Habiletés motrices - Cours suivis à la faculté de STAPS Bordeaux, avec le Professeur P. Legrain. PDF

Title Habiletés motrices - Cours suivis à la faculté de STAPS Bordeaux, avec le Professeur P. Legrain.
Author Amélie Ferras
Course STAPS S3 psycho
Institution Université de Bordeaux
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Summary

Cours suivis à la faculté de STAPS Bordeaux, avec le Professeur P. Legrain. ...


Description

L2 TC Psychologie UE5 Habiletés Motrices P. Legrain CM5 25/09/2019

Classification d’habiletés motrices Tâches motrices influençant l’intervention en APSA Indications sur l’épreuve d’examen : Répondre généralement à 2 questions, une sur caractéristiques pratiquants et une autre sur habiletés motrices. Questions ouvertes avec mots, donc donner définitions de mots et référence (auteurs et années). Argumenter et développer argumentaire avec connaissances pour répondre à la question. Illustrer en cherchant dans notre environnement (APA-S, ES, EM, MAN) des illustrations qui peuvent alimenter la réponse à la question. ____________________________ Taxonomie : On est tous confronter à une grande diversité d’activités physiques. Cette diversité a conduit à employer des taxonomies, c’est à dire une classification. Une classification des activités. Mais on a aussi une taxonomie des habiletés. Taxonomie = procédure destinée à situer, à partir de plusieurs dimensions « classantes » les similitudes et les différences existant entre des objets d’étude. Cette taxonomie va nous aider à nous repérer dans le champs des habiletés motrices. Elle concerne les tâches motrices, les habiletés motrices et les activités physiques et sportives. 1ère relation entre les termes : Quand on s’intéresse aux termes dans l’intitulé du cours, il est souvent question de tâches motrices dans une acception ergonomique, renvoie aux caractéristiques qui pèsent sur une situation (contraintes). Les caractéristiques d’une tache sont des caractéristiques physiques, biomécaniques, cognitives, affectives, sociales. Ces tâches s’expriment dans des environnements qui présentent eux même un certain nombre de contraintes de même nature : physiques, biomécaniques, cognitives, affectives et sociales. C’est la nature des contraintes qu’on rencontre et qui affecte la tâche mais aussi l’environnement dans laquelle cette tâche se déroule. Ex : Un environnement bruyant rend une tâche plus complexe. En haut de cette pyramide on a l’individu avec ces caractéristiques dans toutes les dimensions (cours précédent), mais au centre de cette pyramide se trouve le terme d’habileté qui est à la croisé d’un individu avec ces caractéristiques qui tente de réaliser des tâches, qui sont intégrées à un environnement. C’est la dedans qu’il va développer puis stabiliser des niveaux d’habiletés. Si il développe des habilités, c’est parce qu’il est placé en situation d’apprentissage ou en situation d’entrainement. Les situations d’apprentissage recourent à des tâches d’apprentissage, qui présentent une caractéristique, c’est d’être des tâches difficiles. On apprend dans un climat facile. La difficulté d’une tâche mise en rapport sur les capacités du sujet renvoie à ce que l’on appelle la demande de la tâche. En d’autre terme, les habiletés qu’on développe pour répondre à la demande de la tâche, nous invite dans le meilleur des cas à augmenter nos capacités pour répondre à la difficulté objective de la tâche. Habileté = ce qu’on développe grâce à la mobilisation de nos aptitudes, tous les sportifs vont parler des habiletés en fonction de leur pratique

