CM Histoire des médias audiovisuels PDF

Title CM Histoire des médias audiovisuels
Course Histoire des médias
Institution Université Lumière-Lyon-II
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Croissant Valérie CM 1 : Histoire des médias audiovisuels Examen final : questions de cours Groupe Moodle : CM – Histoire des médias audiovisuels (Valérie Croissant) supports + ressources Plan du cours 1ère partie : Réseaux et transmission à distance, La pensée en réseau - 2 ème - Le ...


Description

Croissant Valérie

CM 1 : Histoire des médias audiovisuels

Examen final : questions de cours Groupe Moodle : CM – Histoire des médias audiovisuels (Valérie Croissant) supports + ressources

Plan du cours

1ère partie : Réseaux et transmission à distance, La pensée en réseau ème

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Le télégraphe, le téléphone – La communication domestique.

partie : Images fixes et images animées La photographie – Réel et représentation Le cinéma – De l’art à l’industrie

3ème partie : Les machines à sons et à images -

Petite histoire du son conservé (industrie musicale, radio) La télévision

4ème partie : Les médias et le numérique -

Histoire du web et de l’internet Histoire des moteurs de recherche Plan, bibliographie et supports visuels dispo sur le Moodle

Introduction : Une histoire des médias Projet du cours et définitions : o Le terme média et communication o Les sciences de l’information et de la communication (SIC)  La communication interpersonnelle (communication directe entre les personnes, forme de com la plus ancienne, d’un point de vue historique, et de nos histoires personnelles. Communication première qui implique le corps, les gestes, les mimiques, la voix…)  La communication médiatisée (Plus récente dans l’histoire de l’humanité, la communication indirecte va passer par des supports techniques qu’on appelle des médias, elle passe par un intermédiaire (medium), une étape (humain, médiateur) mais il peut être aussi technique). Définition beaucoup plus large du « média » ici, tout ce qui va se passer par des médiations. Cette communication engage des processus

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interpersonnels et collectifs. Dans cette communication on va inclure les « médias de masse ». Définition relativement floue de ce qu’on appelle un média.

 Un média c’est… à minima - Un moyen de diffusion, de distribution, de transmission de signaux porteurs d’un message écrit, sonore et/ou visuel. Recherche perpétuelle d’une communication à distance : contraire de la com interpersonnelle qui suppose la présence des corps dans le même espace. Objectif de beaucoup de médias : communiquer plus loin. - Idée d’une communication à distance par un support technique = médiation  Une histoire des médias Notre perspective : pas celle d’un historien - On ne s’intéresse pas à l’histoire que racontent les médias, mais à leur histoire propre - Pas l’histoire PAR les médias, mais l’histoire DES médias (apparition, développement, caractéristiques évolutions, différents médias) - Pourquoi UNE histoire plutôt que L’Histoire ? (Pas universelle, ni complet, pas toute les périodes historiques)  Pourquoi ? A quoi cela sert-il ?  Indispensable pour comprendre le contemporain  Eviter la myopie de la nouveauté  Percevoir ce qui ne change pas (plus facile de voir les changements/ruptures etc à l’inverse des éléments qui ne bougent pas (stagnation) qui sont plus difficiles à voir)  Voir les évolutions longues et lentes

NOTRE histoire des médias (médias au sens large)  Une histoire conjoncturelle (on s’intéresse au contexte de ces médias, conditions dans lesquelles ils ont évolués) : qui prend en compte le contexte, la conjoncture de chaque apparition  Une histoire forcément partielle, et même partiale. (On ne peut pas tout traiter et certains points de vues vont être privilégiés)

