Dissertation - socio de la santé PDF

Title Dissertation - socio de la santé
Author hugo schumacher
Course Sociologie urbaine
Institution Université de Haute-Alsace
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Summary

socio de la santé...


Description

Sujet de la dissertation : Santé / Inégalité / Société On a le sujet mais on doit trouver la problématiques. On doit problématiser la problématique. 1 : faire un brainstorming I : Problématique / sous problématique Argument Exemple On doit faire l’intro et la conclu uè Intro Titre 1 Transition Sous titre Transition Paragraphe Paragraphe

Quelle sont les inégalités de santé dans la société ? I)

Les inégalitées lié aux institutions

1) Une institution, c’est quoi ? 2) Les différents types d’institutions 3) Les institutions totalitaires et les intérêt et eceuils de la notion de « carrière des malades »

I)

Inégalité et santé

1) Production sociales des inégalité de santé (def inegalite + …) 2) Impact des inégalités sur la santé (avec le cancers) 3) Les inégalités lié aux stigmates

I)Les inégalitées lié aux institutions 1)Une institution, c’est quoi ? Everett Cherrington Hughes (1897-1983) est l'un des principaux représentants de la pensée sociologique de l'école de Chicago, courant de pensée sociologique apparu au début du xxe siècle aux États-Unis Everett C. Hughes, dans Le regard sociologique.

Selon Hughes, lorsque les sociologues américains étudient les institutions, où lorsqu’ils disent vouloir les étudier, tombent dans le travers des intellectuels. C’est-à-dire qu’ils oublient qu’il n’y a pas d’immaculée conception des significations et des objectifs. Tous admettent que les institutions devraient être au centre des recherches en sociologie, mais la définition qu’ils adoptent laisse hors du champ d’étude des entreprises collectives qui pour Hughes sont intéressantes et significatives. Ce dont souffre le terme institution c’est d’une respectabilité excessive, et de tentatives abusives de définition et de classification. Everett Hughes est une sociologue qui a créé l’ouvrage « Institution sociologique ». À travers les institutions américaines, il va s’intéresser aux différentes institutions telles que les associations, les firmes, les musées, les beaux-arts, …. Selon lui, les institutions ont toutes été à un moment une forme d’entreprises, et certaines le sont restés pour exister et d’autres se sont transformées en de nouvelles entreprises. Hughes place les institutions au centre des recherches car elles sont porteuses de grandes valeurs morales. D’après lui, toutes les institutions méritent d’être étudiées et comparées. Pour cela il faut porter son intérêt vers la structure concrète et de base de l’institution qui correspond au noyau actif de l’individu, c’està-dire au petit nombre d’individus qui agissent ensembles. On y distingue les famille, les parentés, les institutions politiques, juridiques.

2)Les différents types d’institutions

Hughes évoque le terme d’ « entreprises collectives ». Selon lui il ne faut pas chercher les limites avant de la créer, mais se laisser les découvrir. Ce sont les institutions qui, à n’importe quel moment de leur avancée, se croise. Certaines vont pouvoir continuer d’évoluer et certaines vont échouer à cause d’une perte de soutien moral et de leur clientèle. Elles se caractérisent par leur durabilité qui permet une identification, l’identité et la dimension historique. Les hôpitaux sont donc des entreprises collective, nous puvons alors remarquer une certaine inégalité dans l’accès a cette institutions. Alors que les classes les plus aisés auront un accès facile aux hôpitaux et au soin les plus avancer (opérations,…), les classes les plus populaires quant a elle n’auront pas forcément les font nécéssaire pour la réalisation d’une opération,… Hughes parle aussi d’institutions bâtardes qui définissent le besoin de la société, ce qui est bon ou non de faire. Elles comportent des limites et des déviances qui se transforment ensuite en autres institutions. Les institutions ont trois catégories d’espaces : celui des travailleurs ; celui des clients et celui qui permet d’avoir des ressources. Elles ne sont pas reconnues et ni protégées par l’État. Elles ne sont pas autorisées, car elles ne répondent pas à des besoins qui sont définies comme légitimes par l’État. Ces institutions répondent à des besoins cachés par les individus. Cela concerne tout ce qui est marché noir, prostitution, adoption d’enfants, drogue, …

3) Les institutions totalitaires et trajectoire du malade.

