HIST1406 Essai Minute de Patrimoine PDF

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SAINTE MARGUERITE BOURGEOYS : LA MÈRE DE LA COLONIE

par

ZOE KERR 0366818

remis à

PROFESSEUR ARNAUD BESSIÈRE

dans le cadre du cours HIST 1406 FL-01 Histoire Canadienne: L’époque de la pré-confédération

Université Laurentienne 20 novembre 2019

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Sainte Marguerite Bourgeoys : La mère de la colonie Marguerite Bourgeoys à été canonisé la première Sainte de l’église canadienne le 31 octobre 1982, par le Pape Jean Paul II. Cependant ce n’est pas pour aucune raison qu’elle a reçue ce titre. En construisant la chapelle Notre-Dame de Bon Secours et la première école à Montréal, ainsi qu’en invoquant le changement de la façon donc l’éducation et l’église de la colonie fonctionnait, Marguerite Bourgeoys était connue comme la « mère de la colonie » 1. En raison de ces efforts individualistic dans l’agrandissement de la population colonial au Canada, les droits des femmes et l’éducation des filles, c’est indéniable que Marguerite Bourgeoys est non seulement méritante du titre de Sainte, mais aussi extrêmement importante pour l’histoire du Canada. Premièrement, l’accroissement de la colonie vers la fin du XVIIe et au début du XVIIIe siècle est partiellement due aux contributions de Marguerite Bourgeoys. Durant le XVIIe siècle, l’expansion de la colonie était très importante pour la prospérité de celle-ci. L’immigration était crucial pour augmenter la population de la nouvelle colonie, tant qu’a l’intendant Jean Colbert, et un des groupe impliqué dans l’immigration était les filles du roi. Les Filles du Roi était un groupe d’orphelines envoyer par le Ministre du roi Louis XIV, Jean-Baptiste Colbert, pour réglé le déséquilibre d’hommes et de femmes en Nouvelle France. Marguerite s’occupait déjà de filles bourgeoise qu’elle avait remporté de la France lors d’un des trois voyages de recrutement qu’elle avait accomplit, donc Colbert et Talon lui ont accordés la direction des Filles du Roi. Marguerite pris sont rôle sérieusement et prépara les filles à leurs future rôle de femmes et de mères. Les 1

Le Saint-Siège, « Marguerite Bourgeoys (1620-1700)#foundress of the Sisters of the Congregation of Notre-Dame ». Services de nouvelles du Vatican, [ en ligne],http://www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ ns_lit_doc_19821031_bourgeoys_en.html (page consulté le 19 novembre 2019), paragraph 4, ligne 15

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filles du roi comprenais environ cinq pour-cent de l’immigration totale vers la Nouvelle France, alors l’éducation de ces jeunes filles fut très important à la prospérité de la colonie. D’abord, Marguerite Bourgeoys avais non seulement contribué à l’agrandissement de la Nouvelle France grâce aux filles du roi, mais aussi en fonction des droits des jeunes filles. Notamment, Marguerite a entreprit un mouvement féministe le moment où elle a décidé de se rendre en nouvelle France. Dès sont arrivé, elle elle a commence à révolutionné les droits des jeunes filles en leurs permettant tous d’avoir une éducation formelle, peu importe leur stature économique. Même, si les jeunes filles était trop pauvres pour se rendre à l’école l’ouvroir de la Providence, elle envoyait des religieuse à aller leurs enseigné. De plus, elle s’est battu fort pour sa communauté, la congrégation de Notre-Dame. Elle a réussi a fondé une congrégation de sœurs non cloîtrées. C’est à dire, ses filles font des vœux, mais elles sont indépendantes. Au XVIIIe siècle, les femmes ne connaissait que de la clôture. Mais les premières religieuse en cheval, en canot et à pied ont franchit les côtes du Saint-Laurent pour faire le catéchisme indépendant grâce à la ténacité de Marguerite. D’autre part, elle a aidé non seulement les jeunes filles coloniales, mais aussi au jeunes amérindienne. Sont but n’était pas simplement de les évangéliser mais de leurs données une éducation qui leurs apportera à un future plus prospère. Enfin, le fait qu’elle n’avais pas peur d’aller contre la norme social, religieuse et éducationnel de sont temps implique qu’elle était une vrai force dans l’avancement des droit des femmes. Finalement, Marguerite Bourgeoys a grandement contribué à l’innovation du système d’éducation en Nouvelle France. D’abord, c’est elle, avec l’aide de quelques filles de la France quelle vas recrutées, qui a ouvert et développé la première école à Montréal. Elle enseigne et prépare les jeunes filles, incluant les filles du roi, pou leur rôle future de femmes car c’est chez

