L3 didactique tennis de table 2020 PDF

Title L3 didactique tennis de table 2020
Course théorie du sport
Institution Université de Poitiers
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Summary

didactique tennis de table...


Description

TENNIS DE TABLE L3 EM 2020/2021

I.

APSA duelle et sports de raquette.

a) Sport de duel. Notion d’opposition avec la nécessité de gérer un rapport de force (s’affronter) On a des enjeux sous jacent : - Elaborer des stratégies pertinentes. - Mieux percevoir des indices aux rapports de force. Ce rapport de force on l’appellera dominant /dominé. Il a lieu souvent avant la rencontre ou pendant celle-ci. - Contrôler son émotion, son stress (agressivité, peur de perdre, peur de gagner), remise en cause de son statut. - Connaître les autres, les respecter et respecter les règles. - Enrichir sa motricité, améliorer sa technique, mais également sa condition physique. - Vivre différents rôles sociaux (arbitre, combattant, spectateur, coach …)

b) Sport de raquette. C’est une forme particulière d’affrontement supprimant le contact direct. On a un impact psychologique qui va faciliter l’activité, (mise en danger plus subjective, impression de sécurité) ou la freiner (représentation sociale du ping-pong ou du jeu de volant) C’est un rapport au corps différent (pas de contact direct) Le rapport au corps est différent. C’est un duel " médié " par un volant ou une balle, cela implique que les trajectoires sont à prendre en compte.

II.

Le tennis de table.

a) Définitions. 1) Hervé Delisle : « Le tennis de table est un sport d’opposition instrumenté dans lequel la cible est un espace surélevé de petite dimension séparé en son milieu par un filet bas. Pour marquer un point, le joueur doit en produisant un service indirect ou après avoir attendu un seul rebond dans son camp, envoyer dans le camp adverse, avec une raquette pleine et le plus souvent adhérente, une balle légère dont la trajectoire caractérisée par un point d’impact, une vitesse, une direction, un effet et une hauteur empêchera l’adversaire de réaliser un renvoi dans les mêmes conditions. » 2) Stéphane Barbier : « Le tennis de table correspond à une APSA duelle de raquette dans des espaces séparés, dont le but est de renvoyer une fois de plus que l’adversaire la balle dans la cible opposée. »

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b) Les caractéristiques. 1) Sens profond : C’est un combat singulier avec mort symbolique de l’autre.

2) Logique interne : Activité duelle "médiée" par des raquettes et une balle ou il s’agit de marquer plus de points que son adversaire situé en dehors d’une cible horizontale (la table) à atteindre.

3) Problème fondamental : Défendre et attaquer dans la même action, dans des espaces et des temps restreints (avec des outils réduits)

c) Les représentations. Elles sont souvent très différentes entre les enfants et les adultes. Pour les enfants, la terminologie commence avec le ping-pong qui est d’abord source de plaisir, c’est avant tout un loisir (activité très ludique). D’où la mise en place par les enfants d’un certain nombre de règles dites règles enfantines. - Services aménagés (deux services) - Let ou net : Balle à remettre. - Tournante : Service croisé, droit de jouer à la main s’il n’y a pas assez de raquettes (utilisation de livres) … pose de la raquette sur la table une fois l’élève éliminé. - Droit parfois à un rebond supplémentaire. - Au service obligation d’un seul rebond par demi-table (service long) - 0-7 et 11-1 c’est gagné. - 3 Lets consécutifs et c’est perdu. - Si la balle sort sur le côté c’est perdu. - Représentations également parfois très différentes entre les filles et les garçons (cf J.P Famose but de maîtrise et but de compétition)

d) Historique Orientation qui implique que le tennis de table et le badminton aurait une origine commune : le jeu de paume.

