CM1 Contexte historique et artistique PDF

Title CM1 Contexte historique et artistique
Course Histoire de l'art contemporain
Institution Université de Nantes
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Cours...


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Histoire de l’Art Moderne Le cinquecento (le XVIème siècle) Introduction  C'est un sujet assez large : un siècle avec une richesse artistique forte, une évolution stylistique rapide et une forte rivalité entre les villes, les pays, etc  Les artistes majeurs : présentation des plus grandes œuvres  Comprendre le XVe pour arriver à saisir le XVIe.

La période de la Renaissance, "moderne" = de la renaissance à la révolution.

Le contexte historique : La Renaissance est une notion complexe théorisée et définie comme une période historique au 19e, une rupture totale vis à vis du Moyen-Âge. Le statut des femmes va changer notamment à la Renaissance. Mais la Renaissance est une rupture globale, mais en réalité, on n'a pas changé tout du jour au lendemain, c'est progressif. Il ne faut pas confondre la renaissance du quattrocento (qui correspond au XVème siècle et que nous étudions avec Mr Lamouche) et le cinquecento (qui correspond au XVIème siècle et que nous étudions avec Mme Chambon). La renaissance du quattrocento n’est pas une notion artistique généralisée à l’ensemble du continent. Il s’avère en fait qu’elle ne touche que deux centre artistique, centré en Flandres et en Italie et plus

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particulièrement au nord et au sud des Alpes, à Bruges et à Florence. En effet, alors que partout triomphe le gothique international, ces deux villes voient une poignée d’artistes faire évoluer le langage artistique d’une manière spectaculaire, synchronique mais asymétrique. Ainsi le quattrocento ne concerne véritablement qu’un espace restreint, le reste de l’Europe (la France, l’Angleterre ou l’Espagne…) n’est alors pas véritablement pleinement concernée par cette renaissance artistique… Pour cela il faut attendre le cinquecento. Cette généralisation des progrès en matière d’art s’explique en grande partie par la succession d’évènements politique, intervenant dans un contexte particulier.

Henri VIII Tudor, Hans Holbein le Jeune (peintre allemand à la cour d’Angleterre), 1537 / François Ier vers 1527 par Jean Clouet, huile sur toile, 96 × 74 cm, Paris, musée du Louvre

Le fait le plus marquant de ce siècle est probablement celui du sac de Rome le 6 mai 1527 par les troupe du saint Empire Germanique sous le commandement du Connétable Charles de Bourbon (ayant trahis François Ier) sous l’égide de l’empereur Charles Quint (après les brillants règnes de Jules II et Léon X, la papauté avait décliné à Rome). La conséquence de cet épisode sera la fuite d’artistes (peintres, architectes, graveurs, sculpteurs…) issus de la renaissance italienne hors de la péninsule et qui pourront dès lors se dispersés et répandre leurs arts et leurs influences dans les autres centre artistiques européens en France, en Espagne, en Angleterre, en Allemagne… En Italie cet épisode marque le passage de la haute Renaissance au baroque et une tonalité plus sombre colore désormais les arts. Cet évènement n’est pourtant que le résultat d’une tension politique bien pesante qui plane sur l’Europe depuis déjà plus d’un siècle. Pour comprendre cet événement inouï dans l'histoire de la chrétienté, le sac de Rome, la « capitale du monde », il faut le replacer dans le contexte des guerres d'Italie qui, depuis 1494, bouleversent la Péninsule : « une flamme, une peste, qui non seulement changea les États, mais aussi la façon de les gouverner et les façons de faire la guerre » , écrit le grand historien de l'Italie François Guichardin 1483-1540.

