La métapsychologie freudienne PDF

Title La métapsychologie freudienne
Course Approche des grands courants de la psychopathologie
Institution Université Catholique de Lille
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Summary

étude et description des approches dynamiques, économique, topique de la métapsychologie freudienne ainsi que les différentes théories sur les pulsionsM.RENNIERS
...


Description

Moment crucial dans la naissance de la psychopathologie > Sigmund Freud sera un des premiers à assurer deux choses : 1, Amène le lien de continuité entre le normal et le pathologique. Il y a une part de folie en chacun de nous. (Théodule Ribot l’avait postulé aussi) 2, Etablit une méthode d’approche pour essayer de comprendre les mécanismes qui sous-tendent toute forme de pathologie mentale, qu’elle soit déclarée, explicite, ou qu’elle ne le soit pas : la métapsychologie. Méta : au-dessus ou au-delà Fondée sur une approche qui veut aller au-delà de ce qui est simplement observable. Aux antipodes du behaviorisme, où l’on s’intéresse à l’observable, au cpt, et on est aussi au-delà de l’approche strictement sémiologique. Un signe objectif est important mais ne permet pas de comprendre quoi que ce soit de la pathologie. Il faut admettre un au-delà de ce qui est strictement observable. Ce méta est indissociable d’un concept pivot pour la psychanalyse : l’inconscient. En psychanalyse, inconscient en actes (ce qui se déploie quand un patient parle à un Autre, en psychanalyse c’est ce qui nous pulse/pousse), pas en théorie. Ex : Un lapsus ou un acte manqué est une manifestation en actes de l’inconscient. 3 approches (d’une même réalité psychique) propres à la métapsychologie : « Exposé dans lequel on aurait pu décrire un processus psychique d’après ses rapports dynamiques, topiques et économiques » (Freud, L’inconscient). Derrière les symptômes, derrière les faits psychologique manifestes on doit interroger les processus analysables en termes de : 1. Approche dynamique : « conflit opposants certaines forces internes » 2. Approche économique : « accompagnant d’une répartition particulière d’énergie alimentant ce conflit » 3. Approche topique : « au sein de lieux psychiques dûment identifiables »

1. Approche Dynamique : étude conflits internes notion indiscociable de l’inconscient dans une recherche de représentation de l’AP Pour Freud, l’homme sain sans pathologie avérée est lui aussi soumis fondamentalement au conflit, il y a un seul moment où l’on est plus dans le conflit : la mort. Il repère la dimension dynamique dans les manifestations quotidiennes chez le sujet réputé sain à travers ce qu’il considère comme étant les manifestations de l’inconscient (on ne peut jamais saisir l’inconscient) on ne peut saisir l’inconscient qu’à partir de ses effets (cf.+bas) Si on pose l’inconscient on est forcément dans l’interprétation. Le rêve : autre manifestation majeure de l’ICS, sa vocation est de protéger le sommeil, mais n’a de consistance qu’à partir du moment où l’on ne rêve pas ; c’est au réveil qu’il y a du rêve : ce que Freud appelle l’élaboration secondaire. (pas uniquement une production nocturne mais est une parole adressée à quelqu’un à qui on signifie quelque chose) Dans l’approche dynamique : - Les phénomènes psychiques = résultant d’une combinaison de forces +/- antagoniste - Approche la plus fondamentale de la psychanalyse pour comprendre ce qu’est l’inconscient (non réductible à ce qui n’est pas conscient) car pour Freud l’existence de l’Inconscient se fonde sur celle du conflit psychique dont le refoulement est l’exemple le plus typique pour illustrer le point de vue dynamique. - Donc l’approche dynamique s’inscrit dans une représentation de l’AP clivé entre Conscient(P)-PCS vs ICS => notion de conflit indissociable du concept d’ICS. - Illustrations (indices) du conflit pour Freud o Lapsus : « la tendance du refoulé se manifeste malgré la personne » o Actes manqués : « résultent de l’interférence de deux intentions différentes » 1

