Section 1 - La production ECONOMIE PDF

Title Section 1 - La production ECONOMIE
Course Prérequis - Remise à Niveau - Economie
Institution SKEMA Business School
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Summary

This course was made by a teacher of Skema Business School in the 2020/2021 academic year. It contains the full course and tips given by the teacher during the face to face course in SKEMA BUSINESS SCHOOL. You will find some examples in order to help you memorize the course and understand it in an e...


Description

Section 1: la production A. Définition Production : Activité socialement organisée consistant à créer des biens et des services dans le but de satisfaire des besoins individuels ou collectifs. -

On peut classer les « produits » selon différentes catégories : ฀ ฀ ฀ ฀

Biens (matériels) ou services (immatériels) De consommation ou de production Durables, semi-durables ou non durables Privés (rivaux) ou collectif (non rivaux)

Or toute production n’est pas une production économique (aider son ami à emménager). Une production économique doit: - Concerner des biens et des services vendus sur un marché à un prix économiquement significatif (Marchands) - Soit être réaliser à partir d’un travail rémunéré. On y retrouve ici les administrations publiques où les ISBLSM qui ont une Y non marchande. Définition de L’INSEE : La production est « l’activité économique socialement organisée consistant à créer des biens et services s’échangeant habituellement sur le marché ou obtenus à partir des facteurs de production s’échangeant sur le marché » Il existe deux types de production économique : ●

Production marchande: - Production écoulée ou destinée à être écoulée sur le marché. - Les produits (biens ou services) vendus à un prix économiquement significatif, c’est-à-dire couvrant plus de 50% des coûts de production. -   Les SNF ont une production marchande (ainsi que les ménages producteurs) et les SF aussi.



Production non marchande: - Biens et services fournis gratuitement ou quasi gratuitement (c’est-à-dire à un prix inférieur à 50% de leurs coûts de production). - Les APU et les ISBLSM ont une production non marchande (éducation, santé, justice…). Quelques remarques:

- Les activités dissimulées aux autorités pour éviter de payer des impôts ou cotisation sociales sont incluses dans la production marchande (acte légal mais non déclarées). - Les actes illégaux ne font pas parties de la production que ce soit dans la production marchande ou non marchande. - Les actes effectués par les ménages pour leur compte ne font pas parties de la production. - Le travail bénévole ne fait pas partie de la production. Conclusion: Dans notre système, la production ne désigne pas ce qui est utile à l’homme mais ce qui est vendu ou ce qui résulte d’un travail rémunéré.

B. La mesure de la production: le PIB B.1. Définition PIB : La valeur des biens et service produits au cours d’une période donnée, dans une économique, par les unités résidentes et disponibles pour les emplois finaux. (Indicateurs de référence pour mesurer le niveau de richesse) -

«intérieur» : car il mesure la production des entreprises et les administrations à l’intérieur d’un pays, quelle que soit leur nationalité. - «Brut» : car on ne prend pas en compte la dégradation du capital fixe (Tout les investissements reste). Amortissement: prend en compte l’usure du K fixe (notion fiscale), rien à voir avec la mesure réelle d’une machine (on peut l’accéléré = on favorise l’investissement) or ça ne peut pas servir pour estimer de façon finale ou sérieuse l’usure du capital. - «Disponible pour les emplois finaux» : car on ne prend pas en compte les consommations intermédiaires. B.2 Les 3 approches §1. Par la valeur ajoutée Le PIB est une Somme des valeurs ajoutées (VA) à laquelle on ajoute les impôts sur les produits (TVA) et dont on déduit les subventions sur les produits. TTC = prix du marché

⇨ VA = richesse créée au cours d’une période données sur un territoire donné.

