SCO 5003 NDC Cours 10-11-12 PDF

Title SCO 5003 NDC Cours 10-11-12
Author Gaby Gbay
Course Comptabilité et décisions financières II
Institution Université du Québec à Montréal
Pages 14
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Summary

BPA Risques, approche traditionnelles, coefficient de levier, Modèle Modigliani Miller (Introduction aux concepts) Méthode évaluation d'entreprise ÉE...


Description

BPA RISQUES Structure financière optimale ? - Celle maximise la valeur de l’entreprise et minimise sont coût en capital Faire le choix de la meilleure alternative de financement revient souvent à cerner l’impact qu’aurait le choix sur : - Le bénéfice de la firme - Son niveau de risque - Et son levier financier Levier financier : - Source de financement à revenu fixe - Dette actions privilégiés Effet de levier financier : Effet positif ou négatif sur le rendement de l’actionnaire ordinaire L’utilisation du levier financier a un double effet : - Augmente ou réduit le rendement comptable de l’actionnaire ordinaire - Augmente le risque c-à-d la variabilité du rendement comptable de l’actionnaire ordinaire Approche traditionnelle Cadre d’analyse de la structure financière Critère de sélection : Valeur au marché de l’AO La VM de l’AO incorpore : - Estimation de BPA et les dividendes - Le risque de flux monétaires - Le rendement exigé par les investisseurs compte tenu de ces estimations Limite de l’analyse BPA/Risque -

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L’analyse BPA/Risque donne de premières indications mais elle est limitée car elle ne tient pas compte de la réaction des investisseurs suite à une modification de la structure financière (et du risque lié) Comment réagissent les investisseurs ? 2 théories s’opposent Approche traditionnelle : Il existe une structure de capital optimale qui maximise la valeur au marché de l’AO et minimise le coût du capital pour l’entreprise Approche Modigliani Miller : Il n’existe pas de structure de capital optimale car cette dernière n’a pas d’influence sur la valeur au marché de l’AO ni le coût de capital de l’entreprise

Approche traditionnelle Les actionnaires n’augmentent pas le rendement demandé de façon proportionnelle au ratio d’endettement Pas de formule se construit de manière empirique càd par essai erreur La valeur de la firme (V) est exprimée selon la formule suivante : V = D + CP Le coût du capital se calcule de la manière suivante : Kc = Kd (1-T)*D/V +Kcp * CP/V

Remarques Qu’on utilise la valeur de la firme, la valeur de l’AO ou le coût du capital comme marqueur, le choix erst le même car ces trois critères sont interchangeables pour les fins d’analyse Suppose que la valeur de marché de l’AO ne se modifie seulement qu’après le rachat des actions soit effectués (d’autres théories le considèrent) Les AO n’augmentent pas le rendement demandé de façon proportionnelle au ratio d’endettement La valeur de la firme est influencée par sa structure financière

Coefficients de levier Dans le contexte de la structure financière 3 levier : Coefficient de levier financier CLF qui est le % de ▲ du BPA lorsque ▲ du BAII Coefficient de levier d’exploitation CLE qui met en relation la ▲ des ventes et la ▲ du BAII qui en résulte

Coefficient de levier combiné qui conjugue les 2 coefficients précédents

Modèle Modigliani Miller Selon contraitrement à l’intuition, le choix entre dettes et actions n’a aucune influence sur la VM des actions ou le coût du capital Pour le prouver, MM développent une modèle qui se base : -

Sur un financement uniquement par CP soit 0 dette

-

Puis introduit la dette dans un deuxième temps

Pour démontrer qu’il n’y aucun changement la VM de l’entreprise

Plus on a de dette plus le coût des CP augmentent mais le CMPC reste le même Par contre lorsqu’on considère avec Impôt les données changent

Selon Modigliani Miller le choix entre dette et actions n’a aucune influence sur la valeur de l’entreprise, le prix des actions ou le coût du capital Raison : Les É réalisées grâce à l’endettement sont exactement compensées par l’exigence accrue des actionnaires en termes de rentabilité Le CMPC avant impôt est donc identique quelque soit la structure financière Le seul impact du niveau choisi de dette sur le CMPC est lié à l’ÉI sur les intérêts de la dette Droit de soucription Protège les actionnaire déjà présent 1 droi tpou rune actions Il peut choisir de revendre droit ou de souscription ou utiliser pour acheter des action à un prix avantageux

Différence avec le bon de soucription : Droit de soucription est une sur une courte durée et est relié au AO