Sources de distinction : Quand on parle de tâche, on parle avant tout de ce qu’il y a à faire. On définie la tâche par : Tâche (i.e., ce qu’il y a à faire) : série de conditions, antérieures à la mise en œuvre de l’habileté, qui déclenchent et organisent le comportement moteur. Activité : ce qui se fait (ce que la personne est en train de réaliser) ou ce que le sujet met en œuvre pour atteindre le but visé, fixé. Ce que l’on sait, si on cherche à comprendre la difficulté d’une tâche, c’est essayer de mettre en rapport la difficulté objective de cette tâche avec les capacités évaluées du sujet. C’est un rapport objectif, on peut essayer de faire. Comme on l’a dit antérieurement, c’est beaucoup plus la difficulté subjective qui va compter que la difficulté objective. C’est à dire la façon dont l’individu se représente la tâche qu’il a à mener en regard de sa capacité. C’est ça qui va l’amener ou pas à développer des habiletés de Haut Niveau (HN). Les habiletés correspondent à un type de ressources du pratiquant qu’il va mobiliser de plus en plus efficacement sous l’effet de l’apprentissage ou de l’entrainement. Les conditions sont imposées au pratiquant et ont une existence objective indépendante de ses ressources et de la manière dont il se comporte (Famose & Kosnikowski, 1986). Tâches motrices : Pour continuer sur la terminologie, quelles sont les 4 caractéristiques dominant d’une tâche motrice ? (Vu en L1, cours M. Escalier)

On définit la tâche sous 4 éléments : - But - Opérations, coordinations d’actions : la tâche demande des coordinations segmentaires ou inter segmentaires - Conditions matérielles : variation environnement, faire face à des différences climatiques ou de pression temporelle - Critères d’achèvement : apprécier la qualité de sa performance (chronométrée, qualitative) On a à l’intérieur d’une tâche qu’on propose à un individu pour développer ses habiletés, un certain nombre de caractéristiques. C’est là dessus qu’on va s’appuyer quand on va construire cette tâche. Quel est le but ? Et les buts sont très différents en fonction des activités. Ça peut être une tâche de précision, de coordination dominante, d’endurance, ce n’est pas du tout la même chose, mais quel est le but ? Quelles sont les opérations ? C’est la façon avec laquelle je vais parvenir à atteindre le but.

Les conditions matérielles qui renvoient aux contraintes plus ou moins importantes sur le plan physique, biomécanique, cognitif auquel je dois faire face, et les critères d’achèvement de la tâche. Est ce que je pense avoir réalisé la tâche ? On appelle ça des critères d’achèvement. C’est lorsque je pense que « OK, je peux passer à autre chose, celle là je la maitrise ». On peut proposer aux individus 3 types de tâches : des tâches non définies, semi-définies et définies. La tâche définie est une tâche où tout est précisé par l’intervenant, le but, les opérations, les conditions matérielles et les critères de réalisation. On donne tout. On peut aussi placer le pratiquant dans une tâche semi-définie. C’est à dire qu’on lui donne le but mais on lui diras pas quelles sont les opérations, c’est à lui de trouver. Qu’est ce que ça change pour nous entre la présentation une tâche définie et une tâche semi-définie ? On lui donne plus d’autonomie en semi-définie, il se sentira plus impliqué, plus responsable, plus autonome dans le fait d’apporter des solutions puis qu’on ne lui donne pas les réponses. C’est à lui de les construire. On est également dans une démarche d’apprentissage puisqu’on est en train de penser, d’agir sur les processus pas sur les produits. Distinction facile entre processus et produit : dans une tâche semi définie, on est sur le processus pas sur le produit, alors que dans une tâche définie on est sur le produit. Dans une tâche non définie, on prend plusieurs risques : que la personne peut être complétement perdue puisqu’on ne lui explique ni le but, ni les opération, on le place dans un environnement pour qu’il s’adapte sans rien lui dire. C’est compliqué. Il peut aussi être très inventif, très imaginatif. Certaines activités physique sont orientées vers la création et l’expression et ne serait-ce parce qu’elles s’appelle comme ça, elles évitent d’avoir à placer dans des tâches trop fermées de types définie ou semi-définie et préfère les placer dans des environnements avec une consigne très vague leur demandant de créer. Il ne créeront pas à partir de rien mais en tout cas il créeront à partir d’une absence de consigne. Ce qui est important. Le prof reprend le CM à ce niveau là Classification des tâches motrices et sportives :