⇨ VA=CA- achat de produits transformé Exemple 1 : calcul de VA (cf. diapo) ● VA de l’entreprise B = montant de sa production : 20 euros ● VA de l’entreprise A = montant de sa production moins la consommation intermédiaire : 120 – 20 = 100 euros ● VA totale = VA de l’entreprise A + VA de l’entreprise B : 120 euros ● Si l’on avait additionné la production de chaque entreprise, on aurait obtenu : 120 + 20 = 140 euros On aurait alors comptabilisé deux fois le bois ! Remarque : ●

Ne pas confondre VA (l’entreprise paie ses salariés, ses impôts..) et profit (ce qu’il reste quand tous les frais sont comptabilisés.



Répartition de la richesse de l’entreprise, le profit c’est ce qui reste quand on a enlevées tous les frais de production.



Ce qui reste c’est le bénéfice de l’entreprise (marge, bénéfice...)= excèdent brut d’exploitation (EBE).

Capital circulant (conso intermédiaires)

Capital fixe

Bien et services détruits ou transformés dans le processus de production.

Ex : matière premières, énergie, voyage pro, service comptables, de sécurité, de gardiennage VAB= valeur de la production – CI ฀ PIB

Biens et services utilisés de manière durable dans le processus de production (+ d’un an). -Hausse du capital fixe = investissement - Ce capital perd de sa valeur (s’use) au cours de l’année à mesure qu’il est utilisé : on parle de consommation de capital fixe ou d’amortissement Ex: bâtiments d’une usine, machines d’assemblage VAN = valeur de la production – CI – amortissement ฀ PIN

Exemple 2 : cf. diapo ●  L’agriculteur produit avec son travail du blé qu’il vend 50 cts = VA ●  Le meunier achète le blé 50 cts et produit la farine qu’il vend 1,5 euros. VA = 1 euro ● Le boulanger achète 1,5 euro de farine et produit du pain qu’il vend 3 euros. VA = 1,5 ● VA totale = 0,5 + 1 + 1,5 = 3 euros On va mesurer la ajoutée est mesurée par les coûts de production (il s’agit l’industrie de main d’œuvre qualifié) calcul de coût de production pour les administrations publiques … Enfin, La valeur ajoutée est estimée à partir des salaires des professeurs, achats de matériel, factures d’eau, d’électricité.

PIB = somme des valeurs ajoutées + impôts sur les produits – subventions sur les produits (Cf. diapo) §2. Par les revenus La production est source de VA, qui est ensuite distribuée sous forme de revenus aux acteurs de la vie économique ayant participé à la production. Pour les ménages entrepreneur, on ne peut pas distinguer entre revenus du travail (les salaires) et revenus du capital (les profits au sens large (=EBE).

PIB = somme des revenus de ceux qui ont contribué à la création de richesse (salaires + profits) Les entreprises payent des taxes foncières par exemple. A cela, il faut ajouter les importations mais on va retirer les subventions aux entreprises.

PIB = salaires + profits (=EBE) + impôts – subventions (DESTINATION) Quatre débouchés possible : consommations des ménages, consommations des entreprises, les investissements, les exportations. ●

Intuition : « Toute production est en même temps un achat ».

§3. Par les dépenses



La consommation des ménage : tout ce que l’on peut dépenser, mais aussi les dépenses de logement (loyer fictif).

On ne comptabilise pas les achats de logement car il s’agit d’investissement. Formation brute de capital fixe, investissement.

PIB = dépenses de consommations finales + investissement + exportations – importations FCB: formation brute de capitale = FBCF + variations des stocks (elle peut être positive ou négative) = ajustement entre l’offre et la demande. Ressources = Emplois, les ressources sont nécessairement égale aux emplois. Toute production correspond à un achat

« Toute offre engendre sa propre demande » J.B Say Crise de débouchés or elle affirme le contraire Keynes c’est déchainer contre la loi de Say. L’investissement : Formation de brute de capital fixe •  Pour les ménages : achat de logement •  Pour les entreprises : achat de machines, équipements, infrastructures (= capital fixe) •  Pour l’Etat : infrastructures Les exportations : ● Les biens qui partent à l’étranger ● La consommation (des ménages et administrations publiques) et l’investissement ne correspondent pas forcément à des biens produits dans le pays ฀ Importations ● Il faut donc soustraire aux exportations, les importations pour obtenir le calcul du PIB