Pourquoi le bon de souscription :

Lorsque le prix de l’A n’est pas avantageuse et on veut du financement -

Permet la possibilité d’offrir un taux de rendement plu sfaible Évite l’effet de dilution lorsque nouvelle émission actions surtout si le contexte n’est pas favorable

Lors de l’émission d’obligations ou d’AP le Pe (prix d’exercice) est souvent fixé 15-20% au-dessus de la valeur de l’AO ÉTAPES RÉPARTITION DU PÉ DE L’OBLIGATION Répartition entre la VI et celle du ou des BS 3 étapes Déterminer la VI de l’obligation sans les BS c-à-d la VM d’une obligation similaire mais qui offre pas de BS En déduire la valeur totale des BS qui est = à la différence entre la VN de l’obligation et VI déterminé dans l’étapes précédentes Puis déduire celle d’un BS en particulier en prenant compte du nombre de BS rattachés à une obligation

En bref, BS

TITRE CONVERTIBLES DÉF : Obligations ou des AP qui peuvent être échangés en AO Des conditions sont fixées à l’avance comme le ratio de conversion

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Une obligation convertible est la combinaison entre o Une obligation ordinaire o Une option d’achat d’action ordinaire

C’est un financement par AO différé en Raison du px sous-évalué des actions à l’émission des titres convertibles des titres convertibles

La société bénéficie d'une clause de rappel ou d'option d'achat des titres convertibles

Elle a le droit de forcer la conversion pour un nb d'actions compte tenu du px et d'une prime en % déterminés à l'avance L'investisseur peut donc choisir entre le remboursement en espèces ou la conversion en action

Location et Achat Comparer les coûts des 2 modalités de financement en calculant la VA du coût de chacune des 2 options La décision de financement est une décision à part entière : elle doit être séparée de la décision d’investissement qui a normalement déjà été prise La location permet de financer à 100% du coût du bien Le loyer est fixe alors que l’emprunt peut être à taux variable Moins de contraintes imposées dans le cas de la location car le prêteur conserve la propriété du bien Le locataire perd de la flexibilité (désuétude technologique)

IFRS 16 impose essentiellement la location est traitée comme l’acquisition d’un actif par emprunt

FISCAL : forme juridique substance économique dans le cas de location de biens Déduction comme loyer en charges

On peut par contre possible de traiter comme une acquisition financée par emprunt sous certaines conditions : -

Choix de manière conjointe loueur/bailleur JVM > 25 000 Bine corporel amortissable Certains biens exclus : mobilier matériel roulant, bâtiments

REFINANCEMENT

Clauses restrictives Bailleur de fonds impose des conditions spéciales dans l’entente de financement -

Présence de fonds auto-générés suffisant Un ou des actifs donner en garantie L’acceptation de certaines clauses restrictives

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Les clause dépend du financement Clause d’annulation Exemple remboursement anticipé impose pénalité par la clause d’annulation Clause de défaut de paiement Exiger le remboursement après x exemple de défaut de paiement Autre exemple si div priv. n’est pas payé deux années consécutives Clause de garantie personnelle par les actionnaires Garanties personnels, risque pour les actionnaires car tous leurs biens personnels sont alors mis en jeu Clause limitant les dettes futures L’entreprise ne peut pas s’endetter d’avantage pendant une certaine période Cela permet au créancier de limiter le risque d’impayé Clause exigeant le respect d’un ration de roulement Le but d’empêcher que les dirigeant prennent des risques concernant les liquidités à court terme Clause de respect ratio d’endettement Ce type de restriction touche souvent les contrats de location (éviter le financement hors-bilan) Clause d’assurance Assurance vie Le créancier peut exiger que l’entreprise souscrive une police d’assurance sur la vie d’un actionnaire clé ou d’un dirigeant clé Souvent le créancier prend en garantie le produit de la police d’assurance Actifs garantis Le créancier exige que l’entreprise assure convenablement les actifs qui sont donnés en garantie sur la dette Assurance-caution Le créancier peut exiger que l’entreprise à une assurance honnêteté pour les dirigeants qui occupent des postes de confiance Pour s’assurer de récupérer son dû en cas de fraude ou d’actes illégaux Autres types de clause

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Clauses limitant la vente des actions Le créancier veut limiter le risque de devoir vivre avec des actionnaires inconnus Cette clause enlève la flexibilité aux actionnaires et non à la structure financière Clause de courte durée

Clause exigeant une représentation du créancier au niveau du CA Clause exigeant le droit à une information régulière sur l’entreprise ex : ÉF mensuels

