Langue médiévale - Le chevalier de la charrette CM PDF

Title Langue médiévale - Le chevalier de la charrette CM
Course Langue Médiévale
Institution Université de Toulon
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CM complet Le chevalier de la charrette...


Description

Langue médiévale

Livre étudié: «!Le chevalier de la charrette!»; Le chrétien de Troyes. Introduction : • Ici, le nom de l’auteur nous échappe complètement, souvent anonyme. Réf au Bel inconnu • Le titre de l’oeuvre est présenté à l’intérieur du texte et généralement dans l’incipit il s’agit d’un octosyllabe or à l’intérieur du texte on parle de «! chevalier à la fenêtre!» le titre est donc à prendre avec des pincettes : c’est une influence sur la lecture de l’oeuvre. • L’adaptation de l’oeuvre: «! le chevalier de la charrette! » compte 7000 vers dont 7000 octosyllabes. Il a rarement été copié par l’auteur; De nos jour l’auteur remet son oeuvre à un éditeur scientifique moderne qui le recopie en apportant par ailleurs des modifications.

• Eléments de méthode pour le commentaire ou la dissertation: il est recommandé d’office 3 parties car 2 parties est insuffisant et 4 en est trop. la structure est la suivante : THESE ANTITHESE SYNTHESE THESE

ANTITHESE

SYNTHESE

opinion

2nd opinion en opposition

Argument supérieur qui permet de sortir du dilemme

Vocabulaire: «!ot!»: eu du verbe avoir au passé simple «!A tant es voz!»: tournure qui signifie : alors «!einz!»: adverbe qui introduit la contre partie positive a un énoncé négatif: «!au contraire!» «!jes!»: je les «!ne!»: ni «!ja!»: jamais «!L’uis!»: porte close «!avale!»: aller vers le bas «!avale en amont!»: aller vers le haut

Analyse linéaire: Les cinq premières lignes: réunion de tous les personnages, avec le roi Arthur et sa cour, il apparait en position de sujet «vers 31; li roi Arthur! » et apparait indirectement en position d’objets au vers 34: ça confirme que le roi apparait en personnage qui assume sa fonction royale. répétition de «! riche! » coordination de «! riche! » et «! belle! »: donc hyperbole, et gradation par l’emploie du degré. Double comparaison «!riche et belle tant …!»/ «!si riche com…!» Le plaisir du roi fait ce qu’il doit faire, il est bien dans sa fonction. Deux éléments qui renvoie a la chronologie: 1)!«!et!» volonté d’inscrire dans un temps narratif. 2) «!acenssion! » ascension du christ au ciel: divinité, le roi Arthur est censé avoir un pouvoir semi- divin, ce mot reflète le roi Arthur. En un seul vers le narrateur a inscrit la narration dans la continuité narrative avec «! et! » et «! acenssion! »/ fête religieuse chrétienne. Ligne 35: Premier point inquiétant «!li roi «! fait l’objet d’un rejet: mis a l’écart ou mis en exergue ?, normalement après manger on se lève de table pour passer a une autre activité or ici, le roi Arthur ne bouge pas: absence de mouvement du personnage: attitude ambivalente. Ici le roi Arthur est le noyau, il est dans l’attente d’aventure avec ses compagnons. L’aventure c’est l’élément déclencheur dans le roman donc la tout va bien on est heureux et on attend. Ligne 37: «! et si! »: conjonction de coordination: on parle enfin de la reine/ deuxième «!et!» en début de vers qui signifie «!et il y a le roi et il y a la reine!» Ligne 38: «! ce me sanble! » intrusion du narrateur: 1ère personne: il propose un point de focalisation comme si de rien n’étais dont il revient au lecteur de tenir compte.

