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1.

LE DROIT

Définition (2 sens) : 1.1.1 Droit objectif : juridiques qui régissent la vie en société et qui sont sanctionnées par l’autorité publique. 1.1.2 Droit subjectifs : es à une personne par le Droit objectif, pour la satisfaction d’un intérêt personnel. 2. LE DROIT QUÉBÉCOIS, UN DROIT MIXTE 2. LES SOURCES DU DROIT QUÉBÉCOIS ET CANADIEN rité législative qui établit une règle de droit nistration établissant une règle de droit, par opposition à une loi édictée par le législateur décisions, arrêts ou jugements rendus par les tribunaux. travaux des auteurs visant à exposer ou à interpréter le droit. née de la répétition continue d’un acte public et paisible ou de son abstention, et qui est généralement suivie par une population donnée et sanctionnée par les tribunaux. constitutionnelles : e les gouvernants qui ne sont pas sanctionnées par les tribunaux.

haque individu dans la société soit la plus heureuse possible. S’ils arrivent à donner une règle qui lui rend ux, donc le bonheur va permettre que la règle soit applicable partout. Le droit a aussi une définition de bonheur, au niveau de la justice que le droit (on irait au tribunal moins souvent!) On n’est pas convaincu que l’assemblé ale veut voter un projet de loi et le premier ministre dit : on doit avoir comme objectif le bonheur. chapeaux avec deux éléments : - loi, règlement et aussi le coté philosophique. Justice : on peut venir greffer C’est à elle-même toute seule se développer vers la notion qu’on se tend : si la personne est heureuse, elle ver ca juste.

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Le droit correspond à l’ensemble des règles et normes qui organisent une société. De là, deux sortes de droit sont à distinguer : droit positif : ensemble de lois instituées par les Hommes droit naturel : règles universelles et éternelles découlant de la nature humaine La justice est une entité morale supérieure qui fait référence à : l’État : il doit faire respecter et appliquer la loi un idéal qui doit guider les actions des Hommes au sein de la société La justice est donc une vertu universelle. Dès l’Antiquité, elle est perçue comme la vertu des vertus par Aristote qui elle les comprend toutes : être juste est synonyme d’être courageux, bon, etc....