2 l\'evolution du langage musical des origines au debut du 19e siecle (texte brut relu) PDF

Title 2 l\'evolution du langage musical des origines au debut du 19e siecle (texte brut relu)
Course Histoire de la musique
Institution Université de Lorraine
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Évolution du langage musical des origines au début du 19ème siècle ( romantique)

De la monodie à la polyphonie Civilisation antique La palestine L'egypte La grèce Rome L’inde La chine Moyen âge Les débuts de la polyphonie La Renaissance

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La naissance des grands genres et des grandes formes Le Baroque le classique ( 1750 – 1820 mozart beethoven haydn)

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De la monodie à la polyphonie Civilisation antique Il est fortement possible d'avoir de la polyphonie dans notre histoire, cependant au moyen âge c'est monodique pour parler de dieu. La musique a toujours accompagné l'être humain dans sa vie quotidienne. L’homme s'est servi de percussions naturelles (le corps par exemple), les bruisseurs (des choses extra corporelles), des arcs musicaux (un bout de bois souple avec une corde qui donne une vibration) qui sont à l'origine de tous les instruments à cordes, des cornes d'animaux, ça nous amène des siècles après à des instruments à vent. Tout ça est fait pour appeler, séduire, danser, célébrer. On a également dans l'organologie, des sifflets (appeau), des phalanges (ex : de renne), des tambours en poterie. Dans cette antiquité, le métal, le fer ont apporté son lot d'instrument (le lurs, trompe en métal). Il y a eu des grandes civilisations qui ont beaucoup apporté à la musique. La Mésopotamie, une des plus brillante civilisation (les sumériens, les babyloniens, les assyriens : amu rabhi, il a fait un code qu'on a sur une pierre avec une société complètement organisée) forcément la musique mésopotamienne a eu une influence considérable sur tous les autres pays, le bassin méditerranéen . On a des instruments connus de l'époque mésopotamienne : la lyre, la harpe et le luth . Sur le plan musical, c'est monodique, ils utilisaient des échelles pentatoniques (des gammes defectives qui ne possèdent pas tous les degrés) . On peut peut-être imaginé en Mésopotamie une certaine forme de polyphonie, la harpe jouée à 2 mains par exemple et l'aulos à double entrées.

La Palestine Également peuple important dans la musique (phéniciens et hébreux) les musiciens deviendront progressivement professionnels contrairement au moyen âge, ils vont s'attacher à un service musical à effectuer, ils sont attachés au service divin, la pour traduire la foi. On considère en palestine. Jubal, un des premiers instrumentiste peut être pour l'histoire de la musique (certains disent même inventeur de la musique ... personnage très important, il a certainement composé certaines lignes mélodiques). Instruments palestiniens : shofar (cornes de bélier) , le kinnor (sorte de harpe) , l'hazozra (sorte de trompette), on va chanter des formes vocales d'après les psaumes de David.

L'egypte On a pas mal de documents, instruments représentatifs : les flûtes ,flûtes longues, on imagine que les musiciens savaient jouer des gammes pentatoniques, heptatoniques , les harpes égyptiennes ( 7-8 cordes ) . Tous les instruments ont une vocation religieuse (la mort est un thème récurrent : le voyage , le rite de passage). L'egypte a connu des empires ( ancien, moyen, nouvel ) des instruments qui évoluent dans ces empires. On a des hautbois doubles, avec déjà un système de hanche qui est double. Instrument plus rattaché aux guerriers.

