Title | Ilovepdf merged - travail oraux résumé tt les groupes |
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Author | J-P ELM |
Course | Microbiologie Générale Et Médicale |
Institution | Université de Mons |
Pages | 26 |
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travail oraux résumé tt les groupes...
Rapports des TP microbiologie : section médecine COVID-19 et Voyages : Les mesures
Dès le début de la crise sanitaire, beaucoup de mesures ont été mises en place afin de limiter les contaminations, notamment au niveau des voyages. En Belgique, les voyages non essentiels sont déconseillés mais permis. Au moment du retour, il faut compléter le formulaire de localisation du passager. Si on reçoit un SMS, une quarantaine et un test doit être effectué au 1er et au 7ème jour. Si on n’en reçoit pas, on ne doit pas maintenir de quarantaine ni de test. Selon l’endroit où l’on se rend, des mesures supplémentaires peuvent être d’application. L’OMS recommande aux cas confirmés, suspects de COVID-19, leurs cas-contacts ainsi qu’aux personnes à risque de ne pas voyager. Il est important de noter qu’un résultat négatif avant le voyage ne peut garantir que le voyageur est exempt d’infection au moment du voyage. Dans les avions, l’air est renouvelé et le port du masque est obligatoire mais les distanciations sociales ne sont parfois pas respectées. Malgré cela, les contaminations y sont très basses. Les voyages sont surtout restreints pour éviter les évènements de masse. Le risque de contamination est plus grand dans l’aéroport, lors de l’embarquement et débarquement que lors du vol en lui-même. Des résultats d’études montrent qu’en Europe, une mobilité sans limite aurait considérablement accéléré la propagation du virus. Pour avoir le plus d’impact, les mesures doivent être implémentées en tout début d’épidémie. En Europe, aucun pays n’a été épargné car les premières restrictions ont été mises en place trop tard. Le problème ne serait actuellement pas les contaminations dans l’avion lui-même mais plutôt le transport de personnes contaminées dans d’autres pays sains, ce qui entraînerait la dissémination de la maladie là où elle était jusqu’alors absente. En conclusion, on constate que le risque de contamination n’est pas plus élevé dans un avion que dans les espaces publics, c’est pourquoi les voyages non essentiels sont autorisés depuis peu. Le respect des mesures telles que le port du masque, l’hygiène des mains, la quarantaine... dans les aéroports permettrait de limiter les contaminations. Des tests plus rapides et un tracing efficace y contribueraient également.
Rapports des TP microbiologie : section médecine
Rôle des enfants dans la transmission de la COVID-19 Les enfants développent, dans la majorité des cas, une forme légère de la maladie (fièvre et toux, plus rarement troubles digestifs, mal de gorge, difficultés respiratoires, myalgies, etc.) et sont bien souvent asymptomatiques : c’est pourquoi l'infection reste souvent non détectée. Le profil asymptomatique associé à de nombreuses interactions entre les enfants à l’école constitue alors un vecteur de propagation de la COVID-19. L'hypothèse la plus solide de cette symptomatologie plus modérée chez les enfants que chez les adultes est la présence d'une réponse immune innée très supérieure chez l'enfant. L’existence d'une réponse immunitaire hautement efficace contre le virus, permettant une suppression suffisante de la réplication virale pour prévenir les symptômes spécifiques de la COVID-19, serait ainsi validée par la présence de cas asymptomatiques. Par PCR, l’ARN viral est détecté chez l'enfant comme chez l'adulte dans la plupart des fluides. Chez les enfants, la période de contagiosité est moins longue que chez les adultes car le pic de charge virale se fait plus tôt après l’apparition des symptômes ; ce pic étant suivi d’un déclin rapide de la charge virale. En effet, chez eux, l'excrétion virale dans les voies aériennes durerait moins longtemps mais persisterait dans le tube digestif. Il a été démontré que dans la majorité des clusters familiaux, ce sont les parents qui infectent leurs enfants et non le contraire. C’est pourquoi nous pouvons conclure que, contrairement à d’autres virus respiratoires, les enfants sont vecteurs du virus mais ne sont pas le moteur de cette épidémie.
