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Examen Intra : Psychologie de la personnalité 14 octobre 2020 Cours 1 – La théorie de la personnalité Chapitre 1 (p. 4 à 18) Pourquoi étudier la personnalité : - Elle nous permet d’étudier l’individu dans son entier - La personnalité fait partie de la vie quotidienne nos interactions, nos choix, nos comportements, etc. - Le pourquoi du comportement des gens - Fascinant - Utile dans nos vies, substance scientifique sur nos idées - Émotions, cognitions, comportements sont au cœur des dimensions qui composent le cours de psychologie de la personnalité 1. Pour les gens ordinaires, l’études de la personnalité est fait de réflexions courantes, spontanée sur la personnalité. Exemple : Telle personne est honnête, telle personne est gentille, etc. 2. Pour les théoriciens de la personnalité : La personnalité est décrite à partir de théories scientifiques structurées. - Différences dans la manière de chercher des réponses - Gens ordinaires font souvent références à eux-mêmes Quoi en étudiant la personnalité : Les 5 objectifs des théoriciens de la personnalité : 1. Observations scientifiques méticuleuses : - Reproductible - Groupes nombreux et variés - Utiliser des instruments spécialisés qui peuvent apporter des preuves - Objectivité, et ce, même si chacun a son point de vue de la personnalité 2. Une théorie systématique : - Concepts bien agencés les uns avec les autres - La théorie sert à expliquer ce qui est observé dans les recherches - Doit expliquer les liens entre toutes leurs idées pour élaborer une bonne théorie, liens harmonieux entre les idées 3. Une théorie vérifiable : - Preuves scientifiques objectives à l’appui - Plus difficiles avec la personnalité, car comporte des aspects psychiques complexes (rêves, buts, mécanismes de défense inconscients) - Mesures claires qui permettent de vérifier si oui ou non ils ont raisons

4. Une théorie exhaustive : - Capacité de répondre à plusieurs questions en plus de bien expliquer la structure, les processus, la croissance et développement, les psychopathologies et les changements du comportement. - Les théories exhaustives répondent aux trois questions (qui, comment et pourquoi) 5. Une théorie avec des applications : - Le savoir obtenu a des bénéfices (utile) - Applications pratiques Utilisation de la psychologie de la personnalité : 1. S’intéresse aux individus dans leur totalité, leur intégrité, leur cohérence, leur unicité 2. Permet d’élargir le champ intellectuel  Élargir les croyances sur les gens Définition scientifique de la personnalité : - Caractéristiques de la personne qui contribuent à sa manière habituelle et distinctive de sentir, penser et de se comporter. 1. Contribuent : Liens de causalité entre caractéristiques psychiques et tendances distinctives et habituelles. 2. Habituelle : Caractéristiques qui sont constantes dans le temps et dans les différentes situations de la vie, modes et fonctions stables (peut quand même changer au fil du temps et des situations). 3. Distinctive : Distingue les individus les uns des autres (caractéristiques psychiques). 4. Sentir, penser et de se comporter : Étendu sur tous les aspects de la vie des individus La personnalité n’est pas fixe, évolue avec le temps, la culture, l’environnement, la génétique Toutes les théories élaborées veulent répondre au Qui, Comment et Pourquoi. Comment étudier la personnalité, pour y arriver ils utilisent les axes et les six approches théoriques de la personnalité : 1. Structure de la personnalité, composantes de base 2. Processus de la personnalité (dynamique) 3. Croissance et développement 4. Psychopathologie et changement dans le comportement La structure : - Éléments constitutifs, cadre - Concepts stables et durables de la personnalité, qualités qui définit un individu et le distinguent des autres - À la base de toutes les théories de la personnalité - Exemple : Unité d’analyse (variables de base) d’une chaise : le poids, le coût, la conception, les matériaux. Bien que tout inter-reliées, toutes distinctes. Même chose pour les concepts de base des théories de la personnalité Unité d’analyse utilisée en psychologie de la personnalité :

