Cours linguistique/faits de langue MEEF Anglais M1 PDF

Title Cours linguistique/faits de langue MEEF Anglais M1
Course Introduction à la linguistique
Institution Université de Picardie Jules Verne
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MASTER MEEF ANGLAIS M1...


Description

INTRODUCTION A LA LINGUISTIQUE « L'épreuve de faits de langue trouve pleinement sa place dans un concours de recrutement de futurs professeurs d'anglais, dans la mesure où elle permet d'évaluer la capacité des candidats à analyser avec finesse et pertinence certains phénomènes linguistiques et à mettre en œuvre certaines techniques de base (étiquetage, manipulation, commutation etc.) qui leur seront indispensables face à une classe. » (CAPES - Rapport du jury 2007)

Principe de base de la linguistique Un élément n'est rien en dehors du système auquel il appartient. Exemple : Be + -ing n'a de valeur que parce qu'elle s'oppose à la forme simple. En grammaire, on part de l'idée que rien n'est illogique, si on remonte au niveau de la langue. Exemple : il y a une valeur unique du prétérit qui permet d'expliquer pourquoi il est apte à être utilisé dans certains cas qui n'ont aucun rapport entre eux (passé, présent, futur). Derrière le particulier, on recherche le général.

Langage = Langue + Discours Toute forme, avant d’être employée en discours, a une valeur fondamentale en langue (au niveau du système). Cette valeur fondamentale, on l’appelle valeur de base ou invariant. Dans le discours, un invariant peut générer un certain nombre d’effets de sens en fonction de facteurs tels que les indices contextuels, linguistiques (lexicaux, grammaticaux), prosodiques (intonation, accentuation, débit, silance), kinésiques (gestuelle)...

Mots = Lexèmes + Morphèmes Les mots sont formés par des lexèmes et des morphèmes (grammaire), c'est à dire des composants qui s'unissent pour adapter le discours aux nécessités de sens spécifique que nous voulons lui donner. Lorsque ces deux parties grammaticales s'unissent, elles forment une dérivation du mot original (primitif) qui s'adapte au discours et peut être utilisé dans d'autres nuances de temps, de genre, de nombre etc... Le lexème est une unité linguistique qui a une signification lexicale et qui offre une idée concrète à la personne qui reçoit l’information. Exemple : « à » ou « par » ne sont pas des lexèmes car ils n'ont de signification lexicale en soi, ne signifient rien utilisé seul, et doivent toujours être accompagnés d'un mot pour les compléter.  Le lexème est la racine d'un mot, sa base lexicale. C'est la forme d'un mot réduite à son maximum pour qu'il garde une signification. Le morphème ne possède pas de sens lexical et accompagne toujours un lexème. Il s'agit d'une unité minimale qui exprime une signification grammaticale pour modifier ou compléter un lexème. Exemple : "dans-ant" signifie que quelqu'un exécute l'action de danser. C'est le morphème "-ant" qui modifie le lexème "dans-".

ETAPES D’UNE ANALYSE DE FDL DESCRIPTION Attribuer à chaque mot du segment leur étiquettes grammaticales traditionnelles (nature/fonction) et décrire les liens qui les unissent entre eux et au reste de l’énoncé. Lors de cette étape, attention à ne pas empiéter sur l’analyse (si la problématique consiste à déterminer la nature même d’un élément, il faudra donc rester assez vague lors de la description). Attention, lors d’une analyse syntaxique, le segment souligné est long et il n’est pas nécessaire de traduire chaque mot, mais simplement ceux qui ont un intérêt pour l’analyse syntaxique.

PROBLEMATIQUE Il s’agit de formuler l’axe autour duquel notre analyse va s’articuler pour rendre compte de l’intérêt linguistique du segment souligné. Exemple : Choix et valeur du modal / Valeur du prétérit ...