o Rêve : lieu de production de compromis entre des tendances contraires entraînant une déformation des contenus latents du désir o Névrose : le symptôme signe le retour du refoulé (qui réussit à contourner les forces du refoulement) - Dans l’approche dynamique le conflit peut être entendu comme : o Opposition entre la pression permanente qu’exerce l’ICS (pp de plaisir ICS) et pressions externes (pp de reéalité : P-CS)(lieu psychique du jeu pulsionnel) et celle exercée par des systèmes plus élaborés assujettis au principe d’accommodation aux exigences externes (ppe de réalité) o Opposition entre pulsions, entre pulsions et défenses, voir entre instances psychiques (cf 2 nde topique) o MAIS chez le nourrisson on ne peut pas encore parler de conflit entre un moi et une réalité car les deux sont encore indifférenciés, on parle alors de conflit entre un interne et un externe.  délimitation dedans dehors : d rapport entre moi et exérieur  Les expériences rencontrées par le pré-sujet dans son rapport au monde extérieur (ex : satisfaction de l’exigence pulsionnelle, besoin comme la faim) vont déterminer la constitution d’une enveloppe psychique qui entraine une double conséquence :  Délimitation sera établie entre dehors/dedans  Le conflit se situe alors entre « besoins » localisé dans un dedans et les traces mnésiques issues des rencontres Moi et réalité externe. 2. Approche économique Freud a été un scientifique qui était très influencé aux progrès de son époque à Vienne où un courant se développait (Fechner et Helmotz) : la neurologie testée sur les animaux qui admet une quantification. Il y a une proportion des énergies qui circulent et qui dans leur force peuvent rencontrer d’autres forces plus faibles ou plus fortes qu’elles. Pour Freud quelque chose peut être quantifié, Helmotz a notamment repéré 2 types d’excitations : - les excitations qui se présentent sous la forme d’une simple libération d’énergie, l’énergie libre, elle ne sert à rien et elle s’impose (ex le cri comme décharge motrice). - Energie liée qui est contrôlée. A partir de là Freud déduit sur un plan neurologique et métapsychologique 2 types d’énergies Psychiques : - Energie libre -> processus primaire (ICS) - Energie liée -> processus secondaire. (PCS et Pcs) Ces processus caractérisent différents niveaux de l’AP: - Le processus primaire caractérise le fonctionnement de l’Inconscient (ICS): nrj libre qui ne connait ni le temps ni la contradiction, mais admet les mécanismes de condensation et déplacement. On le repère dans certains états que l’on qualifie aujourd’hui de psychotiques Ex : lorsqu’un patient délire, c’est-à-dire qu’il ne considère pas quoique ce soit d’une contradiction entre ce qu’il produit comme idée et ce qui en face de lui contredirait cette idée, ex : la psychose paranoïaque Il n’y a pas les mécanismes que Freud identifie de déplacement ou de décondensation dans les processus primaires où une chose est une chose. Ex : la phobie : obsession de ce qui n’est pas pour s’en défendre ou les obsessions dans lesquelles il y a secondarisation permanente - Le processus secondaire admet une contradiction et une temporalisation (énergie liée) ce sont les opérations psychiques pointues avec attention, mémoire, il caractérise e que Freud identifie de préconscient (PCS) ainsi que le système perception-conscience (Pcs ou P)  lies les représentations et excitations pour stabiliser et contrôler les processus psychiques 2

