Chapitre 13 les oiseaux PDF

Title Chapitre 13 les oiseaux
Course BOA L1
Institution Université Paris-Est Créteil Val de Marne
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Summary

boa cours CBSVT L1...


Description

CHAPITRE 13 : LES OISEAUX I/ Caractéristiques générales A/ Points essentiels -

Vertébrés amniotes Tétrapodes bipèdes Homéothermes (capable réguler température corporel)/homothermes Corps recouvert de plume Mâchoires recouvertes par un étui corné: bec (=ramphothèque)

II/ Le tégument et phanères associés A/Aspects généraux du tégument -

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Peau mince, peu épais Epithélium peu kératinisé Pas de glandes à l’exception des glandes uropygiennes qui secrète une substance grasse qui permet d’imperméabilisé leur plumage. Glande produit aussi précurseur de vitamine D qui va contribuer au dev du squelette. Aspect rachidique des individus. Présence de structures fortement kératinisées = phanère : bec, griffe, plume

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B/ Le bec et régimes alimentaires En fonction de la forme du bec il est possible de déterminer, dans une certaine mesure, le régime alimentaire des oiseau. Si le bec est pointu en forme de poignard ,on pourra déduire que ces oiseaux sont piscivores c'est-à-dire qu'ils se nourrissent de poissons . Si le bec est aplati avec des fines lamelles latérales ces oiseaux sont des filtreurs qui se nourrissent de particules organique représentée essentiellement par de petits invertébrés . Un bec court et crochu indique un régime carnivore comme chez les rapace .

Un bec droit relativement massif et caractéristique des oiseaux qui se servent de leur bec comme ciseau a bois afin de creuser les troncs ou grosse branche pour rechercher des larves d'insectes . si le bec est court et conique l'oiseau se nourrit de graines et si le bec et d'une longueur moyenne avec l'extrémité un peu en forme de pioche on peut en déduire que le régime est de type omnivore .

Enfin que le bac soit fin ou bien fin et long et arqué ou bien encore cours et largement fendue il s'agit alors d'oiseaux insectivores.

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C/ Ecaille et griffe C-1/ Ecaille cornée -

Structure identique à celle des reptiles Ecailles situées au niveau des pattes Ergot du coq ( flèche rouge)  écaille hypertrophier

C-2/ Griffe -

Etui corné recouvrant la dernière phalange

D/ La plume D-1/ Structure

Enfin le dernier type de phanère qui est spécifique des oiseaux correspond à la plume. Elle présente un axe central appelé rachis. Ce rachis porte des barbe plus ou moins unis entre elles tout l'ensemble forme l'étendard . L'axe dépourvu de barbe forme le calamus encore appelé hampe. Au niveau de ce calamus on peut observer un ombilic inférieur et un ombilic supérieur. L’étendard ou vexillum est une structure d'ordre 3 . La structure primaire appelée barbe porte des barbule qui elle-même porte des barbicelle. Ces barbicelle se présente sous forme de minuscules crochet qui assurent la cohésion de l'ensemble des barbes. 3/11

D-2/ Les différents types de plumes Il existe différents types de plus. Le premier type correspond au plume du vol que l'on nomme différemment en fonction de leur localisation. Les plumes du vol situées sur les ailes sont appelés rémiges et celles localisées sur la queue sont appelés rectrice . Le 2e type correspond aux plumes de contour. Les plumes les plus externes sont les Tectrices. Elles se différencient des plumes du vol par la présence à la base du rachi de barbe libre. Elles ont surtout un rôle d'imperméabilité. Sous les tectrices sont présentes les plumes du duvet. L'étendard de ses plumes ne présente aucune cohésion. Ces plumes ont un rôle dans l'isolement thermique. Enfin les filoplume chez qui il étendard est réduit à sa plus simple expression. Leur rôle n'est pas véritablement défini.

