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Laurent Pelozuelo ( [email protected] )
Érick Campan ( [email protected] )...

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Expertise naturaliste Laurent Pelozuelo

PDF de liste rouge sur le site du muséum d'histoire naturelle + guide méthodologique pour la rédaction d'une liste rouge. Statut de protection légal = protégé par la loi, par la convention de Washington (au niveau international). Réseau natura2000 (au niveau européen), relève de la directive habitat faune/flore (émise en 1992) qui liste un certain nombre d'espèces et cela a donné lieu à la publication de fiches d'espèces de cette directive habitat.

I. Généralités [email protected] → thèse avec le conservatoire d'espaces naturels de MidiPyrénées sur un trinôme de libellules protégés par la directive habitat. [email protected] [email protected] [email protected] Objectif ? Connaître les insectes, reptiles, amphibiens. – les identifier – connaître leur écologie, leur comportement – leurs répartitions – leurs statuts de conservation et de protection – leurs méthodes d'études. Statut de protection légal = défini dans la loi Statut de conservation = défini dans les listes rouges (espèces avec statut favorable → tout se passe bien, ou statut défavorable → quasi-menacée, vulnérable ou au bord de l'extinction). Le lien entre les deux statuts n'est pas automatique. Les espèces avec un statut de conservation plutôt favorable peuvent être protéger par la loi. Exemple : le lézard des murailles est très commun et pourtant, il est protégé par la loi. De ce fait, les constructions etc doivent minimiser les impacts sur cette espèce. A l'inverse, on a des espèces à statut de conservation défavorable et qui ne sont pas protégé. Exemple : libellule, demoiselle, Agrillon, à l'échelon européen et national français, plutôt rare mais elle n'est pas listé dans les protections légales. Présentation orale liée à l'atelier pendant la semaine de sortie. Maîtriser l'anglais, lire et écrire. Cours magistraux : 7x2H, TP : 8x2H + stage terrain du 15 au 19 mai → camping dans les Corbières au milieu des vignes (ruisseau, coteaux sec) : domaine Lapeyrière sur le village de Tuchan. 1

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Exam de cours sur les CM 25 avril → étude de doc, d'illustration ou extrait d'article. Sujet de synthèse ? Exam de TP 30 mai → identification avec échantillons ou photos + donner éléments relatifs à leur écologie, comportement, statut, dispersion... DROIT à une spécialisation !!! 5/6 échantillons et si on prend spé herpéto, nombre de point plus important + attente plus importante sur les échantillons herpéto. 1 rapport (projet personnel) : Cistude d'Europe 1 oral : lien avec le terrain et l'atelier vendredi matin avant de partir, pendant la semaine terrain. Analyse bibliographique + partie enquête, identification des contacts : liste des contacts en annexe dans le rapport même s'ils n'ont pas répondu + questionnaire, préparer l'entretien et produire une fiche de synthèse de l'entretien (fiche d'une page en annexe). Citation entre guillemets et ne font pas 5/ 10 lignes + auteur et année de la publication. Si c'est au cours d'un échange oral (com pers).

II. Introduction Un organisme doit-il servir ? Vocation à être utile ? Pas nécessairement. Attitude très anthropocentrée de considérer que tout ce qui vit autour de nous doit nous servir à quelques choses. Tous les organismes n'ont qu'un but : se reproduire. Les reptiles et insectes sont là depuis longtemps, nombreux et diversifiés et ceci justifie que l'on s'y intéresse. Pour les insectes, ils sont apparus au Dévonien, c'est un groupe qui est très rattaché aux crustacés (sûrement des crustacés qui se sont adaptés au milieu terrestre). La diversité entomologique est énorme. A l'heure actuelle, ce sont plus d'un milieu d'espèce d'insecte qui sont décrites (capturé, quelques spécimens ont été mis en collection+ publications). Pourtant, il y a un biais dans notre étude de la nature vers des animaux qui ont la même taille que nous etc = vertébrisme, approche du monde vivant qui est centré sur ce qui nous ressemble le plus, les vertébrés et surtout les mammifères. Il y a probablement encore 3 à 4 millions qui n'ont pas été décrite. Globalement, on a tendance à dire que les insectes représentent 75% de la biodiversité animale visible : 3 animal sur 4 de la macrobiodiversité sont des insectes. Pour la France, publi de Martinez et Gauvrit en 1997 qui fait la synthèse des espèces décrites pour le territoire métropolitain et on est à 35 000 espèces décrites d'insecte (alors que 119 espèces de mamm, 284 espèces d'oiseaux...). 2

