TD Version Espagnol - traduction d\'articles de presse PDF

Title TD Version Espagnol - traduction d\'articles de presse
Course Traduction Version Espagnol-Français
Institution Sorbonne Université
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Summary

traduction d'articles de presse...


Description

Version espagnole Texte 1 Les restrictions de circulation imposées par la mairie de Madrid pour réduire le grave épisode de pollution (ayant frappé) (dans) la ville ont montré/prouvé qu’il est nécessaire et possible d’agir en faveur (dans l’intérêt) de la santé publique. Mais cela a également mis en évidence la difficulté d’entretenir un débat séran et rigoureux sur les mesures qui, inévitablement, s’avèrent impopulaires quand apparaissent des figures publiques aux grandes responsabilités qui, au lieu de s’en tenir aux faits et aux infos vérifiés, donnent matière au négationnisme le plus infondé (ignorant). Ce négationnisme revient ensuite sous forme d’opinion exprimée par des citoyens de bonne foi qui ont cru ces arguments sans savoir qu’ils manquent de fondement. Malheureusement cela peut se produire/avoir lieu aux plus hauts niveaux de la gouvernance mondiale, comme on l’a vu lors du discours de D. Trump sur le changement climatique. Dans le cas des mesures appliquées par la mairie de Madrid, le négationnisme est parvenu jusqu’au point de mettre en doute l’existence de pareille pollution, malgré le fait que la couche d’air contaminée est parfaitement visible et qu’il existe depuis longtemps un vaste réseau de mesure des niveaux de gaz et des particules qui détecte avec précision les concentrations qui se produisent. On a affirmé/ Il a été dit que les restrictions n’étaient pas nécessaires en réalité et qu’elles répondaient à une manœuvre idéologique, une espèce d’expérimentation social de la part de ceux qui détestent/haïssent (détracteurs) la voiture des particuliers et la liberté qu’elle représente. D’autres ont parlé d’une décision arbitraire et improvisée, une sorte d’idée incongrue de la maire Manuela Carmena. Ils ne prennent pas en compte que la procédure a été approuvée par l’équipe précédente au gouvernement, présidé par la maire Ana Botella, et que le durcissement qu’a effectivement introduit l’actuel équipe suit fidèlement ce qui a été établi dans la directive européenne de la qualité de l’air. Une directive qui a été rédigée sous un large consensus et en accord avec des données scientifiques contrastées. Lexique sur l’environnement

Participios pasados de verbos irregulares

Medioambiental Los recursos naturales La contaminación Las materias primas El consumo El aumento/el incremento La reducción/la baja/la merma El efecto invernadero El calentamiento El desarrollo sostenible

Ver-visto Hacer-hecho Decir-dicho Poner-puesto Imponer-impuesto Cubrir-cubierto Escribir-escrito Volver-vuelto Morir-muerto

