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Course Poesía francesa de los siglos XIX-XX
Institution Universidad de Alicante
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Universidad de Alicante Grado en Estudios Franceses Poesía Francesa de los siglos XIX-XX

YVES BONNEFOY

Universidad de Alicante Grado en Estudios Franceses Poesía Francesa de los siglos XIX-XX

INDEX 1. Introduction…………………………………………..…………………………………………….3 2. Analyse des poèmes choisis : 2.1. Une pierre……………………………………………………………………………………..4 2.2. Art de la poésie……………………………………………………………………………….5 2.3. Une voix ………………………………………………………………………………………..6 2.4. Vérité ……………………………………………………………………………………………6 2.5. Le livre pour vieillir………………………………………………………………………..7 3. Dissertation…………………………………….…………………………………………………..8 4. Réflexion métacognitive…………………………..……………………..……………………11 5. Bibliographie……………………………………………………………………………………….12

1. Introduction

Universidad de Alicante Grado en Estudios Franceses Poesía Francesa de los siglos XIX-XX Yves Bonnefoy est né à Tours, centre de la France, 24 Juin il et il a quatre-vingtdeux ans. Il est l'un des poètes les plus influents de la poésie française contemporaine. Il va faire ses études de mathématiques dans les classes préparatoires du lycée Descartes de Tours et à l’Université de Poitiers. Après il va décider en 1943 de s’installer à Paris et de se consacrer à la poésie. Dans la capitale continue d'étudier ces disciplines. Alors il va étudier la philosophie et l’histoire des sciences à la Sorbonne. Entre ses professeurs était Gaston Bachelard, directeur de l'Institut d'histoire des sciences et de la technologie. Un autre professeur qui l'a influencé était Jean Wahl, pour ses études sur les philosophies de l'expérience. Sous l'influence de Wahl il va écrire une thèse sur Baudelaire et Kierkegaard. Pour Bonnefoy, les Fleurs du mal de Baudelaire, c’est le livre maître de la poésie française.

2. Analyse des poèmes choisis: 2.1 Analyse : Une pierre (du chapitre éponyme du recueil La vie errante 1993) :

Universidad de Alicante Grado en Estudios Franceses Poesía Francesa de los siglos XIX-XX J'ai toujours faim de ce lieu Qui nous était un miroir, Des fruits voûtés dans son eau, De sa lumière qui sauve, Et je graverai dans la pierre. En souvenir qu'il brilla Un cercle, ce feu désert. Au-dessus le ciel est rapide Comme au voeu la pierre est fermée. Que cherchions-nous? Rien peut-être, Une passion n'est qu'un rêve, Ses mains ne demandent pas, Et de qui aima une image, Le regard a beau désirer, La voix demeure brisée, La parole est pleine de cendres.  



Thème : Le lieu abstract. Champ lexicaux et sémantiques : Nature : fruits, eau, pierre, désert, ciel, cendres. Corps : miroir, regard, voix, mains, faim. Amour : passion, désirer. Abstract : image, parole, lumière, brilla, souvenir, rêve. Anaphore : lieu, miroir, eau.

Petit commentaire : Le champ lexical de la première strophe évoque une structure où “lieu”, “miroir”, “eau” et le groupe verbal “qui sauve” introduisent une lecture anaphorique. Celle qui est déployée le long des quatre strophes, va alors établir les thèmes suivants: la “pierre”, le « miroir”, le « cercle, ce feu désert”, “l’image”, “la voix brisée”, et finalement “la parole”. Cette séquence d’images constitue ici une perspective surréaliste qui se repose sur deux points essentiels : celui de souvenir, de ce qui renvoie à l’origine de l'expérience du texte. Et celui de transformation, de “faim” de nouveaux paysages, un retour au silence, un lieu à réinventer et à refaire.

2.2 Analyse: Art de la poésie Dragué fut le regard hors de cette nuit. Immobilisées et séchées les mains. On a réconcilié la fièvre. On a dit au cœur

Universidad de Alicante Grado en Estudios Franceses Poesía Francesa de los siglos XIX-XX D'être le cœur. Il y avait un démon dans ces veines Qui s'est enfui en criant. II y avait dans la bouche une voix morne sanglante Qui a été lavée et rappelée. Thèmes : « maladie » et récupération. Champs lexicaux et sémantiques : Corps : regard, mains, cœur, bouche, sanglante, veines, voix. Maladie : nuit, fièvre, démon, criant. Récupération : s’est enfui, lavée, rappelée, réconcilié.  Antistrophe : on a dit au cœur d’être le cœur.  Répétition : il y avait. Petit commentaire : Pour l’utilisation des champs lexicaux et sémantiques citées, nous pouvons voir que le thème principal c’est la récupération d’une « maladie »  « il y avait dans la bouche une voix morne sanglante qui a été lavée et rappelée ».  