Spécificité des processus propres à l’ICS : Se trouvent au carrefour des points de vue dynamique, économique et topique (cf tableau p.8) Processus Primaire : énergie libre qui tend à l’évacuation de la décharge, correspond à l’énergie déliée qui caractérise l’ICS, régit par le principe de plaisir. Processus Secondaire : fruit d’une liaison définie comme « une opération qui tend à limiter le libre écoulement des excitations, à relier les représentations entre elles, à constituer et à maintenir des formes relativement stables. » ; Tend au contrôle des processus psychiques. Caractérise le système PCSPcs régit par le principe de réalité. (Admet l’investissement de la réalité externe) Exemple Freudien dans lequel on peut repérer ces 2 types de processus : - L’hallucination de la satisfaction a d’abord été abordée par Freud par une approche économique : Elle est fondée sur un processus primaire (ignore le temps et la contradiction) (cf esquisse d’une psychologie scientifique de Freud), progressivement va s’installer le processus secondaire  car association représentation entre faim et satisfaction qui va établir une limite qui va admettre la temporalité et la contradiction qui va participer de la structuration de l’appareil psychique autant pour l’hallucination de la satisfaction il était question d’une identité de perception autant dans le processus secondaire il ne sera plus question d’identité de perception mais d’identité de pensée, c’est parce que l’on est dans cette identité de pensée que l’on peut admettre la contradiction et la temporalité. La réalité est conforme à la perception = identité de perception sinon identité de pensée. Ce qui permet à l’hallucination de perception de devenir une représentation. Dans le cas de certaines pathologies ou manifestation (lapsus, actes manqués, mots d’esprit) la quête d’identité de perception prévaut sur celle d’une identité de pensée. Hallucination de la satisfaction-> processus primaire -> identité de perception -> principe de plaisir -> processus secondaire -> Idée de pensée -> principe de réalité

Freud repère que l’on retrouve la persistance du processus primaire dans certaines manifestations : rêve, actes manqués, ou dans certaines pathologies comme les psychoses (automatisme mental) Du point de vue économique le rêve résulte d’un travail qui admet la circulation de l’affect le long de la chaine associative, donnant lieu à l’investissement de représentations ici substitutives de celles refoulées à l’état de veille.  substitution des représentations refoulées à l’état de veille sous la forme de nouvelle représentations présntes le long de la chaine associative Nb : La psychose est pensée comme « Inconscient à ciel ouvert » chez certains auteurs. Autre aspect de l’approche économique : Freud considère que n’importe quel fragment de la réalité chez un sujet ne prend corps que s’il y a investissement, c’est-à-dire un investissement narcissique de l’objet. La réalité ne se pose jamais en tant que telle, il y a toujours un investissement. Investissement, contre investissement... : Part d’affect liée à toute représentation, susceptible de circuler de représentations en représentations, dans la circulation se trouvent l’investissement, le désinvestissement ... Prolongement logique de l’approche dynamique, l’approche économique tend à considérer la grandeur relative des forces engagées dans le conflit psychique. Elle « permet d’étudier le destin des quantités d’excitations et tend à les évaluer, au moins approximativement » (Freud, L’Inconscient, 1915), constitue l’approche la plus hypothétique de la métapsychologie Freudienne compte tenu de l’objet d’étude que représentent les processus psychiques inconscients. La pression pulsionnelle se caractérise par : o Sa direction soutenue par la représentation à laquelle elle s’attache o Un quantum d’affect : énergie dépensée au niveau pulsionnel. 3

=> Soit une approche dynamique qui admet des forces en opposition et une approche économique complémentaire qui tend à l’analyse de la répartition des charges affectives reliées à ces forces.