Exportations – Importations = Exportations nettes ou solde commercial PIB = dépenses de consommations finales + investissement + Exportations – importations (Cf. diapo)

Formule:

FBC = FBCF + variation de stocks Variation de stocks (ΔS) = entrées de stocks – sorties de stocks Variation de ΔS (stockage/déstockage) = ajustement des offre et de la demande PIB + M = C + FBCF + X + ΔS = entre ressources et les emplois

Ressources = «sources de richesse» : production + importations Emplois = consommation finale + investissement + exportations (+ Δ stocks) C. PIB en valeur vs PIB en volume Les prix fluctuent varie d’années en années. Ils ont tendance à augmenter au cours du temps ฀ Inflation Le PIB peut alors très bien augmenter d’une année sur l’autre, sans que les volumes échangés augmentent. ● Dès lors comment distinguer, dans l’évolution du PIB, ce qui provient de l’effet prix et ce qui provient de l’effet quantité ?



Avant ajustement : - PIB en valeur = PIB nominal = PIB à prix courants Après ajustement : - PIB en volume = PIB réel = PIB à prix constants

PIB nominal 2013 = qA(2013)×pA(2013)+qB(2013) ×pB(2013) On se sert du prix pour avoir la production. (Cf Diapo) On va diviser l’indice du PIB en valeur par l’indice des prix en consommation. IPC = indice des prix à la consommation, analyse des prix à la consommation calculé par l’INSEE. On va faire une moyenne de l’accroissement des prix pour cela on part des ménages, on s’appuie sur le budget du consommateur types. On va mesurer les coefficients budgétaires de la consommation moyenne des ménages. L’indice de prix permet de passer au PIB prix courant au prix constant. Intérêt de l’IPC : L’IPC permet l’indexation : - Des pensions alimentaires - Du SMIC (salaire minimum interprofessionnel de croissance) - Du taux du livret A Et la revalorisation des loyers d’habitation. L’IPC permet de faire la part entre l’évolution des volumes et l’évolution des prix en «déflatant» les agrégats.

D. Comparaisons internationales Le PIB permet de situer les pays les uns par rapport aux autres et de déterminer la taille et la place de chaque pays dans l’économie mondiale.  Mais pour pouvoir faire des comparaisons, il faut relativiser le PIB : ● Par rapport au pouvoir d’achat (D.1) ● Par rapport à la taille (D.2)

1. Le PIB en parité de pouvoir d’achat Pour éviter les fluctuations des taux de change et pour tenir compte des différences de niveaux de prix, on utilise un taux de conversion appelé « parité de pouvoir d’achat » (PPA) PPA : permettent d’exprimer les pouvoirs d’achat des différents pays les uns par rapport aux autres et donc de faire la part entre différences de production et différences de niveaux des prix entre deux pays. Il exprime le rapport entre les quantités de monnaie nécessaires dans des pays différents pour se procurer le même panier de biens et de service. (Exemple : Cf. diapo) Nous permet de faire des comparaisons entre les pays. 2. Le PIB par habitant PIB = indicateur de richesse « collective » Exemple : PIB nominal en 2012 : •  Luxembourg = 56,7 milliards de dollars •  Corée du Sud = 1156 milliards de dollars (20 fois plus) On peut voir que le PIB par habitant au Luxembourg presque 5 fois plus élevé que le PIB par habitant en Corée ! Vit-on moins bien au Luxembourg qu’en Corée ? - Population en Corée : 50 000 000 habitants - Population au Luxembourg : 524 900 habitants Le PIB par habitant au Luxembourg est presque 5 fois plus élevé que le PIB par habitant en Corée ! Mais avec un dollar, on achète beaucoup plus en Corée qu’au Luxembourg Pour comparer le PIB par habitant en tenant compte des différences de pouvoir d’achat, on utilise… les PPA. Le PIB en PPA par habitant est 3 fois plus élevé au Luxembourg qu’en Corée Pour comparer le PIB par habitant en tenant compte des différences de pouvoir d’achat, on utilise PIB en PPA par habitants. ● Les agents, ont les retrouves selon les secteurs institutionnels, ils font échanges soit sous formes réels soit sous forme monétaires. ●