Ligne 40: on les présente l’un a coté de l’autre: caractérisation des femmes: elles palment bien français: ça signifie qu’elles tiennent le langage, elles maitrise le beau langage. Ligne 41/42: le roi Arthur est au centre de la cour, description de la cour: 3 forces les hommes autour du roi les femmes autour de la reine le maitre Kex Ligne 43: il est armé de ses armes: utilisation de deux mots appartenant a un même paradigme morphologique: politote. Brutalités hyperbolique. Il arrive a la cour la ou Kex «!se ouest o mangier!», c’est Kex qui est designer pour sauver la reine, il est en marge de la cour Ligne 44: «!a tant ez vos!»: il adresse au lecteur Ligne 45: le chevalier montre son irrespect il viole d’un coté la cour Arthurienne en rentrant dans cette figure parfaite. Deuxième acte d’agression, il ne salue pas le roi: intrusion physique/ agression physique par cette intrusion et ce simple refus de saluer: bouleversement du monde arthurien : il lui dit: «!Ligne 51!»: «!roi arthur…!» le roi était en train de manger, on apprend qu’il y a des chevaliers, des dames et jeunes filles qui ont étés prisonniers alors qu’ils feraient parti du monde arthurien, Arthur lui, ne le savait pas : grosse remise en question du monde arthurien. Enchainement de provocation, le chevalier dit au roi «! je t’ai pris des otages je te les rend car tu es mauvais a les récupérer!»: incohérence apparente et provocation dans le discours + nullité crasse d’Arthur, Kex a mit minable Arthur devant toute sa cour. Le roi répond qu’il lui convient d’assurer cette situation…! : par son attitude, évidemment le roi Arthur n’est pas a la hauteur: impuissance du roi Arthur: le discours directe est utilisé pour le chevalier et le roi lui a un discours indirecte: montre la valeur des deux discours (l’un puissant et l’autre impuissant). Apres avoir fais un aveu d’impuissance, le roi laisse le chevalier lui retourner le dos et s’en aller. Il ne descend pas les marches donc on convient qu’il reste a la meme hauteur et de position d’autorité que le roi. Ligne 70: il agresse le roi en personne. Le chevalier est en train de voler et de prendre avec lui la reine Guenieve et ne discute pas pour montrer l’autorité. Il l’emmène dans un bois, dans le monde arthurien, le bois est le symbole de la, barbarie, donc il l’emmène dans le monde de la barbarie.

On a une cour a l’image du roi, tout le monde a entendue mais personne ne fait rien. Plan possible : I- mise en place du monde Arthurien = thèse A) mettre en place le cadre narratif: au niveau du temps, de l’espace, des personnages. B) Défit qui est lancé (essentiel de cette scène)avec l’impuissance du roi Arthur et la provocation. C) Construction réthorique du discours: dilemme posé par ce défit (par le chevalier) II- bouleversement, element perturbateur = antithese A) en quoi l’intégrité du royaume Arthurien a été attaqué (au niveau des personnes) B) L’enlèvement de la reine : accroissement. On passe du général au personnel: on touche la famille royale. C) le contraste entre l’agitation de la cour qui va être souligne par l’impuissance totale du roi Arthur: soumission du roi Arthur. III- question de la courtoisie = synthèse : élément qui doit permettre de sortir de l’ordinaire: la courtoisie est au coeur du roman. A) l’anti-hero B) Opposition entre la grossièreté du chevalier et la courtoisie des femmes notion du langage: on a d’un coté une affirmation des qualités des femmes: elles parlent bien français/ opposition a la vulgarité avec Kex: ce qui créer la catastrophe c’est le langage. La source de barbarie est que le personnage règne avec la courtoisie: il est provocateur etc. La courtoisie va être a l’origine de la fin du monde arthurien. C) deuxième cours parallèle a celle du roi Arthur: cours de Genièvre. (chevalerie/ courtoisie)

