Examen 2017, questions et réponses PDF

Title Examen 2017, questions et réponses
Course Introduction à la gestion
Institution Université d'Aix-Marseille
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Summary

Introduction à la gestion
...


Description

Année Universitaire 2016/2017 Session ☒ 1 ☐ 2 Semestre :

NOM DE L’EPREUVE

Introduction à la gestion

Durée de l’épreuve

1H30

Nom de l’enseignant

GASTALDI Lise

Année et Mention

Lieu d’enseignement

Matériels autorisés

Consignes spécifiques

☒1

☐2 ☐6

L1

☒Tronc commun // ☐AES☐EG //☐MIASHS

L2

☐AES☐  EG 

L3

☐AES ☐  EG ☐MIASHS  

☐3

☐4

☐5

☐MIASHS

Aix en Provence ☒Marseille  ☒

☒Ni document Ni calculatrice ☐ Calculatrice (quel que soit le modèle) ET Documents ☐Calculatrice fournie à l’étudiant par la Faculté ET sans documents ☐Documents (précisez :……………………………….……..) ET sans calculatrice ………………………………………………………………………………………………………………. Sujet de type QCM : répondre sur la grille prévue à cet effet et rendre uniquement cette grille à l’issue de l’examen ………………………………………………………………………………. ………………………………………………………………………………………………………………. ………………………………………………………………………………………………………………. ………………………………………………………………………………………………………………. ……………………………………………………………………………………………………………….

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Introduction à la gestion, L1 AES et EG

SUJET 1 corrigé Pour chaque question, il n’y a qu’1 seule bonne réponse que vous devez donc cocher sur la grille (selon les questions vous devez repérer la seule réponse juste, ou repérer celle qui est la plus complète et la meilleure parmi celles proposées). Pas de point négatif en cas de mauvaise réponse.

Séance d’introduction (L. Gastaldi et C. Krohmer) 1. L’entreprise désigne : A. Une forme juridique précise B. Forcément une structure détenue par des actionnaires privés qui recherchent le profit C. Un terme général sans valeur juridique, puisqu’il existe une pluralité de formes juridiques très variées qui entrent sous l’appellation générale d’entreprise D. Un terme général sans consistance juridique en tant que tel, puisque le terme entreprise renvoie à divers types de sociétés privées telles que les EURL, les SARL ou encore les SA. 2. L’organisation est : A. Un concept utilisé pour désigner l’action collective quelle qu’elle soit B. Un concept utilisé pour désigner une action collective structurée notamment autour d’une division et d’une coordination du travail C. Un équivalent parfait d’entreprise D. Un terme désignant l’action collective dans le cadre d’une entreprise 3. Les pratiques de gestion : A. Se sont développées avec le développement des grandes firmes multinationales au cours des vingt dernières années avec la mondialisation B. Ont toujours existé (ou presque) mais se sont développées et professionnalisées au cours du temps et notamment du 20ème siècle C. Se sont développées dans les entreprises privées, la gestion ne s’appliquant pas aux entreprises publiques ou aux associations D. Se sont avant tout développées dans les TPE 4. La gestion, telle qu’appréhendée dans ce cours : A. Renvoie à des pratiques plus anciennes, moins modernes, que le management B. Désigne les seules pratiques de gestion comptable et financière des entreprises, quand le management renvoie aux aspects plus stratégiques C. Est un synonyme de management D. Renvoie à des pratiques concrètes dans les entreprises, quand le management renvoie à des théories scientifiques

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Séance sur le management des systèmes d’informations (C. Godé) 5. Le cloud computing permet à l’entreprise : A. De virtualiser ses données B. D’améliorer ses compétences en maintenance informatique C. D’avoir davantage de capacité de stockage (serveurs) en interne D. De faire de la recherche et développement 6.

Le système d’information : A. Se résume aux technologies qui le composent B. Articule des technologies, des processus organisationnels et des usages d’utilisateurs finaux C. Représente un ensemble de systèmes automatisés et robotisés D. Est un outil de navigation sur Internet

7.

