Comptabilité analytique PDF

Title Comptabilité analytique
Author agathe bouvier
Course Comptabilité Approfondie
Institution Université de Toulon
Pages 16
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Summary

Chapitre 1 : Les limites de la comptabilité générale

Chapitre 2 : Le coût d’achat et la tenue des stocks

Chapitre 3 : Coût de production, « coûts par stade » et/ou liés

Chapitre 4 : Les coûts partiels
...


Description

Comptabilité analytique Introduction : Objet et définition de la comptabilité de gestion Le prix de revient « n’existe pas… » -Fruit de « conventions »  CD + %CI = Coût de revient  La clé (%CI) est parfois arbitraire CD : Charges Directes CI : Charges Indirectes -Le système comptable étant lui-même une « convention »  Toutes les charges ne sont pas intégrées  les charges exceptionnelles ne sont pas intégrées dans la comptabilité de gestion, on considère que la comptabilité de gestion doit être focalisée sur les coûts récurrents Différentes clés de répartition : - Clé de répartition au prorata des quantités de produit - Clé de répartition au prorata des charges variables - Clé de réparation au prorata du nombre de famille de produits

Chapitre 1 : Les limites de la comptabilité générale Le prix : expression monétaire de la valeur de la valeur d’une transaction : - Prix d’achat - Prix de vente Les charges : facteurs d’appauvrissement Les produits : en-cours, intermédiaires, finis La marge : différence entre le prix de vente et un coût Le résultat : différence entre le prix de vente et le coût de revient

1. Les limites de la comptabilité générale 5 limites : 1.1. Les variables physiques sont exclues 1.2. Pas d’indication sur chaque activité  Le produit A est-il rentable ?  En CG, impossible de la voir 1.3. Classement des charges par nature de charges  Fonction de production  Fonction commerciale  Fonction administrative (=frais généraux)

 

Impôts Financement

1.4. Périodicité annuelle  Versus hebdo / mensuelle / trimestrielle / semestrielle de la CAE 1.5. Préoccupation juridique de la CG  Ou fiscale plus économique de la CAE  Exemples :  Provisions réglementées  Amortissements dérogatoires  Ils n’existent que car ils sont dans le texte juridique des impôts

2. L’émergence de la comptabilité analytique 2.1 Développement de la comptabilité industrielle au travers de : - l’organisation scientifique du travail,  Frederick Taylor,  Rationaliser  Motiver - Puis, Henri Fayol Développement de (la grande) entreprise Vers 1850, il s’agit effet d’organiser et rationaliser : - Le processus de :  Production (Taylor* = ex. travail à la chaîne)  D’administration (Fayol = de la CAE à la CDG) - Et en parallèle, mettre en œuvre un système d’autorité  Weber Développement Taylor : 2.1.1. « rationnaliser le travail » : - spécialiser les ouvriers, parcelliser le travail - séparer le travail entre la conception, l’exécution et le contrôle etc… 2.1.2. « motiver les salariés » - en préconisant une politique des salaires « stimulante » basée sur le rendement (salaire aux pièces)  NDLA : individualisation des salaires, inégalités 2.2. Évolution des fonction de production vers les fonctions commerciales… - et développement accru de la comptabilité analytique  Croissance des charges indirectes, servant à plusieurs produits  Élargissement du rôle de la CAE (orientée coûts exclusifs), vers la comptabilité de gestion (plus large, écarts, diagnostic, prévisions…)

3. Définition 3.1. La comptabilité de gestion est : - un mode de traitement de données - qui doit fournir, d’une manière générale, les éléments, destinés à faciliter la « prise de décisions » 3.2. Caractéristiques générales - Distincte de la comptabilité générale - Absence de normalisation - Absence d’obligation 3.3 . Caractéristiques détaillées de la comptabilité de gestion (CDG) Quatre caractéristiques précises : 3.3.1. CDG est : - destinée en premier aux besoins de l’entreprise - une partie de son système d’information 3.3.2. CDG comporte : - un processus de mesure des performances - des méthodes d’aide à la décision

4. Les objectifs 4.1. Aide à la décision - Processus d’aide à la décision :  Permettre un constat  Identifier les problèmes  Trouver les solutions  Inscrire le management dans une temporalité  Avant (finalisation)  Pendant (pilotage)  Après (évaluation)  3E (efficience, efficacité, économie)  Notions de rendements, productivité, profitabilité, rentabilité Profitabilité = RESULTAT / CA Rentabilité = RESULTAT / K Capitaux propres Immo brutes + BFR 4.2. Outil d’analyse : pourquoi faire ?