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Dans la culture judéo-chrétienne : insectes utilisés pour punir les êtres humains quand dieu n'est pas content. Certes il peut y avoir des nuisances domestiques : transport de bactérie pathogène. De ce fait, des gens travaillent pour résoudre les problèmes liés aux insectes. Les mites alimentaires peuvent être contrées grâce à plaque engluée avec phéromone de synthèse, les mâles sont attirés et s'engluent. Les termites se nourrissent de cellulose de charpente notamment et obligation de faire un diagnostic termites (130-170€ pour une petite maison) quand on vend une maison. Risque sanitaire : risque de piqûre + vection de parasitose par l'intermédiaire des insectes. Morsure vipère : pas conseillé l'aspivenin. La plupart des morsures sont blanches, sans venin. Quand injection de venin : symptôme = forte douleur locale, rougir, gonfler, accélération rythme cardiaque, nausée... ne pas paniquer, sans bouger et s'orienter vers un centre médical. Nuisance de la santé animale, vétérinaire : certains insectes perturbent le comportement normal des animaux en les harcelant. Les insectes hématophages qui piquent et se nourrissent du sang. En zone tropicale, les insectes hématophages peuvent transmettre certaines maladies. Fièvre catarrhale ovine qui touche les moutons → en France, par les phlébotomes. Nuisance agricole : pyrale du maïs (Ostrinia nubilalis) contrôlée avec des trichogrammes (lutte biologique) qui est une micro-guêpe parasitoïde (relation qui va conduire à la mort de leur hôte). Parasitoïde oophage = se nourrissent des œufs de pyrale. Le maïs BT, OGM, peut également être utilisé : bacillus turingeinscis, produit la même molécule qu'une bactérie entomo-pathogène qui vit dans le sol. Quand une chenille ingère une bactérie comme ça, la bactérie produit une molécule qui dissous l'appareil digestif des chenilles = réduction population papillons ravageurs. Les maïs BT possèdent le gène qui code pour la protéine de la bactérie et de ce fait, il produit la protéine qui le protège contre les papillons, les chenilles.

On peut aussi utiliser des insecticides conventionnelles et donc des molécules chimiques qu'on va répandre pour tuer les insectes = pose des problèmes de contamination des milieux naturels, d'impact sur des espèces non-cibles. Les agriculteurs veulent investir pour se protéger des insectes = entomologie appliquée à la protection des cultures (INRA surtout). Il y a des recherches sur : – les méthodes de luttes – les suivies et détection – test de piège pour savoir comment se porte la pop de papillon pour savoir quand traiter. Autre ravageur : nuisibles aux denrées stockées (pour les producteurs alimentaires par exemple). 3