ANALYSE 1. Invariant : Fonctionnement général du FDL 2. Effet de sens : Interprétation du FDL en contexte (suivant les indices contextuels) La plupart du temps, il faut trancher entre plusieurs interprétations recevables ET justifier. S’il est impossible de trancher entre deux interprétations, il est souhaitable de montrer dans la conclusion que l’ambiguïté sémantique ou syntaxique subsiste. Cette démarche doit mettre en lumière la spécificité du segment souligné et les raisons qui justifient les choix de l'énonciateur. D’ailleurs, la dimension phonologique de certains faits de langues ne doit pas être négligée et peut être un argument précieux lors de l’analyse.

MANIPULATION ET TRADUCTION La manipulation doit donc être intégrée à l’analyse. La manipulation peut, en fonction de la spécificité du fait de langue, être de différents types. •

Substitution de forme : Dans « the fact that he flew alone was great », l'impossibilité de remplacer la conjonction de subordination that par le relatif which confirme qu’il ne s’agit pas ici d’une proposition relative.



Réorganisation syntaxique: Dans « the fact that he flew alone… », la manipulation « the fact that you mentioned earlier > you mentioned this fact earlier » montre la différence entre une subordonnée relative en that (the fact that you mentioned) et une subordonnée complétive ou appositive (the fact that he flew alone…)



Modification du schéma accentuel : Pour « a man's voice », deux interprétations sont possibles : génitif générique (accent primaire sur man) ou génitif déterminatif (accent primaire sur voice).

La traduction n’est pas systématique et utilisée à bon escient. Elle intervient après l'explication, pour éclairer et étayer l’argumentation. Des remarques relevant de la traductologie et de la linguistique contrastive peuvent être pertinentes. Exemple : La structure résultative « Gordon shoved open the door » qu’on peut traduire par « Gordon ouvrit la porte d'un coup d'épaule », souligne à la fois l'impossibilité pour le français d'avoir une structure syntaxique équivalente (recours au procédé de traductologie « chassé-croisé ») mais aussi la mise en valeur du sémantisme du verbe shove (insistance le moyen permettant l'ouverture de la porte).

MARQUEURS MORPHOLOGIQUES Attention Morphologie / Syntaxe : -

Morphologie : La forme du mot Syntaxe : La façon dont les mots sont agencés entre eux

On compter 4 marqueurs morphologiques d’un point de vue grammatical en anglais : • • • •

-S - ED - ING La marque 0

Ces marques fonctionnent aussi bien dans le domaine nominal que dans le domaine verbal. En français, on marque la différence entre le nom et le verbe (ex : chanter = verbe) alors qu'en anglais, tous les mots peuvent fonctionner comme nom ou comme verbe (ex : drink = nom & verbe). Exemple : - WINE : “The guests were wined” - POCKET : “He'd better pocket his pride” - MUSHROOM : “The population mushroomed in the post-war decades” - weekend : why not weekend at Bob's ? = Et si on passait le weekend chez Bob ? - UP : He just upped and hit her (verbe) / Life is full of ups and downs (nom) / He was walking up (preposition)

LES PRONOMS « I » est le locuteur ou l’énonciateur (la personne qui parle) « You » est l’interlocuteur ou l’allocutaire (la personne à qui on parle) « He/She » est la troisième personne (celle dont il est parlé, à qui on ne parle pas)

PERSONNELS (Fonction : Sujet ou COD)

« It » est un pronom personnel neutre de troisième personne du singulier. Il peut être suivi d’un verbe lexical ou de la copule « be ». Il ne faut pas oublier de parler de son référent. Dans une clivée, pas de référent mais un rôle syntaxique (proforme). En tant que déictique, c’est un simple pronom de rappel neutre. « They » peut reprendre un nom singulier (Texte 1) « One » a deux statuts : Il peut être déterminant ou pronom. Ici c’est un pronom générique, il renvoi à tout référent humain. Il peut également être anaphorique (the blue ones) rappelle un référent précédent.

