Les grands noms de la psychologie moderne PDF

Title Les grands noms de la psychologie moderne
Course Psychologie générale
Institution Haute École Louvain en Hainaut
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Les grands noms de la psychologie moderne : Ö

Nietzsche Friedrich = philosophe qui critique la morale dominante et recentrage sur l’individu, la place de l’humain

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Andréas-Salomé Lou = 1ere femme de la psychanalyse, trait d’union entre Nietzsche et Freud

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Binet Alfred = psychologue qui étudie la psychologie expérimentale, tests intellectuels, le quotient intellectuel qui est l’échelle de mesure de son intelligence

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Charcot Jean-Martin = neurologue psychiatrique qui traite l’hystérie par l’hypnose

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Freud Sigmund = neurologue et psychanalyste qui est le père fondateur et créateur de la psychanalyse. Il étudie l’hystérie, la théorie de l’inconscient, le complexe d’Œdipe, la sexualité infantile…

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Freud Anna = psychanalyste qui étudie le moi et le mécanisme de défense, la psychothérapie des enfants traumatisés.

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JUNG Karl Gustav = psychologie analytique : archétypes, inconscients, collectifs, anima-animus, symbolisme, religions, spiritualités, alchimie…

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Ferenczi Sandor = médecin et psychanalyste qui étudie le traumatisme psychosexuel des enfants et les relations précoces entre mère et enfant.

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Le bon Gustav = Sociologue qui analyse les comportements collectifs, la psychologie des foules. Théorie d’une hiérarchisation des sociétés humaines de supériorité de la civilisation occidentale.

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Reich Wilhem = médecin et psychanalyste qui étudie la critique marxiste de la morale familiale et sexuelle.

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Rank Otto = psychanalyse qui étudie le traumatisme de la naissance.

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Alder Alfred = médecin et psychologue qui étudie le complexe d’infériorité individuel.

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Fromm Erich = psychanalyste qui étudie le déterminisme socioéconomique des névroses.

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Kretschmer Ernest = psychiatre qui étudie la caractérologie des malades mentaux, typologisation des psychoses, la schizophrénie.

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Pavlov Ivan Petrovitch = psychologiste et médecin qui étudie l’expérimentation animale et le fonctionnement du système nerveux.

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Watson John = psychologue et expérimentale qui étudie la psychologie du comportement, c’est le « père fondateur » du behiaviorisme.

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Rorschach Herman = psychiatre qui étudie le test de la personnalité et la méthode de la projectivité.

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Klein Mélanie = psychanalyste qui est la pionnière de la psychanalyse des enfants.

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Winnicott Donald = pédiatre et psychanalyste qui étudie le développement précoce du nourrisson et les liens corporels entre la mère et l’enfant.

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Freinet Célestin = pédagogue qui étudie les groupes coopératif, la pédagogie participative.

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Spitz René = médecin et psychanlyste américain qui étudie les conséquences sur le développement psychique et somatique des carences affectives précoces (hospitalisme, dépression, alactique)

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Rogers Carl = psychologue humaniste américain qui étudie l’Approche Centrée sur la Personne (ACP), la qualité de relation entre le thérapeute et le patient (écoute empathique, authenticité…)

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Mead Margaret = anthropologue qui étudie la société primitive, l’apprentissage social et le contexte culturel.

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Levi-Strauss Claude = anthropologue qui étudie les structures de parenté, structuralisme et humanisme.

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Lacan Jacques = psychiatre et psychanalyste qui via l’influence de la linguistique et l’anthropologie revisite les théories freudiennes : enseignement de la psychanalyse.

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Lagache Daniel = psychiatre et psychanalyste qui étudie la psychologie clinique, sociale et criminologique.

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Dolto Françoise = psychanalyste qui étudie le traitement psychanalyste des enfants.

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Wallon Henri = psychologue-pédagogue qui étudie le développement de l’enfant et le rôle des émotions.

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Piaget Jean = psychopédagogue qui étudie les stades du développement intellectuel et cognitif de l’enfant.

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Cooper David = psychiatrie qui étudie la psychiatrie existentialiste dite antipsychiatrique.