Texte 2 « Le soulagement du roi glacial » Le discours de Noël de Philippe VI constitue la négation de l’année qu’il a subie. Une allocution dépolitisée après la manœuvre (l’exercice) la plus politique de son règne. Le Monarque s’est accordé une pause, un soulagement, une promenade à un empan du sol pour ne pas marcher aucun gros orteil suite à 365 jours tendus lors desquels il s’est vu complètement impliqué dans la querelle (bataille) électorale. Philippe VI, le roi glacial, celui qui ne bourbonne pas, a pris congé des téléspectateurs le 24 décembre 2015 en faisant directement appel direct à l’entente entre les partis. Quatre jours avant, les élections du 20-D avaient tracé le cadre du plus impossible des gouvernements de l’histoire de la démocratie espagnole. En janvier, il a proposé Pedro Sanchez comme candidat, ce qui a provoqué la divergence/ le désaccord avec Mariano Rajoy. La crispation entre le PP et Maison royale a atteint son paroxysme après les élections de juin, quand le président actuel menaça de ne pas comparaitre devant du Parlement, manquant ainsi le mandat constitutionnel. Le Monarque n’a pas été non plus étranger au schisme du PSOE, même si dans ce cas a peinte avaient été divulgués les indices qui pointent dans une large mesure la chaque fois plus flue de son père. Ainsi, comme indique la tendance que Manuel Arias Maldonado décrit avec force de détail dans « La démocratie sentimentale », le Roi a parié plus sur les émotions que pour la raison dans son discours. Et entre ces émotions, sur les moins transgressives. Il a parlé de « l’effort », des « sacrifices », de « l’espoir », de « la famille », de « la générosité », et de « la réalisation jusqu’à frôler (ou dépasser) la naïveté : « Là où un mot d’encouragement ou une main amie sont requis, il y a un Espagnol qui donne exemple par des œuvres de grandeur de l’âme la plus profonde de notre terre ». Ce n’est pas qu’il n’ait pas mentionné le mot « Catalogne » pour esquiver le défi des indépendantistes, c’est qu’il n’a même pas cité « la Constitution » pour ne pas blesser/déranger ces derniers. Un rappel à la Loi comme fondement « de la cohabitation démocratique » est ce que l’intervention a de plus risqué, même si le fait que le chef de l’Etat doive rappeler une pareille évidence met en relief l’anomalie dans laquelle s’est installé le pays. « On a dépassé une situation politique complexe que vous connaissez bien », a rajouté le Monarque. Et comme vous la « connaissez » déjà, alors je n’ai pas à la juger, semble-t-il dire. Le reste des références à la possibilité de gouvernement de l’Espagne sont truffés de « sérénité », « tranquillité », « dialogue », « consensus », comme s’il s’agissait d’un café et petits gâteaux entre Rajoy et Javier Fernandez. Vocabulaire de la politique/Institution El régimen Ciudadano y ciudadanía Gobierno Dirigente o mandatario Ministerio Diputado Jerarquía Las Cortes

Congreso de diputados Senado El alcalde El ayuntamiento El concejal Reino y reinado Imperio El séquito de los validos

Texte 3 : Brancher la lumière dans un camp de réfugiés (Un peu de lumière dans un camp de réfugiés) Seulement en Syrie, presque 2 millions de personnes vivent dans des camps de réfugiés. Sur toute la planète, ils sont 65,3 millions. Beaucoup de ces logements sont loin d’avoir accès aux services de base comme l’électricité ou l’eau. C’est pourquoi les incendies et l’insécurité sont d’autres hôtes de ces implantations/emplacements. Un groupe d’étudiants de différentes universités européennes s’est proposé de mettre fin au problème en concevant un réseau électrique portable. Celui-ci permet de se connecter à n’importe quelle source d’énergie aussi facilement que pour recharger un téléphone portable : en le branchant au courant. De plus, ils permettent de contrôler en temps réel la consommation de lumière dans les différentes zones de l’enceinte/du périmètre. Ces réseaux, qui pour le moment s’avèrent être de prototypes testés en laboratoire, sont le résultat du travail d’étudiants de l’Ecole de Commerce Esade, l’Université Polytechnique de Catalogne, l’Institut européen de Design (IED) et l’Université de Modène et Reggio Emilia. Selon De Cea, 21 ans, l’infrastructure es conçue pour fonctionner en toute condition, et avec n’importe quelle énergie. Une fois connectée aux sources disponibles dans la zone, des nœuds, hubs en anglais, canalisent le courant électrique vers les logements et installations. Ceux-ci, à leur tour, peuvent se connecter avec d’autres extensions pour couvrir plus d’habitats/hébergements. La limite est établie par la quantité d’énergie disponible. Il s’agit, de même, d’un réseau intelligent : les nœuds fournissent en temps réel l’information sur l’état de l’infrastructure et des consommations électriques. Il est possible de savoir, par exemple, si quelqu’un s’immisce dans le réseau, et interrompre l’approvisionnement. Les données aideront également à éviter que le réseau ne se surcharge. L’initiative est crue sous le soutien d’organisations telles que la ONG Global Humanitarian Lab et l’agence de l’ONU pour les réfugiés (Acnur). Et maintenant qu’un prototype du réseau a déjà été présenté à une jury d’experts du CERN, ces entités aideront les étudiants à le mettre en marche dans un vrai camp de réfugiés. A long terme, l’idée es d’emporter ces réseaux électriques vers pays d’Afrique subsaharienne ou en Indes, où l’accès à l’énergie est limité à cause de l’isolement des zones rurales et le manque de développement des infrastructures électriques. Lexique

