucifixion et à sa mort qu’il a pu arriver à son but de divulguer sa bonne parole. ! ! Photo de Nachtwey 2003:!

On ne sait pas si ces deux personnes ont un lien de parenté. On n’a pas trop d’élément. On a l’impression qu’ils ont le même âge, c’est une illusion directe à la Pieta. Mais on voit bien qu’il n’est pas mort même si le rapport de cette femme à cet homme est important, c’est une événement ordinaire. ! La mythographie résulte de la Pieta de Michel Ange (Vatican):!

Fils mort dans les bras, il faut s’interroger dans le récit. Elle n’est jamais représentée avec des pleurs, elle est toujours dans une forme paisible. Il y a une forme de joie dans la norme chrétienne, puisque son fils va retrouver Dieu. C’est le Christ. Elle fait preuve de sang-froid. !

Analyse photo: La piéta du Kosovo, Pascal Convert:!

L’auteur de cette photo est Pascal Convert, plasticien, écrivain et réalisateur. ! Sur cette image, il est moins évident de voir la Piéta. Ici la femme pleure, elle crie, elle n’est pas apaisée comme Marie, elle ne le tient pas dans les bras et il y a plusieurs femmes dans la pièce. On a l’impression qu’elle est dans une crise de démence car les femmes semblent être en train de la calmer, ou tout du moins de tenter de la calmer. On suppose ici que son fils est décidé, il est sur son lit de mort. Il s’agit d’un rite funéraire, rite musulman ici, pour cela qu’il n’y a que des femmes. Le nom de la photo peut laisser à penser que ces femmes sont chrétienne, mais cela serait faire un amalgame. ! Il y a sur cette image un travail de forme, de plastique, de maitrise des couleurs. On a pas l’impression qu’il s’agit une photo mais plutôt d’une peinture style dans le style du peintre Rembrandt ou certains peintres flamands, du fait des des couleurs un peu pastels, à la fois chaudes et froides et parfois tranchées. Le photographe a fait en sorte qu’au tirage il y ait cette impression de peinture. ! Analyse photographie: La Fille à la fleur, Marc Riboud, 1967, Washington. !

Sur cette image, une jeune femme brandi une fleur, et porte un haut à l’imprimé fleuri. L’emplacement de la fleur par rapport au reste de l’image est important: elle est au niveau de la tête de la jeune fille, presque dans la même lignée que le fusil, formant une forme de ligne comme si c’était la fleur au fusil. Une rencontre visuelle s’opère. ! Fondamentalement, une fleur n’est rien face à une arme, mais symboliquement quand quelqu’un brandi une fleur on ne va pas lui tirer dessus. La femme a l'air très humaine: elle semble douce (expression), n’est pas agressive, incarne vraiment la sérénité, la paix. En face on a des soldats qui semblent agressifs, froids, représentent par leur agressivité et leurs armes la mort: ils sont déshumanisés, apparaissent tels des robots, des machines de guerre, une armée de numéro comme dans des films de science fiction. !

On pourrait penser à une caricature de l’armée dans toute son horreur. On forme des soldats qui devinent des machines, on a l’impression de pouvoir en produire à l’infini. Le flou constitue l’impression d’une ligne illimité, comme si l’État produisait autant de soldat que nécessaire pour vaincre «"l’assaillant"». Les fusils ressemblent à des lames de couteaux; on a l’impression d’être lus proche des guerres de tranchées, casques ressemblent à ceux de 14-18. La jeune femme quant à elle ne semble pas démodée, tandis que l’armée en face est mal équipée totalement datée.! Axe paradigmatique: si elle brandissait une arme, l’image n’aurait rien à voir, elle risquerait la mort, puisque cette arme n’arrêterait pas l’attaque de l'armée en face, il s’agirait d’une provocation. ! La mythographie de David et Goliath est ici intéressante. Goliath, soldat le plus fort de l’armée des philistins est un géant, un monstre surhumain, un monstre qui vient envahir le pays de David, berger. Les deux protagonistes de cette histoire s’affrontent dans un combat singulier: David muni d’un sac de pierres, et Goliath lourdement armé. Il y a un déséquilibre notoire dans ce combat. David possédant peut de moyens arrive malgré tout à tuer Goliath en lui laçant des pierres. Le parallèle entre ces deux images est évident: les armes contre une fleur, et des pierres face à un géant armé. ! Cette histoire, cette image de David et Goliath est souvent utilisé pour couvrir des événements israéliens et palestiniens: le contexte est évidemment différent mais l’histoire reste semblable. ! Les palestiniens se défendent en jetant des pierres à l’armée israélienne, une des plus puissantes armée du monde. Le combat est encore une fois inégal. ! On peut également relier la photographie de Marc Riboud et le mythe de David et Goliath à la photographie et la vidéo L’Homme de Tiananmen. Celles)ci représente ici un chinois faisant face aux chars de l’armée chinoise, s’opposant à la répression organisée par le gouvernement. L’homme ne fut pas tué en direct mais seulement après.w we !