2.3 Analyse: Une voix Souviens-toi de cette île où l'on bâtit le feu De tout olivier vif au flanc des crêtes, Et c'est pour que la nuit soit plus haute et qu'à l'aube II n'y ait plus de vent que de stérilité. Tant de chemins noircis feront bien un royaume Où rétablir l'orgueil que nous avons été, Car rien ne peut grandir une éternelle force Qu'une éternelle flamme et que tout soit défait. Pour moi je rejoindrai cette terre cendreuse, Je coucherai mon cœur sur son corps dévasté. Ne suis-je pas ta vie aux profondes alar mes, Qui n'a de monument que Phénix au bûcher ?  



Thèmes: La mort et la purification. Champs lexicaux et sémantiques: Mort: Feu, flamme, défait, corps dévasté. Reconstruction: éternelle, rétablir, verbes en futur "feront", "rejoindrai", "coucherai", Phénix. Amour : cœur, vie, vif. Nature : île, terre, vent. Oxymore: "L'on bâtit le feu"le verbe "bâtir" évoque une construction, alors que le feu, repris ensuite par "noircis", "éternelle flamme", "terre cendreuse", et "bûcher" signifie plutôt l'incendie, c'est à dire la destruction.

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Il y a une grande musicalité et nous pouvons le voire avec : L’allitération en [r]: feront, royaume, rétablir, orgueil, grandir, force... En [f]: feront, force, flamme, défait) et aussi en [m]: alarmes / monuments... Harmonie : paronomase "cœur / corps". Rimes: stérilité, dévasté, été. Assonances: aube, royaume.

Petit commentaire : L’auteur parle de l’amour qui le lie à sa femme aimée. Les deux thèmes principaux du poème parlent de la dévastation et aussi de la renaissance, pour cela nous pouvons voire l’image du feu qui dévaste tout et finalement le Phénix, cet oiseau qui renaisse de ses cendres. A travers les champs lexicaux et sémantiques, les images, l’oxymore, etc., tout évoque à la destruction qui conduit à la reconstruction et purification. Parce que le feu peut être destructeur et purificateur aussi. L’auteur veut représenter cette ambivalence au recueil entier : la mort et la renaissance.

2.4 Analyse: Vérité Ainsi jusqu'à la mort, visages réunis. Gestes gauches du cœur sur le corps retrouvé, Et sur lequel tu meurs, absolue vérité. Ce corps abandonné à tes mains affaiblies. L'odeur du sang sera ce bien que tu cherchais. Bien frugal rayonnant sur une orangerie. Le soleil tournera, de sa vive agonie Illuminant le lieu où tout fut dévoilé. Tu as pris une lampe et tu ouvres la porte. Que faire d'une lampe, il pleut, le jour se lève.  Champs lexicaux et sémantiques : Mort : mort, meurs, pleut, dévoilé. Corps : visages, gestes, cœur, corps, mains, sang, odeur. Nature : soleil. Lumière : illuminant, lampe.  Oxymore : vive agonie. Petit commentaire : le thème principal c’est la mort de la vérité, c’est un concept abstract parce qu’il ne parle pas d’une personne ou d’une femme sino du concept de « liberté » et pour cela le titre a son nom.

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2.5 Analyse: Le livre, pour vieillir Étoiles transhumantes ; et le berger Voûté sur le bonheur terrestre ; et tant de paix Comme ce cri d'insecte, irrégulier. Qu'un dieu pauvre façonne. Le silence est monté de ton livre vers ton cœur. Un vent bouge sans bruit dans les bruits du monde Le temps sourit au loin, de cesser d'être. Simples dans le verger sont les fruits mûrs. Tu vieilliras Et, te décolorant dans la couleur des arbres. Faisant ombre plus lente sur le mur. Liant, et d'âme enfin, la terre menacée. Tu reprendras le livre à la page laissée. Tu diras, C'étaient donc les derniers mots obscurs.  