1. Trait de personnalité : Tendance naturelle à faire quelque chose Exemple : Mon amie est honnête, parce qu’elle l’est de manière habituelle et parce qu’elle est plus honnête que la majorité. 2. Type : Regroupement de plusieurs traits Exemple : Combinaisons de plusieurs traits qui donnent trois types de personnalité 1. Les personnes qui réagissent de manière adaptive et résilient au stress psychologique. 2. Ceux qui réagissent de manière inhibée en situation sociale ou qui retiennent exagérément leurs émotions. 3. Ceux qui réagissent de manière désinhibée ou qui expriment exagérément leurs émotions. 3. Système : Ensemble de parties liées entre elle de multiples façons et qui produisent un comportement qui reflète les parties de l’individu et leur organisation. - Les théoriciens qui utilisent les systèmes comme unité d’analyse étudient normalement plus les liens entre les unités et leur organisation, que les unités elles-mêmes. * Notion unité d’analyse pas à l’examen, pertinent pour compréhension Hiérarchie : Important dans l’étude de la structure de la personnalité - Certaines composantes ont plus ou moins de poids - Certaines théories se distancent du concept de hiérarchie Les processus : - Courant rapide et dynamique des motivations, des émotions et des actions (réactions psychologiques qui varient) - Liens avec motivation, différences des théoriciens résident dans l’approche adoptée au regard de la motivation Croissance et développement : - Comprendre le développement de la personnalité - Comprendre ce qu’un individu est dans le moment présent, mais aussi comment il l’est devenu - Naissance, puberté 2 parties à l’étude de la personnalité : 1. Définir les modes de développement communs à la plupart (stades, émotions, motivations) 2. Comprendre les facteurs développementales qui contribuent aux différences individuelles Rôle de la nature (génétique) et de la culture qui agissent ensemble pour forger la personnalité - Génétique : Tous ont les mêmes mécanismes psychiques qui nous prédisposent à répondre à l’environnement (favorable dans l’évolution ?) - Environnementaux : Culture (rituels, croyances, etc.), classes sociales (inférieure ou supérieure) (influe perception de soi et des autres), famille (enfants réagissent chacun à leur manière) (famille chaleureuse, calme, hostile) (famille influe par leurs comportements, leurs habitudes, modèle pour les enfants, différentes récompenses et punitions selon le comportement), les pairs (amis, certains pensent que plus d’influence que la famille).

Psychopathologie et changement : - Résoudre les problèmes pratiques - Théories nécessaires afin de déterminer les causes d’un problème et les facteurs susceptibles d’amener un changement (thérapie) - Interventions, thérapies, souffrances, développement de troubles mentaux, perturbations, maladies, détresse Une théorie ne peut être complète si elle n’aborde pas tous les axes ci-dessus. Par contre, certaines théories couvrent mieux un axe que d’autre.

Cours 2 – L’étude scientifique de l’être humain Chapitre 2 (p. 29 à 57) 4 façons de recueillir des données : 1. Demander directement à l’individu 2. Observer dans son quotidien l’individu 3. Demander à une proche 4. Remplacer observations subjectives ou jugements par des données objectives 2.1 Les types de données : 1. Les données biographiques (L) : - Proviennent de documents existants Exemple : Dossier scolaire, casier judiciaire - Il faut se tourner vers d’autres sources, parce qu’il n’existe pas ce type de données pour la personnalité, plus un complément. - Forces : Ce sont des données objectives, des faits. On peut aussi trouver certaines opinions comme le livre des finissants. - Faiblesses : Parfois difficile d’accès (dossier médical, casier judiciaire) 2. Observations (O) : - Provient de l’observations du comportement des individus - Fournis par des observateurs informés, souvent les proches (observations indirectes) - Souvent ils remplissent un questionnaire pour évaluer les caractéristiques de la personnalité de l’individu ciblé - Parfois plus d’un observateur pour vérifier la concordance et la fidélité des observations - Peut aussi être recueillis par le chercheur lui-même (observations directes) - Forces : Complément intéressant aux données issues d’auto-description - Faiblesses : Plutôt subjectif 3. Les résultats d’épreuves (T) : - Soumis à des épreuves expérimentales pour mesurer rendement ou capacité d’effectuer des tâches précises - Mesure des connaissances et habiletés des individus à l’aide de tests psychométriques standardisés ou d’étude en laboratoire - Forces : Mesures objectives - Faiblesses : Long à administrer et couteux à développer ce type d’épreuve. 4. L’auto-description (S) : - Renseignement qu’un individu donne sur lui-même - Par l’entremise de questionnaire - Forces : Facile à administrer, peu couteux, possibilité d’en recueillir en grande quantité - Faiblesses : Individu peut ne pas avoir conscience de ses caractéristiques psychologiques 2.1 La personnalité et les données du cerveau :

