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Summary

Cours Indesign
Professeur: J. Plard
M1 gestion de projets culturels...

Description

Indesign Ce logiciel a auparavant été pensé pour l’impression papier. Depuis 5 ans, ce logiciel peut également produire des documents destinés aux écrans. Possibilité de déplacement, d’interactivité (animation etx), magazines. Logiciels qui produit et du print et différents formats pour écrans. Utilisation différente par rapport à de la bureautique classique. Le but premier est de produire des documents imprimés. On peut imprimer beaucoup de formats différents. Quand on choisit le format : pas sur quoi on va imprimer mais les formats de sorties (ex : carte de visite = donner le format précis).

Choix de format Pages en vis-à-vis : Logique gauche –droite : attention aux marges (petits et grands fonds) Indesign intègre le vocabulaire de l’édition, de l’imprimerie: exemple marge de petits et grand fonds et pas intérieur et extérieur, on parle d’une espace et pas d’un espace. Si on décoche « page en vis-à-vis » les marges deviennent marges de droite et de gauche.

Le fond perdu Quand on imprime, on travaille sur un grand format puis ou coupe (ex : pour un livre 8 pages à la fois). -

L’imposition : ce procédé consiste à répartir les pages La coupe – Le massicotage : enlever les parties inutiles pour préparer le façonnage. La coupe se fait avec un massicot (lame épaisse pour couper une grande quantité de papier d’un coup). o Pas forcément très précis donc pour éviter d’avoir un liserais blanc : prendre une sécurité et faire déborder la photo = la partie en plus sera coupée = le fond perdu. o Il faut respecter ça sinon le document ne pourra pas être imprimé.

Dans la zone de dialogue quand on créer un document, il faut impérativement prendre entre 3 et 5 mm de fond perdu. Beaucoup de similitude avec Photoshop au niveau de l’interface. On peut choisir l’espace de travail (fenêtre- espace de travail). Ou menu direct en haut à droite. Réinitialiser « avancé ». Mode avancé : toutes les palettes pour la fabrication du document seront présentes. Palette d’outil à gauche : dans l’esprit de Photoshop. Choisir outil et dessiner un bloc sur le document : exemple zone de texte. Les outils de la partie haute s’adaptent à l’outil texte. Sur Indesign : Notion de contenant et notion de contenu. Flèche noir pour sélectionner le bloc. Cela donne les caractéristiques : largeur, hauteur : bouger cela en mode manuel avec la souris ou donner les valeurs directement dans la barre du haut.

Barre X et Y X et Y : barre horizontale et vertical : pour placer les éléments de façon précise. Attention dans la barre du haut, cela varis en fonction du point de référence (voir carré en haut à gauche). Cela permet de piloter les blocs comme on veut. Centrer un texte : sélectionner l’un des points centraux et mettre par exemple 105 (moitié de la taille de la page).

Outils Possibilité de donner couleur de fond, du contour etc Le liserais rouge représente le fond perdu. Le liserais magenta c’est les marges. On peut sortir les blocs des marges, du fond perdu etc. Les marges ne sont pas contraignantes comme dans Word par exemple. W : je passe du mode normal au mode aperçu

Image Fichier – Importer- mettre une image dans le bloc. L’image arrive à l’échelle 1. La cible au centre de l’image permet de sélectionner le contenu du bloc. -

Mise à l’échelle

Grâce aux pictogramme, on peut choisir certaines options en haut à droite. -

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Remplir le bloc proportionnellement : l’image occupe toute la hauteur du bloc de manière proportionnée o Option à cocher : ajustement automatique : on peut bouger le bloc, l’image suit automatiquement. Ajuster le contenu proportionnellement : l’image entre totalement dans le bloc même si l’espace n’est pas totalement utilisé. Ajuster le contenu au bloc : Ajuster le bloc au contenu : Centrer le contenu proportionnellement :...