Les fonctionnalités des technologies renvoient à leurs capacités : A. De saisie, stockage, analyse et transmission B. Décisionnelles et transactionnelles C. D’automatisation et de robotisation D. D’innovation et de création de richesses

8.

Un processus transactionnel est relatif : A. À la diffusion d’information dans l’entreprise B. À la prise de décision dans l’entreprise C. Aux capacités d’innovation de l’entreprise D. À l’exécution des activités opérationnelles de l’entreprise

9.

L’introduction d’un système interactif d’aide à la décision est cohérente si elle supporte : A. Le processus décisionnel collectif B. Le processus décisionnel individuel C. Le processus décisionnel inter-organisationnel D. Le processus décisionnel organisationnel

10. Dans le modèle d’acceptation de la technologie, l’utilité perçue se réfère : A. À la perception de l’utilisateur que la technologie améliorera ses performances au travail B. À la perception de l’utilisateur que la technologie sera facile à utiliser C. À la perception du manager que la technologie conduira les utilisateurs finaux à résister D. À l’attitude générale de l’utilisateur final vis-à-vis de la technologie 11. Le changement peut être défini comme : A. Un processus entrainant l’apparition de conflits entre le management et les acteurs de terrain B. Un processus entrainant l’apparition d’une différence de rythme dans le fonctionnement du système organisationnel C. Un processus entrainant l’apparition d’une différence de forme, qualité ou état d’une caractéristique de l'organisation D. Une progression cumulative de nombreux micro-événements

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12. Une des formes de résistance au changement technologique est l’argumentation. L’argumentation renvoie à : A. Un processus de négociation sur l’ensemble des aspects du changement B. Une action syndicale C. Des démarches de dénigrement D. Une fausse acceptation du changement 13. La communication représente un dispositif de gestion du changement technologique et de la résistance. Pour être efficace, elle doit être : A. Descendante B. Ascendante C. Participative D. Directive 14. Avec la communication, un autre dispositif de gestion du changement technologique et des résistances peut être mis en place. Il s’agit : A. De chartes d’utilisation des technologies B. De réunions avec la direction C. De publications internes D. De formations

Séance sur les PME (T. Metailler) 15. Pour qu’une entreprise soit catégorisée en tant que PME, son effectif doit être : A. Supérieur à 250 salariés B. Inférieur à 250 salariés C. Inférieur à 500 salariés D. Supérieur à 500 salariés 16. En PME la faible spécialisation du travail est relative à : A. Une proximité spatiale B. Une proximité fonctionnelle et un ajustement mutuel C. Un système d’information de proximité D. Une proximité cognitive 17. Parmi les propositions suivantes, une seule est inexacte, laquelle ? L’entrepreneur est qualifié par : A. Sa capacité à combiner les ressources B. Sa capacité à apprendre en faisant C. Sa capacité à développer une vision stratégique à long terme D. Sa capacité de réaction 18. La proximité cognitive se concentre sur : A. La connaissance individuelle et collective B. L’organisation du travail C. Le suivi de l’activité concurrentielle D. La productivité de l’entreprise

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19. D’après la liaison « buts-environnements » développée par Marchenay (1990), on observe que la petite entreprise : A. Doit s’intégrer et se faire accepter en adhérant aux valeurs, aux attentes de l'environnement sociétal et industriel B. Doit imposer ses propres choix stratégiques, ses propres valeurs C. Ne doit pas tenir compte de l’environnement D. Doit se concentrer sur sa gestion interne 20. Trois dimensions permettent selon Wenger (1998) de caractériser une communauté de pratique. Parmi les propositions suivantes une seule est inexacte, laquelle ? A. L’engagement mutuel B. Une entreprise commune C. Un répertoire partagé D. Les moyens techniques mobilisés