Deux types de données sur le fonctionnement du cerveau : 5. L’électroencéphalogramme (EEG) : - Test qui permet d’enregistrer l’activité électrique du cerveau - Des électrodes placées sur la tête captent les ondes émises par le cerveau et permet de déterminer les zones du cerveau qui sont activé à un moment précis - Corrélations entre signaux EEG et traits de la personnalité - Avec l’état psychologique et EEG, on peut déterminer les régions où logent des états et des fonctions psychologiques spécifiques 6. L’imagerie par résonnance magnétique (IRMf) : - Permet de mesure les variations du flux sanguin dans le cerveau pendant une tâche - Un champ magnétique et la fréquence radio stimulent les atomes d’hydrogènes - Permet de localiser les zones d’activation cérébrales Forces pour les deux données : Objectif Faiblesses pour les deux données : Accès restreint, très couteux  Ces types de données permettent de faire des liens entre la biologie et la psychologie, découvrir les foncements biologiques à des processus et structure lié à la personnalité avec l’aide des autres catégories de données psychologiques. 2.2 Les types de mesures (nomothétiques et idiographiques) 1. Les mesures nomothétiques : - Approche fixe : Les mêmes procédures de mesure sont appliquées à tous, de la même façon. - Objectif : Trouver des caractéristiques communes à un grand nombre d’individus. - On cherche une loi qui registre le fonctionnement de tout le monde. - Même questionnaire à tout le monde et même interprétation - Forces : Simple et rapide - Faiblesses : Parfois non applicable (certains individus sont incapables d’omettre des traits qui leur sont propre), manque d’exhaustivité 2. Les mesures idiographiques : - Approche flexible : Les procédures de mesures sont adaptées selon les particularités des individus, questions personnelles et interprétation. - Objectif : Dresser le portrait de l’individu donné - Questionnaire distribué, mais la personne indique quelle question est moins pertinente pour elle, ou encore des questions ouvertes - Adapté aux individus, permet de surmonter les limites de la mesure nomothétique - Forces : Personnalisé, exhaustif - Faiblesses : Plus long, plus complexe 2.3 Les buts de la recherche : fidélité, validité et éthique Concordance : Une meilleure concordance dans les sources de données rehausse la validité de la conclusion. Le principe de concordance va rehausser la confiance qu’on a été capable de cerner un attribut de la personnalité (comportement, pensées inconscientes). Cette concordance fait que les chercheurs vont privilégier un type de donnée plutôt que les autres.

Fidélité : Reproductible par un autre chercheur, mesures fiables, stables - Moyen pour vérifier la fidélité : 1. cohérence interne d’un test (a) 2. Stabilité temporelle, test-retest (r) 3. Fiabilité interjuges (k) Validité : Reflète le phénomène, mesure capte réellement la qualité psychologique qu’elle est censée mesurer et si cette mesure varie selon cette quantité. Pas supposé corréler

La base Corrélation

Démontrer les différents items, capable de le prouver, les réponses suivent les idées

Le test est-il vraiment lié à autre chose dans la vie ?