La grèce Le pays de la théorie musicale. Les grecs expliquent de manière physico-musicale et font quelques fois autorité. Aristoxène, au 4e siècle avant JC. Il a publié un traité d'harmonie (il parle pas d'accord, ça n'existe pas, il parle des différentes échelles musicale, des modes doriens, phrygiens, lydiens, mixo lydiens, éoliens, hypodorien, hypophrygien). Pour ces gens là, la musique est une science, rien d 'autre. Il faudra attendre la civilisation romaine, pour que la musique soit un art. La gymnastique pour le corps, la musique pour l'âme. Le rapport avec les maths a donc une grande place dans la musique. Il trouve la musique dans les 9 muses (calliope, polymnie, terpsichore, erato, clio, euterpe .... Grecs attachés dans la pureté de la musique . Dès qu'elle adopte des formes nouvelles orgiaques ou subjectives, c'est banni. Les grecs sont dans la poésie chantée (Homère, ...) Aèdes : gens qui organisent les spectacles (chef de choeur et d'orchestre, une sorte de professionnel de la musique). La poésie grecque obéit à une métrique , des rythmes dans les paroles, elle répond à des canons de métrique (dactyle par exemple, correspond aux brèves et aux longues ; sponde, anapeste, trochet ..... ) On peut chanter, parler : c’est un mélange. Par exemple, des hymnes, des thrènes (hommage aux personnes mortes), le tombeau (genre musical), des odes, des tragédies. Au 7ème siècle avant JC, en plus des jeux homériques, on a la citharistique et l'holistique (citharistique, instrument à corde un poil plus classe ; holistique : instrument a vent, populaire dionysos ) Il se sont efforcés de scientiser la musique au détriment de l'âme.

Rome Très influencé par la grèce. On a des fresques et des mosaïques qui représentent des musiciens, des scènes musicales, ce sont de précieuses infos. On a même des leçons de musique. La musique était donc enseignée, des chansons “à boire” (à Pompéi). Les esclaves servaient aussi à faire la musique. Epanouissement de la sensibilité musicale. Civilisation intra romaine : la civilisation étrusque qui a favorisé l'instrument à vent ; le tuba (instrument en fer), les buccins (grandes trompettes en fer annonciatrices des combats, des gladiateurs), les syrinx (flûte romaine : Claude Debussy a écrit une pièce en hommage à cet instrument), l'orgue hydraulique (instrument à vent fonctionnant à la pression de l'eau, par organisé en claviers). Advient aussi la théorie musicale qu'ils continuent celle des grecs. Saint augustin lui, se méfiait toujours de la force émotive de la musique, c'était une déviation par rapport à l'aspect mathématique, il s'oppose à ce que la musique devienne un art. Byzance (toute fin d'antiquité 476 après JC) va vers une musique entièrement consacrée au service de la chrétienté. On a des chants byzantins qui vont marquer la chrétienté (on décèle une dose de grégoriens, avec une connotation arabe, chants mozarabes, ça nous rappelle les muezzins)

L’inde L'inde en antiquité était en relation avec la mésopotamie. On y chantait des chants d'amours , pièces instrumentales apparentées au dieu SHIVA. On a la musique sacrée védique (VEDA : musique sacrée) Basée sur la musique modale. Instruments : Tanpura, vina.

La chine Système entièrement pentatonique domine toute la musique chinoise. Tradition orale en chine principalement. Les rares livres parus sur la musique chinoise ont été brûlé lors de la révolution culturelle chinoise en 213 avant JC : instrument, les cloches en bronze, la flûte de vent, l'orgue à bouche (melodica : apparent avatar de l'orgue à bouche) on a aussi des sitar avec des cordes en soie.

Moyen âge La religion à la main mise sur la musique. 476 après JC à la chute de l'empire romain d'occident. Jusqu'à la période moderne (milieu quinzième pour finir à la révolution française 1789) période contemporaine c'est après la révolution à aujourd'hui. Moyen Âge le haut MÂ : du 5ème au 10e siècle. Le MÂ classique : du 11e siècle au 13e. appelé aussi féodal le Bas MÂ : du 14e au milieu du 15e 1450 à peu près, qui nous amène à la Renaissance Quels sont les caractéristiques musicales du MÂ ? Plain-chant (planus cantus) qu'on assimile à tort ou a raison au chant gregorien meme si c pas la même chose pour les spécialistes. La différence : le pape grégoire au 7ème siècle, a eu le mérite d'organiser tous les chants chrétiens, de les rassembler, et ce corpus contient donc des chants grégoriens. Le rythme n'existe pas dans le chant grégoriens, ça donne une impression d'éternité et d'égalité. A l'intérieur des chants grégoriens, on va chanter des psalmodies, quelque fois en 2 parties, le chant responsorial. Dans le plain-chant, on va chanter des organum, des psalmodies, des séquences. (dies irae , développement sur un chant gregorien existant). Grégoire lui a eu la lourde tâche de rassembler et d'unifier le répertoire liturgique. Extension de christianisme à l'époque de saint grégoire. On a plusieur manière de chanter le grégorien (manière ambroisienne , byzantine , etc... ). Grégoire a créé la schola cantorum (école de chant). Une idée de romanité va s'étendre un peu partout tous les préceptes viennent de rome. La musique a une notation, par les Neumes. Ce sont des signes, des sigles, disposé au départ sur 4 lignes qui indique la hauteur et la durée du son. C'est le texte qui va définir le rythme, pas l'inverse. Le neumes indique des mouvement ascendant ou descendant (ex de neume : punctum, virga, clivis, podatus, epigramus, cephalus, trochulus, …. ) on peut avoir une notation plus gothique en Allemagne . Par exemple à METZ , école grégorienne, Chrodegang, évêque qui a favorisé le chant grégorien. La notation en neume apparaît au 7e 8e siècle. Mr Guy d'arezzo, il a une approche pédagogique, portée sur 6 ligne (11ème siècle) il a utilisé des couleurs pour les enfants pour différencier des notes. Il a utilisé la main guidonienne pour éduquer. LA musique grégorienne est basée sur des modes ecclésiastiques. Pas d'intervalle majeur ou mineur. 8 modes ecclésiastiques