Carrière : notion mep par E. Hughes, vient de la socio du travail (carrière pro), concept transposé par les interactionnistes (ex : marirona) + à la maladie mentale Ouvrage : Asile A. Strauss « Trajectoire de malade »  Pour bcp de personne, notion de trajectoire de malade = permet d’éviter « la trame de la négociation ». Celle renvoie à la maladie/physiologie de tel ou tel patients + organisation du travail déployé autour/ par le patient/gens autour + renvoi aux effets de la maladie et l’organisation du travail autour/dans la trajectoire de la maladie. 1 maladie = 1 trajectoire : mobilisation de différents types de compétences, savoirs faire, créer des relations diff et répartition diff des tâches par les personnes impliquées autour de la maladie. Ex : Alzheimer : relations diff entre soignants et famille Notion de trajectoire : Appréhender la maladie en fonction des pathologies, permet de prendre en compte l’ens des act° entreprise sur un temps long par les diff acteurs concernés dans la gest° de la maladie et accès à l’évolution des acteurs dans la maladie et qu’est-ce que ça va générer. Autre intérêt : pas centrer la maladie sur la pers et inversement mais de rationnaliser/problématiser la maladie autour du travail nécessaire à sa gestion (professionnels et entourage). 1. Comeback : phase de rémission où la maladie n’est pas forcément active Résumé : Focalisation de la trajectoire de la maladie, renvoi au travail de l’entourage + personne concernée. Strauss veut dire qu’il y a diff maladies = diff sortes de travail/traitements + d’autres tâches (travail sécurité, soins, appréhension à la mort, travail émotionnel, …). Mep de diff écueil : mep de travail (ex : le traitement = forme de travail mais un autre sens pour ceux qui le prennent et le prescrivent). Intérêt de ces approches : ne pas se focaliser sur la maladie seulement mais à la vie avec une maladie chronique, n’est pas seulement une affaire de perception de la maladie mais de comprendre la pratique des malades et celles qu’effectue les autres indivs et comment ça débouches sur une forme particulière de la trajectoire de la maladie ? (retrouve dans les travaux de la SSa)

 s’intéresse aspects moraux transfo psychiques des patients par le biais des institus totalitaires, elles interviennent dans la personnalité des patients càd qu’il appelle le cycle des modifications. Il montre que tout ça affect la représentation des individus dans la société et celui du visé sur la société  notion qui devient un outils d’appréhender la personne malade avec l’institu médicale et psychiatrique

B. Guillemin

Tout d’abord, les écueils revoient à la notion de trajectoire qui devient un outils d’appréhender la personne malade avec l’institut médicale et psychiatrique. On peut distinguer trois écueils : 1er écueil : voir la façon dont les personnes viennent chercher leur traitements médicaux (l’entrée dans la carrière = moment particulier) = 1 seul moment de l’entrée avec la maladie 2e écueil : rapport aux soins médicaux, analyses avec tous types de personnel de santé. 3e écueil : on pourrait croire qu’un parcours de malade = linéaire, obstacles à franchir par le malade, qqch de figer et qui peuvent catégorisé les malades et le regard qu’on leur porte. Les intérêt de la notion de « trajectoire de maladie » est, d’après A. Strauss, d’éviter « la trame de la négociation », de retracer la vie du malade depuis son entrée dans la maladie. Dans les institutions, comme dans les hôpitaux psychiatriques, connaitre ces intérêts leur permet de rendre le corps plus docile et maniable grâce à l’utilisation de situations d’humiliations afin que l’individu se soumette aux règles de celle-ci. Une trajectoire se caractérise par 7 phases qui peuvent ou non être chronologique selon l’individu. En effet, certaines personnes peuvent rester plus longtemps dans une phase que d’autre, peuvent en sauter, …. D’après Strauss et ses collaborateurs les phases d’une trajectoire de maladie sont : 2. Pré trajectoire : catégorisation des trajectoires avant la naissance de la maladie 3. Amorce de la trajectoire : premiers symptômes et diagnostic 4. Phase de crise : hospitalisation 5. Phase aigüe : hospitalisation 6. Phase stable : contrôlée par les traitements 7. Phases instables : les symptômes ne sont plus contrôlés 8. Comeback : phase de rémission où la maladie n’est pas forcément active De plus, l’évocation de ces phases et des parcours de malades peut avoir un impact sur les personnes qui vivent les mêmes problèmes et qui peuvent prendre conscience qui ne sont pas seuls et qu’au bout de leurs souffrances il y a des solutions.

II) 1) Production sociale des inégalités de santé Tous d’abord nous pouvons dire que l’idée qu’une personne soit malade ou en bonne santé est une pensée individuelle. Cependant l’idée que la maladie est individuelle est contestée par les sciences sociales. La santé et la maladie ont toutes deux une dimension sociale.