4.2.1. Calculer et déterminer : - les coûts - les bases d’évaluation de certains éléments du bilan (stocks…) 4.2.2. Expliquer et étudier - la cause des coûts - le comportement des charges 4.2.3. Établir et interpréter - les prévisions de charges et de produits - les écarts 4.3. Deux objectifs principaux d’analyse 4.3.1. Connaître les coûts : lesquels ? - Comment choisir les coûts ? (page suivante définition) - pertinence (utile à la prise de décision), fiabilité (caractère exacte, exhaustif) 4.3.2 Influer sur les comportements - des acteurs - sur la base de comportements (=modélisation) des charges Les coûts : késaco ? Un coût est : - un calcul - un regroupement de charges ou consommations de ressources sur un découpage jugé pertinent par le gestionnaire Multitude de coûts caractérisés par 3 paramètres : - L’objet :  fonction économique, activité… - Le contenu :  coûts complet ou partiels - Le moment :  constatés ou prévisionnels 4.4. Articulation de la comptabilité de gestion avec la comptabilité générale 4.4.1. Les charges non incorporables aux coûts : - charges exceptionnelles - et charges hors exploitation 4.4.2. Les charges incorporées dans la CAE - Pour un montant différent  « charges de substitution » - Pour un moment à 0 dans la CG



« Charges supplétives » :  Ajouts (rémunération de l’exploitant et des capitaux propres)

Conclusion Pour être efficace, la comptabilité de gestion : - doit avoir une certaine autonomie Mais - doit rester fiable et rigoureuse La cohérence être la comptabilité de gestion et la comptabilité financière - A - n’est pas utile ? - B - est indispensable ? - C - conduit la comptabilité de gestion à rejeter tout écart avec la comptabilité financière ? B  est indispensable  on doit pouvoir retrouver le résultat de la comptabilité générale par la comptabilité analytique

Chapitre 2 : Le coût d’achat et la tenue des stocks I. Le coût d’achat 1. Définition Le coût d’achat intègre : - l’ensemble des charges constatées lors de l’opération d’approvisionnement  Charges directes comme charges indirectes - jusqu’à la mise en stock  Rappel : on achète la matière, les marchandises, pas les produits finis (valorisés en coûts de production)

Trois coûts à calculer systématiquement :

- Coût d’achat = CD achat + CI achat - Coût de production = coût d’achat + CD production + CI production - Coût de revient = Coût de production + CD administratives et commerciales + CI administratives et commerciales  TD 2 Charges indirectes : Possibilité 1  regrouper toutes les charges dans un centre unique = une clé unique  pas précis car une charges commerciale n’évolue pas de la même façon qu’une charge de production  TD 1 Possibilité 2 (99% des cas pratiques)  répartition des charges de la comptabilité générale dans des centres (4/5 centres ou +) de la comptabilité analytique = autant de clés que de centres Deux statuts de centres : - Centre auxiliaire  administration (10 000€) par exemple. Il est impossible de le relier au produit, je ne sais pas combien d’heures d’administration j’ai eu besoin pour fabriquer le produit A Comment tenir compte de ces 10 000€ alors qu’on ne peut pas les relier au produit ? On va déverser les centres auxiliaires dans les comptes principaux, c’est ce qu’on appelle l’opération de répartition secondaire - Centre principal  atelier numéro 1/ Il est complètement reliable au produit, je sais combien d’heures j’ai passé à l’atelier 1 pour fabriquer le produit A  difficulté du TD 2

2. Calcul détaillé - La TVA est-elle intégrée au coût d’achat ? NON ! Prix d’achat hors taxe + charges directes d’achat + charges indirectes d’achat (logistique, camions) = coût d’achat