Pour chaque média, 6 aspects seront analysés (G. Thoveron) à travers deux dimensions : 1ère dimension : économie politique = s’intéresser aux aspects, acteurs, industries 2ème dimension : stratégie de la symbolique politique = discours, contenus, représentation véhiculée par ces médias. 1. L’évolution du contrôle social : les relations qu’entretiennent les médias avec les différentes formes de pouvoirs (pouvoir politique  rapport des médias avec l’Etat, pouvoir économique : industrie) 2. L’évolution des cadres producteurs : ceux qui produisent les contenus et fabriquent les médias, manière dont la production va être organisé dans chacun des médias. Modalités de production des contenus médiatiques

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3. L’évolution des techniques : Le média c’est d’abord un dispositif technique (son, écran, rapport matériel physique à des contenus) 4. L’évolution des langages : (langages médiatiques) spécificités des langages de chacun des médias, chaque média à un langage qui lui est propre. La particularité de l’histoire des médias : aucun média n’a disparu. Seul le télégraphe a disparu. La télé n’a pas remplacé le cinéma, la télé n’a pas remplacé la radio. Tous les médias existent et subsistent encore aujourd’hui. Rapport au public 5. L’élargissement des contenus et de leur traitement : évolution des contenus, comment sont traitées les contenus etc. Diversification des contenus. 6. L’évolution des publics : Le média fait le lien et transmet un message, médiateur. Quelles personnes vont utiliser les médias ? Accès au médias : prix ? etc. Chaque média va grignoter du temps et des pratiques médiatiques du précèdent. La TV est inquiète pour le futur : Est-ce que les jeunes vont encore regarder la télévision vu qu’internet et les réseaux sociaux ont pris énormément de place dans la vie des jeunes.

Première partie : Réseaux et transmission à distance I.

Le télégraphe – la pensée en réseau

La pensée en réseau : Le télégraphe, le téléphone, la communication domestique. Le télégraphe est la mise en place et le début des télécommunications. Il permet de structurer la pensée, la société en réseau. La notion de réseau : Les origines de la pensée en réseaux : cette notion est un mythe récurrent, elle est présente dans beaucoup de mythes religieux et dans beaucoup de sociétés très anciennes on trouve ce culte du réseau. Question de la régulation du réseau. Cette notion de réseau fonde de nombreuses disciplines. Saint Simon : fondateur de cette pensée. Avant Saint Simon : la notion puise dans 2 imaginaires, celui du tissu et du tissage (on les utilise fréquemment lorsqu’on parle de réseaux) Réseau : Ensemble de fils entrelacés, qui donnent des croisements, nœuds et renvoient donc à la fabrication artisanale des tissus. Métaphore du corps : Le corps comme un ensemble de réseaux, qui va être beaucoup utilisé par les médecins dans la Grèce Antique. Régulation : La régulation doit permettre ces procédés La pensée en réseaux : Claude Henri de Rouvroy, Comte de Saint-Simon (1760-1825) philosophe militaire : pensée à l’origine de la société industrielle française qui a donné le courant du saint-simonisme. Sa particularité : il est aussi un homme d’action, il va mettre en œuvre sa pensée en application dans la société. Sa philosophie prolonge ses réflexions qu’il avait commencé en tant que militaire. De la pensée à la politique. Il commence l’écriture de son œuvre à 42 ans. Il va poser les bases d’une nouvelle organisation de société en prenant la fameuse métaphore entre organisme physiologie et organisation sociale. Les saint-simoniens seront appelés les physiologistes. C’est une doctrine très forte. Il