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mode protus (mode de Ré ) divisé en 2 : (protus) plagal (vers le bas) et authente (vers le haut). mode deuterus divisé en 2 mode tritus divisé en 2 mode tetrardus divisé en 2

(un ambitus : écart entre la note la plus basse et la plus haute d'un morceau) Les notes progressivement vont prendre un sens et que Guido d'arezzo, a pris la première syllabe de l'hymne à saint jean-baptiste, et ça correspond aux notes ut ré mi fa sol la si ...... (trouve le texte a noter) agnus dei qui tollis peccata miserere Il se ressent un besoin d'aller plus loin, de progresser. Ces nouveaux éléments qui arrivent font intervenir des mélodies qui vont casser le caractère immuable du chant grégorien. Les variation, sorte de compléments, sont appelé tropes. On adapte un texte sur des vocalises, proche du mélisme (mélismatique). toujours dans l'optique de compléter les chant greg, on a la séquence, c'est précis et ajouté sur le mot allelujah, des mélismes, on appelle aussi ça le jubilus. Des séquences ont donné le dies irae par exemple. Stabat mater : exemple de séquence. XII et XIIIème siècle : naissance de la polyphonie !!! Avant toute polyphonie, on a la naissance de la musique profane. Vont cohabiter la musique religieuse et la profane, très vite, on va aller vers la polyphonie. On a des piece en langue vulgaire (très vieux français), nous avons des chansons de gestes (confiés aux troubadours : langue d'oc et les trouvères : langue d'oïl) ils vont pas chanter du grégorien. N a aussi des chanson de danse. quelques genres profanes : le rondeau (adam de la halle : il en a composé bcp c un grd troubadour), le virelai, le lai, la ballade (en musique 2 L), le drame. On a aussi le drame liturgique c'est à la frontière entre ce qui est profane et liturgique, petite pièce qui a pour but d'embellir une messe par exemple, ça n'a pas forcément rapport avec le thème de la messe. Peut être l'origine de l'opéra ?

La poésie ( ex : Chrétien de troyes ) . l'ensemble des troubadours et trouvères sont regroupé dans un ensemble appelé les trouveurs. Ça vient d'un terme provençal trobar (c-à-d : trouver) il y a aussi la chanson de toile (on rétablit un peu la parité, ce sont les femmes qui chantent en cousant) L'estampille est beaucoup plus dansante, tellement proche de la danse que parfois on la présente sous forme instrumentale, alors que c'est censé être chanté. Sur le plan plus musicale, il y a déjà la notion de conclusif et de suspensif. Ce sentiment d'ouvert et de clos. Ça va déterminer l'harmonique bcp plus tard. Que chantent ils ? LA chanson de l'amour courtois : le désir inassouvi LA chanson d'aube : l'aube qui sépare le couple amoureux LA pastourelle : chant d'amour entre un chevalier et une bergère La chanson politique (morale ou satyrique ) : c'était assez risqué , donc discret . LA chanson de crOIIIISAAAAAAAAAAAAAADe : appel à l'engagement, enrôlement ,et aussi la narration de la croisade . LE planh : déploration sur la mort d'un seigneur Aliénor d'Aquitaine, femme de louis VII, a fortement favorisé les arts, cette transmission du d'oc au nord. Autre protecteur des troubadours, Thibaud de Champagne. Écoute de : ADAM de la Halle : De madame viens (2 voix !!!!). On a pas de majeur et de mineur encore, des intervalle à vide (quarte , la quinte suggère une notion de puissance que la tierce n'a pas) En Allemagne les Minnesänger sont l'équivalent des troubadours. En Bavière, on a un gros centre de Minnesänger. Toujours la notion de rythme, le rythme n'est pas encore identifiable. des chansons sont accompagnés par des instruments (la vièle, le luth , ... ). Chez les Minnesänger, il y a des notions de polyphonie logique mais c'est improvisé et non noté . Pour l'évolution, au 15 e et 16e siècle les Minnesänger, se sont appelé Meistersänger . Parlons du véritable début de la polyphonie ! ( sinc an guldin huon ): écoute intéressante .