Les différents types de contraintes qu’il va rencontrer sont énergétiques, motrices, psychosociales, cognitives. Les contraintes énergétiques sont majoritairement liées au type d’effort qui va devoir être mener. Les contraintes cognitives sont particulièrement liées au nombre d’incertitudes à gérer et à la durée de présentation des signaux, c’est à dire le temps qu’il peut consacrer au traitement des informations, pour concentrer son attention sur les évènements. Plus le temps est court, plus c’est contraignant. Dans les activités sportives, contraintes cognitives très importantes, peu de temps pour traiter des informations et présences des 3 types d’incertitude. Les contraintes psychosociales sont liées à ce qu’on a vu antérieurement c’est à dire la nature du contexte, son ambiguïté, sa non-prédictibilité et les réactions émotionnelles que la nouveauté produit sur la personne. Cela veut aussi dire que les contraintes renvoient aux coordinations de l’action sociale. Beaucoup d’activités sont coopératives, collectives mais coopératives avec des communications qui sont non-verbales.

On attend toujours de ses partenaires qu’ils détectent nos intentions au travers de nos comportements. C’est notre culture partagée, quand on joue avec des joueurs de notre niveau, on se comprend. Si on va dans des niveaux plus élevés, on s’aperçoit qu’on ne maîtrisera pas tous les différents niveau de langage. Dans ces cas là, on joue beaucoup plus difficilement avec ces joueurs de plus haut niveau. Il y a beaucoup de codes de communication non verbaux qui sont utilisés dans ces activités, cela constitue des contraintes psychosociales. Les contraintes motrices sont liées notamment aux contraintes de coordination qu’impose l’environnement et la situation, le niveau de coordination (coordination segmentaire, inter-segmentaire, controlatérale), il y a des niveaux de coordination plus ou moins sophistiqués. __________________

L2 TC Psychologie UE5 Habiletés Motrices P. Legrain CM6 06/11/2019 Un individu est confronter à des tâches et il faut parvenir à faire face à un ensemble de contraintes (vu précédemment) en mettant et en mobilisant ses ressources. Ce n’est pas parce qu’on identifie ces différents types de contrainte qu’on identifie bien la tâche. Pourquoi ? Car ce n’est pas la juxtaposition des contraintes , une tâche, c’est l’intégration de ces différentes contraintes. Il faut alors aborder cette question de contrainte dans une approche inter-dépendante, une perspective intégrée des contraintes pour avoir une perceptive intégrée des ressources. Ex : Quand un individu dans une situation, un environnement trop complexe, il ne parvient pas à traiter les informations, il est perdu, cela va avoir une incidence sur la gestion de ces émotions, impact sur la coordination des actions qui seront moins fluide, un problème dans les communications avec les autres personnes de cet environnement. Faire qu’une personne s’adapte à un environnement, ce n’est pas travaillé sur chacun des registres, c’est de travaillé sur la combinaison de plusieurs registres de telle façon que cette personne se retrouve à un moment donné à l’aise dans cet environnement. On a trop souvent abordé cette question de contraintes et ressources dans des perspectives de type juxtaposée et ça ne convient pas. Autre Ex : Judoka qui va rencontrer un adversaire et qui s’entraîne longtemps avant de rencontrer un adversaire qu’il redoute particulièrement au vu de son palmarès et de son niveau d’expertise (similaires dans d’autres sports individuels ou même sports collectifs). L’anxiété développée dans cette relation d’opposition va avoir tendance à avoir des impacts biomécaniques sur la fluidité, spontanéité des réponses mobilisées dans l’opposition, elle va faire tellement attention à ces actions, qu’elle ne sera pas imaginative pour pouvoir s’adapter à la situation. En définitive, a avoir de l’appréhension, la personne s’est mise dans la pire des difficultés. C’est quelqu’un qui va essayer de gérer son entrée dans l’opposition sur le plan énergétique, il ne veut pas griller l’ensemble de ces ressources et donc va il retenir son engagement au départ, il y aura un impact sur ses ressources énergétiques, il va prendre des précautions (pas forcément une bonne idée). Il y a aussi le faite que dans cette situation il a passé du temps avec un entraineur à s’entrainer, il ne veut pas décevoir son entraineur par rapport aux appréhensions qu’il ressent (ne lui en parle pas spécialement). Il fera alors son combat en essayer de le décevoir le moins possible. En définitive, il va se fixer d’autres buts autres que ceux liés à l’opposition initiale, il va décentrer son attention vers le faite de ne pas décevoir son entraîneur/manager. Son attention n’est pas centrée là où il faudrait être, il ne va pas s’engager complètement dès le départ, il va geler ses comportements moteurs, à certain stéréotypes il devra avoir une motricité libérée pour pouvoir s’adapter à la situation. En d’autre terme, a chaque fois qu’on travaille sur un des registres de ressources, on impact aussi les autres registres de ressource (prépa physique impacte sur prépa mentale et inversement). La dissociation des univers de professionnalisation (préparateur mental et préparateur physique) n’est pas complètement crédible (opinion du prof), on ne peut pas travailler dans un seul domaine sauf cas de collaboration entre les deux domaines. Dimensions énergétiques associées à la tâche : Sur le plan énergétique, on a un certain nombre de facteurs qui ont été identifiés pour savoir dans quelles mesures une tâche peut être plus ou moins contraignante et coûteuse pour un individu. C’est principalement les travaux de Macnab qui ont permis de mettre en évidence qu’un environnement pouvait