Exilio/Destierro Huir de/dejar/abandonar Nostalgia/Añoranza El destino Poner el rumbo a

El flujo migratorio Documentos/documentación Cruzar la frontera/franquear Los apuros económicos

La fuente Los recursos Explotar Sacar provecho El uso, el consumo

El avance/el adelanto Mejorar/Mejora El invento (material)/ la invención (ideal) La calidad de vida La investigación (universitaria)/La búsqueda

Texte 4 : L’industrie du bonheur La grande industrie du futur ne va pas être ni le soin porté aux personnes âgées ni la biogénétique. Elle concernera le commerce du bonheur, vu que nous nous dirigeons vers une société où l’automatisation et les robots permettront de fabriquer des produits à des prix accessibles à la majorité. Acheter des choses coutera très peu parce que ce qui sera vraiment cher sera d’acquérir des expériences. Lié à cette industrie du bonheur, surgira un secteur solide qui vendra du bienêtre physique et psychologique, traitements pour rajeunir, des programmes pour éprouver de nouvelles sensations et des machines qui nous permettront d’accéder à une réalité virtuelle. Il suffit d’observer quelles relations entretiennent les adolescents avec leurs portables et leurs tablettes pour comprendre le changement de paradigme que les technologies de l’information impliquent, dans lesquelles la réalité virtuelle remplace la réalité même. Et voilà les nouvelles générations de jeux vidéo qui offrent de participer à une action de combat ou dans une dangereuse expédition dans la jungle sans bouger de chez nous. D’une certaine manière, la technologie nous transforme en dieux et déesses parce qu’elle nous fournit les communications instantanées, une immense capacité de gestion d’information et réponses rapides à des problèmes très complexes. Cependant, les grandes avancées de la microélectronique et des ordinateurs ne peuvent pas nous rendre plus heureux parce qu’elles ne nous aident pas à nous lier aux autres. C’est ici que réside la grande contradiction que je vois pour ma part : tandis que cette puissante industrie du bonheur se développe et qu’elle nous séduit avec ses offres alléchantes, l’homme est à chaque fois plus isolé par cet onanisme épicurien, qui coïncide avec l’effondrement des valeurs et la croissante incertitude de notre monde. Dans la mesure où les êtres humains se laisseront porter par le mirage des sensations et commenceront à ressembler à des dieux et des déesses, l’individu sera de plus en plus fragile, manipulable et vulnérable, parce que il perdra la conscience de ses propres limites. Comme seule la mort est irréversible, nous avons encore du temps pour nous rendre compte que le crépuscule à la montagne ou une baignade dans un fleuve seront toujours bien plus gratifiants que quelques heures face à une console ou avec des lunettes à réalité virtuelle. La félicité est un mystère que s’en fuit de notre compréhension et c’est pourquoi est si volatile et si difficile de trouver. Je crains que cette nouvelle industrie du plaisir n’aille générer que de la frustration parce que le désir est insatiable et le besoin d’expérimenter manque de frontières. Renoncions à chercher le bonheur et peut-être il apparaitra sur le chemin. Texte 5 L’année Cervantès, une opportunité/occasion culturelle échouée