1) En GB : Apparition en 1874 de la balle en caoutchouc. 1880-1882 le T de T se substitue au Lawn Tennis. (C’est un tennis sur gazon qui date de 1877 dont l’origine semble venir du jeu de paume qui est français.) Un jour qu’il pleuvait, des joueurs ont décidé de finir leur match dans une salle et plus exactement sur une table de salon peinte en vert (imitation du gazon !) en utilisant des boîtes de cigares en guise de raquettes. Le tennis de table est alors une sous section des clubs de tennis. 1890 : Balle en celluloïd apparaît (révolution du concept) 1891 : Apparition de la première raquette cordée, plus fine que la raquette normale, on l’appelle Ping-Pong marque déposée par John Jacques. Il y a également l’apparition de « battes » en peau tendre qui annoncent les raquettes actuelles. Le TT devient un sport réservé aux classes favorisées (les bourgeois) et se réglemente. - Interdiction du revers - Dimension de la table : 2 m 44 et 1m 37 (la hauteur n’est pas précisée mais elle doit correspondre à la hauteur d’une table de salle à manger) 1900 : De jeu de salon pour joueurs fortunés on passe à un passe temps populaire car selon le « Sheffield indépendant » de 1902 (journal Londonien) : 2

- Le TT est bon marché. - Il peut être pratiqué sur une table familiale. - Il ne demande que deux joueurs. - Les deux sexes peuvent s’opposer. 1902 : Premier grand tournoi à Londres : 120 participants H et 116 F.

2) En France : Le TT traverse la manche……le 1er grand tournois organisé à Paris est gagné par une joueuse de tennis de haut niveau (Yvonne de Pfeffeb)

3) Les Fédérations : Les 2 fédérations sont créées le même jour le 12 décembre 1901. La Fédération de T de T dans laquelle le service est au dessus de l’épaule. La Fédération de ping-pong où il y a un double rebond pour le service. Les 2 fédérations ont fusionné le 1 mai 1903 avec la logique du service du Tennis. Il faut attendre 1920 pour que le double rebond au service revienne dans le règlement. Le 12 décembre 1926 : création de la fédération de la FITT par Ivor Montagu.

4) Quelques dates montrant l’évolution du T.D.T : 1937 : Abaissement de la hauteur du filet on passe de 17 cm à 15.25. 1947 : Fin du décompte des points comme au tennis. 1950 : Les raquettes deviennent plus rapides et donnent plus de rotations dans les balles (innovation japonaise) 1985 : Utilisation de colles rapides, accélération du jeu, dans la mesure ou le rebond de la balle sur la raquette est plus rapide. 1988 : Admission aux JO. 2000 : La balle passe à 40mm. 2001 : Manche de 11 points, 2 services en alternance.

III.

Les variables didactiques.

Elles vont faire évoluer les situations d’apprentissage en simplifiant ou en complexifiant :

1) Espace de jeu : a) Jeu sur ½ table. b) Jeu sur les diagonales. c) Zones cibles, avec une feuille par exemple. Les zones cibles donnent des points bonus. Il est très important d’éviter d’utiliser des craies (utilisation de feuilles A3 ou A4 par exemple) d) Espace de recul : Il est intéressant de tracer des lignes au sol pour avancer ou reculer par rapport à la table.

2) Table et filet : Modifier la hauteur de la table, avec éventuellement l’utilisation de tapis Sarneige. (Adaptation très rare !!!) Modification de la hauteur du filet. (Utilisation d’un sur filet)

3

3) Balle : a) Jouer avec des balles plus grosses 50 mm ou plus petites. b) Jouer avec plusieurs balles. c) Les balles striées rendent plus visible les effets.

4) Conditions de frappe : a) Prise d’initiative en 3° balle. b) Proscrire le coup droit ou le revers (coups interdits ou valorisés).

5) Temps de jeu et temps de récupération : Il peut être très intéressant de varier ces différents paramètres. (Surtout quand on est en sureffectif, et que l’on manque de matériel)

6) Décompte des points : a) Comptage type badminton. b) Utilisation de Point Bonus, un point obtenu d’une certaine façon compte plus de points. c) Comptage au temps. d) Sur nombre de points prédéfinis à l’avance exemple : Match en 3 points, 11points, 21points…

7) Les formes de groupement : a) b) c) d)

Par affinité. Par niveau. De façon hétérogène. Par logique de besoin (exemple de fonctionnement par ateliers)

8) Gestion de l ’effectif : a) Utiliser des matchs en simple (arbitre, coach, observateur, spectateur) b) Match en double classique. c) Match en double avec deux balles (en parallèle et / ou en diagonale CD/ R). d) Tournante à bien réglementer. e) Utilisation de robots. f) Travail aux paniers de balles (un lanceur, plusieurs ramasseurs, plusieurs joueurs).