être conçut comme plus ou moins contraignant à partir de 4 caractéristiques qui sont plutôt associées aux types de tâche rencontrés mais également en fonction de 7 caractéristiques qui renvoient d’avantage aux opérations pour atteindre un résultat. Les 4 premières caractéristiques qui vont être identifiées par Macnab sont les suivantes : -

Orientation de l’effort par rapport à la pesanteur Résistance des fluides (notamment en natation avec la résistance à l’eau, indiquer par le maitre couple, les résistance ne sont pas liées qu’à l’environnement mais au comportement de l’individu dans cet environnement) Déperdition de force au niveau des appuis (3ème loi de Newton, difficulté de déplacement sur certain sol comme la neige, au contraire du tartan en athlétisme) Poids maintenu ou déplacé (plus difficile en déplacement qu’en position statique, coût énergétique supérieur)

On s’aperçoit au travers un certain nombre de travaux qui portent sur la dépense énergétique, que ces facteurs vont avoir un impact sur les ressources que l’individu va développer. Dimensions énergétiques associées aux opérations (7) : La forme de travail (3 grandes formes de travail : dynamique moteur, dynamique statique, dynamique résistant lactique) cela impose des types particulier de contraction musculaire, qui vont être de type isométrique, anisométrique en sachant que des travaux montrent que le coût du travail résistant est égal au tiers du coût du travail dynamique moteur. En sachant la tâche envisagée, on applique un type de travail, et on va avoir des contractions musculaires qui vont alimenter ce travail. On a rarement des affinités motrices avec une seule forme de travail bien souvent, des tâches mélangent plusieurs formes de travail. La Durée du travail (intensité et durée) pour définir la pénibilité. L’Amplitude des mouvements qui génère généralement un surcoût au regard des caractéristiques anthropomorphique de la personne (pas d’amplitude type quand on décrit un mouvement). Elle sera coûteuse ou non en fonction de ce qu’on demande à la personne. Les diminutions ou augmentations de l’amplitude « normale », qui nous correspond va provoquer un surcoût (prendre en compte les caractéristiques, car il y a une amplitude idéale pour UNE personne). La Vélocité des mouvements La Surface du polygone de sustentation, maintien de l’équilibre à une base de sustentation qui peut varier. Base de sustentation = polygone de sustentation, si « normal », celui qu’on a l’habitude de gérer de façon complètement inconsciente pour stabiliser la posture. En revanche il y a des activités sportives qui demandent temporairement soit sur un temps plus long des formes d’équilibre seulement sur un pied, ces équilibres unipodaux, manuel, bi manuel ou uni manuel posent et engendre un coût énergétique supplémentaire que celle qu’on a l’habitude de gérer. On voit beaucoup d’éléments qui permettent de comprendre comment un individu va gérer ses dépenses énergétiques au regard d’un certain nombre de facteur comme le polygone de sustentation. Lorsqu’il est réduit, demande à l’individu de recourir à des actions compensatrice, c’est cela qui coûte, c’est le fait de faire des corrections posturales. La Hauteur du centre de gravité, l’activité physique la plus exigeante sur ce point est la danse, le centre de gravité reçoit des variation relativement importante, il doit être maintenu à des niveaux sur-élevé, relativement longtemps et la