III/ Le squelette A/ Squelette axial

Chez les oiseaux, le squelette axial présente une régionalisation complexe. Les vertèbres cervical débute par l’atlas et l’axis permettant une articulation complète de la tête sur la colonne vertébral. Le nb de vertèbre cervical varie d’une espèce a l’autre ( comparaison cou du cygne et du moineau). Les vertèbres thoraciques sont soudées entre elles. Ce renforcement constitue une adaptation au vol. Les vertèbres soudé permettent de consolider la colonne vertébrale face au force de traction exercé par la puissance musculature durant le vol. La colonne vertébrale des oiseau se caractérise par la présence d’un synsacrum qui résulte de la fusion des dernière vertèbres thoracique, vertèbres sacre et première vertèbres caudale. C’est une adaptation à l’atterrissage puisque durant ce dernier le choc peut être violant et cette fusion permet de consolider la colonne vertébrale. Les autre vertèbres caudales sont articuler. La dernier appelé pygostyle est très mobile car c’est sur cette vertèbres que s’insère les plumes de la queue. 4/11

B/ Cage thoracique Elle présente des particularité lie au vol. Les cotes sont formées chacune de 2 segment. Sur le 1er segment, on obs une prolongation osseuse orienté vers l’arrière et reposant sur la segment n+1. Cette prolongation osseuse est appelé processus UNCINE et permet d’augmenter la cohésion des vertèbres entre elles pour consolider la cage thoracique afin de faire face au puissant muscles des ailes.

C/ Ceintures C-1/ Ceinture pectorale (scapulaire)

Elle présente des particularité lié au vol. Tout d’abord, la scapula en forme de sabre repose entièrement sur les cotes de la cage thoracique ce qui assure une bonne assise de la ceinture. Le coracoïde se présente sous la forme d’un os massif plus ou moins soudé avec le sternum. La scapula et le coracoïde par leur disposition et leur dev assure une cohésion de la ceinture permettant de renforcer et de stabiliser l’articulation des ailes lors des battement d’ailes. Les 2 clavicules se soudent à leur extrémité formant un os en V appelé fourchette qui est assez souple et agit comme un ressort et contribue à la remonter des membre vers le haut.

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Associé directement ou indirectement a cette ceinture pectoral, 2 puissant muscles intervenant dans le vol : le muscles pectoral et le muscles supracoracoïde. Il est plus difficile d’abaisser l’aile donc c’est le muscles pectoral qui assurera cette abaissement. La contraction du muscles supracoracoïde assure un mvt vers le haut.

C-2/ Ceinture pelvienn

Elle est formée de l’ilion en face dorsal et l’ischion et le pubis en phase ventral. Les 3 os sont soudés ce qui permet de consolider la ceinture pour l’atterrissage.

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D/Squelette appendiculaire D-1/ Membre antérieur

On retrouve les 3 segment des membre chiridien : le stylopode, le zeugopode, et l’autopode. Ils présentent des adaptation au vol. La principale caractéristique est l’avancement de l’autopode qui permet d’augmenter la surface d’insertion des plume appeler rémige primaire. La réduction du nb de doigts va aussi dans le sens de cette adaptation. Le zeugopodes est important pour permettre une insertion des plumes appelé rémige secondaire.

D-2/Membre postérieur: position sagittale Ils sont en position sagittale ce qui signifie que le membre est localisé sous le corps. Cette position a de nombreux avantages : le poids du corps repose entièrement sur l’axe de soutient du membre ce qui entraine un effort beaucoup moins important pour soutenir le corps au-dessus du sol. Lors du déplacement, l’énergie sera uniquement consacré au mvt du membre et non, comme chez les reptiles, au maintient du corps au-dessus du membre et au mvt.