Les débuts de la polyphonie La polyphonie existait avant le 12eme, mais c’est au 12ème qu'elle va se développer, et s'écrire, grâce à un genre musical : l'organum ! C'est une véritable composition poly religieuse, elle est de 2 à 4 voix. L'école de saint martial de Limoges est instigatrice de l'organum. Deuxième école qui a propulsé la polypho : l'école de notre dame (à notre dame de paris). Léonin et Pérotin, personnage emblématique. Notre dame de paris en 1163. On a dans ces organa, la notion de rythme qui va commencer a se presenter, c'est le rythme à trois temps (trinité, rythme parfait) qui va dominer, ça va amener à 6 modes rythmique qui ont une influence considérable sur la musique : les modes rythmique sont basés sur des brèves (u) et des longues (-) Le Dactyle : -uu Le Spondé : -L'Anapeste : uuLe Trochée : -u Le Tribraque : uuu Le Iambique : uorganum : texte latin immuable, la teneur (ténor). cette ligne mélodique chrétienne liturgique romaine, on va s'en servir. Viderunt omnes (ecole notre dame) : mélodie grégorienne pour le temps de noël (écoute) perotin : organum a 4 voix : viderunt omnes. Leonin, le maître de Pérotin ( mort en 1230 ), a écrit un livre musical : magnus liber organi. L'organum peut être parallèle, suivant strictement la voix grégorienne . L'organum peut être fleuri, c'est freestyle ! Le motet, proche de l'organum, liturgique ou pas. C'est polytextuel, on peut avoir 3 textes différents chantés en même temps. La teneur (cantus firmus) est habillés avec des textes différents, on est au 13e siècle. On a aussi des imitations. Le motet est beaucoup plus riche que l'organum. La teneur peut être joué avec un instrument. Le conduit intervient en même temps que le motet (13ème siècle) : c'est tout simplement ( lol ) paraliturgique, ne respecte pas l'ordinaire de la messe, peut être polyphonique, mais aussi monodique. Il n'est pas construit autour d'une teneur grégorienne !!!!! c'est nouveau ça !