Analyse photographie: la capture du Che par l’armée bolivienne, Freddy Alborta, 1967!

Image du Che -> Figure du révolutionnaire Il y a plusieurs photographe mais c’est celle-ci qui est sortie du lot Cette photo atteste d’un fait historique: la capture du Che par la milice bolivienne (l’état) Un des chef militaire nous regarde, celui au centre Il sait que quelqu’un est en train de prendre la photo Il montre droit dans les yeux, avec détermination qu’ils ont capturé le Che Il lui tient les cheveux. C’est profane puisqu’il est mort Un mort va devenir sacré, il y a un respect du mort, même quand c’est un ennemi Quand on va détruire une tombe on sait que c’est un geste choquant, très mal vu; Prendre ne compte les éléments du contexte: la posture Il y a l’idée de la mort du Christ En 1480: considéré comme une peinture assez unique car on a représenté le christ mort sur son lit, dans une forme de verticalité, n’est pas allongé de gauche a droite; on dirait presque qu’il est sur la croix.! Le Che est vu comme le christ, un rédempteur au sens politique du terme ! Mais sur la peinture le christ on pleure sa mort on est dans une forme de recueillement alors que pas du tout avec le Che ! 2e mythographie qui contredit celle de la représentation du christ:! ! Mythographie qui va plus prendre en compte le corps et non plus la tête ! On y voit un second geste profane: le chef touche le Che avec son indexe, ou le palpe ! on ne sait pas trop pourquoi il fait ça. On voit donc de gens autour d’un cours mort qu’on palpe on peut rapprocher cela de la mort de Pablo Escobar: hors la loi qui a un réel empire, plus de pouvoir que les chefs et les dirigeants.! La notion d’anatomie est une mythographie ! La peinture de Rembrandt 1632 fait aussi penser à la piéta du Kosovo.! Le progrès de la science médicale, qui permet de vivre plus longtemps. C’est un récit porteur de valeur car on a considéré qu’on pouvait se permettre l’église a accepté qu’on dissèque les corps (avant acte profanatoire car le cours appartient à dieu)! Sacralisation puis désacralisation du corps. Ce sont les deux mythographie fusionnées.! Jeff Wall:! Photographie ! On est au antipodes de la mort du christ car mort d’un ou d’une adolescente! Traites du visage peuvent faire penser à un femme ! Marcos Lopez:! Leçon d’anatomie ! Cin d’oeil ou parodie !

Caravaggio: ! La Morte della virginia ! On ne parle jamais de la mort de la vierge ! Peinture qui la représente ! Pas évident à distinguer ! On a beaucoup d’image en tête qui parfois font de l’ombre à d’autres ! C’est dans l’imaginaire collectif ! Changement de chapitre Texte de Philippe Marion, 1997, Les images racontent-elles ? Rien qu’en lisant le titre et en regardant la photo qui s’intitule la sonnette de Robert Viano, on se doute de ce qu’aborde l’auteur dans ce livre ! Les image racontent elles? ! D’abord on répond non ! Puis oui ! Car l’image racontent ce qui se fait, le passé, ou le présent ! «"La sonnette"» comment mettre l’image en relation avec le titre ?! L’image n’a pas la capacité de nous raconter ce qui va se passer après, on suppose comment raconter une histoire à partir de cette image ? Qu’est ce qu’on nous raconte ? ! A partir de cette page on peut monter n’importe quelle histoire il faut s’accrocher à l’instant d’avant et celui d’après, l’histoire devient animée parce qu’on voit cette image.! Photo de Cartier Bresson La mar 1938:!

I.

Le pique-nique de la classe ouvrière !

A. Un jour de repos entre couples! B. La nourriture: source de bien être!

II. Le contraste de la terre et de la mer ! A. La stabilité et le profit du moment présent sur la terre ferme! B. La barque: source de départ vers un avenir meilleur??!