Séance sur logistique, production et approvisionnement (E. Kacioui-Maurin) 21. La logistique peut se définir comme … A. Le pilotage et la gestion des flux physiques par des flux d’informations. B. Le pilotage et la gestion des flux d’informations par les flux physiques afin de satisfaire les exigences des organisations. C. La coordination des opérations intra et inter-entreprises. D. Le pilotage et la gestion des flux de biens matériels ou immatériels par des flux d’informations afin de satisfaire les exigences du client. 22. Toute démarche logistique s’appuie sur un équilibre entre … A. Le coût, la qualité et les délais. B. L’offre et la demande. C. Le coût et les délais. D. Les délais, la qualité et la performance. 23. La fonction logistique peut être considérée comme … A. Une fonction transversale, prenant part aux décisions stratégiques. B. Une fonction externalisée auprès de transporteurs. C. Une fonction support, en charge de la réussite opérationnelle. D. Une fonction support, en charge de l’organisation et de la structuration de flux. 24. Une chaîne logistique se pilote … A. À partir des compétences et des ambitions stratégiques d’une entreprise. B. À partir des besoins exprimés ou latents sur le marché considéré, en s’appuyant sur les ressources et compétences de chaque entreprise la constituant. C. À partir des ressources disponibles sur le marché. D. À partir des « ambitions stratégiques » des acteurs constituant la chaîne logistique.

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25. Le « sourcing lointain » caractérise… A. Des politiques d’achat diversifiées. B. Des pratiques d’externalisations visant à réduire les coûts logistiques. C. Des chaînes logistiques étendues géographiquement et faisant appel à un grand nombre d’entreprises. D. L’approvisionnement auprès de fournisseurs étrangers pouvant se trouver très éloignés du lieu de distribution ou de production (lorsqu’il s’agit de produits semi-finis). 26. Parmi les propositions suivantes, une seule est inexacte. La logistique est considérée comme un élément de différenciation car … A. Elle permet de réduire le coût global de circulation physique. B. Elle peut être externalisée. C. Elle augmente le niveau de service jusqu’à l’utilisateur. D. Elle améliore la qualité, la disponibilité et la fiabilité des produits/services. 27. La fonction distribution : A. Est externalisée auprès de prestataires spécialisés. B. Est le maillon le plus vulnérable de la chaîne. C. Est pilotée par les distributeurs. D. Ne concerne pas le pilotage logistique. 28. La logistique se scinde habituellement en plusieurs phases ; on distingue notamment… A. L’amont (approvisionnement, gestion des stocks), la production (organisation, réalisation) et l'aval (distribution). B. L’amont (approvisionnement et organisation) et l'aval (production et distribution). C. Le support logistique, l’organisation et la structuration des flux et le développement opérationnel. D. Le transport et la distribution. 29. Parmi les propositions suivantes, une seule est inexacte. La logistique est au premier plan à cause de … A. L’internationalisation des marchés. B. Le développement des sociétés de transport. C. La restructuration de la distribution. D. Les exigences accrues des consommateurs. 30. Parmi les propositions suivantes, une seule est inexacte. En l’absence d’une démarche logistique « forte » : A. Des stocks démesurés se forment. B. La fonction production assure la coordination entre les achats et la distribution. C. Les moyens logistiques sont sous-optimisés. D. Des incohérences techniques et organisationnelles s’observent. 31. Une chaîne logistique se caractérise par … A. Des acteurs interfacés. B. Des flux. C. Des acteurs interfacés et des flux associés. D. L’échange de biens et de services.

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32. La coordination des opérations logistiques s’opère A. À l’intérieur de chacune des fonctions de l’entreprise. B. Au sein de l’entreprise. C. Entre toutes les entreprises d’une chaîne mais pas au sein de l’entreprise. D. Au niveau fonctionnel, organisationnel et inter-organisationnel. 33. La gestion globale des ressources et la coordination entre les activités A. Caractérisent le taylorisme. B. Caractérisent le fordisme. C. Caractérisent le toyotisme. D. Sont des utopies organisationnelles. 34. Parmi les propositions suivantes, une seule est inexacte. Les coûts logistiques concernent : A. Les coûts de transport. B. Les coûts d’entreposage. C. Les coûts de la logistique inverse. D. Les coûts d’approvisionnement.