IV.

Les ressources.

1) Bio-énergétiques. Activité que l’on peut considérer comme peu mobilisatrice en début d’apprentissage mais qui peut à un niveau de pratique élevé ou dans certaines situations d’apprentissage solliciter des ressources énergétiques importantes : 4

(Exemple sur travail avec paniers de balles)

2) Bio-informationnelles. - Activité reine. - Qualité des prises d’informations. - La gestion des différentes formes d’incertitudes (spatiales, temporelles et évènementielles)

3) Psychologiques. - Gestion de son émotivité. - Nécessité d’une importante concentration pour répondre à l’ensemble des différentes contraintes qui sont : - Vitesse. - Précision. - Effets. - Les enjeux.

4) Au niveau moteur. -

V.

Coordination motrice fine. ( activité d’anticipation coincidence) Précision segmentaire.

Règles et lois du jeu.

a) Les conditions de jeu. 1) Surface de jeu. - La Table : 274 (137 par demi-table) x 152 cm x 76 cm du sol. Surface plane, matière quelconque, pour l’agrément une balle lâchée à 30 cm de haut doit rebondir à 23 cm. Elle est de couleur verte ou bleue, mat et foncée. Sur les côtés, elle est limitée par une bande blanche de 2cm de large. - Le filet : hauteur de 15.25 cm. - La balle : 2,7g, diamètre 40 mm, celluloïd à 2 hémisphères, blanche ou jaune.

2) La raquette. Elle est libre dans sa forme, son poids, et sa dimension. Par contre, la palette doit être en bois rigide avec au moins 85 % de bois naturel (avec différents plis de 1 à 9) Bois tendre : jeu lent. Bois dur : jeu rapide. Manche : 3 types : - Anatomique. - Droit. - Concave. Revêtements : un côté noir et un côté rouge. - Picot ou back-side (les picots sont sous la plaque et orientés vers le bois) 5

- Toutes les colles ne sont pas autorisées. - Prise en porte-plume, il ne peut y avoir qu’un seul revêtement. - La main et le poignet font partis de la raquette.

3) Espace de jeu. -

4 mètres en hauteur. Championnats internationaux : 14 mètres longueur, 7 m de largeur. Championnats nationaux : 12 mètres longueur, 6 m de largeur.

b) Décompte des points. - Un échange perdu = un point. Les parties sont de 3, 5 ou 7 manches avec 2 points d’écart (le plus souvent 5 ou 7 manches) - Changement de serveur tous les 2 points sauf à partir de 10/10 ou le serveur change tous les points. - Règle de l’accélération : A partir de 10 minutes de jeu dans une manche, la règle de l’accélération, (service alternatif) peut être décidée. Dès lors, le serveur doit avoir conclu son point au bout de 13 touches pour l’obliger à une prise d’initiative.

c) Le service. La balle doit être : - Visible sur la paume de la main, au-dessus de la table, en arrière de la ligne de fond. - Projetée verticalement d’au moins 16 cm sans lui communiquer d’effets. - La frappe doit s’effectuer en phase descendante au niveau ou en avant du joueur. - Si « let », alors la balle est à remettre indéfiniment.

d) Balle à remettre. - Si une autre balle gène l’un des joueurs. - Si la balle touche le filet ou les potences sur le service. - Si le receveur n’est pas prêt.

e) Points perdus. - Service irrégulier (hors règle) - Appuis sur la table. - Faire bouger la table. - La balle fait 2 rebonds dans son camp.

f) Le jeu en double. - La ligne centrale de 3 mm fait partie de l’aire de jeu. - Sur le service obligation de servir diagonale coup droit. - Points perdus mêmes règles que pour le simple (attention cependant à ce que les touches de balle soient alternatives parmi les joueurs d’une même paire) 6

g) Les conseils aux joueurs. Ceux ci sont possible uniquement durant la minute séparant deux manches.

