Psychologie, les psychothérapies de soutien, psychothérapie, thérapie PDF

Title Psychologie, les psychothérapies de soutien, psychothérapie, thérapie
Course Psychologie, Les psychothérapies de soutien, psychothérapie, thérapie
Institution Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis
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Psychologie- les psychothérapies de soutien - psychothérapie- thérapie ...


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Les psychothérapies de soutien I- Introduction Alors pour commencer, nous pouvons dire que la psychothérapie de soutien est une thérapie très souvent utilisée mais assez dévalorisée, considérée comme une thérapie de bas niveau. Cette thérapie est ainsi très peu étudiée, méprisée et souvent sous-estimée. Le terme de psychothérapie de soutien définit un objectif thérapeutique qui ne renvoie pas à une catégorie clairement définie. On peut cependant dire que cette forme de thérapie se distingue des autres psychothérapies visant à modifier la personnalité, les processus ou les mécanismes psychiques, comme le fait la psychothérapie psychanalytique. La psychothérapie de soutien vise à apporter une aide et un soulagement et non à mobiliser le psychisme en profondeur. Elle s’adresse à toute personne voulant surmonter ses difficultés et à apporter un soutien moral, qui pourrait être complété par d’autres traitements. Ces points seront approfondis dans la suite de l’exposé. II-Historique Du fait du peu d’études réalisées sur les psychothérapies de soutien, il a été un peu dur de retrouver un historique clair et complet des origines de ce traitement. Voici donc les cinq différents points de vue évolutifs que j’ai pu trouver :Terme de psychothérapie de soutien au cours de la seconde guerre mondiale, en même tps que celui de psychothérapie psychanalytique qui lui se généralise de plus en plus. Robert Knight, psychanalyste du 20ème siècle, sera un des premiers à différencier clairement ces deux modalités dès 1945. Selon lui, la psychothérapie de soutien est une démarche où le psychothérapeute est en face à face, actif, encourageant le patient à développer ses capacités d’intégration, d’adaptation et d’évaluation de la réalité. L’objectif thérapeutique est de renforcer le contrôle du moi du patient sur ses pulsions instinctives et de l’éduquer à employer des méthodes nouvelles de maîtrise et d’adaptation. Les patients traités avec cette méthode pour lui sont souvent des personnes borderline, qui ont besoin de recevoir des preuves de soutien émotionnel et d’intérêt humain authentique, plutôt que les marques d’un simple intérêt professionnel détaché. En 1946, Franz Alexander et Thomas French distinguent eux deux types généraux de psychothérapie : la psychothérapie supportive et la psychothérapie de prise de conscience ou de « mise à découvert ». La psychothérapie supportive est principalement utilisée ici dans le but de donner au moi du malade un soutien, sans aucune tentative d’effectuer en ce dernier des modifications permanentes, tandis qu’à l’opposé, la psychothérapie de prise de conscience est appliquée en premier lieu avec l’intention de réaliser une modification permanente du moi. Ils estiment eux cependant que cette distinction n’est pas absolue puisque ces deux types