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va penser les réorganisations sociales pour améliorer son fonctionnement. Ce n’est pas une régulation politique mais technique. Il dit « nous sommes des corps organisés… ». L’organisme est pour lui la mécanique idéale. Il va observer les interconnections, les flux, les réseaux, projets d’ingénierie etc. L’élément qui caractérise la vie dans le corps humain c’est la circulation. Pour que tout fonctionne dans le corps il faut que tout circule correctement, à partir du moment où il y a obstruction il y’a problème. Idée de rendre efficace la circulation des biens, des personnes et des marchandises. Pour St Simon le réseau ne peut être efficace que parce qu’il est pensé dans sa globalité. Son projet étant de passer d’une société féodale à une société industrielle. Dans son idée, pour changer une société il faut d’abord changer les idées et ensuite les infrastructures. Le Saint-Simonisme Saint Simon : Fondateur de la façon de penser nos sociétés modernes Son objectif : favoriser le passage à une structure industrielle, pour transformer une société il faut transformer les idées, et ensuite les structures. Multiplication des réseaux (électriques, télégraphiques, routiers…) techniques par lesquels devrait arriver la modernisation de la société. Réseau intelligent : Terme très puissant, on calque la notion de réseau à la métaphore physiologique du cerveau. Utopies fondées sur la puissance de la technique. Les réseaux ne s’arrêtent pas aux frontières légales des pays.  Doctrine forte qui intègre une pensée de la société en réseaux, selon une analogie entre le corps humain et la société : des réseaux physiques doivent assurer la circulation des flux.  Au XIXème siècle, réseaux de chemins de fer  Au XXIème siècle : réseaux de télécommunication (référence : Pierre Musso) Métaphore : Circulation sanguine = Circulation monétaire Pour qu’une société fonctionne correctement il faut que l’argent circule dans toutes les parties de cette société. Développement et facilitation de l’accès aux crédits pour que les entreprises puissent développer leurs activités commerciales. Il va travailler auprès des politiques, il va travailler sur le réseau de transport et sur le savoir : écoles d’ingénieur, etc… Multiplication des réseaux dans lequel vont venir s’inscrire les inventions dont le télégraphe. Invention du télégraphe aérien (optique) : 1790 par Claude Chappe réseau qui n’a rien d’électrique, pas de fils. En France c’est le premier réseau de télécommunication (à distance). Intérêt

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stratégique d’un réseau de télécommunication (institutions politiques).

Transmettre un signal visuel d’un point à un autre, il y a un guetteur, qui reste tout le temps dans son poste en train d’observer le poste précédent, une fois qu’il voit les messages il transmet. Ça marche quand il fait jour, et ça ne marche pas quand il ne fait pas très beau, il faut que les guetteurs soient très fiables, ils doivent être discrets et formés. Ce réseau était utilisé uniquement par l’Etat, les militaires et les forces de l’ordre.

Le télégraphe optique : Un outil de communication au service des militaires et les préfets (police) -Information et vitesse de transmission -Dispositif qui connait des limites (fiabilité des guetteurs, météo).

CM 2 (07/02/18) Le début de l’histoire des télécommunications : On pourrait distinguer deux périodes :  

De la fin du XVIIIème siècle aux années 1960 : la mise en place du réseau Des années 50 à aujourd’hui : le développement des services (innovation, services et multiplication des réseaux)

Le télégraphe électrique :  Une invention collective et internationale  Des périodes d’expérimentation à partir de 1820- début des années 1830  Cook et Wheatsone mise en place en juillet 1837, au nord de Londres, la première liaison télégraphique filaire (2 km).  Samuel Morse 1840/50 Le télégraphe en France : - Il faudra de longues années en France pour adopter le télégraphe électrique (18381850) - Développement par le pouvoir politique : Napoléon Bonaparte - Contrôle de l’information - 2 contraintes : la disponibilité ; très rapidement il va y avoir des embouteillages car il y a beaucoup d’attente + le coût, ce n’est pas à la portée de tout le monde.

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Problème de diplomatie car on ne peut pas retrouver la source, l’auteur du message + soucis de la rapidité, chaque réponse doit être discutée et pensée or le télégraphe permet des réactions trop rapides. L’accélération des échanges n’est pas quelque chose de bénéfique. Autre usage : La guerre, le télégraphe va être utilisé dans les situations de conflits, dans la guerre d’information : polluer l’ennemi en diffusant de fausses informations.