POSSESSIFS REFLECHIS RECIPROQUES

Mine / Yours / His / Hers Ours Myself / Yourself / Himself / Herself / Itself Ourselves / Yourselves / Themselves Each other / One another

AUXILIAIRES Fonctions : Construire la forme interrogative / négative – Former les temps composés (present perfect, progressif)

DO Invariant : DO concerne la réalité de la RP. C’est un marqueur du caractère problématique du lien sujet-prédicat. • • •

Interrogation: “Did you go to London?”  On s’interroge sur le lien sujet (you) / prédicat (go to London). Négation: “You don’t like chocolate”  On nie la réalité du lien sujet (you) / prédicat (like chocolate) Contexte polémique: “You don’t like chocolate” / “I do like chocolate”  DO a une valeur assertive.

Dans une assertive, la réalité du lien est présentée comme incontestable. L’assertion emphatique s’oppose à l’assertion contraire. Mais l’assertion n’a pas toujours une valeur polémique. Les effets de sens varient selon le contexte et selon des paramètres prosodiques. La valeur polémique est uniquement due à une inférence contextuelle. • •

“I see you like chocolate” / “Yes I do like chocolate”  Pas de valeur polémique, il confirme. “I do love you”  Valeur polémique dans le cas d'un doute sur les sentiments (accent emphatique sur "do")

Verbe lexical : Son sens n’est inférable qu’en contexte. Exemple : « I did the closet » peut vouloir dire « monter le placard » ou « fouiller le placard ».

HAVE Invariant : Le verbe lexical exprime une idée de possession, de propriété ou encore une relation partie-tout. Il situe un élément (COD) dans un ensemble. On parle d'opération de localisation. L’auxiliaire conserve un lien sémantique avec le verbe lexical car il « intègre le prédicat à la sphère du sujet grammatical ». HAVE + -EN établit un lien entre le passé et le présent, ce lien peut être : •

Temporel : Le procès a commencé dans le passé (t1) et se poursuit au moment de l'énonciation (t0), surtout dans les cas où apparaît un complément de temps introduit par “for” ou “since”. On l'emploie avec les verbes d'état (avec d'autres types de verbe, on emploie la périphrase have + been + -ing).



Passé immédiat : I've just received a phone call from John.



Mental : Impact d'un procès passé (t1) sur le présent de l’énonciation (t0).

HAVE GOT : HAVE représente le résultat et GET représente l’opération d’acquisition qui a mené au résultat. I have a car  Simple constat I have got a car  Rappel de l’opération d’acquisition qui a mené au résultat

BE • • •

Verbe lexical : Exister Copule : Il lie l’attribut (pas COD !) au sujet Auxiliaire : Il forme des temps composés (I am reading / I am done)

LES MODAUX Invariant : Un modal n’évoque jamais l’actualisation effective de l’évènement et est associé à l’idée d’hypothèse

Le pouvoir CAN / COULD

Le devoir

MAY / MIGHT

WILL / WOULD

SHALL / SHOULD

MUST

Certains grammairiens parlent des NICE Properties pour résumer les caractéristiques des modaux (et auxiliaires) :

NEGATION : Ils portent la marque de la négation, contractée ou non (ex : cannot / won’t...) INVERSION : On inverse l’auxiliaire avec ce qui précède pour former une question (ex : I will see / Will I see ?) CODE : Ils peuvent se substituer au verbe et ses compléments (ex : Sophia can swim but Lisa can’t) EMPHASIS : Ils peuvent servir à faire une emphase, affirmer fortement (ex : I do like tea)

• • • •

La forme du verbe qui suit le modal peut être : • •

Base verbal : “I may come” Infinitif BE + -ING : “He must be sleeping”

• •

Infinitif aspect accompli : “They should have left” HAVE + BEEN + -EN : “It may have been stolen”

La négation : Toujours préciser l’incidence de la négation (peut porter sur le modal ou ce qui suit). Exemple : « He may not go to the movies »  Si « not » porte sur « go », il s’agit d’une signification déontique (il n’a pas l’autorisation) ou s’il porte sur « may » c’est une signification épistémique (peut-être qu’il ne viendra pas). Le prétérit : Soit il marque une rupture avec le présent réel (désactualisation) et renforce le côté hypothétique. Soit il présente la RP comme définitivement acquise (non susceptible d’être remise en question)  Stratégie d’imposition.