d’approche se retrouve dans presque tous les traitements. La psychothérapie supportive est plus souvent utilisée avec des malades usuellement équilibrés, mais qui présentent une entrave temporaire à l’efficience fonctionnelle de leur moi, à cause de conditions extérieures exceptionnellement difficiles, ou bien alors avec des malades dont le moi est chroniquement perturbé. En 1984, David-S. Werman constate que les psychothérapies de soutien sont utilisées sur la majorité des patients consultant les cliniques psychiatriques et les centres de santé mentale, mais que pourtant cette forme de traitement reste très peu étudiée et est encore souvent dédaignée. Il écrit un ouvrage intitulé « La pratique de la psychothérapie de soutien », dans lequel il souligne la spécificité de la psychothérapie de soutien, qui est une forme bien définie de psychothérapie. Il s’appuiera non pas sur le peu d’études fait précédemment mais plus sur ses expériences personnelles. Lawrence-H Rockland parle en 1992 de psychothérapie de soutien d’orientation psychodynamique (POST), qu’il réserve en particulier aux patients borderline. Il s’agit d’une compréhension psycho-dynamique, opérant en face-à-face une à deux fois par semaine, visant à renforcer les fonctions du moi. Il se concentre beaucoup sur l’alliance thérapeutique. Cette forme de thérapie est selon lui plus difficile que la psychothérapie exploratoire et la psychanalyse, en raison du flair et de l’intuition clinique qu’elle demande.Plus récemment, Martin Weyeneth et d’autres auteurs, ont créé en 2004 une revue de la littérature enrichie sur la psychothérapie de soutien, qu’ils abordent en partant de la psychothérapie de soutien psychodynamique et dont ils envisagent les tendances éclectiques. Avant de continuer, je vous donne une petite définition de ce qu’est l’éclectisme : L’éclectisme désigne l’usage et l’articulation, lors d’une prise en charge psychothérapeutique, de différentes techniques ou approches, simultanément ou successivement, sur la base de résultats obtenus au travers de recherches empiriques. Donc pour en revenir à Martin Weyeneth et les autres, ils distinguent donc les effets non spécifiques de soutien, propres à toutes les psychothérapies, des effets spécifiques de la psychothérapie de soutien, qu’ils rattachent aux stratégies et aux techniques de celle-ci. Eux aussi se concentrent sur l’alliance thérapeutique essentiel à cette forme de traitement. Ils insistent sur l’importance de l’éclectisme qui permet de disposer d’un instrument souple et modulaire, adaptable à chaque cas particulier.Nous voyons bien donc que les psychothérapies de soutien n’ont pas souvent été étudié concrètement et sont restées dans l’ombre bien que pourtant souvent employées. Nous allons donc maintenant passer à la présentation des principes de la psychothérapie de soutien de nos jours. III- Principes 1- Le soutien

Soutien : se retrouve dans toute relation de soin et même ailleurs (amitiés...), il est réalisé par toute personne qui veut du bien à autrui. Il consiste à écouter, rassurer, conseiller. Il repose sur un désir d’aider, réparer, consoler, un intérêt pour l’autre, un regard positif et une confiance en lui.La relation de soutien dans la psychothérapie : écoute compréhensive, neutralité et absence de jugement, empathie, possibilité au patient d’exprimer ses émotions, possibilité au thérapeute de faire des suggestions ou donner des conseils.La notion de soutien est transversale et se retrouve dans les techniques d’autres thérapies. 2 - Athéorisme & éclectisme pour un ajustement maximal Psychothérapie de soutien est dans une situation paradoxale. C’est le type de thérapie qui serait la plus utilisée, pourtant plutôt dévalorisée. Vue à la limite des psychothérapies et à la base de toutes les autres, thérapie de bas niveau , pour praticiens inexpérimentés ou cas désespérés (sorte de soins palliatifs psychiques). Pas de noyau de réflexion scientifique sur le sujet ce qui fait qu’elle est mal définie et manque de conceptualisation.Caractéristiques : - Ne s’appuie pas sur un cadre théorique donné- Emprunte et assimile des techniques issues d’approches variées (psychodynamique, TCC, systémique, théories de l’apprentissage...) Objectif : s’ajuster le mieux possible aux problématiques de la personne en demande (par sélection des techniques les plus adaptées à la situation) dans un but humaniste (empêcher de souffrir, consoler ou réparer le patient) La multiplicité des techniques rend cette pratique athéorique, ce qui est mal vu par certains thérapeutes. La pratique est éclectique ce qui la situe dans le champ de l’intégration. Ca permet souplesse et modularité. Ici le thérapeute est actif et interventionniste. 3 - Buts transversaux Appartient à la famille des thérapies dites recouvrantes : on cherche à diminuer l’angoisse, apaiser les conflits, atténuer les symptômes. Par opposition aux thérapies dites découvrantes, comme la psychanalyse, qui met l’accent sur l’introspection et l’analyse des conflits internes. On ne cherche pas un changement structural mais plutôt un renforcement ou une restauration du fonctionnement global de la personne pour une meilleure adaptation à son environnement, notamment dans les relations avec les autres. Ca irait de pair avec une meilleure estime de soi et l’apprentissage de nouveaux modes de réaction. Ces objectifs de soin sont transversaux, ils dépassent un cadre théorique donné et sont permis par le mélange des techniques utilisés dans la psychothérapie de soutien.