Le roman dans la période médiévale L’emploie du mot roman: Le roman est considéré comme un genre littéraire. Il y a deux questions a se poser: - que signifie concrètement le mot roman dans un roman - Que sont ces textes qui sont désignés dans le mot roman Le mot roman apparait dans la langue française a partir du XIIeme siècle il vient du latin «!romanus!» qui signifie romain. L’adj. Roman signifie en langue pop./ vulg. En opposition a un texte écrit en latin. Langue vulgaire: est la langue commune: langue du peuple. puis, cet adj. va renvoyer a une opposition entre les moeurs habitudes et usages communs par opposition au moeurs et langue des francs : le roman désigne ce qui est roman (français) désigne ce qui est propre (franc). Le mot roman renvoie a une modalité de transition des textes et non pas aux textes eux même au moyen âge. C’est ainsi que, dans des textes on peut retrouver «!mettre! en roman! » et «! faire un roman!»: chrétiens de Troyes dit qu’il va écrire un récit qui est appeler roman car c’est écrit en vulgaire/ marie de France elle écrit en roman car elle traduit des textes pour les mettre en langue française. Deux méthodes de transcriptions: - texte écrit en latin traduit en français - Texte oral transcrit en roman en langue française écrite Par la suite, le mot roman associé a la traduction ou transmission d’un texte indépendamment de l’origine du texte écrit: il va designer n’importe quel texte rédiger en langue romane puis, par spécialisation le mot roman va designer différents types de récits de textes narratifs: plus seulement les modalités mais le type de texte. Qu’est ce qu’un roman au sens littéraire: On considère que le roman est un genre secondaire: la littérature en langue française ne voit qu’a la fin du XIeme siècle le jour avec un des premiers textes «!la chanson de Roland!»: 1er texte consistant de la littérature francaise/ 1er monument littéraire en langue vulgaire. A consulter. La chanson de geste est le genre littéraire de la littérature qui se développe au XIIeme siècle: elle n’implique pas pour savoir une littérature en latin. Le roman

apparait dans un genre secondaire : michel Zinc dit «! pskil va apparaitre dans un second temps après la chanson de geste! » par un point de vue chronologique. Le roman peut aussi apparaitre comme un genre secondaire car il est précéptif: le roman se pose comme roman, il se réfléchit lui même par son écriture. John Luckas affirme que «! L’ESPRIT FONDAMENTAL DU ROMAN, celui qui en déterminé la forme s’objective comme psychologie des héros romanesques: ces héros sont toujours en quête. En ce sens la quête de Lancelot n’est pas l’amour de genièvre ni de sauver genièvre, la quête est de déterminer la nature du roman premier. L’écriture d’un nouveau roman arthurien est de developper la nature même du roman arthurien: chrétien de Troyes définit bien cela. «le roman apparait comme quelque chose qui devient comme un processus! »! poursuit John Lucas . la chanson de geste n’est pas un processus/ l’épopée ne devient pas c’est pour cela qu’aujourd’hui nous ne pouvons pas écrire une épopée: nous sommes incapables/ pas de stabilité du monde/ trop de doutes. Les auteurs présentent une représentation close et parfaite: le roman met en question le monde, de par sa forme, il remet en question le doute: le Hero d’une épopée, d’une chanson de geste est immuable. l’héroïne n’est pas identique a elle même, elle est ce qu’elle est, elle est en haut de la tour et a un but: moyen d’entretenir un univers (en étant mère…) mais elle assume son statut. = monde parfaitement stable hors dans le roman: les héros ont des doutes et son instables. Épopée épique: parfait / roman littéraire : imparfait. Distinctions entre ces deux textes:

- Épopée épique: modalité de transcription: épopée / chanson de troubadours sont transmis oralement et chantés avec un accompagnement musicale. (+ geste et mimiques qui accompagnés) : le texte pouvait être écrit mais il était composé pour être chanté.

- Le roman: transcription encore orale à l’époque: renvoie a deux types de lecture : soit pour un groupe soit pour sois même : lecture différente d’aujourd’hui car cassement tout le monde est capable de produire une lecture morale. C’est par la voix que passe ce texte qui est écrit. Distinctions de ces deux éléments formelles:

- Dans les deux cas le texte est écrit en vers : ce n’est que plus tard que le texte en prose apparaitra . Le texte épique: est composé en laisse: c’est une construction strophique, qui se définit par la répétition d’une même rime ou d’une assonance a la rime qui garantie l’unité de la laisse. Une strophe est une structure fixe et fermée ex: ABBA. Cette structure fermée est mimétique du monde mise en scène dans l’épopée: c’est clos.