CAN / MAY Invariant : Expriment une relation prédicative possible (elle peut être ou ne pas être actualisée) • •

CAN : Une seule hypothèse retenue + Effet positivant (le locuteur s’appuie sur ses connaissances) MAY : Notion d’équipossibilité  Une hypothèse est mise en avant et l’autre est sous entendue

CAN a une force assertive plus forte que MAY.

WILL / SHALL Invariant : Le locuteur prédit l’actualisation de la relation prédicative • •

WILL : Effet positivant (le locuteur s’appuie sur la connaissance qu’il a du sujet ou de la situation en général) SHALL : Aucun élément ne justifie la prédiction

MUST Invariant : Exprime la notion de nécessité absolue (obligation ou quasi-certitude selon l’interprétation) • •

Interprétation déontique : Le locuteur impose à quelqu’un une obligation (relation intersubjective) Interprétation épistémique : Hypothèse à très forte probabilité, le contraire n’est presque pas envisageable

LES SEMI MODAUX HAVE TO Invariant : Exprime la nécessité en phase résultative (le sujet est contraint et a intériorisé qu’il doit faire qqch) • •

He has to get up  Focalisation sur le sujet qui est contraint He must get up  Focalisation sur la pression mise par le donneur d’ordre

OUGHT TO Invariant : Exprime la nécessité en faisant référence à des normes (sociales, culturelles...) ou la probabilité (expect) OUGHT TO s’oppose surtout à SHOULD : L’origine de la pression exercée sur le sujet grammaticale est plus vague avec OUGHT TO qu’avec un modal tel que SHOULD qui est d’avantage relié au locuteur.

NEED Invariant : Exprime la nécessité ou l’obligation, mais souvent utilisé au négatif pour exprimer l’absence d’obligation • •

Semi modal : He needn’t have brought wine  Le locuteur juge que c’était inutile, il n’aurait pas dû. Lexical : He did not need to bring wine  Il n’a pas eu besoin d’apporter du vin, il ne l’a pas fait.

BE TO Invariant : Exprime la notion de devoir (TO = opérateur de visée) • •

Evènement officiel programmé : The show is to start at 8 P.M. Valeur injonctive : “You are to come back” / “Cars are to be parked here”

HAD BETTER Invariant : Exprime un conseil donné par le locuteur dans l'intérêt du sujet, ou un regret / reproche. • •

Suivi de base verbal : Le locuteur possède (HAVE) un meilleur (BETTER) moyen de résoudre le problème. Suivi de l’aspect accompli : Le locuteur exprime un regret ou un reproche vis-à-vis de la solution choisie.

WOULD RATHER Invariant : Exprime la préférence réalisée (suivi de base verbale) ou non (suivi de l’aspect accompli) du sujet

DARE Invariant : Pour dire qu’un sujet est assez brave ou culotté pour faire quelque chose

USED TO Invariant : Désigne une habitude, une condition, un fait passé qui n’est pas d’actualité

LES STRUCTURES SYNTAXIQUES L’analyse de la syntaxe s’intéresse à l’ordre des constituants, qui peuvent être mis dans un ordre autre que l’ordre canonique (SVO : Sujet Verbe Objet). Place de l’adjectif : En anglais il se trouve avant le nom. Si l’ordre canonique n’est pas respecté, on parle d’inversion, et d’autres constructions particulières qui ont un nom… NB : Au CAPES, bien penser à mettre les structures particulières en regard à une structure canonique.

STRUCTURE CAUSATIVE Invariant : Elle établit un lien causal entre le sujet causateur/déclencheur (S1) et le prédicat (S2+RP2).