II. Tenue des stocks 1. Combien de stocks possibles ? En comptabilité générale  3 stocks suivis : matières premières, marchandises, produits finis En comptabilité analytique :  stock commercial : 1  stock industriel : 6 (!), au lieu de 2 La tenue des stocks industriels A. Les approvisionnements (2) :

1. Matières premières 2. Consommables B. Les produits (4) : 1. Finis : arrivés au terme du cycle de production 2. Intermédiaires : à la fin d’une phase identifiable du cycle de production (semi-finis) 3. Résiduels : déchets et rebuts 4. Sous-produits : dont la fabrication est déclenchée par celle du produit principal et qui ont une valeur marchande Les produits 5. En-cours (0) : - à la clôture de la période de référence - évaluation de leur montant sans pour autant tenir de fiches de stocks Les produits physiquement identifiés (A+B, soit 6 stocks) : peuvent faire l’objet d’un stockage L’évaluation des en-cours : obéit à des méthodes spécifiques d’évaluation (ex : équivalents terminés)

2. Les méthodes d’inventaire 2.1 L’inventaire intermittent = comptabilité générale - inventaire physique des stocks en fin d’exercice - ex : le stock final (SF) annuel permet de retrouver la valeur des sorties annuelles (sorties de la période (ex conso. MP) = stock initial + entrées de la période – stock final) 2.2 L’inventaire permanent = comptabilité analytique - organisation des comptes de stocks qui, par l’enregistrement des mouvements, permet de connaître de façon constante, en cours d’exercice, les existant chiffrés en :  Quantité  Valeur Ex : Stock fin de mois = stock initial début mois + entrées mois – sorties mois

3. Contenu d’une fiche de stocks Le suivi des : 1. Quantités « Bon… » : -A. de réception : entrées (physiques) B. de sorties (physiques) 2. Valeurs Évaluation des :

A. entrées :  coût d’achat pour les MP  ou coût de production pour les PF B sortie de MP ou PF  4 méthodes (FIFO, PICO, CIPO, CICO) Question pour un champion ? 1. Bons de réception : - Cas TD minoteries « Achats de la période 16500kg de MP en M1 La matière a subi dès son achat un traitement de préparation(…), qui est effectué avant stockage. Pendant ce traitement, la matière perd 2% de son poids, et fait apparaître un déchet dans le poids peut être évalué à 10% des quantités de matières stockées » MP M1 traitée = ?? X + Y Question : entrées de M1 ? -16 500kg de MP ? - 16 170 kg ? - 14 400 kg ? - Aucune bonne réponse ? Détail solution : 16 500 kg x (1-2%) = X + 10%X X = 14 700 kg Conclusion : Les bons de réception de MP ne sont pas systématiquement équivalent aux achats

4. Les méthodes de valorisation des stocks 4 méthodes : Vu en « comptabilité anglo-saxonne » 4.1 Coût unitaire moyen pondéré CUMP* 4.2 Premier entré premier sorti PEPS ou FIFO 4.3 Dernier entré premier sorti DEPS ou LIFO La comptabilité analytique en rajoute une : 4.4 Coût préétabli ou coût standard : le coût prévisionnel fait parti d’un chapitre distinct NB : seuls les 2 premières sont préconisées par le plan comptable

4.1 La méthode du coût unitaire moyen pondéré Elle consiste :

- à valoriser à leur coût unitaire moyen toutes les entrées - à la fois le stock initial et les entrées de la période. Chaque coût unitaire est pondéré par la quantité entrée à ce coût 2 modes de calcul : - Périodique - Après chaque entrée CUMP périodique (classique) A. Définition : toutes les sorties de stock sont évaluées en fin de période et au même coût unitaire Stock initial en valeur+ entrées de la période en valeur Stock initial en quantité+ entrées de la période en quantité Après chaque entrée Faire un CUMP après chaque entrée ( nécessite beaucoup de calculs pour pas grand chose) 4.2 Premier entré premier sorti A. Méthode dite « d’épuisement des lots » (idem PEPS) C’est-à-dire : - chaque lot est « fictivement individualisé » - les sorties s’effectuent dans le même ordre que les entrées - les sorties sont valorisées par ordre chronologique au coût des entrées - le stock final est valorisé au coût de la dernière entrée