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Le sac de Rome, Martin van Heemskerk, 1527

En parallèle de cette fragilité politico-économique de l’Italie qui avait abouti au saccage de Rome en 1527, deux siècles de maladresse, d'erreurs et de scandales dans l'église (schisme d'occident entre 1378 et 1417, fastes et parfois dépravations à Rome, riche train de vie du haut clergé, médiocrité spirituelle, morale et intellectuelle du bas clergé, relâchement de certains ordres religieux…) créent un terrain favorable aux critiques (85 thèses) de Luther (sur les indulgences en 1517....) qui devant l'aveuglement des papes et son excommunication (1520) est amené à la rupture et à la réforme qui remporte un vif succès dans la partie de l'Europe la moins influencée par la Renaissance (Allemagne et Angleterre) et dont Calvin prit le relais. Et la répression catholique n'empêche pas la création d'une église réformée et son aboutissement : Le protestantisme. Consciente de ces erreurs et du succès de la réforme, l'église relève le défi en s'engageant dans la voie de la réforme catholique, ou Contre-réforme avec notamment le Concile de Trente en 1545-1563 (un concile est une assemblée d’évêques, destinée à régler des questions de dogmes ou de disciplines ecclésiastique. Il est universel ou œcuménique). Ce concile fut convoqué par le pape Paul III suite aux demandes insistantes de Charles Quint pour répondre au développement de la Réforme protestante. Il s'est tenu en trois fois (1545-1549, 1551-1552, 1562-1563). Il devait permettre à l'Église d'opérer sa propre réforme et de réunir à nouveau les chrétiens. S'il eut effectivement le mérite d'abolir un certain nombre des abus de l'Église catholique et de réviser ses institutions, il aboutit plutôt à la séparation définitive des deux religion.

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Le concile de Trente, Le Titien, 1586

Charles Quint et le Saint Empire Romain :  Né le 24 Février 1500 et mort le 21 Septembre 1558. Durant les premières années de son règne, Charles exerce personnellement la souveraineté sur les PaysBas en veillant prioritairement sur leurs intérêts. Après à peine un an de règne, la mort de son grand-père, Ferdinand d’Aragon (23 janvier 1516), le met en possession de :

Portrait de Charles Quint, Rubens (d’après un Titien), 1576



L’Espagne



La Sardaigne



La Sicile



Naples



Et surtout une importante partie du Nouveau Monde !! (Amérique latine qui faisait partie intégrante des possessions espagnol depuis 1492 et les expéditions qui suivirent et dont Charles Quint hérite en 1516)

Il entreprend alors un séjour de 3 ans en Espagne et y établit une sorte de suprématie flamande. La mort de Maximilien le 12 janvier 1519, lui offre de nouveaux territoires en Autriche et lui ouvre aussi la possibilité d’obtenir la couronne impériale, dévolue après élection. Il entre ainsi en compétition avec François 1er, devenu roi de France. Mais Guillaume de Croÿ saura s’y prendre pour défendre la candidature de son élève en achetant, au prix fort, les Grands Electeurs allemands. Après son élection, Charles, devenu Charles Quint, fait une chevauchée triomphale à travers les Pays-Bas et se dirige vers Aix-la-Chapelle où il sera couronné empereur des romains le 23 octobre 1520. Avec l’expansion de cette empire les centres artistique vont considérablement se diffuser et se perfectionner, en somme tous similaire mais relativement différents sur certains point en fonction des espaces géographiques…

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Le contexte artistique : La Renaissance, qui fit revivre les idéaux de l'Antiquité gréco-romaine, s'épanouit en Europe aux XVeXVIe siècles. Fondées sur un nouvel esprit scientifique d'observation, peinture et la sculpture devinrent plus naturalistes et les artistes abandonnèrent l'espace spirituel cher à leurs prédécesseurs médiévaux au profit d'un monde tridimensionnel obtenu grâce à la perspective. L'idée d'une période définie est intéressante parce que dès le 15e- 16e en Italie, des contemporains ont senti qu'ils vivaient une époque différente de leur parent. Dès le 15e, des écrivains ont parlé en Italie de la notion de "Renaissance" et utilisé ce mot, où des riches banquiers et marchands commandèrent des tableaux, des sculptures et des fresques pour leurs églises et leurs palais. En peinture, les corps devinrent plus réalistes et la sculpture de nus s'appuya sur des études anatomiques. Le développement de la peinture à l'huile permit aux artistes de dépasser les limites de la tempera à l’œuf et d'expérimenter l'application de plusieurs couches de couleur. En Flandres et en Allemagne, ils produisirent des retables magistraux et des portaits réalistes. Le paysage devint un genre pictural à part entière et s'attacha à dépeindre la nature dans ses moindres détails.