CCL sur le télégraphe : Le statut légal de ce moyen de communication : En Europe on va retrouver une gestion du télégraphe par le pouvoir public. L’Etat va prendre en charge (positivement/négativement) Il va développer et financer le télégraphe mais il va le contrôler. Aux Etats-Unis au contraire on va être dans une logique classique, libérale, on laisse les compagnies, entreprises développer les réseaux. On laisse décider les entreprises. Ressource en ligne sur l’Histoire du télégraphe en détails : http://www.telegraphe-chappe.com/chappe/portail.html

II.

Le téléphone ou la communication domestique

L’invention du téléphone o Plusieurs recherches en cours o Plusieurs inventeurs o À partir de 1850 Ch. Bourseul en France, Antonio Meucci en Italie, Philipp Reis en Allemagne et Edward Farrar aux USA o Mais l’histoire va surtout retenir deux noms : Elisha Gray (1835-1901) et de Graham Bell (1847-1922).

Alexander Graham Bell (1847-1922) ; physicien et ingénieur américain, lors de la première liaison téléphonique de New York à Chicago, en 1892 La première démonstration de la transmission de la voix avait eu lieu entre lui-même et son assistant, le 10 mars 1876 Elisha Gray (1835-1901) ; vient du monde du télégraphe, il a un poste important, au départ il n’est pas très convaincu par le téléphone. Difficile extension du réseau : o De nombreuses difficultés techniques limitent l’extension du réseau sur les longues distances o Des innovations sont nécessaires - La triode : naissance de l’électronique : Lee de Forest 1906 - Application par AT&T à la téléphonie - Janvier 1915 : liaison longue distance New-York/San Francisco.

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Réseau télégraphe  

Réseau téléphone

Relie les continents Communication sens unique et communication asynchrone livrer les e

  

Zones urbaines Communication à double sens et synchrone Nécessite des « demoiselles du téléphone » pour faire les jonctions

Question essentielle : à qui appartient le réseau qu’il développe ? Qui va dominer le marché ? Le monopole permet l’homogénéisation du réseau. Bell investit dans les lignes longues distances. En 1894 : Le brevet s’ouvre : toute entreprise qui veut faire de la téléphonie n’a plus besoin de payer le brevet. En 1900 on dénombre plus de 6000 compagnies de téléphonie.

CM 3 (14/02/18) « Les demoiselles du téléphone » assurent la connexion entre les lignes, pour faire passer le message à la bonne personne etc. Elles travaillent généralement debout. Métier exclusivement féminin, à l’époque le travail des femmes n’est pas généralisé, plusieurs raisons : elles coûtent moins cher  Économie pour le réseau. Métier pas valorisant, difficile et qui ne mérité pas de formation. Les femmes ont une meilleure résistance au stress dans ce cadre de travail. Il y a certaines exigences morales, on exige d’elles qu’elles aient une bonne éducation (on atteste de leur bonnes mœurs). Malgré tout elles doivent avoir des capacités de discrétion, respecter le secret des conversations qu’elles entendent toute la journée. Elles ne doivent pas répéter tous les secrets, etc. Les usagers doivent avoir confiance. Les crises de téléphonie en 1906 et 1909 : Crise technique, problèmes sur des lignes, lignes coupés, incidents qui vont aboutir à l’incendie de certains postes téléphoniques ce qui va engendrer l’indisponibilité des lignes pendant plusieurs semaines. Augmentation rapide du nombre d’abonnés. Série d’incidents va mettre en difficulté l’ensemble du réseau. Problème d’inondation également. Les usagers supportent très mal l’interruption du réseau plusieurs jours ou plusieurs semaines. Conflits sociaux : auprès des demoiselles du téléphone, personnel qui va se mettre en grève. Les employés de l’Etat n’avaient pas le droit de grève à l’époque donc le personnel va se mettre en grève dans l’illégalité. Ils vont dénoncer des conditions de travail et réclamer des augmentations de salaire. Notion de service publique : idée selon laquelle l’Etat doit garantir à chaque citoyen le même accès et la même qualité de service à chacun.