le roman médiévale: est également écrit en vers: le plus souvent en octosyllabe et toujours a rimes plates (ex: AABBCC : on appel on répond on appel on répond: il n’y a pas de bornes: parfaitement linéaire et ouverte) : mimétique de l’univers en quête de lui même. Dans cette période médiévale l’octosyllabe a rime plate est le degré 0 de l’écriture littéraire: ce qui signifie qu’un texte versifié se caractérise par une stylisation très forte. Les premiers romans français : Ils sont catégorisés par le roman antique ou byzantin. - Le roman de Thebes - Le roman de Troyes = a l’histoire des grandes cités du monde antique. - le roman d’Enéas qui s’inspire directement de l’Eneide de Virgile. On a également un premier roman du 11 ème siècle composé par Albenic de Pisancon dont on a conservé que les 100 premiers vers. Ce roman traite d’Alexandre (le roi de Macédoine) avec des vers alexandrins d’ou le noms des vers «!alexandrins a 12syllabes) Les textes byzantins: cultivent l’anachronisme et une certaine forme du mépris du réalisme par rapport a notre conception de la réalité (aujourd'hui nous n’incluons plus la conception spirituelle du moyen âge «!ange…!»). Les héros antiques: sont soumis aux coutumes féodales/ les villes antiques ressembles étranglements a des cités médiévales (tours donjons…)/ le clergé antique est calqué sur le model chrétien. La mythologie: devient une forme de merveilleux qui n’explique pas ce qui relève de la magie donc l’univers antique est refais a l’aube du monde médiévale. La société médiévale se considère comme héritière du monde antique. Ces romans de la société médiévale prétendent une certaine dimension historique. La société médiévale fonctionne autour d’une pensée qui a été mesuré par Vincent de Beauvais, qui dit «! nous sommes des nains (nous) juchés sur les épaules d’un géant!(tout ceux qui nous ont précédés)= bénéficiant de leurs connaissances nous voyons plus loin dans le monde qu’eux.» ça signifie a la fois une très grande unité et une très grande estime de sois = inverse d’aujourd’hui car l’enfant de maintenant doit tout découvrir par lui même. La pensée médiévale: Notion de révélation qui renvoie a l’incarnation du christ. L’antiquité c’est l’ancien testament, depuis c’est le nouveau testament. Pour schématiser il se dit «!je suis héritier du monde antique et je sais que le dieu auquel je crois s’est sacrifié pour que je vis!»= héritière qui dépasse son prédécesseur : le

monde médiéval est persuadé de l’existence de la vérité, il y a une quête de la vérité. Alors qu’aujourd’hui cet univers est marqué par le relativisme. Le roman va servir a cela. Dans ces romans: on a quelques innovations, ou se développe des épisodes amoureux qui laissent la Pace a une certaine sensibilité, psychologie (par exemple entre Didon et Ennée ). A la fin de cette période : on a le roman de brut qui tient une place essentielle dans la littérature médiévale: -roman de Brut composé par Wace : roman de brut = Brutus : Brutus est l’arrière petit fils d’Ennné (fondateur de civilisation), il prend son bateau et quitte le Lasionne et va en grande Bretagne: il y’a un déplacement de l’action du monde méditerranéen vers le monde anglo saxon qui va bouleverser l’histoire du roman car ce transfert (Brutus petit fils d’Enné : nouvelle fondatrice du monde anglo saxon ). = histoire du royaume de Bretagne rédige en latin par un certain Geoffroy de Monmouth, il s’inspire d’un texte qui a une prétention historique qui prend comme source un texte qui a la prétention de narrer l’histoire du royaume de Bretagne. Dimension historique. Selon la tradition le roi Arthur avait repoussé l’envahisseur saxon au VI ème siècle = fondateur de ce règne par la lutte donné contre l’envahisseur. Face développé le coté merveilleux de cette histoire fondatrice du royaume, il est celui qui met en place la table ronde et le personnage de Merlin qui pose un pb a la réalité historique. Le roi Arthur succédé a Brutus, on voit un glissement très nette de la dimension historique vers la dimension romanesque. On voit ce mouvement de textes a prétention historique a prétention romanesque. On renonce a une vérité historique et vérité référentielle a un cadre médiéval dans lequel va se developper un certain nombre histoire et récits romanesques. Au coeur de ce développement avec ce qu’on appel la matière de Bretagne. La visée generale de ce roman: répandre dans la société le model idéalisé du monde arthurien. On ne vise plus a rendre compte du déroulements des événements etc, on vise a proposer un monde idéaliser qui pourra servir de référence a la société qui reçoit ces romans. L’idéal d’une chose peut être aussi réel que l’une de ces applis tions= une idée a ces idées. A partir de 1170 l’auteur le plus représentatif de ces romans est Chretiens de Troyes. Les romans de chrétiens de Troyes : - Erec et Enide (le chevalier Erec a conquéri Enid et se marient. Que deviens un chevalier après avoir conquérir sa femme. Que deviens le chevalier?. - Lancelot ou le chevalier de la charrette - Perceval ou le comte du graal Chrétiens de Troyes confère a la matière de Bretagne un sen, il cherche a developper le thème de l’amour courtois. Ses personnages vont se mettre a avoir