E. Le taux de croissance Il s’agit de mesurer le taux d’évolution de richesses produites entre deux années, entre deux trimestres …  La croissance économique est l’évolution de la richesse produite sur le territoire entre deux années ou entre deux trimestres (la richesse étant mesurée par le PIB) Le rythme de croissance d’un pays est le principal critère retenu pour mesurer le dynamisme de son économie. La croissance est le taux de croissance du PIB, c’est-à-dire la variation en % du PIB entre deux dates (trimestres ou bien années).

Taux de croissance du PIB entre les années n et n+1 : 𝑃𝐼𝐵𝑛+1−𝑃𝐼𝐵𝑛 𝑃𝐼𝐵𝑛

x 100

Les taux de croissance publiés sont en général les taux de croissance en volume.

Taux de croissance en volume = Taux de croissance en valeur – Taux d’inflation (Cf diapo) Exemple : Le taux de croissance du PIB. Le PIB a toujours augmenté, sauf en 1974 = taux de croissance négative (diminution de moins de 1%). En 2009, on a un recul du PIB de 3%. On peut calculer le taux de croissance trimestriel (entre deux trimestres), un taux de croissance en glissements annuels (calculés un PIB entre deux dates espacées d’un an). L’acquis de croissance : ce que serait la croissance moyenne annuelle si la production se stabilisait à son dernier niveau connu. Contributions à la croissance  :Pour savoir d’où vient la croissance, on s’appuie sur l’approche du PIB par les dépenses. On sait alors que la croissance est tirée par la consommation des ménages ou par l’investissement par exemple.

Contributions à la croissance (définition de l’INSEE): La croissance du PIB peut être décomposée en la somme des contributions de ses différentes composantes : dépenses de consommation des ménages, des institutions sans but lucratif au service des ménages et des administrations publiques, investissement, variations de stocks et solde commercial. Dans les cas simples, agrégats en valeur notamment, la contribution d'une composante à un agrégat (le PIB par exemple) est égale au produit du taux de croissance de cette composante par son poids dans l'agrégat à la période précédente. Pour un agrégat en volume, on multiplie le taux de croissance des composantes en volume par leur poids dans l’agrégat à la période précédente en valeur ● Plus le poids d’un poste dans le PIB est important et plus les évolutions de ce poste ont un impact fort sur le PIB. (Cf. tableau comme exemple) ●

Calculer le solde commercial :

S=X–M Calculer le PIB par les dépenses :

PIB = Consommation + FBCF + Variation des stocks + Solde commercial Calculer le poids de la consommation des ménages dans le PIB en 2012 :

Poids = Conso Ménages en valeur en 2012 / PIB en valeur en 2012 Calculer la contribution à la croissance du PIB de la consommation des ménages en valeur :

Contribution à la croissance en valeur =

Poids (en valeur) * Evolution en valeur de la Conso Ménages Calculer la contribution à la croissance du PIB de la consommation des ménages en volume:

Contribution à la croissance en volume = Poids (en valeur) * Evolution en volume de la Conso Ménages Remarques sur les contributions à la croissance : •  Attention, approche à court terme, à observer aussi : la production manufacturière, les promesses d’embauche, la confiance des ménages, le dynamisme de l’économie chez les partenaires étrangers, crédit bancaire… •  A long terme, la croissance dépend d’autres facteurs en particulier de la productivité (quantité produite par quantité de facteurs) déterminé par : capital physique (donc investissement), capital humain (éducation, grâce à cela on a une productivité du travail plus élevée), ressources naturelles, progrès technique, …