Les différents stades : 1. Pré-objet (1er jour quelques semaines) Au départ, l’enfant/nourrisson ne fait qu’un avec sa mère. Il est en relation de corps à corps, de peau à peau avec le corps de sa mère. Mauvaises ou agréables, ses sensations le relient intimement à ce corps dans lequel il a vécu quelques mois. La réalité de l’objet n’existe qu’à travers ce lien fusionnel au corps de la mère  l’idée d’une relation pré objectale. Le détachement progressif du corps maternel initie la 1 ère expérience de séparation et d’extériorisation. 2. Extériorisation du pré-objet (quelques semaines 3mois) A travers les bonnes et les mauvaises expériences avec les « objets », le nourrisson apprend à gérer ses frustrations. A travers son corps et ses vibrations, il différencie les bonnes et les mauvaises sensations/expériences, il commence à peine à distinguer les bons/mauvais objet. 3. Phase orale (+/- 3 à 12 mois) L’enfant découvre le plaisir grâce à sa bouche (sphère orodigestive), raison pour laquelle il est important de le sevrer en douceur. En effet, il ne fait pas la différence entre l’alimentation et l’affection. Il tète et explore le monde qui l’entoure en portant à ses lèvres tout ce qu’il trouve. Ses autres sens sont aussi de la partie : audition, toucher, vue, odorat, sensations cutanées… il prend du plaisir à se « remplir »de tout ce qui vient de l’extérieur. Il se représente l’objet réel qui se distingue du Moi naissant. Il intègre l’objet (bon ou mauvais) sous la forme d’un imago. (représentation psychique de l’objet). 4. Phase anale (1-2 ans) Pour le bébé, l’anus devient une zone érogène. A +/- 18 mois, il démarre l’apprentissage de la propreté et découvre un certain plaisir à contrôler son sphincter. Cet entraînement à la propreté constitue pour l’enfant une leçon de maîtrise de soi/ de la réalité. Il s’intéresse beaucoup à ses excréments et sait que les retenir ou les expulser fait réagir ses parents. Il use de ce nouveau pouvoir de maîtrise et d’influence. 5. Phase phallique (2-3 ans) A partir des 2-3 ans, dans les 2 sexes, les pulsions s’organisent autour du phallus, càd les représentant symbolique du pénis. La question de la différence des sexes se pose suivant que l’enfant possède ou non un pénis. L’absence de pénis donne le sentiment d’infériorité à la fille. L’enfant pose des questions ou se pose des questions sur la sexualité, tout en affirmant sa différence. Filles et garçons, se sentent différents et cherchent des réponses. Ils se posent beaucoup de questions, auxquelles il est bon de répondre avec simplicité.

6. Phase Œdipienne (+/- 3 à 7 ans) Les enfants connaissent une attirance et/ou de l’agressivité, tantôt pour le parent du sexe opposé, tantôt pour celui du même sexe. De la relation œdipienne, en passant par le conflit et l’angoisse de castration, l’enfant finit par résoudre l’énigme du complexe d’œdipe par l’identification au parent du même sexe. En référence au père, le garçon donne beaucoup d’importance à son pénis qu’il touche souvent. Complexe de la castration = peur qu’on retire/coupe le pénis. La petite fille, elle, se console de ne pas en posséder en se disant qu’elle aura un jour des enfants. La fonction œdipienne est structurante pour l’enfant et contribue à l’édification de son identité sexuée. 7. Période de latence (+/- 7 à 12 ans) Les pulsions sexuelles sont en principe au repos. De manière générale, les garçons restent entre eux et les filles aussi. Chacun s’observe jusqu’au nouveau réveil du corps aux alentours de 12 ans. L’énergie pulsionnelle est refoulée, canalisée et détournée vers de nouveaux centres d’intérêt. L’enfant dompte ses pulsions et développe ses talents. L’enfant développe un idéal du Moi et s’identifie à des héros. 8. Stade génital (12-16 ans) Processus de sexualisation et de transformation physiologique/hormonale qui implique des remaniements psychologiques considérables....


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