Piper et al. (2002) ont établi une liste des buts de la psychothérapie de soutien : 

- réduire dysfonctionnements comportementaux 

- réduire détresse mentale/psychique subjective - soutenir et renforcer les forces du patient, ses habiletés de résolution de problèmes et d’adaptation, et ses capacités à utiliser des soutiens environnementaux 

- maximiser l’autonomie du patient 

- parvenir à la plus grande indépendance possible par rapport aux troubles psychiatriques 4 – Un spectre large d’application Les psychothérapies peuvent être mises en place dans un large champ de situation qui dépasse les indications des thérapies classiques. 

- Situation de crise (qui dépassent les capacités de traitement du sujet, ont un caractère d’urgence, de gravité, liée à un évènement déclencheur. ex: deuil, séparation...) 

- Altération profonde du psychisme (le psychique est affecté au point que le travail de réflexion et de distanciation sont perturbés ex: symptômes dépressifs sévères, crises anxieuses destructurantes, moments psychotiques avec délire/hallucination) 

- Incapacité à effectuer un travail réflexif (incapacité temporaire ou générale, ex: alexithymie, difficultés en théories de l’esprit) 

- Demande d’un soutien focalisé (les patients viennent pour une situation précise et ne souhaitent pas s’engager plus loin, ex: annonce d’une maladie grave, deuil...) 5 – Les piliers de la psychothérapie de soutien 4 aspects à cerner pour pouvoir mener le travail de soutien, c’est une sorte de méta-cadre qui dirige la thérapie. 

 IV- Techniques -

Thérapies cognitives

Les processus cognitivo-représentationnels inconscients, échappent et sont difficiles à modifier. Ils suivent des enchaînements automatiques, dont seul le résultat émerge à la conscience (sous forme de pensées à type de croyance ou d’injonctions). On peut procéder en interrogeant, avec tact, ces opinions préconçues (et leurs effets sur les conduites du sujet) pour les rectifier si c’est possible. On peut s’aider des techniques issues des thérapie cognitives qui proposent une

restructuration cognitive, sur la base d’une discussion aboutissant à la modification des pensées automatiques (modification des postulats et des schémas de pensée). -

Le traitement corporel

Les troubles fonctionnels et psychosomatiques s'expliquent par les interactions pathogènes, allant par voie descendante du cognitivo-représentationnel vers le biosomatique. Pour ces troubles, l'intervention thérapeutique est mixte il faut à la fois traiter le dysfonctionnement somatique et son origine psychique. Le traitement corporel peut être de type relaxation, sophrologie, massage, travail sur le schéma corporel, etc.. -

Psychothérapies généralistes

Parfois la demande d’aide porte sur la famille (le couple, la relation mère-enfant, la famille élargie). On retrouve les objectifs de la psychothérapie généraliste : guidance, soutien, élucidation des problématiques relationnelles. Ils prendront une tournure particulière. On interrogera l’identité des personnes dans le groupe, la reconnaissance de l’autre, les possibilités d’autonomisation. On questionnera la communication, la place de chacun, les types de relations, les systèmes de croyance et de valeurs et les antagonismes qu’ils génèrent, les conflits d’intérêts. À partir des informations acquises, on pourra proposer des changements d'attitudes ou, mieux encore, faire en sorte que le patient de lui-même propose de tels changements au vu de ce qu'il a compris pendant le travail thérapeutique. -