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Pucerons sur les arbres fruitiers : déformation branches et feuilles. Tout ce qui est pucerons et cochenilles sont des insectes qui sucent la sève (sucrée) et vont la ressortir sous forme de miellat. Ce miellat est parfois utilisé par les fourmis, bien souvent, il est expulsé sur les feuilles. Champignons qui s'installent dessus qui donnent une coloration noire aux feuilles recouvertes et donc perturbation de la photosynthèse. Le carpocapse des pommes : petit papillon dont la chenille se développe dans la pomme. Quand 1 ou 2% de pomme touché, perte économique importante. On va chercher à contrôler les populations d'insectes. Hannetonnage = en 1800 jusqu'à 1950 : récolte des larves d' hanneton dans le sol. Les adultes sont aériens et consomment les fruits et les bourgeons et les larves consomment les racines. Les poules mangeaient les larves qui remontaient à la surface après le travail de la terre. Les enfants les récupéraient. Les enfants étaient tenu de taper dans les arbres le matin pour faire tomber les adultes des feuilles, engourdies. Pullulation de criquet aux USA. Le développement de la lutte chimique s'est faite grâce à la connaissance de molécules de plantes qui ont un impact sur les insectes. Exemple : le tabac, décoction de tabac. Exemple : chrysanthème, pyrèthre, pour la production de molécules. Exemple : pavot qui peut donner la morphine, l’héroïne ou des insecticides. Identification des molécules et synthèse industrielle, chimie prend le dessus après la deuxième guerre mondiale (développement chimique pour les armes). Apparition du DDT : protection des parcelles (insecticides). Cependant, les DDT ont la particularité d'être très rémanent = molécules conservent toxicité pendant très longtemps + quand métaboliser, molécules dérivées très stables qui s'accumulent dans les chaînes trophiques et a des effets négatifs sur la reproduction (des oiseaux notamment). A l'heure actuelle, le DDT est interdit en France. Le marché de la protection des plantes est un marché très réglementé, comme les médicaments. Les pesticides sont considérés comme des produits « phytopharmaceutique ». En Europe, les Français sont les premiers consommateurs de ces produits : Monsanto, Bayer, Syngenta... Ces industrielles sont regroupés dans une association : UIPP (union de l'industrie de la protection des plantes). Si méthode d'action ne sont pas les mêmes, les méthodes de résistance des insectes non plus. Le costa rica est un pays très vert et le gouvernement va payer les agriculteurs pour planter des arbres sur les terres exploitées. Néanmoins, le gouvernement ne paye pas assez donc recourt ) 4

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des tiers. + la reforestation n'a pas fonctionné car les arbres se faisaient manger par des fourmis coupeuses de feuilles. Les ZNA (zone non agricole) comme les espaces verts, les arbres d'alignement, les cimetières, les golfs, etc, sont des espaces qui n'ont pas de vocation agricole mais pour des nuisances d'ordre esthétique ou comoditaire, on peut être amener à intervenir contre des insectes dans ces zones. Il y a souvent beaucoup de public et on utilisait des pesticides. Point positif : Le printemps silencieux, de Rahcel Carson, premier ouvrage sur les effets négatifs des pesticides dans les milieux naturels. Au printemps, plus d'oiseaux car plus d'insectes... La perception des dangers liés à ces molécules est arrivé à travers l'indicateur des oiseaux, notamment de proies. Sur-mortalité au niveau des œufs car il cassait très facilement puisque les oiseaux de proies, en haut de chaîne alimentaire, accumulaient beaucoup de DDT. Le simple mouvement des adultes autours des œufs suffisaient à casser les œufs devenues fragiles et fins. Baisse d'envol, de survie etc. On a pris la mesure du fait que les insectes étaient aussi à l'origine de services écologiques : service rendu par un écosystème ou une composante de cet écosystème, à l'Homme. Ramène de l'argent ou évite d'en dépenser. Cette notion a été proposé par les personnes qui font de la biologie de la conservation. En termes historiques, on s'est aperçu que certains groupes phares sont en voie d'extinction à cause des constructions etc. Donc : préserver quelques choses, besoin d'argent mais ce ne sera pas à perte car ceci va nous rendre quelque chose → argument pour avoir des financements. Mise en place de valeurs « instrumentales » et « non-instrumentales ». Réservoir de biodiversité = réservoir de solution pour l'avenir. Ces services écosystémiques : – approvisionnement – régulation – culture – équilibre Impact sur : – relations sociales et culturels – santé – sécurité – besoins matériels pour une bonne vie – liberté de choix et d'action. Service écologique rendu par les insectes → pollinisation des cultures importante pour le rendement de ces cultures mais aussi pour la qualité. 5