On s'éloigne de la religion de plus en plus. (les ecclesiastique interviennent après avec le concil de 30, on y revient bientôt). On en a pris connaissance par des manuscrit et des sources : 2 manuscrit principaux : Manuscrit de florence Wolfenbüttel Dans cette période, on peut considérer qu'à des périodes assez déterminées. L'école notre dame est à part La grande période de l'ars antiqua (1240 à 1320) L'organum s'essouffle, le motte reste le grand genre de l'ars antiqua L'avènement de la notation mesurée ! Francon de Cologne a déjà donné des signes et des valeurs précises Le roman de fauvel est une pièce qui nous montre que l'eglise n'a pas toute sa puissance. Elle appartient autant à l'ars antiqua qu’à l'ars nova, elle est curieuse, car elle possède des passages monodiques, polyphoniques, des passages dans l'esprit du motet, c'est une sorte de farce, qui est une sorte de satyre de l'eglise et des pouvoirs de l'époque. C'est couillu . FAUVEL flatterie avarice u (vilenie) variété (= inconstance) envie Lâcheté ! On est toujours dans la moyen age, c'est la plus grande période de l'histoire de la musique, malgré toutes les restrictions, la religion ayant bloqué, on est dans l'émancipation. On en été à l'ars antiqua. On est à l'ars nova (1320-1380) : guillaume de machaut, grand bonhomme de l'ars nova, il marque la fin du moyen age. Période spécifiquement française, il y a une baisse sensible du sentiment religieux, on transcrit moins la parole de dieu. On a des idées d'avant garde, on va rajouter des voix, du contrepoint, des complexités harmonique rythmique, c'est un peu touffu parfois, bcp de chose ajoutées, par rapport à la sobriété de l'ars antique. Tellement de nouveautés qu'on dénigre le siècle précédent, l'ars antiqua a pâti de l'ars nova. Le fameux motet devient isorythmique, la teneur grego va trouver des cellules rythmique qui vont se répéter. Sur le plan termino, on appelle ça taléa le fait de donner du rythme à la teneur grego , c'est pas un ostinato ( WTF ?! )(DJ : “on ajoute un ostinato rythmique” c'est ce que j'ai écrit) . les mélodies rajoutées au motet (on va fleurir l’ostinato) on appelle ça les color. écoute: kyrie de la messe nostre dame de mr guillaume de Machaut (mort en 1377) ces gens la ont amené à un point extrêmement haut. “Lux Aeterna”, extrait de la messe des morts, par Ligetti. Il utilise dans sa messe des morts les talea et les color. Arvo perth, a utilisé aussi des moyens moyenâgeux dans son oeuvre. Dans l'ars nova, la chanson le grand genre à l'intérieur duquel on trouve les ballades, la messe (on va composer des messe, elle va s'unifier, devenir cohérente, et complète ! )

ordinaire de la messe : kyrie, gloria, credo, sanctus, benedictus, agnus dei (ça peut encore être le cas aujourd'hui, où ? Je sais pas . Pourquoi pas chercher) La messe est composé un peu du motet et de la chanson. À connaître, la messe de tournay (anonyme), ça correspond un peu à la messe de machaut (influencée par les mêmes techniques). L'Italie trouve le début d'un genre de chanson, probablement influencé par la france : le madrigal. Ars nova : nom d'un traité de monsieur Philippe de Vitry. Il va préconiser des modes binaires qui sont éloignés des modes imparfait . Ecoute : Philippe de Vitry ! Ecoute : sumer is icumen in ( summer is coming in ) c'est déjà pas mal niveau contrapintique . Probablement un des exemples les plus aboutis en contrepoint de l'ars antiqua. Guillaume a fait ce qu'on appelle la cadence à double sensible , ambiguïté tonale (cadence : enchainement d'accord qui donne une ponctuation dans un discours musicale. Elle peut être suspensive ou conclusive) Période intermédiaire : ars subtilior, on va continuer jusqu'à la fin du 14e siècle, il vont continuer ces complexité rythmique et harmoniques.

La Renaissance la période est située du 15e au 16e siècle. C'est l'époque des romantiques , vinci, botticelli, la pléiade , du bellay , le château de chambord , jeanne d'arc , la bataille de marignan ..... dans la peinture, il y a un retour à l'antiquité , des tas de mythologies qui apparaissent dans les tableau et la musique ( sujet de chansons adapté du mytholo ) l'humanisme, l'homme est au centre de l'art ( de tout le reste d'ailleurs ) , les gens ont été malmenés pour ça . Les compositeurs de la renaissance sont souvent au service d'une cour , mr ciconia ( compositeur italien ) : 4 voix systématique pour style d'écriture . Musique vocale polyphonique qui va caractériser le haut du pavé de la renaissance . On a dans cette musique vocale, le profane d'un côté le religieux de l'autre, religieux dans les paroles, les motifs grégoriens , le profane essentiellement dans le domaine de la chanson . La messe continue d'être composée, avec tous les progrès du courant, et le motet aussi un peu . Chanson pour le profane , ça évolue . Y'a des régions importante ayant subi cette Renaissance : L'italie Les régions franco flamandes L'angleterre Ces pays là on été sensiblement de la même manière impacté par la Renaissance. La renaissance est assez internationale . L'humanisme : l'homme s'intéresse à lui même . Il renaît ! Retour aux lettres et a...


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