Fiche - Balzac, Gobseck, Incipit PDF

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GOBSECK - INCIPIT Ernest de Restaud Voies interposées, voie indirecte, comment se développe le prémisse narratif. Peu à peu le personnage arrive sur le devant de la scène, ce n’est plus seulement référence à un autre roman, donne l’impression que la Comédie Humaine est un univers, dont le nom propre peut être connue comme qq de la société, l’autre roman donne une impression de réel. Il décrit ce système en 33. Dans le premier paragraphe Balzac dissémine des signes que le lecteur ne peut pas complètement interpréter puisque des sonneries, des horaires, des bruits semblent régir l’espace romanesque, sans que leur signification soient toujours claires, ce jeune et joli homme comprend qu’il est tant qu’il s’en aille, Balzac souligne le fait qu’un point de vue qui a toutes les vertus du point de vue externe, ce minimum de savoir nous interdit le texte à la valeur externe, on évolue vers un point de vue omniscient, du point de vue de la jeune fille et du point de vue de la comtesse car on sait qu’elle a des craintes. « Jeune et jolie » peut faire référence de l’attitude de la jeune fille qui peut être amoureuse, une fois qu’on entend le bruit de la voiture, on est sure qu’il soit parti. Sorte de rêverie sur le personnage, a travers un petit bruit Balzac ménage la polyvalence des signes. La deuxième partie répond aux questions suggérées, Balzac fait en sorte que nous sommes guidés : la deuxième partie du texte pourrait être comme argumentatif, tout est fait pour empêcher la jeune fille d’épouser … Outre les impératifs et le caractère surplombant de la mère. Montrer que l’éloge que peut faire la vicomtesse est d’une grande perfidie dans les relations entre le fils et la mère, rapprochement de la mère condamne le fils sur le plan social, il ne peut avoir de renommée sociale tant qu’elle est en vie. Le thème de l’argent va devenir prépondérant. Le réalisme de Balzac apparait un peu plus nettement, Gobseck est le roman de l’argent La troisième partie vise l’accent contradictoire de Derville, le pouvoir a changé de main : la vicontesse avait un pouvoir car elle avait la responsabilité de son argent, à partir du moment où Derville montre qu’elle ne perd rien dans le mariage, on s’aperçoit que le pouvoir de la connaissance de loi donne la puissance. Derville est puissant grâce à la connaissance mais aussi parce qu’il raconte, celui qui raconte l’histoire de la société a le véritable pouvoir pour des siècles et des siècles. Derville devient non seulement un narrateur mais aussi un romancier, il défend le pouvoir de la société et donc le pouvoir du romancier, il donc le nom complet : le Comte Ernest de Restaud : le vrai pouvoir est la connaissance....