Séance sur la GRH (C. Krohmer) 35. Lors de l’essor de la fonction ressources humaines, l’homme au travail est perçu : A. Comme un être complexe dont les leviers de motivation sont variés B. Comme un être essentiellement mû par les intérêts économiques C. Comme un mercenaire qui cherche avant tout à développer sa propre carrière D. Comme un être recherchant avant tout l’acquisition de nouvelles compétences 36. Lors de l’émergence de la fonction ressources humaines… A. Il s’agissait de gérer de manière individualisée les salariés B. La FRH s’occupe principalement de la gestion administrative des salariés C. La FRH se définit comme une fonction support qui tient compte et anticipe les ressources humaines nécessaires au développement de l’entreprise D. La FRH a été amenée à gérer de nombreuses restructurations 37. Lors de la contre-offensive de la fonction ressources humaines… A. Le travail est géré de façon individualisée et l’emploi de façon collective B. Le travail et l’emploi sont gérés de façon individualisée C. Le travail et l’emploi sont gérés de façon collective D. Le travail est géré de façon collective et l’emploi de façon individualisée 38. Dire que la nature des fonctions et le mode de structuration du service ressources humaines sont contingents signifie que : A. Ces éléments dépendent de l’environnement externe et de l’environnement interne à l’organisation B. Ces éléments sont stratégiques pour le fonctionnement de l’organisation C. Ces éléments structurent le fonctionnement de l’organisation D. Ces éléments sont identiques quelle que soit l’organisation

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39. Acquérir les compétences des salariés d’une organisation implique A. De définir une politique de recrutement B. De mesurer l’absentéisme C. De définir des politiques de rémunération D. De contrôler le coût du travail

Séance sur la stratégie (T. Chakor) 40. Pour une entreprise, la stratégie consiste à : A. Choisir ses activités et à allouer ses ressources afin d'atteindre un niveau de performance supérieur à ses concurrents B. Choisir ses ressources afin d'être performante dans le maximum d'activités C. Privilégier la performance économique à la performance sociale D. Choisir ses activités sans tenir compte du contexte global 41. Les parties prenantes d'une entreprise sont des acteurs : A. Individuels ayant un intérêt dans l'action de l'entreprise B. Individuels et collectifs concernés directement ou indirectement par l'action de l'entreprise C. Collectifs ayant un intérêt dans l'action de l'entreprise D. Individuels et collectifs prenant partie pour un acteur de l'entreprise 42. Les trois piliers fondamentaux de la stratégie d'entreprise sont : A. Le choix des activités, le choix des ressources et le choix des concurrents B. La création de richesse, l'affrontement concurrentiel et le choix du marché C. La création de valeur, l'affrontement concurrentiel et le choix du périmètre des activités D. La création de valeur, l'analyse de marché et le choix du périmètre d'action 43. Les étapes de la démarche d'analyse stratégique sont dans cet ordre : A. Auto-diagnostic, Analyse de l'avantage concurrentiel, Analyse du macro-environnement, du micro-environnement et Mise en œuvre de la stratégie B. Analyse de l'avantage concurrentiel, Auto-diagnostic, Analyse du macro-environnement, du micro-environnement et Mise en œuvre de la stratégie C. Analyse du macro-environnement, du micro-environnement, Mise en œuvre de la stratégie, Analyse de l'avantage concurrentiel et Auto-diagnostic D. Analyse du macro-environnement, du micro-environnement, Auto-diagnostic, Analyse de l'avantage concurrentiel et Mise en œuvre de la stratégie 44. Pour l'entreprise, l'environnement est source : A. D'influences, de pressions, de contraintes ayant un impact sur l'entreprise B. D'influences, de pressions, de contraintes sans impact sur l'entreprise C. D'opportunités strictement économiques et financières D. D'opportunités strictement sociétales et environnementales 45. La matrice PESTEL permet de décrire les composantes de l'environnement : A. Professionnel, Environnemental, Social, Technologique et Légal B. Politique, Economique, Social, Technologique, Ecologique et Légal C. Professionnel, Economique, Social, Technologique, Educatif et Local D. Politique, Environnemental, Sociologique, Technique, Economique et Légal