Le nourrisson et la faim dans l’approche économique : Confronté à un ensemble de stimulations, aucune de ces excitations ne peut s’inscrire dans un réseau de significations. Ainsi la faim (pulsion de conservation ?) s’inscrit dans un chaos qui n’admet aucune limite, la tension qui en émane peut être considérée comme la continuité de toute autre forme d’excitation => le cri est uniquement une décharge motrice (finalité cathartique), l’intervention extérieure éteint le besoin (l’Autre) momentanément. Le besoin se présente à nouveau -> impulsion psychique chez le bébé qui investit la trace mnésique de la satisfaction (perception) dans sa mémoire et provoque à nouveau la perception = Hallucination de la satisfaction comme fondement de l’espace psychique comme contenance fondamentale de tout le reste, sur la base du processus primaire soit une satisfaction temporaire imaginaire qui contre le besoin réel. Identité de perception, le processus primaire « vise à retrouver une perception identique à l’image de l’objet résultant de l’expérience de la satisfaction » (Laplanche et Pontalis) MAIS ne donne jamais lieu à une satisfaction « réelle », cette confrontation au réel amène le bébé à s’accommoder de la temporalité et de la contradiction de la réalité ainsi l’hallucination deviendra représentation qui entraine une double distinction réel/imaginaire et sujet/objet. => émergence des processus secondaires qui visent l’identité de pensée. 3. Approche Topique Topique de topus, lieu, endroit. Volonté chez Freud de façon complémentaire aux deux autres approches d’établir une représentation de l’appareil psychique dans laquelle un certain nbre d’instances occuperaient des lieux très précis en articulation avec d’autres instances. Dans le contexte scientifique anatomo scientifique de l’époque Freud se démarque par le fait que les Instances qu’il va identifier ne se rattachent pas à une localisation cérébrale spécifique. Freud essaie de considérer ce que peut être un appareil psychique, (à l’inverse de Skinner qui ne voulait pas s’intéresser à la « boite noire »).  Il établit une première topique (représentation de l’appareil psychique) en distinguant 3 instances : Nb : La description du schéma de la 1ère topique apparaît dans l’Interprétation des rêves Il y a des excitations qui ne vont que dans un seul sens et qui admet une réponse Toute excitation constitue forcément une trace mnésique qu’il nomme S1, S2... Ses traces mnésiques vont s’associer entre elles selon des voies de simultanéité et similarité. Les traces mnésiques vont avoir un destin très particulier, lors de certains processus psychiques, les excitations vont parcourir les instances (systèmes) psychique selon un ordre temporel précis (lien étroit dans la 1ère topique entre représentation spatiale et temporalité) :  Un certain nbre va rester simplement accessible et qui peut ressortir grâce à l’instance Préconscient (PCS), première instance qui représente un filtre (permet à un souvenir de faire l’objet d’une verbalisation avec un effort de mémoire, Le PCS se situe ente ICS et Conscient, il possède une triple fonction : - Interdicteur : bloque l’accès direct ç la conscience des matériaux refoulés dans l’ICS, - Permissif : autorise en fonction des règles dictées par la Censure le retour des représentations inconscientes dans la conscience - Régulation (cf approche économique) : transforme l’énergie libre de l’ICS en énergie liée 4

=> Place centrale de la 1 ère topique  Le second filtre Perception conscience (P), la perception est en soi un filtre, on ne perçoit jamais tout, on ne reçoit pas la réalité passivement, on l’investit, et font l’objet d’une mémorisation sous forme de trace mnésique. Le système P = pôle récepteur, laisserai le soin à d’autre système S le soin de transformer l’excitation momentané (de P) en trace durable.  Un certain nbre qui ne va pas passer au niveau du PCS, Freud l’évoque en s’appuyant sur la clinique de l’hystérique notamment. Illustration filtre PCS : Pour Freud l’hystérie est dotée d’un mécanisme de défense central qu’il appelle le refoulement (ne peux pas avoir de trace mnésique dans AP  ICS qui va essayer de faire ressortir)Ds le refoulement il y a eu perception mais le contenu de cette perception ne peut pas prendre place dans l’appareil psychique sous forme de trace mnésique. Lorsqu’une patiente rapporte qu’elle a été victime, ces souvenirs font l’objet d’un refoulement, cette troisième instance est l’inconscient (ICS) ce qui exerce en permanence une force. L’ICS est constitué de l’ensemble des désirs qui, à l’état de veille, ne peuvent avoir accès à la conscience compte tenu de la censure provenant de la résistance. Il va y avoir une censure inhérente a ces barrières de résistance (Cf. L’approche dynamique : existence de force en opposition). Pour que les traces mnésiques restent dans l’incons cient par le refoulement il doit y avoir une tension permanente, le conflit dont la solution est le symptôme. Chez Freud l’inconscient en actes se situe au niveau du symptôme non pas dans une transmission de génération en génération.