Permet encore de vérifier que les gens qui ont répondu au test, est-ce que ça fait du sens dans un groupe que je connais les attributs.

-Moyens pour vérifier la validité : 1. Exhaustivité du contenu par rapport aux construits ciblés 2. Validité de la structure factorielle du construit 3. Corrélation avec un critère externe réaliste 4. Différences observées pour des groupes contrastés - Évalue bien le phénomène d’intérêt plutôt qu’un autre Éthique : Science qui s’appuie sur des valeurs de transparence, sujets qui participent sont consentants. - Touche le déroulement, l’analyse et la divulgation de résultats - Plan moral, respect dignité et le bien être des participants - Soins responsables - Intégrité dans les relations, ne pas mentir aux participants, tromperie acceptée, mais balisée de façon très serrée - Responsabilité envers la société : donner l’heure juste dans les résultats de recherche, sans exagération et devoir de rapporter les résultats et influencer société pour utiliser les résultats aux mieux 2.4 Les trois méthodes de recherche 1. L’étude de cas : - But : Étudier l’individu de manière détaillée - Meilleur moyen de saisir la personnalité selon plusieurs psychologues - Comment ? Le psychologue interagit de manière prolongée avec la cible de l’étude (entrevue) ou sous forme de questionnaire parfois

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Méthode idiographique (portrait générale d’une personne en particulier) Les traitements cliniques utilisent l’étude de cas pour décerner la meilleure intervention selon besoin du patient Permet compréhension des structures et des processus psychologiques les plus importants Informations sur la personne, sur les individus et sur l’environnement qui l’entourent Forces : Exhaustive, approfondie et « chaleureuse » Faiblesses : Subjectif, peu généralisable, pas de liens de causalité Types de données : Auto-description et parfois accès données biographiques

2. Recherche corrélationnelle : - Test et questionnaire de personnalité quand il est impossible ou qu’il n’est pas souhaitable d’étudier les individus en profondeur, ou pas accès au laboratoire - La psychologie veut connaitre les relations entre les variables de la personnalité (coefficient de corrélation) - Forces : Plusieurs variables, grands échantillons, fidélité - Faiblesses : Moins exhaustif, plus en surface, pas de liens de causalité - Méthode nomothétique - Types de données : Auto-description 3. Recherche expérimentale : - Le devis de recherche « idéal », habituellement en laboratoire (mais pas exclusivement) - Devis qu’on manipule une variable pour savoir l’effet sur une autre variable et établir une causalité - De manière aléatoire - Forces : causalité, unique option pour étudier les processus complexes de la personnalité - Faiblesses : Artificiel, peu généralisable, biais possibles (ajustement de la performance selon l’environnement du laboratoire), reposent sur conclusions subjectives du chercheur