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46. La matrice SWOT s'intéresse : A. Aux forces, faiblesses, opportunités et menaces de l'entreprise B. Aux capacités de réflexion et d'adaptation de l'entreprise C. À ce que l'entreprise ne peut pas faire et ne doit pas faire D. Aux valeurs de l'environnement et des dirigeants 47. La matrice LCAG s'intéresse : A. Aux ressources et activités de l'entreprise B. Aux valeurs de l'environnement et des dirigeants C. Aux résultats économiques et financiers de l'entreprise D. Aux valeurs du micro-environnement et du macro-environnement 48. Le modèle des cinq forces de Porter permet d'étudier : A. Les différents niveaux de force des concurrents B. Les forces, faiblesses, opportunités et menaces de l'entreprise C. La structure d'un environnement concurrentiel, la nature et l'intensité des forces D. Les valeurs de l'environnement et des dirigeants 49. Les cinq forces de Porter sont : A. Concurrence intra-sectorielle, Pouvoir de négociation des clients, Pouvoir de négociation des fournisseurs, Menace d'entrée de nouveaux concurrents, Menace de produits de substitution B. Force nulle, faible, moyenne, élevée, très élevée C. Force, Faiblesse, Opportunité, Menace, Pouvoir de négociation des clients et fournisseurs D. Concurrence intra-sectorielle, Pouvoir de négociation des partenaires, des clients, des distributeurs, Menace d'entrée de nouveaux concurrents 50. La matrice BCG distingue quatre situations : A. Vedettes, Vaches à lait, Dilemmes, Poids morts B. Menace, Opportunité, Force, Faiblesse C. Star, Vaches à lait, Hésitation, Abandon D. Vedettes, Opportunités, Réflexion, Poids lourds 51. La matrice BCG comprend deux axes : A. Taux de croissance du marché / Intensité concurrentielle B. Intensité concurrentielle / Taux de profit C. Taux de profit / Part de marché relative D. Taux de croissance du marché / Part de marché relative 52. Les quatre phases du cycle de vie du produit sont : A. Lancement / Développement / Crise / Disparition B. Introduction / Publicité / Succès / Échec C. Introduction / Croissance / Maturité / Déclin D. Lancement / Croissance / Décroissance / Disparition

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53. L'analyse de sa chaîne de valeur permet à l'entreprise : A. De réfléchir à l'équilibre à adopter entre activités fonctionnelles et opérationnelles B. D'anticiper les difficultés fonctionnelles et opérationnelles C. De générer de la marge D. De choisir entre Production, Distribution et Finance, GRH

Séance sur la culture (J. Vallejo) 54. En management, l’intérêt porté à la culture d’entreprise date : A. Des années 70 B. Des années 90 C. Des années 80 D. Des années 2000 55. La définition de la culture (attention dans son sens courant) : A. Valeurs, mythes et rites, partagés par le dirigeant sur le site internet afin de valoriser la place et le rôle de l’entreprise dans la société B. Valeurs, normes et pratiques, partagées par le dirigeant et le DRH sur le site internet officiel de l’entreprise, afin d’attirer les candidats et fidéliser les salariés C. Valeurs, mythes et rites, qui ont été récupérés par l’entreprise afin d’élaborer une histoire officielle de l’entreprise (ex. mythe du garage chez HP) D. L’ensemble des connaissances acquises qui permettent de développer le sens critique, le goût ou le jugement. Il s’agit des connaissances artistiques ou scien...


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