VI.

Prises de raquette.

C’est un élément fondamental pour l’apprentissage et le perfectionnement. Son respect va conditionner la réalisation et le rendement de tous les coups techniques ainsi que la maîtrise de la liaison coup droit / revers. 1) Prise orthodoxe ou Prise transversale : La palette est tenue entre le pouce et l’index, les trois autres doigts sont refermés autour du manche. - Inconvénients : a) Faible mobilité du poignet surtout au service. b) Passage délicat revers/ coup droit ou coup droit/ revers (le ventre pongiste). - Défauts courants chez le débutant : prise marteau ou les 2 doigts sur la palette au niveau du revers. 2) Prise porte plume : prise droite (asiatique) : - Prise japonaise : pousse et index se rejoignent, les 3 autres doigts appuient sur l’arrière (plus de possibilité de rotation) - Prise chinoise : pousse et index ne se touchent pas, seul le majeur appuie sur la face postérieure de la raquette. - Mixte (japonaise en revers et chinoise en coup droit)

VII.

Les services.

Quelle que soit la prise de raquette et le système de jeu, le service constitue une arme stratégique importante puisqu’il oriente le jeu sur la seule décision du serveur. Le service est la première arme d’attaque. C’est un coup très réglementé et très technique, il est à travailler comme une habileté fermée, mais qui doit être réinvestie par la suite dans une notion d’adversité, qui implique : - De maîtriser des services variés. - De ne pas donner ou si possible pas trop tôt des informations à l’adversaire. -De donner éventuellement des fausses informations (Maquiller attention cependant il est désormais interdit de masquer lors du service) On peut classer les services en fonction de : 1- La vitesse de balle. 2- Des effets donnés. 3- Du point de départ du service. 4- De la localisation de l’impact sur la demi-table adverse.

a) Petit atlas du service (F. Orfeuil) 7

(Serveur et relanceur droitiers)

5

4

7

6

3

1

2

Caractéristiques

Intention de jeu

Retour probable

1 Long ventre

Gêner (CD ou RV)

Pas très appuyé en CD

2 Rapide dans le revers

Gêner sur le revers

Contre sur la diagonale

3 Sortant dans le revers

Déporter

Très croisé

4 Bombe dans le CD

Déséquilibrer

Diagonale

5 Court CD

Faire avancer

Agressive dans le CD

6 Ventre mi-long

Gêner (service hôpital)

Réponse d’attente

7 Très court (à 3 rebonds)

Faire avancer

Très court

b) Récapitulatif de tous les services existants. (Ils existent en R et en CD) -

Sans effet. Latéral. Coupé. Coupé latéral DG ou GD. Lifté. Lifté latéral DG ou GD. Dévié rentrant lifté ou coupé. Dévié sortant lifté ou coupé. Bombe (rapide) Bombe coupé. Bombe top spiné ou side spiné. Bombe dévié rentrant (lifté ou coupé) Bombe dévié sortant (lifté ou coupé) Retro court. Service infirmerie (retro long)

c) Détails des services. 1) Les services à effets latéraux. - a) Action : rotation 8

Il s’agit de frotter finement au niveau de l’équateur de D à G et d’arrière vers l’avant ou de G à D et Av en Ar. - b) Implication sur la table : La trajectoire de la balle est courbe. - c) Implication sur la raquette adverse : L'adversaire prend tout l’effet en direction des côtés. - d) Utilisation tactique : Difficulté pour relancer. Obliger l’adversaire à relancer dans un endroit précis. - e) Il existe trois possibilités : - Effets latéraux. - Effets latéraux coupés. - Effets latéraux liftés.