Le cinquecento : Dans les années 1520, l'harmonie classique de la haute Renaissance fit place au maniérisme, un style sophistiqué caractérisé par l'exagération des poses, des couleurs et de la perspective. A la même période, l'art se développa aussi en Extrême-Orient. Vasari est un peintre, surtout connu pour son écriture et ses publications de livre : en 1550, les Vies des plus excellents artistes sont des biographies d'artistes d'italiens qui ont fait l'histoire qu'il connaît. Il souligne dans son préambule la notion de "renouveau" et est le premier à dire dans ses écrits que ‘’les artistes ont des manières’’ ce qui sera utilisé comme dénomination au mouvement artistique maniériste. La théorie de Vasari décrit l’histoire de l’art comme suivant le modèle type de naissance, développement, paroxysme et déclin. Cette renaissance s'inscrit dans l'humanisme, développé dès le 14e en Italie et qui remet l'homme au centre des préoccupations. L'Homme devient le centre préféré des artistes largement. Une sous conséquence de l'humanisme est que les artistes s'intéressent à l'Antiquité. Les littéraires veulent retrouver le savoir des antiques pour retrouver l'intelligence de l'homme. On a donc une volonté de mettre l'homme au centre du monde, entraînant un intérêt pour le naturalisme dans la représentation des corps.

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Groupe du Laocoon, les Rhodiens Agésandre, Athénodore et Polydore, IIème ou Ième siècle av JC (musée Pio-Clementino, Vatican)

Le tibre, début du IIème après JC, (Rome, champs de Mars)

Hercules Farnèse, datant du IIIème siècle après JC (copie d’une œuvre de Lysippe) / Apollon du Belvédère, datant de l’époque Antonine (copie d’un bronze attribué à Léocharès).

Le cinquecento se caractérise aussi par le fait que l'art antique propose pour une bonne partie un modèle du naturalisme. L'antiquité n'avait pas disparu au Moyen-Âge, mais on a un réinvestissement de l'Antique, autrement dit c'est le réveil de l'antique. On veut arrêter le "déclin de l'art" du Moyen-Âge selon les artistes de la Renaissance. L'antique devient une sources privilégiés pour les humanistes et les artistes de la renaissance. Un programme antiquisant s’instaure, facilité par la redécouverte de nombreuse ‘’merveilles’’ antiques telles que le Laocoon (en 1506 célèbre pour son expressivité exacerbée et le fait que ce soit un groupe complexe), l’Apollon du Belvédère, l’Hercule de Farnèse ou la sculpture le Tibre. Cette redécouverte

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de merveilles antiques contribue à faire émerger une classe d’amateurs (érudits), de collectionneurs d’art semblables à ce que l’on pouvait déjà observer dans la société de la Rome Antique, et qui se délectent de leurs œuvres en imposant une réflexion approfondie sur l’homme et sa production. Ces collections sont exposées dans des cabinets ou des galeries comme par exemple :





Le studiolo de François Ier : situé dans les appartements du Palazzo Vecchio, était à la fois son bureau et son cabinet de curiosités. Il y avait fait placer le portrait de son père, Cosme Ier de Médicis, ainsi que celui de sa mère Eléonore de Tolède. François Ier avait également fait décorer cette pièce avec des scènes très éclectiques, à la fois de mythologie et de vie quotidienne. Etonnamment il n’y avait pas de scènes religieuses. Certains de ces tableaux cachaient des espaces où il pouvait mettre à l’abri des regards indiscrets certains objets ou documents précieux, dont un célèbre tableau de Vasari. Ou la Tribune des offices : est une pièce octogonale de la Galerie des offices de Florence (ancêtre du Musée). Dessinée par Bernardo Buontalenti pour François Ier de Médicis dans les années 1580, la tribune des Offices était destinée à exposer les plus importantes sculptures antiques, les médailles et les tableaux contemporains de la Renaissance et de l'école bolonaise de la collection des Médicis.