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Ce service n'a été estimé qu'en France récemment : liste des plantes cultivées, indice de dépendance des cultures à la pollinisation par les insectes... Les abeilles domestiques rapportent de l'argent, même en France (2,3 à 5,3 Milliards d'€ par an). Élevage de bourdons, commercialisation de mini ruche en carton qui vont pouvoir augmenter la production. Service écologique de régulation des insectes ravageurs par des insectes « auxiliaires » (limaces, escargots). Espèces qui contrôlent les niveaux de population et quand ça disparaît, on est obligé de venir compenser cette régulation en achetant des insectes. Agents de lutte biologique : les trichogrammes (micro-hyménoptère) sont très connus pour la pyrale du maïs. D'autres espèces comme les trichogrammes vont pondre dans les œufs des ravageurs ou dans les pupes. Les punaises sont des prédatrices pour la plupart et peuvent donc être un auxiliaire, les syrphes (mouches) également dont certaines larves se nourrissent de pucerons. Les carabes sont des coléoptères qui se déplacent au sol et vont être des consommateurs de limaces, d'escargot, de chenilles.. Participation des insectes aux grands cycles de la matière : recyclage des cadavres et des excréments. Importance écologique des coléoptères bousiers qui fragmentent les bouses et les enfouissent. Ceci rapport 380 millions d'€ aux USA. Service écologique menacé par les vétérinaires car quand bétails traités pour les vers intestinaux, les molécules traitent aussi les coléoptères... De plus, il faut un cortège diversifié de bousier pour que ce service écologique soit efficace. Bouses sous chambre avec différent cortège de bousiers et ils regardent quelles bouses se dégradent le plus rapidement et donc quel assemblage de bousier est le plus efficace. La présence de larves aquatiques soutiennent la présence des oiseaux et des truites. Ces « passions » ornithologies et pêche rapportent 50 milliards de $ USA. Kabutomoshi : coléoptère au japon. Les japonais peuvent donc en acheter, faire des élevages etc. Certaines espèces vont coûter très cher et elles peuvent être braconné pour le marché noir au japon. Les importations peuvent ramener des maladies etc. L'abeille mellifère fournit de la cire, du miel, du propolis... et des produits très utilisés en pharmacie. Les productions de certaines espèces de cochenilles pour des laques, pour meubles. Aussi des utilisations plus modernes pour englober des molécules médicamenteuses, faire des gélules. 6

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Vers à soie produisent la soie et se nourrissent de feuilles de mûrier. De ce fait, dans le sud, on retrouve beaucoup de mûrier. A l'heure actuel, ils voudraient modifier les vers à soie génétiquement pour qu'ils ne produisent pas que de la soie mais d'autres molécules pharmaceutiques. Exemple : faire produire de l'insuline par les vers à soie. Utilisation alimentaire des insectes : Micronutris, entreprise à St-Orens. Dans certains pays, les insectes permettent de combler des carences. Belgique : autorisation d'élevage, à destination alimentaire, d'une quinzaine d'espèces d'insectes. Production industrielle d'huile et de protéine d'insecte, pour l'alimentation animale : YNSECT. Monter des élevages industriels d'insectes pour avoir de la protéine peut cher pour des élevages de poulets etc. Valorisation de tous les déchets alimentaires. Substrat pour nourrir les insectes. Tourisme : ferme à papillon etc... micropolis... Esthétique, culture, valeur symbolique : grillons portent chance et peuvent être gardé à la maison. Combat de gros coléoptère, de grillons... Lucioles se nourrissent sur des escargots d'eau douce, dans des rizières donc forte population de ces lucioles et hôtel pour donner accès à ce « spectacle ». Sources d'inspiration mythologique : hercule. En Belgique, Jan Fabre : sculpture. Inspiration scientifique : étude de l'évolution. Les gens peuvent prendre des insectes pour répondre à des questions plus générales → utilisation comme modèle (souvent des drosophiles, modèle par excellence des eucaryotes pour l'étude de la génétique). Limites car certains groupes, on n'est pas capable de fournir un service écologique... et donc un argument pour la conservation. Coléoptère Bolbéhas à une corne : se développe dans champignons hypogées (dans le sol). Pareil pour les coléoptères qui vivent dans des grottes.. protégés parce qu'ils ont été découvert tard et donc on croit qu'ils sont rares?Mais aucun service écologique pour soutenir un plan de conservation.