Il y a une forme de routine, on a l’impression qu’il se connaisse bien. Il y a un caractère paisible. C’est un déjeuner sur l’herbe, l’activité principale de la journée n’est pas forcement le pique nique mais la pêche. C’est une classe qui travaille et qui se repose. Cette image nous rappelle l’ambiance où les français ont enfin des congés payés (année 30) il y a cette aspect du front populaire avec le parti communiste au pouvoir qui fait passer plein de mesure tel que la sécurité sociale. C’est le début d’une société de loisir qui se met en place où les classes populaires peuvent avoir accès à des loisirs. ! C’est l’entre 2 guerre. Ce qui est étonnant c’est que cette visibilité ne nous annonce pas ce qu’il va se passer en 1939 avec la 2GM. C’est un âge d’or pour cette bourgeoisie sociale. Les piques niques sont aujourd’hui complètement banalisé, puisqu’on pique nique de plus en plus dans tous les types de lieux. Ils prennent le parti dans le fait qu’il faut se faire plaisir dans la vie, de bien manger. ! Cette image nous amène à une référence artistique: où on pourrait penser que la femme est une prostitué. ! Manet, le déjeuner sur l’herbe 1863:!

Photo Cartier Bresson 1933: guerre de Séville!

Photo lors de la guerre de Séville. On peut voir qu’il y a un demi cercle qui se forme, c’est une ville qui a été bombardée. ! Robert Doisneau Le baiser : 1950!

-> Gare St Lazard, elle nous fait penser au baiser! -> ce n’est pas un photo reporter au sens international, il n’a pas fait le tour du monde, ses clichés sont surtout sur le territoire français. Ils gardent encore une certaines fraicheur aujourd’hui.! -> comparé à Henry Cartier Bresson puisque Henry saisi à vif la réalité, tandis que Robert garde une certaine forme de spontanéité. ! -> c’est un photographe humaniste! Humaniste = mène à la découverte de l’autre. ! On est dans l’après guerre, elle est datée par le style vestimentaire du couple qui est indémodable. Il y a une ambiguïté, on ne sait pas quels sont véritablement les clichés joué ou non. Ici en l’occurence ce sont deux acteurs, ils voient une scène et la reproduit en la réalité qu’il a vue. Pendant 20/30 ans, on a vraiment cru à la spontanéité de la rencontre. ! Il surprend la réalité de manière artificielle ! 1944 Doisneau!

La photo nous fait penser à la photo de Cartier Bresson pendant la guerre de Séville.!

Robert Doisneau: !

Willy Ronis: le petit parisien !

-> façon de faire individuel, mais certains auteurs peuvent reprendre l’idée des autres! Le pain, la baguette représente la France, Paris. La photo est un prétexte pour observer la société et les modes de vie actuel ! Photo de Willy Ronis: Ce jour là!

-> Photo prise sur le vif, elle joue sur les contrastes, elle joue sur les paradoxes notamment sur le fait que ce soit le seul homme, qui est malheureux et qui transpire la morosité. Il y a une histoire à raconter de sa vie de bureaucrate. Il représente la gente masculine. Personne ne le remarque, chacun regarde ce qu’il se passe au second plan. La femme à gauche regarde l’objectif, on a l’impression qu’elle accueille le photographe à l’inverse de la jeune fille à coté. On peut s’imaginer que l’homme central reçoit mal le fait qu’on soit entrain de le photographier. Le photographe ne passe pas inaperçu. Ce sont des scènes de vie quotidienne, il y a un jeu de paradoxe qui nous font dire que la photo est plaisante. ! Willy Ronis: un dimanche au Louvre:! !

I. Une photo prise sur le vif! A/ La spontanéité de la photo ! B/ Une personne centrale! II. Le rejet du photographe! A. Une intention de prise d’instant présent! B. Un lieu culturel qui rassemble tous types de personnes Sébastiao Salgado : la main de l’homme!

Idée de progression constante, les signifiants se confondent et renvoient des signifiés différents. La partie droite peut représenter des gravillons mais ce sont plus des hommes. Au premier plan on voit des pieds, on peut penser à une incarnation d’un insecte grâce à l’homme (= homme insecte). Les hommes respirent beaucoup de particules possibles, c’est dans les années 80, on le sait grâce au détail ...


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