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sont école que les colons de Montréal viennent trouver leurs épouse. Souvent, les colons notaient « l’exceptionnelle agence matrimoniale ainsi que l’enseignement donné aux enfants à l’école de Marguerite Bourgeoys » 2. Grâce au succès de sont école, Marguerite reçoit l’autorité et le pouvoir nécéssaire à ouvrir plusieurs autres établissement d’éducation. Parmi celle-ci, la première école ménagère au pays pour les filles pauvres, l’ouvroir de la Providence, à la pointe Saint-Charles. Autrement, elle ouvre quelques petites écoles à Lachine, à la Pointe-aux-Trembles de Montréal, à Batiscan et à Champlain. Elle a aussi contribué à l’éducation des filles amérindiennes en établissant une mission au village amérindien de la Montagne. Pour fortifier encore sont importance dans l’histoire de l’éducation ainsi que dans celle des droits de femmes, le style d’enseignement de Marguerite encapsule non seulement la pédagogie typique de la France au XVIIIe siècle mais elle a adapté celle-ci à la nouvelle colonie, pour amélioré d’avantage la réussite de la Nouvelle France. De plus, elle assurait la meilleure éducation possible en imposant sur ses institutrices des critères élevés3 et en diminuant l’usage du martinet 4; En conclusion, il est claire que Marguerite Bourgeoys a contribuer à l’avancement de la colonie, durant le XVIIIe siècle, d’une façon extraordinairement unique et rare pour l’époque.

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Bernier, Hélène. «#BOURGEOYS, MARGUERITE, dite du Saint-Sacrement#», dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 1, Université Laval/University of Toronto, (2003), http://www.biographi.ca/fr/bio/ bourgeoys_marguerite_1F.html (consulté le 17 nov. 2019), paragraph 12, ligne 9, 10 et 11 3

« #Les Sœurs doivent prandre peine de se randre savante et abille en toute sortes douvrages. Les filles de la Congrégation abandonne leur santé, leur satisfaction et leur repos pour l’instruction des filles#» Bernier, Hélène. «#BOURGEOYS, MARGUERITE, dite du Saint-Sacrement#», dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 1, Université Laval/University of Toronto, (2003), http://www.biographi.ca/fr/bio/ bourgeoys_marguerite_1F.html (consulté le 17 nov. 2019), paragraph 29, ligne 2, 3 et 4 4

«#[le martinet ne devrait être utiliser que] « très rarement, toujours avec prudence et extrême modération, se souvenant qu’on est en la présence de Dieu.#» Bernier, Hélène. «#BOURGEOYS, MARGUERITE, dite du Saint-Sacrement#», dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 1, Université Laval/University of Toronto, (2003), http://www.biographi.ca/fr/bio/ bourgeoys_marguerite_1F.html (consulté le 17 nov. 2019), paragraph 30, ligne 2 et 3

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Son importance dans l’histoire de l’accroissement de la population, le droit des femmes et l’éducation des filles au Canada n’est certainement pas reconnue. Plusieurs des gens d’importance dans l’histoire du Canada l’ont supporté de loin et près. Marguerite été considéré comme sainte par la plupart de la population de la colonie au temps de sa morts, plus de 200 and avant qu’elle soit officiellement canonisé de ce titre. Enfin, elle a toujours rester modeste; « La Ste Vierge na point été cloitrée mais elle a gardé la solitude intérieure partout, elle na jamais refusée de se trouver ou la charité ou la nécessité avait besoin de secours » 5.

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Bernier, Hélène. «#BOURGEOYS, MARGUERITE, dite du Saint-Sacrement#», dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 1, Université Laval/University of Toronto, (2003), http://www.biographi.ca/fr/bio/ bourgeoys_marguerite_1F.html (consulté le 17 nov. 2019), paragraph 33, page 3, 4 et 5

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Bibliographie

Bernier, Hélène. « BOURGEOYS, MARGUERITE, dite du Saint-Sacrement », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 1, Université Laval/University of Toronto, (2003), http://www.biographi.ca/fr/bio/bourgeoys_marguerite_1F.html (consulté le 17 nov. 2019)

Bessière, Arnaud. « Le Gouvernement royale, 1663-1760 ». Notes de Cours, 5 et 6, (2019)

Bessière, Arnaud. « Population et société de la Nouvelle - France au XVIIIe siècle ». Notes de Cours, 7 et 8, (2019)

Jaenen, Cornelius J. « Bourgeoys, Marguerite ». L’Encyclopédie Canadienne, (24 février 2008)

Le Saint-Siège, « Marguerite Bourgeoys (1620-1700) foundress of the Sisters of the Congregation of Notre-Dame ». Services de nouvelles du Vatican, [ en ligne],http:// www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ns_lit_doc_19821031_bourgeoys_en.html (page consulté le 19 novembre 2019)

Wien, Tom & Gousse, Suzanne. « Filles du Roi ». L’Encyclopédie Canadienne, (6 décembre 2011)

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