Rapports des TP microbiologie : section médecine
COVID-19 et anosmie L’anosmie est un trouble de l'odorat qui se traduit par une perte totale de l'odorat, temporaire ou permanente. Le SARS-COV2 est un gros virus a ARN. Il doit son nom a des glycoproteines disposees en couronne a sa surface. Toutes les infections des voies respiratoires superieures donnent des pertes d’odorat, mais la difference avec le sars-cov sont les plaintes rhinologiques. En effet, il n ’y aura pas d ’obstructions nasales dans le cas du covid. Pour etre specifique au covid, l ’anosmie doit subvenir de mani ere brutale et isolee L’anosmie arrive relativement tot dans l’evolution de la maladie et touche 58% des patients atteints. La majorite des patients recuperent mais il est possible que d’autres gardent une anosmie persistante. Pour se repliquer, le virus utilise comme porte d’entre e un recepteur nomme ACE 2 implique dans le systeme renine angiotensine aldosterone ainsi qu’un corecepteur TMPRSS2 En effet la covid-19 possede en surface des proteines SPIKE qui s’attachent au recepteur ACE 2 se situant sur les cellules du neuroepithelium olfactif et de la muqueuse nasale L’infection touche egalement des cellules de support aux neurones olfactifs, entrainant un oedeme de cette region mais sans toucher les neurones olfactifs. L’elimination du virus entrainerait ensuite un degonflement progressif de cette zone donc une reapparition de l ’odorat. Dans certains cas, l ’odorat met plus de temps a revenir car l’infection se propage aux neurones olfactifs directement, ces derniers mettant plus de temps a regenerer (on observe dans ce cas une parosmie) On peut aussi presenter des atteintes des structures olfactives centrales . En effet, ce virus a egalement ete associe a des atteintes neurologiques.
Rapports des TP microbiologie : section médecine
Détection de la COVID-19 par les chiens renifleurs Suite à la pandémie de covid, il y a eu une demande mondiale pour un dépistage simple, polyvalent, non-invasif et à hautes sensibilité et spécificité dans le but de diminuer la charge de travail dans les labos biologiques. Le système olfactif des chiens est très sensible, et des chiens renifleurs entraînés à reconnaître des volatilomes (VOCs) peuvent déterminer si un sujet est atteint ou non de la Covid-19. Ces VOCs sont une association de substances endogènes et exogènes libérées par les cellules du corps infectées par le virus, et excrétée dans l’air expiré ou dans la sueur par exemple. Pour le test diagnostic effectué par Jendrny, on procède avec des échantillons de salive et des sécrétions trachéobronchiques de patients testés positifs au SARS-Cov-2 et aussi des échantillons témoins de patients négatifs au même test. Pour éviter de toucher les chiens et leurs manipulateurs, les échantillons positifs ont été inactivés grâce à de la bêta-propiolactone (BPL). Par contre, certains échantillons négatifs non traités à la BPL ont aussi été donnés aux chiens pour pouvoir exclure un potentiel effet distrayant des BPL. Après un entraînement d’une semaine, les chiens savent faire la distinction entre des échantillons de patients infectés et non-infectés avec un taux de détection moyen de 94%, une sensibilité diagnostique de 82,63% et une spécificité de 96,35%. Cependant, il y a une variabilité entre les chiens. Une étude menée par le Pr Dominique Grandjean utilise la sueur de la fosse axillaire pour les tests de détection des chiens car les composés sont plus volatiles à température ambiante. De plus, ce n’est pas une voie de sortie du covid-19 et la collecte est non invasive. Les résultats de l'étude prouvent que les sueurs axillaires des individus positifs sont différentes des négatifs, et les résultats obtenus sont significatifs. Tout cela est prometteur car cela montre que des empreintes VOC uniques existent et peuvent être utilisées à l’avenir. De plus, les chiens ont l’avantage d'être peu coûteux et très rapides. Cependant, on ne peut pas exclure la possibilité de réactions croisées à cause d’anciennes infections par un autre coronavirus. Les prochaines recherches devraient se concentrer sur la capacité des chiens à reconnaître les différents phénotypes et phases d’expressions de la maladie.