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IV/ Le système nerveux et organes sensoriels A/ L’encéphale

L’encéphale présente un dev important des hémisphère cérébraux ce qui est la continuité du processus de télencéphalisation apparu chez les reptile. Dev important du cervelet lie au fait que durant le vol le déplacement ce fait dans un espaces à 3 dimension. Les lobes olfactif sont réduit : on parle de microsmie donc le sens de l’odorat est peu dev chez les oiseau. En revanche, le lobe optiques appelé tubercules bi-jumeau conservent un fort dev. On parle de macroptie indiquant que la vision chez les oiseau est bien dev.

B/L’oeil

La vision en relation avec les tubercule bi jumeau est un sens bien dev. La pupille est très large ce qui permet un fort éclairement de la rétine. Une dépression de la rétine appelé fovéa centralis qui présente une forte concentration de cellule visuel appelé conne augmentant l’acuité visuelle des oiseau. Cette fovea centralis ne permet qu’une vision binoculaire relativement réduite ( la poule tourne la tête latéralement pour obs le sol) . Chez les rapaces, la vision est 8/11

optimisée avec une fovea lateral qui permet d’élargir le champs de vision binoculaire qui est aussi augmenter par une frontalisation de l’œil qui est total chez les rappasse nocturne. La vision est alors de 180°.

V/ Appareil circulatoire et respiratoire A/ Le cœur: une compartimentation totale La compartimentation du cœur est totale. On a un cœur gauche assurant la circulation du sang oxygéné et d’un cœur droit qu’on qualifie de cœur veineux car que du sang carbonaté traverse cette partie droite du cœur.

B/Les poumons

La présence des sac aérien en relation avec les poumons permettent aux oiseaux de voler très haut au-dessus des montagnes sans être essoufflé. Ils possèdent des sac aériens postérieurs et des sac aériens antérieur.

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La respiration se fait en 4 temps au cours de 2 cycles. Los de ces 2 cycles on obs 2 inspiration et 2 expiration. Lors de la 1er inspiration, les sac postérieur et antérieur se dilatent provoquant un appel d’air. L’air de l’extérieur rempli les sac postérieur. Les sac antérieur se remplissent de l’air présent dans les poumons. Lors de la 1 er expiration, les sac antérieur et postérieur se contractent. Les sac postérieur envoie l’air dans les poumons et les sac antérieur rejettent l’air vers la trachée. Commence alors le 2eme cycle. La 2eme inspiration permet de remplir à nouveau les sac postérieur venant de l’ext et les sac antérieur de l’air provenant des poumons. Viens ensuite la 2eme expiration assuré par la contraction des sac aérien. Elle permet d’envoyer l’air contenu dans les sac postérieur dans les poumons et l’air présent dans les sac antérieur dans la trachée. Si on regarde le 1 er volume d’air inhalé dessiner en bleu, on constate qu’il est expiré qu’au moment de le 2eme expiration. Cette forme de ventilations se caractérise par un flux unidirectionnel ce qui permet un afflux d’air oxygéné en continue limitant l’essoufflement.

V/ Appareil Digestif Il est constitué d’une cavité buccale dépourvu de dents. On a ensuite l’œsophage qui se prolonge par l’estomac qui peut être subdivise en différentes région. Le jabot est une zone de stockage permettant de réguler le transit intestinal. On a ensuite un ventricule succenturié permettant une première étapes de digestion de nature chimique et enzymatique. A ce ventricule fait suite un gésier dont le rôle est une dégradation essentiellement mécanique. Au niveau du duodenum débouche le pancréas secrétant les enzymes digestive et le foie qui assure la sécrétion de la bile permettant l’émulsion des corps rare. Le tube digestive ne débouche pas directement vers l’extérieur mais dans une cavité interne appelé cloaque qui se subdivise en compartiment : le coprodeum où débouche le rectum, l’duodénum en communication avec les 10/11

orifices génitaux et ovulaire et le proctodeum cavité terminal. Excrément et déchet urinaire sont évacué sous forme d’un mélange.

Toutes cette adaptations ne sont pas forcement présente chez tout les oiseau puisque tous ne volent pas . Les carinates sont ceux qui volent .

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