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Reptiles et Amphibiens I. Introduction 1. Reptiles Les reptiles normalement, scientifiquement, n'existent plus. Avant on considérait les amphibiens comme des reptiles. Puis après, on a gardé tous les genres à écailles. Mais c'est un taxon paraphyllétique, et on ne parlait jamais des oiseaux. Maintenant, on a tendance à parler de Chéloniens, Squamates (serpents ( ophidiens) et lézards (lacertiliens), les geckos (gekkotiens), les orvets (anguimorphes), et les scincomorphes). Des espèces sont introduites comme la tortue de Floride (eau douce, carnivore), en raison de l'activité commerciale autour de cette espèce (juvéniles de 5 cm de diamètre). Maintenant, certaines ont fait souches et sont capables de se reproduire en France. Lézard sicilien, plus gros que celui des murailles, qui appartient au même genre. Coloration plus vive et limité à la corse et aux départements du Sud-Est. Statuts de conservation UICN (liste rouge) récents pour les reptiles et amphibiens : rassemblement d'un certains nombre d'expert avec connaissances régionales et nationales. Base de données naturalistes : Faune, connexion à base de données pour rentrer les espèces que l'on a vu. Ces données servent pour produire des données de listes rouges. Critère sur tendance de population. CEN va bientôt produire une liste rouge des rhopalocères et des odonates. BaseNat : outils par excellence après les bases départementales. UICN : guide méthodologique avec critère de tendance des populations, d'aire de répartition, de nombre de maille ou commune occupée sur notre territoire et il faut se positionner par rapport au statut d'extinction. LC : least concern = pas d'inquiétude NT : near threaten CR : danger critique d'extinction Pour l'herpétofaune française : aucune espèce en danger critique d'extinction, 55% est en pas d'inquiétude et 1/3 est un peu menacé. 2. Amphibiens 33 Espèces autochtones pour les amphibiens : Ranidés (grosse grenouille), Salamandridés (salamandre et triton), Hylidés (rainette, petite grenouille avec pelote adhésive), Bufonidés (gros crapaud), Alytidés (crapaud accoucheur), et Pélobatidés (crapaud avec tâche, souvent côtier car besoin de s'enfouir).

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Il y a des espèces introduites et certaines peuvent avoir des impacts par rapport à la batrachofaune de France : Grenouille taureau. Taille plus grosse donc pression plus importante. Le xénope lisse est également introduit et largement utilisé comme modèle. Le triton crêté italien a également été introduit, le sonneur à ventre de feu et le discoglosse peint aussi. Les statuts de conservation des amphibiens sont plutôt défavorables car les amphibiens dépendent d'un habitat aquatique pour la reproduction et terrestre pour la vie des adultes. 40% ne sont pas concerné mais les densités que l'on connait actuellement n'ont rien à voir avec les densités d'il y a 100 ans. Rien qu'avec la mortalité routière. ----Le statut de protection légal des amphibiens et des reptiles a été arrêté le 19 novembre 2007. Détails de la législation avec les espèces concernées : globalement, toutes les espèces en France sont protégés mais il y a 2 niveaux de protection : – article 2 : protection intégrale, pas le droit de mettre en collection, de les vendre, des les toucher, de les perturber, de porter atteinte à leur habitat.... –