F. Les limites du PIB: Le PIB est souvent utilisé pour comparer la qualité de vie entre pays. L’intuition est la suivante : la production crée de la richesse qui améliore le bien-être. Mais cela ne va pas de soi. Exemple : les accidents de la route font augmenter le PIB via une forte dépense en réparation automobile, sans que cette augmentation soit liée à davantage de bien-être Il surestime le bien-être car : 1) Il intègre des externalités négatives Externalité négative : action économique qui influe négativement sur l’utilité d’un ou d’autres agents sans compensation monétaire. Les dégâts physiques ou sociaux liés à la production ne sont pas retirés de la mesure du PIB (ils sont même ajoutés !) 2) Il intègre des activités « défensives » qui ne contribuent pas (directement) au bien-être citoyen (dépenses de réparation ou de préventions de dégâts, dépenses militaires…) Il sous-estime le bien-être car : 1) Il intègre mal certaines activités : • économie souterraine, production non marchande des APU (évaluées à leur coût de production) 2) Il n’intègre pas des activités qui contribuent pourtant au bien-être : • activités bénévoles • activités domestiques Exemple : une mère garde son enfant : ce n’est pas comptabilisé dans le PIB. Si c’est une assistante maternelle, oui ! Autre exemple : Si une riche héritière épouse son chauffeur, elle va diminuer le PIB, car il va la conduire sans qu’elle paye. Autre exemple : Si un homme épouse sa femme de ménage, il va diminuer le PIB. Il ne dit rien sur la répartition des richesses : •  Son augmentation peut aller de pair avec une amplification des inégalités mettant en cause la cohésion sociale •  La croissance peut ne bénéficier qu’aux 10% les plus riches ! Il ne dit rien sur la santé, le niveau d’éducation, les conditions de travail, la qualité de l’environnement. ฀ Ce n’est pas une mesure du bien-être, du bonheur, du développement… !!!

G. Les autres indicateurs de richesse L’indicateur de développement humain (IDH) : •  Reconnu officiellement par le PNUD en 1990 et initié par les travaux de l’économiste A. Sen •  Moyenne de trois indicateurs : ● Santé ● Education ● Revenu •  Compris entre 0 et 1 Les indicateurs de pauvreté humaine : •  IPH1 pour les pays en développement •  IPH2 pour les pays développés •  Intègrent d’autres dimensions comme la part de la population en-dessous du seuil de pauvreté ou des critères d’exclusion. On note parfois de grandes différences entre IDH et IPH, surtout dans les pays en développement (Vénézuela, Thailande, Algérie, Egypte…) D’autres indicateurs intégrant des dimensions sociales : •  Indicateur de progrès véritable (J. Tobin et W. Norhaus) •  Indicateur de santé sociale (chômage, santé, éducation, pauvreté…) •  Baromètre des Inégalités et de la Pauvreté (BIP 40) en France Les indicateurs intégrant des critères environnementaux : •  Le PIB vert et indicateur de bien-être économique durable (IBED) •  Empreinte écologique (WWF) •  Happy Planet Index (New Economics Foundation et Friends of the Earth) •  Environmental Performance Index (Universités de Yale et de Columbia)  

Conclusion : •  Différence entre croissance de la production, développement et progrès social. •  La croissance est une condition nécessaire mais non suffisante du développement. •  Elle peut être concomitante avec la montée des inégalités sociales et de la précarisation des conditions de vie, de santé, d’emploi. Rapport de la Commission Stiglitz sur la mesure des performances économiques et du progrès social Recommandations : 1) Se référer aux revenus et à la consommation plutôt qu’à la production. 2) Prendre en compte le patrimoine en même temps que les revenus et la consommation. 3) Mettre l’accent sur la perspective des ménages. 4) Accorder davantage d’importance à la répartition des revenus, de la consommation et des richesses. 5) Elargir les indicateurs de revenus aux activités non marchandes....


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