 1915, Freud modifie ce schéma (dans le texte L’Inconscient de Métapsychologie) La base du schéma est ouverte, en lien avec le soma (le corps) 5

En haut de la pyramide : la réalité extérieure qui va fournir un certain nbre d’excitations, par exemple la faim (c’est une réalité psychique) qui vont faire l’objet d’une perception (trait discontinu), mouvement de va et vient. Le PCS dans la continuité directe du système perceptif, ici l’Inconscient ne sera plus limité à ce qui fait l’objet du refoulement il va être au niveau le plus proche du Soma. Chez Freud pas de dichotomie soma/psyché Dans le premier schéma L’ICS était le refoulé, donnait consistance à une représentation du sujet comme soumis à quelque chose qui lui arrive, tout à fait lié aux premières découvertes de l’hystérie (position subjective). Dans le second schéma de la 1 ère topique on admet des éléments endogènes, met en avant des choses qui viennent de l’intérieur (fantasmes, pulsions) donc les mouvements ne se feront pas que dans un seul sens mais répartition égale du poids de l’extérieur et de l’investissement de l’intérieur ICS géré par les processus primaires (énergie libre) soumis au principe de plaisir Découvre l’ICS avec l’hystérie, le saut Freudien est de considérer que l’ICS n’est pas uniquement localisable dans une pathologie ou une autre, il est un élément de structure, il est universel, c’est pour cela qu’il va se mettre à travailler le rêve de chacun. Il découvre après avoir remis en question ses théories sur l’hystérie, ce qui deviendra le complexe d’Œdipe (1897), l’ICS ne répond plus à un trauma insupportable refoulé mais entretien un rapport étroit avec ce qui pousse en nous, la pulsion, le petit d’homme parlant dès le départ détient quelque chose de l’ordre du Désir parce que il ne saurait y avoir d’enfant s’il n’y avait pas d’autre qui le mette dans le langage. Ce second schéma témoigne de cette avancée Freudienne, il témoigne de plus en plus que des éléments internes déterminent fondamentalement le destin du sujet sur les coordonnées du désir. Pcs et PCS sont rattachés aux processus secondaires soumis au ppe de réalité (énergie liée) -> Le système Perception Conscience comporte alors le plus nettement les excitations allant à double sens : du monde objectal vers PCS et ICS et de ICS vers Pcs en passant par PCS. Freud ajoute des filtres au 2nd schéma

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Filtre Pare Excitation au niveau du système Perception conscience : Sélection par ce système de pare excitation, empêche un afflux trop massif d’excitations  au dessus Perception conscience Filtre entre P et PCS : toutes les perceptions ne vont pas forcément être emmagasinées pour être dispo au niveau Pré Conscient (AP≠ boite à emmagasiner passivement les choses, ils fonctionne par investissement, il est actif), les traces mnésiques pourront accéder à la conscience par un investissement Filtre entre PCS et l’ICS : barrière d’une autre nature que les 2 précédentes, c’est la barrière de censure : Ensemble de forces agissant contre les traces mnésiques refoulées. Tout est fait pour empêcher les traces mnésiques refoulées de revenir, une force s’y oppose. 6

Ces filtres on une fonction essentielle qui est de régulation, visant à maintenir l’appareil psychique dans un état d’équilibre compte tenu des forces en présence En 1915 Freud propose une autre distinction très importante : l’Appareil Psychique (AP) est constitué avant tout de représentations, (Productions psychiques qui s’interposent entre le sujet et ce que l’on appelle la réalité). C’est-à-dire qu’à l’endroit de chacun et chacune nous nous faisons des représentations. (Vorschtlellungen : mettre devant soi), l’ajout décisif de Freud : Il distingue 2 formes de représentations : Par l’observation des troubles du langage caractéristiques de la schizophrénie qui révèlerait un traitement des mots comme des choses 1 représentation comprenant 2 volets complémentaires - Représentations de choses : inconscient - Représentations de mots : préconscient Toute représentation que l’on se fait de la réalité/représen...


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