She S1 Causateur (intentionnel) Déclencheur (involontaire)

made V1 Opérateur de causation

him COD + S2 (pdv sémantique)

word hard V2 Deuxième RP

Les opérateurs de causation L’accent est mis sur le sujet S1 qui est bénéficiaire ou victime (selon le prédicat)

HAVE

Ex : I had the room repainted / I had my car stolen

(sb do sth / sth done)

Le participe passé a un sens passif (par quelqu’un). Mais l’agent n’est pas important, c’est le sujet qui subit qui est important.

GET (sb to do sth / sth done)

La focalisation est sur les efforts de S1 pour que S2 actualise la RP, on a une idée de contrainte. TO représente l’obstacle à franchir pour que S2 actualise 2ème RP. On s’intéresse à la fin et non aux moyens. MAKE nous oriente vers le résultat et non le sujet de l’énoncé. Ex : Dans « It made their relation difficult »

MAKE (sb do sth / sth done)

Au passif, on doit rajouter TO. Le passif renforce l’idée de contrainte sur le S2. TO est un opérateur de visée (on envisage l’actualisation) et implique une agentivité du sujet, il rétablit dans la deuxième RP l’agentivité du sujet qui est passivé. Le sujet contraint est obligé d’envisager la validation du procès. Ex : I made him write a letter // I was made to write a letter

CAUSE (sb to do sth / sth to be done)

LET (sb do sth / sth be done)

Pas de contrainte, idée de causalité exprimée lexicalement La cause de l’action est qu’il n’y a pas eu d’obstacle

STRUCTURE RESULTATIVE Invariant : C’est une proposition indépendante qui se distingue par la position de l’adjectif qui est postposé au nom. The cat licked the plate clean L’adjectif « clean » est postposé au nom « plate », ce n’est donc pas une propriété intrinsèque du nom « plate ». Licked the clean plate  Antéposé = Intrinsèque (l’assiette est déjà propre) Licked the plate clean  Postposé = “clean” est le résultat de l’action Dans une structure résultative, on a deux relation prédicative amalgamées en une seule (procès > résultat) : 1) The cat licked the plate Sujet COD

Lien de cause à effet RP2 est le résultat de RP1

2) The plate got clean Sujet ATTENTION : Lorsque l’adjectif est postposé, il ne s’agit pas forcément d’une résultative. Ce n’est pas la forme mais le sens qui prime (ex : He eats his meat raw) La structure résultative en anglais très importante car on y inclue les verbes à particules. On n’exprime pas forcément la cause mais les moyens mis en œuvre pour arriver au résultat. He ran upstairs Il a monté les escaliers en courant Cette structure pose un problème de traduction car nous n’avons pas le même système en français. On va alors pratiquer le chassé-croisé (on traduit d'abord la RP2 et ensuite la RP1)

STRUCTURE CLIVEE Invariant : Le clivage permet de mettre en relief un élément important en le séparant du reste de l’énoncé et en l’introduisant par une proforme et une copule (extraposition). La mise en relief de la 1ère partie de la structure est aussi favorisée par « that », qui avec sa valeur anaphorique va reléguer tout ce qui se trouve ensuite au second plan. Cas 1

It’s

strange

that

you love him

Proforme + Copule

Adjectif

Pronom relatif

Proposition (pas relative)

It’s

my cake

that

you eat

Proforme + Copule

Nom

Pronom relatif

Proposition (pas relative)

Cas 2

Cas 3

It’s

him

Proforme + Copule

Pronom COD

you’ve got to meet Pronom relatif zéro

Proposition (pas relative)

NB1: Selon le sens, ce schéma peut ne pas correspondre à une clivée mais juste une proposition relative ! NB2: Ne pas confondre pseudo clivée en « what » et proposition relative nominale. Ex : What she wants is a problem 1) Ce qu’elle veut est problématique (nominale) // 2) Ce qu’elle veut c’est un problème (pseudo clivée)

LES PROPOSITIONS RELATIVES Invariant : C’est une expansion qui ajoute de l’information sur un antécédent (nom ou proposition entière). CAPES : Commenter le type de relative + le pronom relatif On distingue les relatives selon que l’info est nécessaire ou non à l’identification du référent de l’antécédent.

The ...


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