Les entraînements programmés

Dans le cadre d'une psychothérapie de soutien (déjà bien entamée et à condition de ne pas le faire isolément), on peut, utiliser des entraînements programmés, qui aideront le patient à se défaire de certaines habitudes (par exemple dans les cas des troubles alimentaires, d'alcoolisme, de toxicomanie tabagisme, etc. Nous insistons sur le fait que ces techniques comportementalistes ne doivent être utilisées isolément, car alors elles ont un caractère manipulatoire chosifiant, qui aura des effets indirects désastreux.  V- Population cible Les psychothérapies de soutien sont indiquées pour tous types de personnalités sans exception. Elles aident dans les situations difficiles de la vie, apaise les symptômes, renforcent les capacités d’autonomie et d’adaptation, évitent les décisions inopportunes et contraires à l’intérêt du patient.

Une psychothérapie de soutien est utile lors de phases critiques de la vie. Elle permet de surmonter des circonstances difficiles (décès, accidents, changement de vie, rupture sentimentale). Elle est indiquée dans les cas où les personnes qui souhaitent un suivi, mais ne sont pas demandeuses d'une psychothérapie dynamique. Ce type de psychothérapie est utile lors des hospitalisations, car le temps est limité et il n'est donc pas souhaitable d'instaurer une dynamique pour l'interrompre brusquement. Ce serait une grave erreur, car cet arrêt brusque pourrait occasionner une décompensation. La psychothérapie de soutien est indiquée dans les cas des maladies multifactorielles (schizophrénie ou maniaco-dépressif) pour lesquelles la guidance est essentielle. Il a été démontré que c'était l'association entre psychothérapie de soutien et traitement médicamenteux qui était le plus efficace.

 VI- Efficacité

 En ce qui concerne l’efficacité de ces psychothérapies de soutien, quelques études ont été réalisées auprès de différentes populations ainsi que diverses pathologies : anxiété, schizophrénie, troubles de la personnalité, maladies organiques, etc. Nous allons étudier le cas de l’efficacité de la psychothérapie de soutien dans le cadre de l’anxiété, l’un des troubles les plus fréquents et qui concerne une majorité de la population. Généralement, lorsque le patient arrive en thérapie, il a tendance à s’exprimer de façon

cathartique (donc à se “purger” en quelques sortes de tout ce qu’il ressent), il faut donc que le thérapeute soit capable de canaliser cette verbalisation. Le thérapeute va alors analyser :    

- les symptômes psychiques (peurs, craintes, inquiétudes), - physiques (sphère neuromusculaire, cardiovasculaire, digestive), - la sphère intellectuelle (difficultés d’attention, de concentration) - et enfin il va analyser les situations sociales du sujet.

Tout cela permet au patient de mieux ordonner ses troubles et donc éventuellement de mieux les comprendre. Au niveau du soutien thérapeutique, il faut que le thérapeute soit à même de recevoir et soutenir l’inquiétude du patient et les émotions qui peuvent apparaître. L’un des rôles de la psychothérapie de soutien est de prévenir les rechutes ou, à minima, de réduire les symptômes. Une psychothérapie de soutien est vue comme un traitement alternatif à un traitement médicamenteux, on peut prescrire un traitement médicamenteux mais en réduisant la posologie de façon à ce que ces deux traitements soient complémentaires. Image de la rivière dans la psychothérapie de soutien : on peut imaginer que les pensées forment une rivière trop tumultueuse et que la thérapie serait une écluse qui permettrait de réduire le flot de pensées négatives. Pour qu’une psychothérapie de soutien soit efficace, il faut également penser à comment standardiser les séances. De façon optimale, la durée d’une séance serait d’environ 30 minutes à un rythme hebdomadaire. Mais on peut évidemment augmenter le rythme à deux fois par semaine ou le diminuer à une séance tous les 10 jours, et cela peut avoir une influence sur le patient. Des séances trop rapprochées peuvent ne pas permettre au patient de développer une réflexion suffisante sur la séance qu’il vient d’effectuer, ou au contraire des séances trop éloignées pourrait diminuer l’effet rassurant que procure la présence du thérapeute ou du cadre de soin. L’efficacité de la psychothérapie de soutien serait donc liée principalement aux contacts positifs et réguliers avec autrui. Son efficacité repose donc sur l’alliance thérapeutique mise en place. On peut dire que cette psychothérapie sera d’autant plus efficace sur des troubles anxieux qui sont récents et non chroniques. On cherche à faire en sorte que le patient puisse mieux comprendre les mécanismes qui sont à la source des troubles anxieux grâce à des rencontres régulières et une écoute particulière propre à chaque psychothérapie. Pour conclure sur l’efficacité des psychothérapies de soutien en général, on peut dire qu’elle s’adapte à tous les types de personnalités et elle aide à apaiser les symptômes, renforcer les capacités d’autonomie et évite les décisions contraires à l’intérêt du patient. Elle est beaucoup plus efficace chez les patients schizophrènes ou maniaco-dépressives lorsqu’elle est couplée à un