encore, le coût énergétique sera important (notamment en danse classique), c’est la raison pour laquelle les danseurs ont ces qualités physiques observables. Il est donc question de pénibilité de l’exercice ou contraintes énergétiques, fortement liée à la capacité de l’individu de savoir distribuer ses contractions musculaires. En d’autre terme le coût énergétique dépend de l’expertise du pratiquant. L’une des difficulté que rencontre le débutant, c’est l’incapacité à pouvoir différencier des phases actives et des phases de relâchement. L’expert est capable de coordonner des actions de relâchement qui fournissent des périodes de Récupération (passive ou active) avec des moments de contractions qui donnent tout son sens au terme d’habileté. La définition qualitatif du terme d’habileté motrice c’est la capacité sur le plan énergétique de savoir distribuer et répartir ses efforts de manière efficace et harmonieuse.

Ex : le nageur, en nage libre qui fait un 1500m, il a la capacité de faire des trajets aériens où le bras est complètement relâché et des trajets aquatiques où le bras, la main, le poignet sont en contraction pour pouvoir fournir l’effort maximum. Les débutants en natation continue d’avoir une contraction musculaire sur la phase aérienne. Quand il n’y a pas de phase de récupération, c’est beaucoup plus difficile. Tâches motrices et cognitions : Au delà de ces efforts énergétiques, on va rencontrer également beaucoup d’efforts cognitifs dans les tâches motrices. Ces tâches motrices impliquent des coordinations visuo-motrices (adaptation comportement à des contraintes) qui sont elles impliquées dans le traitement de l’information. Ces informations sont prélevées sur l’environnement et sur soi-même. Les contraintes qui vont peser sur l’individu sont à 4 niveaux : perceptif, décisionnel, programmateur et effecteur. Par rapport a la planification d’une action, les contraintes cognitives qui vont apparaître se font à ces différents niveaux. Dans beaucoup d’activités, l’efficacité d’un individu est liée à sa capacité à faire les choix les plus pertinents dans la sélection des informations au niveau perceptif, dans le choix des programmes moteur qu’il convient de lancer au niveau décisionnel, dans l’organisation des différents paramètres du programme moteur qu’il a sélectionné sur le plan de la programmation et en fonction de sa capacité à gérer les retours d’informations de son action sur le plan effecteur. Différentes formes d’informations : au niveau perceptif, qui organise l’action, des informations qui m’aident à décider du programme qui convient de lancer dans cette situation, les informations relative à la qualité des réponses que je suis en train de lancer. La qualité c’est par exemple la capacité à avoir coordonner le bas et le haut du corps pendant l’action, informations que je vais ressortir au moment où je fais l’action mais ça sera la nature de la qualité de ma formation. SI j’ai programmé un geste efficace, j’aurai une bonne perception de haut et bas du corps nécessaire à l’exécution de cette action. Et enfin sur le plan effecteur ce sont toutes informations que je vais ressentir à la fin de cette action et qui renvoient au résultat et aux sensations que j’aurai obtenu liées à ce résultat. Le début est incapable de qualifier ses actions, alors que l’initié ou l’expert lui sera capable de dire si c’est une bonn...


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