Cours 3 – L’approche psychodynamique de Freud Chapitre 3 (p. 60 à 68; 71 à 88; 90 à 94) et chapitre 4 (95 à 107; 128 à 132) 1.1 L’idée centrale de la théorie de Freud selon Jean Gagnon L’inconscient  Pour donner du sens aux émotions ou aux actions hors de notre compréhension - L’inconscient est basé sur les patients hystériques qui étaient une énigme pour la médecine de l’époque (aucune causes physiologiques) - Élément clé amené par Freud et qu’on retrouve dans toutes les écoles de pensée en psychanalyse, mais sous différentes formes - L’humain obéit à des motivations inconscientes - On agit plus souvent influencé par les processus inconscients. On agit et s’il y a constatation nous allons trouver des excuses - Aspect heuristique, guide la recherche pour en découvrir davantage Méthodes d’investigation psychanalytique : Libre association et hypnose - Sert à découvrir les sens des actes manqués dans l’inconscient 1.2 Introduction à la méthode d’investigation psychanalytique 1. But de l’étude de l’inconscient : Expliquer ce que les sciences naturelles et la médecine ne pouvaient pas expliquer à ce jour. Dans son cas, Freud souhait comprendre ces épisodes d’angoisse suite à la mort de son père (débute autoanalyse). 2. Première manifestation de l’inconscient : - La méthode cathartique : Faire sortir une émotion enfouie dans sa mémoire par la parole. - 1ère découverte : Confirme la vision de Freud voulant que l’esprit humain soit une source d’énergie. Libération de cette énergie associée à des souvenirs depuis longtemps enfouis qui entraîne une amélioration de l’état du patient. - 2e découverte : Contenu mental qu’on a aucune conscience est constamment actif dans notre cerveau. Psychisme est constituée de deux parties : idées conscientes et idées inconscientes 3. Freud débute son autoanalyse, investigation des rêves : rêves qui révèlent les pensées et désirs inconscients 1.3 Les actes manqués Définition des actes manquées : - Actes habituellement réussis où le résultat explicitement visé n’est pas atteint, mais se trouve remplacé par un autre. Formation de compromis : - Forme qu’emprunte les pensées refoulées de la personne pour être admise dans sa conscience. - Ils font retour dans les rêves, actes manqués ou symptômes.

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Les pensées refoulées sont déformées par la censure. Dans la même formation de compromis peut se satisfaire les désirs inconscients et la partie défensive de la personne.

Retour du refoulé : - Éléments refoulés apparaissent sous forme de compromis, retour à la conscience. Quelque chose de réel qui se manifeste dans les actes manqués Les trois groupes d’actes manqués : 1. Lapsus – raté de la parole 2. Les oublis – raté de la mémoire 3. Maladresse – raté de l’action - Ils sont des erreurs qui ont du sens pour découvrir notre inconscient - Signes de l’inconscient qui révèlent une tendance cachée Le refoulement : - Opération non consciente qui cherche a repousser ou maintenir des contenus dans l’inconscient (pensées, images et plus encore que la satisfaction provoquerait du déplaisir par rapport à d’autres instances de la personnalité (Moi et Surmoi). La répression : Faire disparaître de la conscience un contenu déplaisant. Conscient et inhibiteur 2.1 Introduction à la structure dans la théorie de Freud L’appareil psychique : - Considérer l’esprit comme une partie du corps. - Énergie psychique est générée par l’énergie physique produite par le corps - Selon Freud, l’esprit permet de stocker de l’information et fait des choses aussi, pulsions actives qui exercent une force, une pression 1. On dispose d’une quantité limitée d’énergie 2. Lorsque l’énergie qui s’exprime par une certaine voie est bloquée, elle ne disparait pas, mais elle va trouver une autre voie qui offre moins de résistance, une autre activité pour libérer cette énergie. 3. L’appareil fonctionne dans le but de maintenir à un niveau aussi bas que possible ou aussi constant que possible la quantité d’excitation qu’il contient. (Exemple : Tension quand on a faim, le corps va trouver quelque chose pour retrouver un état de quiescence) Point de vue topique : Les éléments constitutifs évoluent et changent à travers les trois périodes de l’œuvre de Freud. Division de l’appareil en deux parties : Correspond à la première et la deuxième topique qui sont complémentaire l’une à l’autre. - La 1ère topique : Conscient, Préconscient et Inconscient - La 2e topique : Moi, Ça et Surmoi Vision de l’humain selon Freud : - Culture occidentale : Individu est fondamentalement bon, la société le corrompt

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Freud : Les pulsions sexuelles et agressives sont innées. L’individu cherche toujours à satisfaire ses pulsions et la société doit réfréner ces tendances biologiques naturelles (réprimer).

2.2 La première topique Deux caractéristiques de la structure : - Censure qui empêche le passage d’un système à l’autre - Lieux virtuels et non atomiques (conception psychique de l’esprit, manque de moye...