La santé et maladie ont Une dimension collective : -

Effort pour soutenir une personne malade Conséquences des épidémies Espace politique

Dimension individuelle :

-

Origine sociale Accès au lieu de soins Lieu d’habitation

De plus selon les sciences sociales, les disparités physiques entre les individus ne sont pas fondées de manière absolue en nature ou sous une sorte d’essence biologique. Les disparités physiques serait déterminées par les inégalités de la société. Cela signifie qu’en tant que sociologue nous pouvons nous demander qu’elle sont les sources des inégalités de santé ? Est-ce que la société contribue à produire des inégalités de santé.

En faisant des statistiques, on remarque que certaines personnes sont plus propices à la maladie que d’autres. Ceci est bien dû à un impact social. Mesure des inégalités de santé : -

Fréquence d’handicap moteurs/mentaux Espérance de vie Qualité de vie Taux de morbidité Taux de mortalité

En effet, l’espérance de vie diminue dans les pays les plus pauvres. Le risque pour un ouvrier de mourir à 30 ans est 3X supérieur que pour un ingénieur.

Il existe donc des inégalités entre les individus qui touchent leur espérance de vie et leur qualité de vie et ces inégalitées sont bien du a un impact social. 2)impact des inégalité sur la santé

Nous avons donc vu que la société produit des inégalités, cependant nous pouvons nous demander quels impact ont ces inégalités. Pour cela nous allons prendre comme exemple la pathologie du cancer qui est une pathologie à fréquence élevée dans tous les pays industrialisés avec une survie médiocre. En France le cancer est la première cause de mortalité. Plus le Statut économique de la personne atteinte du cancers est bas, plus le taux de mortalité par cancer est élevée Deux hypothèses avancées par les sociologues : 

Le risque d’avoir un cancer est lié au statut économique



Le temps de vie des individus une fois le cancer déclaré peut-être dû au statut économique

En France chez les femmes, le cancer du sein est le plus fréquent. Cancer du poumon pour les hommes.Le cancer Colorectal est le deuxième cancer le plus fréquent chez les 2 sexes => 33 000

nouveaux cas chaque année. Le risque de survenu du cancer colorectal est dû à la localisation dans le tube digestif et dû au sexe. Nous observons que : Le pronostic vital du cancer colorectal est plus vite engagé pour les ouvriers et paysans. De plus la mortalité du cancer du poumon est en augmentation chez les hommes et chez les femmes. Une étude montre que dans une entreprise française ce sont les plus bas dans la hiérarchie qui subissent des cancers du poumon. Les cancers sur les voies aéro-digestifs supérieurs sont fréquents et graves chez les hommes. Ils sont plus fréquents chez les hommes avec un statut économique bas.

De manière générale, les études montrent que le statut économique détermine le risque de cancer et le pronostic vital du cancer. Certains types de cancer (œsophage, utérus, aéro-digestifs) sont plus fréquent dans les milieux défavorisés.Les cancers du sein et côlon sont plus fréquents dans les groupes économiques favorisés. Avec des taux d’incidence moins marqués chez les femmes.

3) les inégalité lié au stigmate La stigmatisation est un sujet qui a été aborder dans un premier temps par les psychologue mais en 1963, Goffman « Stigmate » va s’intéresser aux situat° qui vont disqualifier un indivs et empêcher d’être accepté dans la société c’est-à-dire aux stigmate. Il va éclaircir le lien entre stigmate et déviance en remarquant que une personne qui a un stigmate est concidéré comme en dehors de la norme. Aujourd’hui nous considérons qu’il existe 3 types de stigmate. 1. Les monstruosités du corps (1963) = particularités et formes de la morphologie qui sortent des normes 2. Les tares de caractères = caractères du fait d’avoir été emprisonné, personnes droguées alcooliques, LGBT, extrême gauche  1991 : l’OMS enlève les personnes homosexuelles des maladies 3. Tribaux : rattache à une ethnie particulière, hiérarchisation des origines, couleurs de peau, … Comment les personnes stigmatisé gèrent face à d’autres indivs, comment tenté de restaurer l’image d’eux-mêmes pour eux et les personnes alentour, on expose ? on dit ? on ne dit pas ? où est-ce qu’on dit – ne dit pas ? comment on dit – ne dit pas ? Le contrôle du stigmate pour Goffman renvoi à 4 techniques : 1) dissimulation 2) imputation à une autre origine 3) maintien d’une certaine distance sociale avec l’entourage pour faire ses aveux/confidences ou que la maladie se voit 4) Dévoilement volontaire : cas où les pers prennent le risque d’être discriminé...


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