Thème : L’éternel Champs lexicaux et sémantiques :

Lecture : livre, page, mots, liant. Nature : étoiles, berger, terrestre, cri d’insecte, vent, bruit, bruits, monde, fruits, arbres, terre. Éternel : paix, dieu, âme. Temps : temps, vieilliras, derniers morts obscurs, loin.  Anaphore : Tu  Verbes en futur : tu diras, tu vieilliras, etc.  Personification : « le temps sourit au loin ». Petit commentaire : Dans ce poème l’auteur parle directement à son lecteur (2º personne au singulier : Tu). Il utilise beaucoup des images et sources littéraires pour lui expliquer que le temps passe et il vieillira.

3. Dissertation : Yves Bonnefoy est considéré comme le plus important poète français et d'influence depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale jusqu'à aujourd'hui, en plus d'être reconnu comme un excellent critique, essayiste et traducteur.

Universidad de Alicante Grado en Estudios Franceses Poesía Francesa de los siglos XIX-XX Il va refuser au surréalisme, c’est qu’il idéalise c’est l'objet et il tend à substituer la poétique à la réalité même. Il refuse aussi bien au l'exaltation du moi, le vertige, la dépossession, le dérèglement. Il va avoir une attitude agnostique. Sous sa plume, on n’observe pas guère de clôture des textes sur eux-mêmes, mais plutôt les étapes d'un cheminement. Le poète a déclaré à ce propos : "Je n'écris pas de poèmes, s'il faut entendre par ce mot un ouvrage bien délimité, autonome (...) ce que j'écris ce sont les ensembles dont chacun de ces textes n'est qu'un fragment". Ce qui importe, c'est l'expérience qui est faite de la poétique, dans sa relation étroite avec la maturation de la pensée du sujet luimême. Cette poésie est en quête de la présence : un sens qui se reforme dans les choses simples. Bonnefoy va retenir surtout du surréalisme le sens de la coïncidence : le goût pour les objets de rencontre et les chemins traversiers qui coupent mystérieusement nos trajectoires ordinaires. Il a apprécié dans la poétique surréaliste qu'elle fût suprêmement attentive, mais il a opéré un recentrement de cette attention sur le réel, sans mythification. La parole décorative, strictement conceptuelle, le mot abstrait, plus de bruit que sens délibérément triché, introduit une fausse communication que nous avons faite. Il est le genre de mot que l'idéologue, dont la jonglerie verbale et la sorcellerie cherchent à nous imposer une explication et nous accueillir des lunettes de décantation qui déforment tout. Qui cachent l'essentiel. C’est la tâche du poète de sensibiliser et laissez échapper ces pièges. Une haute tâche où il se plonge dans la relation des mots et le miracle qu'ils représentent à ce que tout le monde voit quand les dit, entend ou voit. Dans sa poésie les idées sur l'art, l'être et l'acte de création sont entrelacés. Il va dire que le «poème n’est pas une activité éducative, elle ne doit pas expliquer l'expérience du monde que cherche approfondir". Il va écrire: "J'aime la terre et ce que je vois me ravit, venant parfois de croire que la ligne continue des sommets, la majesté des arbres, la vivacité de l'eau provenant du fond d'un canyon, l'élégante façade d'une église que dans certains endroits et certains moments elles sont si intenses- ils doivent avoir été créé pour notre bénéfice". Sa formation initiale en mathématiques se voit dans ses essais sur l'art, en parlant de la bonne proportion en architecture ou en peinture, compte tenu de la perspective comme un moyen de "sortir de la lumière de la nuit noire a la journée" et le retour à la perspective et le point de la fuite, le lieu imaginaire où les lignes se rencontrent à l'infini, et écrit: "les perspectives sont certainement dangereux, car il est capable de créer dans l'esprit l'idée d’une autre endroit qui ne peut être un piège", "mais la perspective" peut nous permettre de construire ailleurs nos imaginaires châteaux des désirs métaphysiques.