Le téléphone :   

Les « demoiselles du téléphone » vont disparaître pour laisser la place à la communication automatique. Pour répondre à l’augmentation des usagers Permettre le développement du réseau téléphonique. 7





Les usagers du téléphone, 2 catégories d’usages : - Professionnels (usage qui bénéficie d’une image de sérieux, utile, rentable, usage majoritairement masculin) - Privés (s’oppose à l’usage professionnel, usage qui va se développer à partir de la sphère intime familiale, majoritairement féminin, porte un image très négative, idée selon laquelle ce sont des usages futiles/inutiles, entretenir des relations extraconjugales, émancipation du mariage et de la sphère familiale. Société porte un regard moral, beaucoup de moqueries, mises en scène. Certaine illégitimité) Usage inattendus... Le théâthrophone (Dans les années 1880, la Presse se félicite de cette nouvelle invention, on imagine que le téléphone va servir à écouter à distance de la musique, du théâtre. Sauf que c’est les conversations entre personnes qui va s’imposer et non pas la retransmissions d’événements culturels. Le théâtrophone ne va donc pas marcher, pour diverses raisons)

L’entre-deux guerres (1918-1939) o o

Des évolutions techniques Développement des usages : abonnés et débit  De 1924 à 1938 : de 400 000 à 1 million d’abonnés  En 1839 : 15 postes pour 100 habitants à Paris  Accroissement du trafic.

   

Accélération de l’innovation et croissance des services (des années 1950 aux années 1990) : Microélectronique Numérisation Nouvelles techniques de transmission (fibre optique, satellites)

Télégraphe et téléphone – Conclusion : o Avec ces 2 innovations : émergence de 2 notions fondamentales : - Valeur stratégique de l’information - La société en réseaux

2ème partie : Images fixes et images animées La photographie :  

Objet devenu banal dans notre quotidien Procédé de reproduction fidèle de la réalité  Connu comme tel  On lui prête un caractère d’objectivité 8



C’est pourtant un des moyens d’influence parmi les plus efficaces Un désir très ancien d’image

« Pour voir si ta peinture est dans l’ensemble conforme à la chose que tu représentes, prends un miroir et fais s’y refléter le modèle, et compare ce reflet avec ta peinture » 1490, Léonard de Vinci, Traité de la peinture Désir commun des artistes et des scientifiques, à trouver des techniques, des moyens qui nous rapproche le plus d’une représentation fidèle. L’invention de la perspective répond à ce besoin-là. -

Désir très ancien de reproduction fidèle de la nature (dessin, peinture) Artistes et scientifiques ont le même but : la représentation du monde. Au XIVème siècle : des machines à dessiner (techniques de la perspective, évolution des modes de représentation de la réalité). La représentation du monde

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A côté des machines à dessiner, une autre machine se développe. Un instrument connu depuis l’Antiquité : la camera obscura Déjà décrite au XIIIème siècle par des astronomes En 1515 Léonard de Vinci compare son fonctionnement à celui de l’œil. La camera obscura

 La chambre noire : instrument optique inventé au Moyen Âge, qui permet d'observer une vue en deux dimensions sur un verre dépoli vertical ou horizontal, ou bien sur un mur au fond d'une pièce. - Procédé très ancien, vu depuis Aristote (-283, -322 avant JC) - Malgré de multiples tentatives, il faut attendre le XIXème siècle pour avoir une image permanente. L’image nouvelle -

Invention du XIXème siècle : nouveauté absolue Elle côtoie d’autres inventions techniques : (machine à vapeur, éclairage au gaz) Mais la photographie est plus qu’une technique : transformation des modes de pensées.  « C’est un prodige qu’on ne s’expliquait pas, mais auquel il fallait bien croire (…) Une industrie nouvelle était née »  Ernest Lacan 1856, rédacteur en chef de la revue La Lumière, premier hebdomadaire consacré à la photographie.

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Ses dimensions innovantes : 

Abstraction de la représentat...


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