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La COVID-19 et le diabète Selon les données épidémiologiques, le diabète n’augmenterait pas le risque de contracter la Covid-19. Le diabète est l’une des comorbidités les plus importantes liées à la gravité de l’infection causée par le coronavirus. La prévalence des patients diabétiques hospitalisés en unité de soins intensifs pour COVID-19 est deux à trois fois plus élevée que celle observée chez les patients non diabétiques et le risque d’évolution vers une forme critique ou mortelle de l’affection est multiplié par 3 à4 chez les patients diabétiques. Plusieurs mécanismes peuvent expliquer pourquoi le diabète constitue un facteur de risque de forme sévère de la COVID-19, certains sont liés intrinsèquement au diabète (comme l’hyperglycémie) et d’autres sont associés au diabète(comme la dysfonction immunitaire, l’obésité et l’hypertension artérielle). Chez les personnes diabétiques, l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) voit son expression croître suite à la prise de médicaments traitant le diabète (statines, bloquants de récepteur de l’angiotensine II de type I, PPAR-γ). Le récepteur de cette enzyme est connu comme étant une porte d’entrée pour le virus dans de nombreux types cellulaires de notre organisme. Le changement d’activité de l’ACE2 pourrait être le déclencheur final d’une tempête hyper-inflammatoire et hyper-coagulable dans le cas de laCovid-19. De plus, les fluctuations de la glycémie chez les patients diabétiques peuvent altérer leur système immunitaire et les rendre plus vulnérables aux maladies infectieuses et donc à la Covid-19. Tous les diabétiques ne sont pas exposés aux mêmes risques face à la Covid-19. En effet, un profil des patients diabétiques ayant été hospitalisés pour la Covid-19 a été établi dont les principales caractéristiques sont :l’âge; les patients contractant la forme sévère du Covid sont âgés de 70 ans en moyenne, le sexe; majoritairement des hommes et le type de diabète; personnes majoritairement atteintes du diabète de type II. En conclusion, les diabétiques méritent une attention particulière et doivent être étroitement surveillés en raison du risque de détérioration rapide. Afin de prévenir l’infection et les complications possibles, les diabétiques devraient être considérés prioritaires dans le programme de vaccination
Rapports des TP microbiologie : section médecine
Covid-19 et obesite D’apres differentes etudes ayant investigue la relation entre obesite et covid-19, l’obesite semble representer un risque accru pour des manifestations severes de la maladie. En effet, ces differentes etudes ont demontre que les patients obeses souffrant du virus SARS-CoV-2 etaient plus rapidement amenes en soins intensifs ou ils necessitaient une assistance respiratoire et presentaient un risque de deces plus eleve. Nous allons tenter d’expliquer en quoi l'obesite augmente ce risque. Les raisons de cette augmentation du risque de cas severes de covid lie a l’obesite sont multiples et comprennent notamment une fonction respiratoire alteree, la presence de comorbidites comme le diabete et une reaction immunitaire excessive. En effet, l’obesite perturbe la reponse immunitaire ce qui fait des personnes en surpoids une population plus a risque face aux infections. Le de pot de graisse abdominale et l’accumulation de graisse peri-viscerale connus pour etre proinflammatoires participeraient a une reaction immunitaire excessive et donc deletere pour l ’organisme. Les d epots de graisse ectopiques seraient aussi impliques de part leur participation a la liberation de cytokines inflammatoires. Il est egalement connu que l’obe site altere les fonctions respiratoires notamment a travers une diminution de la force des muscles respiratoires, une diminution du volume pulmonaire efficace, une augmentation de la resistance des voies aeriennes et de moins bons echanges gazeux. Ces differentes anomalies preexistantes liees a l’obesite contribueraient donc a une deterioration plus rapide de l’etat de sante des personnes atteintes du covid-19 en plus de compliquer la mobilisation de ces personnes lorsqu’elles necessitent une assistance respiratoire. Enfin, nous savons que la principale voie d’entre e du virus dans notre corps sont les recepteurs ACE 2, que l’on retrouve en tres grande quantite dans les tissus adipeux. Pour conclure, nous pouvons affirmer que l’obesite est un facteur aggravant en cas d’infection a ce virus: d’une part parce que la reponse immunitaire est perturbee chez les patients obeses et d’autre part parce que ces patients ont des fonctions respiratoires diminuees.