Chapitre 3 : Coût de production, « coûts par stade » et/ou liés I. Le coût de production 1. Principe Quoi ? Un coût de production est : un regroupement de charges : - directes ou indirectes - nécessitées par la fabrication elle-même - et par les stades qui la précèdent Quand et où ? Les coûts de production se calculent entre le stockage des MP et celui des produits

2. Problème : comment ?

Le coût de production traduit les charges afférentes aux produits finis complètements terminés Le problème : - Il existe plusieurs produits différents obtenus dans un cycle de production génère en effet des éléments autres que le produit fini - le nombre de ces éléments va dépendre :  « De la complexité du processus de fabrication  Et de la nature des produits apparaissant au cours de ce processus » (Separi-Alazard) Les produits obtenus dans un cycle de production Le produit principal et ses dérivés (par stade) : - le produit fini - le produit intermédiaire - les encours Les produits secondaires : - les sous-produit Les produits résiduels (déchets, rebuts)

3. Coûts par stades (d’avancement) des produits 3.1 Produits finis et produits intermédiaires (2 stades) Le produit intermédiaire : - produit qui a terminé certaines phases du process de fabrication, ais n’a pas encore effectué la totalité du cycle de production - in peut être stocké ou livrer en direct à l’atelier suivant Le produit fini : - a subi l’ensemble du cycle de production et atteint un stade d’achèvement complet 3.2 Les encours de production (3ème stade) 3.2.1 Définition : Ce sont des produits non achevés, en cours de période Ils ne sont ni stockables, ni vendables 3.2.2. Trois méthodes de valorisation : 2.1 Cumul des charges (réelles) 2.2 Globale forfaitaire (réelle) 2.3 Coût préétabli  Prévision d’une entreprise dans le cadre d’une activité normale Méthode du cumul des charges

Le coût des produits en cours en fin de période = montant total des charges engagées pour les travaux en cours de réalisation Il s’agit donc de coûts réels, assez détaillés (voir application td, avec calculs équivalents terminés) C’est la somme du coût : - de la matière consommée - de la MOD employée - des autres charges de production engagées, directes ou indirectes Méthode globale forfaitaire Utilisée par défaut : c’est-à-dire quand on ne peut pas évaluer précisément les éléments de charges en fonction : - du moment où chaque élément de charge intervient dans le processus de production - du temps de fabrication Méthode du coût préétabli Repose sur des coûts prévisionnels, définis à l’avance (= rappel  le préétabli fait référence à une activité normale) Exemple : EC initial = 10% au standard du coût de production des PF Pour simplifier les calculs d’encours (et limiter les impacts de la variation d’activité sur la valorisation des en-cours

Impact des encours sur le calcul de production Les produits en cours de fabrication sont incorporés dans le coût de production (de la période durant laquelle ils sont achevés Coût de production des produits finis de la période : = charges de la période + encours initial (au 1/1/N…….) - encours final (au 31/1/N…….)

4. Les produits liés, secondaires Les produits liés sont : 4.1 soit des produits résiduels : - déchets : résidus de fabrication résultant du processus normal de production - rebuts : produits finis ou intermédiaires ne répondant pas aux normes exigées (produits défectueux, ex : écran de TV fissuré) 4.2 soit des sous-produits ou produits liés