2) Services coupés : - a) Action : Rotation arrière. - Toucher fin au pôle sud. - Impulsion d’arrière en avant. - b) Implication sur la table : - La balle sur un service court reste sur la table. - c) Implication sur la raquette adverse : - Après l’impact, la balle plonge dans le filet. - d) Utilisation tactique : - Difficultés pour la prise d’initiative. - Permet de gagner directement un point. - e) Il existe deux possibilités : - Coupé simple. - Coupé latéral.

3) Les services liftés : - a) Action : Rotation avant. - Toucher fin au pôle Nord. - Impulsion du bas vers le haut. - b) Implication sur la table : - La balle accélère au 2ième rebond. - c) Implication sur la raquette adverse : - Après l’impact la balle monte. - d) Utilisation tactique : - Obliger l’adversaire à prendre l’initiative. - Faire monter la balle de l’adversaire pour attaquer. - e) Il existe deux possibilités : - Lifté classique. - Liftés latéraux. 9

4) Les services déviés : changement de direction. -

a) Action : rotation, touché fin au pôle sud. Impulsion de droite à gauche (ou de gauche à droite), du bas vers le haut d’ou un changement d’axe de rotation.

- b) Implication sur la table : - La balle change de trajectoire au 2° rebond. - La table absorbe une bonne partie de l’effet. - c) Implication sur la raquette adverse : - L’adversaire ne prend que peu de rotation. - d) Utilisation tactique : Implique une difficulté de l’adversaire pour analyser la trajectoire de la balle donc il lui est difficile de prendre l’initiative. Recherche d’angle et du ventre pongiste. - e) Il existe deux possibilités : - Dévié droit (rentrant). - Dévié gauche (sortant).

5) Les services bombes : - a) Action : Il s’agit de frapper la balle. C’est un choc balle raquette à l’équateur (une image pédagogique est celle du carreau de pétanque). La raquette revient après le choc avec la balle. Impulsion : d’arrière vers l’avant. La raquette doit être bien perpendiculaire à la table. L’impact raquette balle est près de la table. Le placement du premier rebond est proche de la ligne de fond de table. - b) Implication sur la table : La balle à une très grande vitesse. - c) Implication sur la raquette : L’adversaire est obligé de bloquer. - d) Utilisation tactique : - Effet de surprise. - Recherche de l’ace. - Placement de la balle qui permet de jouer fort derrière. - Mettre l’adversaire en situation inconfortable. - e) Il existe quatre possibilités : 1- Frappée. 2- Déviée. 3- Coupée. 4- Liftée (top spinée).

4) Les services infirmerie (ambulance) : - a) Action : Rotation, touché fin au pôle sud. Impulsion de droite à gauche ou de gauche à droite du bas vers le haut. Le placement du premier rebond est en milieu de table. L’objectif est d’obtenir un troisième rebond sur la ligne de fond de table adverse. - b) Implication sur la table : Comme pour le service dévié, la balle change de trajectoire au deuxième rebond. 10

- c) Implication sur la raquette : L’adversaire prend de l’effet selon la quantité de rotation donnée au départ (cependant c’est atténué comme pour un service dévié) - d) Utilisation tactique : Grâce à la déviation, la balle reste sur la table au troisième rebond donc l’objectif est de faire croire à l’adversaire que la balle va sortir de la table. Ainsi, il en résulte pour lui une difficulté pour décider soit d’une prise d’initiative en top spin, soit une remise comme si c’était un service court. Il est également intéressant de rechercher des angles ou le ventre pongiste. - e) Il existe deux possibilités : 1) Un service dévié droit ou gauche. 2) Un service rétro long ou la balle reste sur la table au troisième rebond.

5) Les services sans effet : - a) Action : De porter, ceci implique un toucher fin de balle derrière et dessous. L'impulsion nécessite l’utilisation du maquillage. - b) Implication sur la table : Balle molle, peu de vitesse. - c) Implication sur la raquette adverse : La balle monte légèrement. - d) Utilisation tactique : C’est un service que l’on utilise avec des joueurs qui ont des raquettes anti- top ou des picots… C’est une variante suite à un conditionnement.

d...


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