Rapports des TP microbiologie : section médecine COVID-19 et Vitamine D Dans le cadre du cours de microbiologie, nous avons tenté d’identifier l’effet de la vitamine D sur la COVID-19 grâce à la littérature disponible. Tout d’abord, nous savons que le SARS-CoV 2 provoque une infection respiratoire aigüe en infectant les cellules de l’épithélium pulmonaire et les macrophages. Ces derniers activent à leur tour des neutrophiles et des lymphocytes T qui produisent alors des cytokines pro-inflammatoires afin d’attaquer le virus. Ce sont les cytokines qui sont responsables des formes sévères de la maladie. Il en résulte des lésions de l’épithélium pulmonaire. Or, il a été démontré que la vitamine D est efficace pour prévenir les infections des voies respiratoires supérieures. En effet, elle permet notamment d’atténuer la réponse immunitaire adaptative, en diminuant la production des cytokines pro-inflammatoires produites lors d’une infection. De plus, elle aurait un effet neuroprotecteur via l’activation de facteurs de croissance, ce qui permettrait d’atténuer les symptômes d’anosmie. Enfin, elle réduirait le risque d’épisodes thrombotiques. Malheureusement, dans nos pays peu ensoleillés, une grande partie de la population est en déficience de cette vitamine. Il est donc recommandé aux patients à risque d’infection au SARS-CoV 2 de vérifier leur taux en vitamine D. En conclusion, cette vitamine est prometteuse dans la prévention des formes graves de la Covid-19. Il est donc intéressant de poursuivre les recherches sur son efficacité face à ce virus.
Rapports des TP microbiologie : section médecine
Le variant belge du coronavirus Le variant belge du coronavirus, B.1.214 ou “spike insertion”, a ete decouvert a l’Universite de Liege au debut de l’anne e 2021. Il s’est d eveloppe a partir de janvier dans notre pays et represente 6% des infections aux covid-19 en Belgique qui est le pays le plus touche actuellement. Il est appele variant belge, mais il semble provenir d’Afrique sub-saharienne et avoir une origine commune avec le variant B.1.1.7 qui est le variant britannique. La particularite de ce variant est qu’il possede des mutations non seulement sur la proteine Spike, comme les autres variants, mais aussi a d’autres endroits du genome. Ces mutations sont susceptibles d ’avoir un impact sur la resistance du virus face a l’immunite. La replication du virus semble facilitee par onze mutations qui affectent les proteines du complexe replicatif. Il y a aussi des mutations au niveau du code des proteines de la nucleocapside et ORF3a ce qui ameliore les processus de modulation immunitaire. Le gene codant pour la proteine ORF8 ne subit, quant a lui, aucune mutation ce qui differe des autres variants. Cette proteine permet de ralentir la reaction immunitaire contre le virus. A l’heure actuelle, il manque encore beaucoup d’informations concernant ce variant du coronavirus du fait de sa decouverte recente. De plus, les experts s’interrogent sur l’efficacit e des vaccins actuels sur ce variant. Des recherches sont toujours en cours.
