TCC 4 - Résumé Introduction à l\'approche cognitivo-comportementale PDF

Title TCC 4 - Résumé Introduction à l\'approche cognitivo-comportementale
Author Roberta Galfetti
Course Introduction à l'approche cognitivo-comportementale
Institution Université de Lausanne
Pages 11
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Summary

résumé cours ...


Description

TCC : 4.5.2017 : 2. Aperçu général des méthodes cognitives d’intervention : 3 grandes types de techniques cognitives :

Etapes d’une intervention cognitive :

 Proposantes des tâches qui se font au dehors du cabinet et qui vont entraîner le changement cognitif. Si le changement a lieu est parce que le patient continue à pratiquer ce qui il appris pendant la séance.

Les principales thérapies cognitives (de la 2e génération de TCC) :

 Essayer de modifier la pensée pour obtenir des changements dans les émotions et dans les comportements. Changer des cognitions (je suis mauvais)= aider à devenir compétent et affirmé. 3. Méthodes de restructuration cognitive :

Etapes de la modification thérapeutique des cognitions :

 éviter que nous que n’avons pas la même angoisse,… on fait des conseils. Faire de la psychothérapie est aider le patient à produire lui même des pensées alternatives plus constructifs et réalistes et qui devraient le faire moins souffrir. Quelques pistes d’intervention :

 //vidéo// : type de raisonnement dialogue socratique : essayer d’aider la personne, aucune règle : dialogue Socrate sur la beauté : beauté concept abstrait. T’es capable de m’expliquer ce qu’est c’est la beauté ? 1. Donner la parole à l’autre : expliquer

cette pensée, essayer de comprendre ce qui est pensée automatiquement. Socrate pose deux questions= questionnement socratique dirigée : il demande de la casserole : il a bien une idée derrière la tête : le thérapeute à déjà une idée derrière la tête. Au départ on ne sait pas forcément où on va venir. Sorte de surprise par apport à ces questions qui lui sont exposés. Alors qu’il n’avait pas dit que la beauté est relative, Socrate par son raisonnement a induit son interlocuteur à une pensée nuancé. Il va questionner le bien fondée, la rationalité : idée d’arriver à amener la personne à se dire qu’au fond de son raisonnement il y a quelque chose qui ne fonctionne pas (fille belle mais pas belle par rapport à Dieu : une chose ne peut pas être belle et moche au même moment). Dissonance cognitive = mettre en relief ces épreuves qui vont dans le sens contraire de ce qui pense le patient. Assimilation = le patient refuse de changer ses idées et intègre l’épreuve pour confirmer son raisonnement. Si on fait que ça sans aussi valider un peu les pensées des autres on peut arriver à une rupture avec la personne. Si on dit toujours « oui, je vous comprends » on n’amène pas la personne a changer, mais on n’amène pas le changement même si on met toujours en discussion ce qu’il dit. Gâteau de responsabilité : il dit sont les autres le 100% responsables de la rupture sentimentale « C’est l’autre qui a commencé ». Comment on essaye d’arriver à une nuance de ça ? Essayer de nuancer la culpabilité. Comment on fait ? « Racontez moi le dernière épisode de dispute, qu’est ce qu’il a dit, comment vous avez répondu, comment la bagarre c’est terminé, quel a été votre rôle ».  Il continue a dire que c’est l’autre qui a commencé La pensée socratique consiste à penser comment faire pour nuancer cette pensée. On ne doit pas tout de suite passer à la modification (on ne doit pas l’amener !) ; on ne doit pas donner les pensées aux gens.

Nous savons vers quelle pensée on aimerait tendre, mais c’est difficile d’atteindre notre but. « Comment votre ami à donner du sens à votre discours » : j’ai mal communiqué ma penséedécentration, ce mettre à la place de l’autre (du patient). Comprendre et pouvoir réfléchir sur une réplique qui pourra aller dans le sens là :

Interventions non cognitives :

B. La thérapie rationnelle- émotive : //vidéo// : forme de travail sur l’évidence de la pensée : dans les troubles anxieuses ce qui arrive est qu’il y a une anticipation négative. Comment je peux faire pour faire découvrir la pensée qui est associé à cet pratique habituelle ? le thérapeute fait à la

fois des exposer et des interventions thérapeutiques. Discuter sur un plan cognitif. Il est en train de questionner : c’est quoi la pensée anxiogène. C’est quoi la pensée automatique ? Qu’est ce qu’il est en train de questionner ? Le niveau d’anxiété et la durée. Anxiété anticipatoire (ici elle n’est pas en train de manger un Pretzler). Il est en train de demander combien de temps ça va durer : elle ne le sait pas. Très trop longtemps. Le thérapeute obtient des pensées automatiques. La femme ne sait pas, elle ne sait pas durée la question de combien de temps ça dure : elle n’a jamais essayé. Essayer de trouver sa nature. Restructuration : tentative de distraction et d’éloignement (elle ne pouvait plus manger le deuxième biscuit). Elle n’arrivait pas à supporter de ne pas manger le deuxième. Cette expérience là nourrit des nouvelles pesées automatiques : maintenant je suis capable de différer. Les dix pensées irrationnelles avec lesquelles nous nous martyrisons :

 Idée : « Il faut avoir peur pour éviter qu’un malheur me survienne ». Pensées challengées. Exigences émotionnellement perturbatrices :

 Plus on a des attentes élevées vers soi, les autres, la vie, plus grande est le risque d’être déçu.

Etapes du travail de modification thérapeutique :

Le modèle ABCDE :

 A partir de B : piste alternative : dispute : débat, discussion, réflexion qui correspond au dialogue socratique : confronter pour générer de la distorsion cognitive. Aboutisse à un nouvel effet émotionnel et comportemental. Le conflit/ discussion permet une modification de B. Exemple :

 Intermédiaire cognitive : ce n’est pas la situation qui génère l’émotion, mais l’interprétation. N’est pas la critique qui a suscité l’émotion, mais l’interprétation qu’elle a faite. Réflexe de dire : c’est parce que elle a fait ça que je ressens ça. Conduite associée pour dépasser ces résultats de discussion : dénoncer ce sentiment d’injustice, montrer qu’on est touchée par cette critique.  Dialogue socratique. Acceptation de soi et objectifs : modèle d’Elisse:

 Met l’accent sur la notion d’acceptation de soi par apport aux exigences exagérées qu’on peut avoir de soi même.  Deuxième chose qui peut aider : proposer des évaluations spécifiques. Penser les choses de manière beaucoup plus concrète et spécifique. Mon action est bonne et juste si elle est en accord avec des objectifs de vie précise, avec mes valeurs particulières. Je reste très comportementaliste. Auto-instructions pour gérer le stress : 1. Phase de préparation :  Qu’est- ce que tu as faire ?  Développe un plan pour gérer la situation  Pas besoin de se faire du souci, le souci en soi n’est pas utile pour gérer la situation 2. Phase de confrontation Qu’est ce que je peux me dire quand je suis face au problème :  Tu peux raisonner sur ta peur et l’éloigner  Ne pense pas à ta peur, pense simplement à ce que tu as à faire  Ta peur est le signal pour activer tes stratégies d’adaptation  Relax, prends une bonne inspiration

Adaptation pour la gestion de la colère :...


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