traitement médicamenteux, cela évite au patient de prendre des décisions qui pourraient mettre en péril son insertion sociale ou même sa santé. VII- Points forts et points faibles Comme nous l’a précisé Perrine tout à l’heure, la psychothérapie de soutien apparaît plutôt comme “floue” car elle n’a pas de réel cadre théorique. Points forts : 

- peut s’adapter à de nombreux troubles 

- favorise la récupération émotionnelle et le recouvrement psychologique - le psychologue permet la verbalisation du problème rencontré: il faut que la souffrance puisse être exprimée pour permettre une thérapie plus structurée par la suite → travail de clarification Points faibles :



- pas d’application théorique 

- très peu d’études sur son efficacité réelle 



- elle ne mobilise pas le psychisme en profondeur, mais cela peut également être un point positif pour toutes les personnes qui n’ont pas l’envie de se lancer dans une psychothérapie plus longue et plus dynamique Finalement, le psychologue doit bien savoir comment agencer les différentes méthodes pour générer un effet thérapeutique qui soit visibleC’est une psychothérapie qui s’effectue de manière non théorique mais qui demande au psychologue d’être technique afin de proposer au patient la meilleure thérapie possible en s’adaptant à la diversité des patients et des situations.

 VIII-Confrontation On peut déjà relevé une différence particulière des psychothérapies de soutien avec de nombreuses autres formes de psychothérapies : elle ne s’appuie pas sur une théorie en particulier. La plupart des autres psychothérapies ont un cadre théorique sur lequel elle s’appuie, mais les psychothérapies de soutien ont une approche psychologique intégrative des problématiques auxquelles elles sont confrontées : elles peuvent utiliser telle ou telle théorie en fonction de ce qui s’adapte le mieux au patient et à ses problèmes actuels.Les psychothérapies supportives, telles que les psychothérapies de soutien sont destinées à apporter du soutien au “moi” du malade, tandis que les psychothérapies de prise de conscience, telle que la psychanalyse, visent à apporter des modifications permanentes.

Psychothérapies de soutien et psychothérapies psychanalytiques Les deux reposent sur l’établissement d’une relation régulière et durable qui va se manifester en une rencontre singulière ayant pour but l’étude des conflits intrapsychiques et interpersonnels conscients et inconscients relatifs aux symptômes ou plaintes du patient et la recherche d’actions que celui-ci puisse exercer sur lui-même pour en favoriser la résolution sans avoir recours à son entourage. Elles utilisent donc toutes les deux la parole afin d’explorer le monde interne du patient et d’en comprendre le fonctionnement. Cependant, la psychothérapie psychanalytique va favoriser la prise de conscience par le patient, la considérant comme seule solution pour qu’il devienne capable de modifier sur la durée le dysfonctionnement do...


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