Rapports des TP microbiologie : section médecine Variant breton Le 15 mars dernier, un variant du SARS-CoV-2 fut detecte chez 8 patients dans le centre hospitalier de Lannion, au nord-ouest des Cotes-d’Armor, ce qui lui vaut le nom de « variant du Tregor », « variant breton » ou encore « B.1.616 ». Toutes ces personnes atteintes sont decedees. Par la suite, 25 cas ont ete recenses. Les perspectives envisagees se portent plus sur des suppositions que de reelles affirmations puisque des experimentations sont en cours.
Le 25 mars on estimait qu’il pouvait entrai ner un echappement immunitaire post-vaccinal ou post infection. De me me pour des traitements par anticorps monoclonaux qui pourraient avoir une activite moins efficace. Mais a ce stade aucune resistance a la vaccination n’avait e te prouvee. Le 8 avril, une mise a jour a montre qu’a partir des analyses de serums de sujets vaccines, de sujets infectes, ou d’anticorps monoclonaux qu’il n’y avait pas d'echappement immunitaire du variant. Jusqu’a present, on ne dispose d’aucune information qui prouverait que le vaccin est inefficace face a ce variant. Les patients morts etaient soit non vaccines soit n’avaient beneficie que d ’une seule dose de vaccin.
Cette mutation est classee comme variant a suivre dans la categorie VUI de L’OMS car il n’y a pas encore de donnees indiquant une plus grande transmissibilite et une plus grande frequence de formes severes. Cependant, il semble quasi indetectable au test nasopharynge. Plusieurs hypotheses ont ete emises:
Le test contient des re actifs chimiques adaptes au SARS-COV-2, il se pourrait qu’une des mutations du variant breton touche une region du genome virale qui l’empe cherait alors d’interagir correctement avec les reactifs chimiques du test. Le virus serait trop peu present dans les muqueuses nasales des patients infectes, raison pour laquelle les diagnostics actuels ont pu etre fait soit par serologie (recherches d’anticorps specifiques), soit par des prelevements respiratoires profonds (liquide bronchoalveolaire), ou par analyse de prelevements de selles (ecouvillon rectal) en cas de signes digestifs.
Selon la DGS, le systeme de detection est actuellement mis en place sur des regions precises afin de mesurer l ’ampleur epidemiologique du variant et parallelement a cela, des experiences continuent a etre menees pour determiner comment le variant breton va reagir a la vaccination et aux anticorps developpes lors de precedentes infections. Par precaution, les autorites locales ont decide d’accentuer les mesures en accelerant la vaccination, en interdisant les rassemblements, et en faisant de la prevention sur l’importance des gestes barrieres.
Rapports des TP microbiologie : section médecine Anticorps monoclonaux dans le traitement de la COVID-19 Un anticorps monoclonal est produit d’une seule source de cellules, de lymphocytes (le clone) et il ne reconnait qu’un type d’épitope d’un antigène donné. Sa pureté permet de l’utiliser notamment pour effectuer des diagnostics (identifier précisément un antigène recherché) ou de thérapie, ici dans le cas de covid-19. Ils sont introduits par perfusion intraveineuse au patient et l’avantage est que cela permet de fournir une immunité immédiate contre la maladie, contrairement aux vaccins qui nécessitent un certain temps de réaction pour produire les anticorps. Cela serait donc très utile pour des personnes à risque, des personnes âgées qui ont un déficit d’immunité. Dans des phases précoces de la maladie, ces anticorps, se liant à la protéine S du SarsCOV-2, empêcheraient le virus de pénétrer dans les cellules et ainsi de se répliquer. En effet, introduire ces anticorps en phases tardives d’une maladie a très peu de chances de guérir le patient ou d’avoir un impact sur son immunité. Le grand inconvénient de ces anticorps reste le fait que leur production est coûteuse, utilisant des biotechnologies et une multiplication in vitro. D’autre part, c...