Malgré la présence des Rois, de la vice-présidente du gouvernement et de plusieurs ministres lors de l’acte de clôture du 4eme centenaire de la mort de Cervantès, il est certain que après une année d’activités culturelles on a ressenti l’absence d’une plus grande implication institutionnelle dans la revendication du lien cervantesque comme partie de l’identité et de l’histoire espagnoles. Par rapport avec la considération de l’Etat qu’ont eue les activités de l’année dédiée à Shakespeare en GrandeBretagne, celles espagnoles ont souffert/péché d’un manque de coordination, une certaine dispersion et une faible relevance. Il ne s’agit pas d’une question de quantité, vu que, selon le Ministère de la Culture, le nombre d’actes organisés dans le monde entier a été de/ s’est élevé à 491 jusqu’à fin décembre 2016, mais plutôt de la portée d’un évènement majeur qui pour la majorité des Espagnols est passée inaperçue. La commémoration de la mort de celui qui est considéré comme le meilleur écrivain espagnol de tous les temps et l’un des principaux de l’histoire de la Littérature Universelle, a péché dès le débout par des erreurs dans sa planification et son organisation. D’emblée, elle a commencé avec assez de retard. A la différence de leurs homologues britanniques, qui ont avancé les célébrations à la fin de l’année 2015 et les ont inaugurées officiellement en janvier contant sur l’implication personnelle du premier de l’époque DC, les responsables culturels espagnols n’ont pas présenté la programmation avant le mois de février. Beaucoup des activités n’étaient même pas assurées, comme elles exigeaient la mobilisation/ le concours de la société civile et des entreprises privées afin de les mettre en marche. Et ce retard ne peut pas être uniquement amputé à la situation intérimaire dans laquelle se retrouvait le gouvernement depuis les élections du 20D de 2015, vu que l’anniversaire de la mort de Cervantès était connu avec suffisamment d’avance. Cependant, certaines initiatives doivent être mises en évidence. Notamment le catalogage et digitalisation du fond cervantesque de la Bibliothèque Nationale, le plus important du monde consacré à la figure de l’auteur du Quichotte. L’héritage, que l’on a commencé à rassambler en 1906, inclue 25700 exemplaires parmi lesquels des monographies, de manuscrits, des cartes, des gravures, des peintures…. Et est accessible aux chercheurs et personnes intéressées par la page web de la BNE. L’année Cervantès s’est écoulé, donc, sans faire trop de bruit/ dans l’indifférence et le gouvernement a laissé s’échapper une bonne opportunité pour rendre hommage de façon plus marquante, la figure historique de notre écrivain le plus universel et mettre en relief un héritage à laquelle notre langue et littérature doivent beaucoup, ainsi que notre identité culturelle. El editor La editorial Publicar/Sacar a luz Redactar El literato El letrado La imprenta Encuadernar, encuadernación La tapa, la portada, la plana La contraportada