Studiolo de Francois Ier, Florence (Palazzio Vecchio), vers 1570.

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Tribune des Offices, Florence (Galerie des Offices)

Quant au marché de l’art il est fortement marqué par l’apparition de petit format de toile et du développement de sujet de représentation autre que le seul thème religieux (on se remet à exploiter explicitement le domaine mythologique ou plus rarement des scènes du quotidien). Dans le prolongement du quattrocento, la commande d’œuvre d’art n’est plus du seul bien religieux mais peut être personnel (source de prestige, d’ostentation).

Florence est au XVe le centre essentiel où se passe les grandes innovations mais il y a d'autres centres. La fin du XVème en revanche voit l'affirmation d'un nouveau centre qui est Rome. Rome fin XVème connaît un grand renouveau, s'impose comme une ville importante et s'émancipe de Florence en apportant des solutions qui n'existaient pas à Florence. Rome propose une imitation beaucoup plus proche du style antique, qui s'explique car Florence n'a pas de bâtiments antiques alors que Rome si. Dans les années 1470, Rome devient un centre imminent par un chantier de rénovations urbaines lancé par le pape. Il fonde un musée de sculptures antiques. A partir de Jules II (pape entre 1503- 1513 > entrée dans le XVIe) revient à l'Antique et veut rendre à Rome sa grandeur de l'Antiquité. Jules II dispose d'artiste de premiers plans qui vont faire avancer la question en ce sens, beaucoup plus que les florentins. C'est notamment Raphael, Michel- Ange.

Le maniérisme : Le mot maniérisme dérive du mot italien maniera, qui signifie style ou manière. Tel que le mot anglais « style », maniera peut être utilisé pour définir un genre particulier de style (un beau style, un style abrasif), ou maniera peut être utilisé pour définir une caractéristique qui n'a pas besoin de qualification, par exemple, quelqu'un qui a du style. Dans un premier temps il s’agissait d’un terme péjoratif. Dans la deuxième édition de Lives of the Most Excellent Painters, Sculptors, and Architects (1568), Giorgio Vasari a utilisé le terme maniera (style, travail de la main) dans trois contextes différents : pour discuter d'une méthode de travail; pour décrire un style personnel ou de groupe, tels que la maniera greca terme pour désigner le style byzantin ou simplement à la maniera de Michel-Ange, et d'affirmer un jugement positif de la qualité artistique. Vasari était aussi un artiste maniériste, et il a décrit la période pendant laquelle il a travaillé comme la maniera moderna, ou le style moderne.