4.1 Produits résiduels : Il existe 3 type de produits résiduels : - 4.1.1  le mieux : vendables mais pas très chers - 4.1.2  recyclés : feront in fine partie du produit fini - 4.1.3  le pire : non vendables 4.1.1 Évaluation des PR vendables : le cas favorable Produits vendables : - le prix de vente du produit résiduel diminué des frais de traitement et de commercialisation dégage une marge nette (très faible toutefois) - la vente permet de :  Diminuer le coût de production du produit principal  D’augmenter le volume des ventes de l’entreprise 4.1.2 Évaluation des produits résiduels recyclés : A. Distinguer 2 phases Lors de : - la production, leur valeur est soustraite du coût de production du produit principal – pour avoir deux coûts séparés - leur emploi, ou utilisation, leur valeur est ajoutée au coût de production du produit fini dans lequel ils sont incorporés – comme un consommable B. Évaluation des produits réemployés Est faite soit : - au prix du marché (frais de distribution déduits) - forfaitairement 4.1.3 Évaluation des produits résiduels non vendables : le cas défavorable = plutôt déchet, que rebuts ou « scraps » en anglais Pourquoi « défavorable » ? Car leur élimination peut entraîner des charges (supplémentaires) qui doivent être incorporées au coût du produit principal fini (!) 4.2 Les sous-produits 4.2.1 Définition : les sous-produits ou « produits sencondaires » : - ne participent pas à l’activité principale de l’entreprise mais ont une valeur marchande significative (≠ produits résiduels) Ex du gaz produit lors du raffinage du pétrole - «≠» produits conjoints (assez proche) :  Dont la fabrication est simultanée jusqu’à un certain stade du cycle de production  Le produit conjoint est le plus souvent en amont du sous-produits

4.2.2 Évaluation 2 méthodes : coût réel versus forfait A. À partir des coûts réels : …préférable B. À partir d’une évaluation forfaitaire A. À partir des coûts réels : Soit proportionnellement… 1. …. à une unité de mesure physique (ou selon le principe des unités équivalentes), si les produits ont une valeur sensiblement égales : - CC unitaire moyen : CC/ total des unités produites 2. … au CA, si les produits ont une valeur sensiblement différentes : - CC pour 1€ de CA = CC/ CA de chaque produit - CC de chaque produit = CA de chaque produit x coût conjoint pour 1€ de CA B. Évaluation à partir d’une évaluation forfaitaire : Démarche : 2 calculs successifs 1. Calcul n°1 : SP Prix de vente du sous-produit (SP) – bénéfice SP – coût de distribution & complémentaire = coût conjoint SP 2. Calcul n°2 : PP Coût total production – CC SP = coût de production PP

II. Les composantes détaillées du coût de production 1. Principe et calcul Les produits secondaires vont perturber le calcul du « coût de production des PF », car ils engendrent soit une baisse, soit une hausse, en fonction des données de l’énoncé Le piège ! - Si le sous-produit dégage une marge (ex Son TD6), que doit-on retirer du coût de production PF ? - Ex : pour un 1kg de son obtenu : vente, 2€/kg ; coût 1,5€/kg ; marge 0,5€/kg Réponse : Le sous-produit : - On retire le CP du sous-produit à celui du produit principal - Conséquence : le sous-produit conserve sa marge, la CAE la gère Versus/ déchet : - On retire la vente du déchet au CP du produit principal

- Conséquence : la CAE en suit pas l’évolution de la marge (potentielle) de déchet, car elle ne connait pas obligatoirement son coût Calcul détaillé Coût d’achat des matières premières consommées (sorties de stocks) + charges directes et indirectes de production + en cours initiaux – encours finaux - ventes éventuelles des déchets - coût de production sous-produit (hyp SP marge significative) + charges supplémentaires évacuation des rebuts (non vendus) = coût de production (des produits terminés)

2. Illustration Exemple d’évaluation de l’évaluation d’un produit conjoint à partir du prix de vente Produit principal (PP) : - Charges de la période :  MP : 90 000€  MOD : 25 000 €  Charges indirectes : 65 000 € - Production PP 6000 unités ; SP 5400 unités Et sous-produit (SP) :  Coût du traitement spécifique du SP : MOD 4000 euros et Ch. Ind. 320 euros  Vendus 6€ l’unité  Marge sur le coût de production = 25% du prix de vente Coût de production de SP X?

Montant

-Y? = Coût de production Ou Coût unitaire SP -Z? = Coût production avant traitement spécifique Corrigé de SP Prix de vente du SP (6€ x 5400) - Marge s./coût production (25%) = Coût du production Ou Coût unitaire SP 24300/5400 - Coût traitement spécifique = Coût production SP (avant traitement spécifique ) PP W? X? Y? = Coût conjoint de production -Z? Coût de production PP = Coût de production unitai...


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