Des propositions insuffisantes A quelques jours seulement des élections générales il est difficile de se soustraire à l’analyse des propositions économiques des partis et de les passer au crible de l’économie à court et long terme. L’Espagne est une économie développée mais elle n’est pas une économie complètement mature, bien entendu pas d’un point de vue institutionnel. Beaucoup d’entre nous sont convaincus qu’il se précise une amélioration structurelle avec deux propositions : rendre durable la soi-disant société du bienêtre et rejoindre de nouvelles frontières. Lors des débats, dans les meetings, dans les analyses de presse sur les partis politiques ont des questions ont une importance considérable comme la derniè re gaffe sur un sujet conjoncturel, les impôts de l’année prochaine ou ce qu’il adviendra sur une matière dans les plans d’études. Bien que les programmes électoraux comprennent des questions de long terme, celles-ci demeurent en marge du débat, sont reportées à des pactes d’Etat, et, entretemps, se vendent sous des ornements qui tiennent plus de marketing que de fond. Il serait bien de rompre le lieu commun dans le futur et placer sur les futures générations et non sur les élections suivantes. Penser à nos fils au-delà des prochaines 4 années. Malgré tout, je suis convaincu que l’économie espagnole peut surprendre positivement en 2016 si tant est qu’un malheur ne s’interpose. Voici le point crucial : quelle est la capacité et résistance de l’Espagne fluctuations exogènes ? Actuellement, elle n’est pas encore très différente de celle avant la crise. Et ce bien qu’on ait probablement réalisé, en raison d’exigences externes, d’avantage des réformes lors de ces dernières années que pendant longtemps. Si on demande à beaucoup d’Espagnols s’ils se sont sentis déçus à une certaine occasion par le parti pour lequel ils ont voté lors d’une des élections démocratiques, un pourcentage très important répondrait d’une manière affirmative. Cependant, presque tous arriveraient à la conclusion que l’Espagne d’aujourd’hui est mieux que celle d’il y a 20 ans. La question est de savoir si nous sommes surs que nos enfants profiteront d’une meilleure Espagne d’ici 20 ans. A court terme, le tourisme et un renouvelé et cycle plus modéré de la construction aideront à poursuivre les avancées. Bien entendu, aussi cette franche très compétitive de nos entreprises innovatrices et exportatrices fera de même. Cependant, entretemps, il arrive des choses qui se transforment en un mal presque endémique qui préoccupe dans le monde entier et duquel l’Espagne ne peut pas se soustraire : l’inégalité augmente et les classes moyennes se réduisent. D’un autre côté, la majorité des Espagnols voudraient des Administrations publiques réformées selon leur efficacité et leur mérite, et les propositions les plus ambitieuses passent par la suppression des Conseils Généraux, ce qui ne serait que faire une moitié du travail et, même ainsi, cela provoque une levée de bouclier. Tous celles-là des questions qui donnent peu de résultats au niveau électoral mais qui renforcent le futur du pays. Texte 6 L’homme qui a inventé Benidorm Il fit d’un petit village de pêche de la côte valencienne la Mecque du tourisme balnéaire de masse en Europe. Pedro Zaragoza, maire de Benidorm entre 1951 et 1967, fut un homme intelligent, irrésistible et excessif qui conçut une ville préparée pour la révolution du tourisme des classes moyennes qui s’approchait dans le continent européen. Un documentaire reprend maintenant sa personnalité mettant en évidence ses réussites et aussi le manque de consistance de l’unes des légendes que luimême, il a nourri.

Pedro Zaragoza (1922-2008), fut un ami de la famille Franco et a hébergé dans sa maison l’épouse du dictateur, Carmen Polo. Avant que cela n’arrive, il a su deviner que même si e le régime se méfiait du tourisme, à cause des risques que l’assouplissement des frontières comportait pour la sécurité et pour l’influence que les visiteurs pouvaient exercer sur la société espagnole, la nécessité des divises du pays finirait par s’imposer, comme cela se passa. Et que, de la même façon, le Gouvernement terminerait par accepter les changements briseurs pour l’époque comme le bikini dont il autorisa l’usage dans les plages de la municipalité à partir de 1952. Des années dans lesquelles les touristes se dirigeaient en masse aux portes de Benidorm littéralement. Dans le village du département d’Alicante il y avait à peine quelques hôtels et quelques pensions au début des années cinquante, et les visiteurs proposaient aux voisins de leur laisser louer une chambre. Le maire a placé pour la création d’offre en planifiant une ville pour de dizaines de milliers de touristes dans une municipalité de même pas 3000 habitants. Saragosse a rempli l’Allemagne d’affiches qui indiquaient combien de kilomètres il restait pour arriver à Benidorm. Il s’infiltra dans la presse nordique en allant chercher une famille de Lapons qui qui promena sur le bord de mer dans leurs habits traditionnels. Il porta des branches d’amandier en fleur aux vitrines des capitales scandinaves couvertes de neige en janvier. Et il offrit des bouteilles de vin dont les étiquettes montraient le soleil à des centaines de personnalités du continent, voire la reine d’Angleterre. Le maire appliqua également son génie à capter la naissante demande touristique espagnole. Il a invité de bout en blanc tout frais payé 60 couples de jeunes mariés vasques. Et, en prenant comme modèle ce qui se déroulait en Italie, il fonda le festival de Benidorm, concours de musique légère qui supposa l’essor dans la carrière comme Julio Iglesias et Raphael.

Assez d’excuses, accueillons à présent Le regard tourné vers la Méditerranée, des dizaines des milliers des voix ont réclamé, hier à Barcelone, un changement concernant les politiques de frontière et d’accueil de l’UE. Sous la devise « Nous voulons accueillir ...


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