une vie personnelle et intériorisé, ils vont réagir par rapport a cet amour a eux, par une vie psychologique face a l’amour. L’amour courtois n’est plus une évidence, parfois même, les personnages monologuent. La question du monologue: un monologue n’est pas quelqu’un qui se parle tout seul a voix haute. Le monologue est : Je = tu . Dans le théâtre par exemple, ou le décor est chrétiens, le le monologue a comme destinataire Dieu. L’auteur interviens lui même dans le texte, pour commenter le récit, exposer son point de vue par rapport aux enjeux du récit. Les personnages: ils évoluent dans un monde dont le lecteur médiéval est censé connaitre. C’est au lecteur de connaitre les codes et les signes qui sont évoqués. On apprend a interpréter ces signes qui fait la compréhension du roman médiéval. «! le monde de ces romans est un monde chargé de sens avec une évidence mystérieuse!». l’aventure, la quête du chevalier errant participe a la découverte de cet amour courtois. L’idée de l’amour courtois n’existe pas dans le roman. Ce sont donc des romans initiatiques, d’apprentissage. Parmi le roman Arthurien intéressant : le bel inconnu de Renaud de Beaujeu. Au XIII ème siècle, le comte du graal est resté inachevé: occasion de nombreuses occasions, comportant 17000vers par les continuateurs, composé en prose. On va voir un développement important en prose qui va prendre le pas des vers. Dans la plus grande partie du moyen âge, l’octosyllabe est le degré 0 de l’écriture, il n’y a pas de stylisation, on écrit en octosyllabes. (les traductions de la bible par exemple sont faites en octosyllabes). «!la mort le roi Artus! » écrit vers la moitié du XIII ème siècle, raconte la mort du roi Arthur et qui propose la fin d’un cycle: provoque la décadence et la fin des romans arthuriens. Les motifs du récit médiévale: La comparaison des récits médiévaux a fais paraître la ressemblance entre les différents romans ou on voit apparaitras des comparaisons partagés. La notion de motif a était écrite par un certain «! Jean Jacques Vencensini! » , son ouvrage se nomme «!récit et thème du récit médiéval!» édité a Paris chez Colin. il dit «! on appel généralement motif ces micro récits récurrents reconnaissable grâce a une physionomie stable mais malléable selon leur migration et les oeuvres sur lesquels ils se greffent!». Passant d’un roman a un autre, le squelette du récit peut varier. Leur identité est définissable et irréductible, donc on peut envisager de définir un certain nombre de motif recurrable. Les motif est courante, elle permet de construire le récit par un empreint. Cela prête a des jeux d’intertextualité et pose évidemment les problèmes de valeurs par rapport au récit.

Exemple de motif récurrent : la chasse de l’animal de couleur blanche. Cette chasse permet de précipiter le Hero dans la nature, et placer l’être humain dans un autre monde. Ref aussi au roman de Merlin : paragraphe 4 et 5 : - le roi Arthur poursuit un cerf qui n’est pas blanc: réécriture du motif . Celui qui poursuit l’animal referme le corps de la troupe . Univers de la barbarie, tout est dépeuplé car le cerf n’est pas blanc. Autre type de motif : - dans la quête du graal de Perceval, le motif du coup douloureux porté par Tetris. - Le roi Mehaignié : le roi blessé, mutilé. Il est blessé généralement sur une ...


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