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Selon la source du récit historique, le maniérisme s’est développé entre 1510 et 1520 à Florence, à Rome, ou dans les deux villes. Au commencement, les maniéristes de Florence, surtout les élèves d'Andrea del Sarto: Jacopo da Pontormo et Rosso Fiorentino, se distinguent par des formes allongées, des poses à l’équilibre précaire, des perspectives dissonantes, des arrangements exagérés, et de l'éclairage théâtral. Parmigianino (un élève du Corrège) et Giulio Romano (assistant chef de Raphaël) muent vers des directions esthétiques de même style à Rome. Ces artistes avaient mûri sous l'influence de la Haute Renaissance, et leur style a été caractérisé comme une réaction ou une extension exagérée de celle-ci. Au lieu d'étudier la nature directement, les jeunes artistes ont commencé à étudier des sculptures hellénistiques. Par conséquent, ce style est souvent identifié comme « anti-classique » encore au moment même où il a été considéré comme une progression naturelle de la Haute Renaissance. La première phase expérimentale du maniérisme, connu pour son « anti-classique » des formes, a duré jusqu'à environ 1540 ou 1550. Marcia Hall note dans son livre : « La mort prématurée de Raphaël a marqué le début du maniérisme à Rome ». Michel-Ange a été l'un des grands ambassadeurs du maniérisme créatif. Son plafond de la Chapelle Sixtine a fourni des exemples pour d'autres artistes à suivre, en particulier les figures d’Ignudi et de la Sibylle de Libye. Michel-Ange lui-même pourrait avoir été influencé par le Torse du Belvédère qui a aussi influencé d'autres peintres. L'esprit de compétition qui a été stimulée par les mécènes a encouragé les artistes à montrer leur peinture virtuose.

Cette période a été décrite comme un prolongement naturel de l'art d'Andrea del Sarto, Michel-Ange et Raphaël, ainsi que la diminution des réalisations de ces mêmes artistes de style classique. Dans les analyses antérieures, il a été noté que le maniérisme arrive au début du 16ème siècle au même moment qu’un certain nombre d'autres mouvements sociaux, scientifiques, religieux et politiques tels que le modèle de Copernic, le sac de Rome, et la Réforme protestante accroissant le défi à la puissance de l'Église catholique. De ce fait, des formes allongées du style et des formes déviantes étaient autrefois interprétées comme une réaction aux compositions idéalisées répandues dans l’art de la Haute Renaissance. Les centres maniéristes en Italie étaient Rome, Florence et Mantoue. La peinture vénitienne, dans son école séparée, a poursuivi son cour distinctement, représenté dans la longue carrière du Titien. Parmi les premiers artistes maniéristes qui avaient travaillé à Rome pendant les années 1520, un certain nombre ont fui la ville après le sac de Rome en 1527. Comme ils se dispersent sur tout le continent à la recherche d'emploi, leur style a été répandu dans toute l'Italie et l'Europe. Le résultat a ainsi été le premier style artistique international depuis le gothique. Le style s’est dissipé en Italie après 1580, comme une nouvelle génération d'artistes, tels que les frères Carrache, Caravage et Cigoli, ont souligné à nouveau le naturalisme. Walter Friedlaender a identifié cette époque comme « anti-maniérisme », tout comme les maniéristes du début étaient « anti-classique » dans leur réaction à la Haute Renaissance. À l’extérieur de l'Italie le maniérisme a continué au 17ème siècle. Fondateurs du Maniérisme :

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Tondo doni, Michel-Ange, 1503 / La Vierge, l’Enfant Jésus et sainte Anne, Leonard de Vinci, 1508-1510

La Madone à la Prairie, Raphael Santi, 1506

Le David de Michel-Ange, 1504

Ces artistes n’auront de cesse de s’entre inspirer tous en développant une certaine rivalité qui soit dit en passant contribuera à établir leur art dans une continuelle progression… il y a toute une émulation sur ces artistes et ils vont largement inspirer leur successeurs.

Les artistes maniéristes, les caractéristiques : -

Licence dans la règle : s’oppose à l’ordre du quattrocento très Albertinien (donner des règles dans

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l’architecture et dans la composition d’une fresque). Grâce excédant la mesure (représentation symbolique des choses qui ampute au strict respect des proportions) : le quattrocento s’attachait tout particulièrement aux belles proportions issues des canons gréco-romains (vision très platonicienne) alors que le maniérisme illustre une maitrise de l’anatomie aboutit tout en développant des aspect des corps hypertrophié, en étirant les corps ou en créant des distorsion qui donne du mouvement. Le rôle de l’antiquité. Des Tics formels qui apparaissent comme par exemple les mains et le coups exagérément grands sur le David de Michel-Ange. Une beauté dans les moindres détails.

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