Clauses propres aux contrats de location Les frais accesoire à la charge du locataire ex; ass, taxes,… Contrat résiliable ou non : le contrat résiliable avec pénalité est le plus fréquent Acceptation ou non de la sous-location : souvent le bailleur accepte la sous-location mais exige qu’on lui demande une autorisation au préalable Valeur résiduelle garantie ou non : le prêteur préfère ne pas garantir de valeur résiduelle Option de renouvellement : il peut être important de pouvoir renouveler le contrat à l’échéance ex pour une bâtisse Option de rachat : Flexibilité pour l’entreprise de racheter ou non le bien à l’échéance

CONCEPT D’ÉVALUATION – ÉVALUATION D’ENTREPRISE -

Approche patrimoniales Basée sur les résultats Sur FT Sur les comparables (ratio)

Plusieurs méthodes pour donner une fourchette de valeur

Pourquoi on fait évalution : 3 contextes principaux 1. -

Évaluation pour raisons fiscales Plannification succesorale Calcul de l’impôt sur les dons Restructuration de capital Octroi d’option d’achat

2. -

Évaluation pour cause de litiges Différends entre les actionnaires de sociétés fermés Dissidence d’actionnaires Évaluation de dommages Divorce

3. -

Évaluation à des fins de transaction Fusion ou acquisitions d’entreprise Échange d’actions Avis sur le caractère équitable de certaines transactions sur les actions de la corporation pour les actionnaires minoritaires Premier appel public à l’épargne

-

CONTEXTE AUTRE QUE L’ACHAT/VENTE DE L’ENTREPRISE : JVM 3 concepts importants dans ce contexte 1. Valeur Intrinsèque 2. Valeur subjective 3. Valeur négocié le px

1. VALEUR INTRINSÈQUE (VI) C’est la valeur fondamentale d’une entreprise hors de toute influence des conditions d’acquisition et de l’environnement dans lequel elle est exploitée

2. VALEUR SUBJECTIVE VS Fondé sur l’utilité pour un propriétaire particulier C’est la valeur subjective qui fixe le prix plancher et le prix plafond

3. VALEUR NÉGOCIÉ Acheteur et vendeur ont établi une fourchette de valeurs en utilisant les approches précédentes Il leur reste à s’entendre sur les prix

Caractéristique de la valeur estimé Entachée d’incertitude : on ne peut pas garantir que les prévisions financières se réaliseront Relative au contexte : -

Contexte de l’entreprise valeur de liquidation ou valeur d’exploitation Contexte légal ou jurisprudentiel : quelle valeur est demandée par le législateur Utilité pour l’acquéreur : + ou – de synergies

-Relative à un point dans le temps : une valeur estimée à la vie courte et nécessite donc de fréquentes mise-à-jour Dépend de l’objet de l’évaluation -

S’agit-il des actions de l’entreprises ? Ou des actifs de l’entreprise

CONTENU DU RAPPORT D’ÉVALUATION -

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Date de l’évaluation Objet et motif o Les circonstances dictent l’objet o Les raisons et la partie ( A ou V) influencent la ou les méthodes utilisées Analyse de l’industrie o Facteurs de croissance, de rentabilité et de risque du secteurs o Caractéristiques et taille du marché potentiel de l’entreprise o Position de l’entreprise à l’intérieur de son secteur Analyse stratégique de l’entreprise Analyse financière de l’entreprise Vérification des résultat obtenus Choix et application des méthodes d’évaluation Recommandation sur une fourchette de valeur

Déterminants de la valeur de la firme -

Conditions générales de l’économie

-

Risque propres à la firme o

o o

Risques d’affaires  État de la concurrence dans l’industrie  Position concurentielle de l’entreprise Risque financier  Structure financière Risque international

 

État de l’économie des exportation Risque de chage

MÉTHODE D’ÉVALUATION Approche fondée sur les comparables

Approche fondée sur les actifs -

Remplacer VC par la VM des actifs

Approche fondée sur les résultats ou les flux de trésorerie -

On cehrche la VM des CP o Soit directement en capitalisant un bénéfique ou FT caractéristique o Soit indirectement en déterminant une VM des actifs par actualisation des FTD puis en enlevant la valeur de la dette

2 MÉTHODE DIRECTE 1. Méthode du bééfice caractéristiques capitalisé 2. Méthode su FT caractéristiques capitalisé Méthode INDIRECTE 1. Méthode FT actualisé (DCF) Discounted CF...


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