Universidad de Alicante Grado en Estudios Franceses Poesía Francesa de los siglos XIX-XX Le poème « Anti-Platon » peut être un des meilleurs poèmes de toute sa carrière. La façon dont il joue et lit le surréalisme et l'élégance extraordinaire utilisé lorsque des décharges dans les vers, est incroyable. Son recueil suivant, "Le mouvement et l'immobilité de Douve" est peut-être un ses plus célèbres recueils jusqu'à l'apparition de "Les planches courbes». Dans celle un personnage inventé, Douve, par lequel le poète fait face à la mort. Douve n’est pas seulement une personne, mais il s’adapte aux diverses formes dans les poèmes. Sans abandonner le surréalisme, Yves vient à résister à la mort néoplatonicienne sans la présence d'un Dieu transcendant. Ce qui rend également un loin de l'esthétisme douceâtre et pourtant belle. Yves Bonnefoy partage avec Philippe Jaccottet et d'autres poètes de la même génération le souci de ne pas se laisser leurrer par les jeux, par le désir de l'infini, par tout ce qui relève du magique ou de l'angélique dans les discours sur la poésie, tels qu’ils demeurent plus ou moins tributaires d'une mythologie romantique de l'acte créateur. Il résiste à tout ce qui conduit à l'absolutisation du poétique et donc à la constitution de l’univers séparé du réel. Il porte toute sa vie donnée à cette "forme particulière d'interroger le monde et l'existence" que nous appelons la poésie. Et la poésie c’est, comme le critique et penseur dit, "l'approche la plus directe à la vérité". Il interprète comme une dévalorisation du monde réel la manière dont le surréalisme investit les choses et les êtres d’un mystère irrationnel et élabore la notion de « présence » et vise une poésie capable de retisser dans le langage une intuition de la présence immédiate des êtres et des choses. Pour-il, sa poésie doit restaurer un sentiment d’unité. Présence est le mot clef de la poétique et de la pensée d’Yves Bonnefoy. Ce mot se présente comme une possibilité de synthèse entre réel et surréel. La présence, en effet, n’est autre que de l'immortalité sentie au cœur même de la finitude : elle est à la fois mouvement et immobilité, ce qui transit le sujet et ce qui met en valeur sa transitivité. Cette présence est reconquise auprès de la mort, elle doit être reconnue, acceptée pour que la présence soit possible. La poésie d’Yves Bonnefoy cherche un sens partageable. Elle cherche une syntaxe du sens dans les signes et les images. Elle interroge le sens de notre rapport au monde, à travers des grands pôles d’évidence dans l’élémentaire: l’arbre, la pierre, etc... Mais aussi: la fragilité du réel. Le réel n’est pas donné comme présent, la présence est l’horizon du langage poétique. Le point de vue du langage sur le monde est celui de l'interprétation, de la pensée; il se montre aveugle aux échanges sensibles avec le monde. Ainsi, il insiste que le mot "arbre" sépare, alors que l'arbre réel est pris dans un "donné d'ensemble" qui est le paysage…

Universidad de Alicante Grado en Estudios Franceses Poesía Francesa de los siglos XIX-XX Sa poésie affirme la primauté de l'existence sur les logos, la vie sur l'écriture, la recherche des sens sur le plaisir limité de sensationnalisme du signifiant. La langue et sa signification pour cet auteur sont devenues une limite et un canal; qu'ils nous conduisent dans le monde, mais aussi nous empêchent d'elle: la peur et l'espoir. Le merveilleux et la stupéfaction. Le langage n’est pas une vague illusion métaphysique qui encourage l'ineffable. Il est bien de la divulgation et de la connaissance, il est le mécanisme d'assimilation même dans leurs déceptions, et la contemplation de la vie et de l'art de la mémoire et du territoire. Les poèmes de Bonnefoy sont mélangés avec une formalisation très visible expérimentale poétique et esthétique quasi-silence, avec des courts vers, intenses, qui se manifeste surtout dans les textes qui sont basées sur l'évocation d'une peinture. Des efforts ambitieux résultant en une poésie hybride et travaillé, à un moment, à partir de deux approches : de lyrisme et de l'expérience, de la métaphysique plus essentialistes et poésie. Mais surtout, elles sont des poèmes inoubliables. Ainsi, le concept de l'écriture, comme une destruction nécessaire de fondation ou de régénération exigeant une significative clôture de rupture et la poésie formelle, cède peu à peu à une pratique poétique conçue comme une approche, la médiation, l'intégration et l'incarnation, toujours problématique et approximative, de la présence. Pour l’auteur, qui est par ailleurs un grand théoricien, le concept et l'abstraction peut séparer l'homme du monde sensible dans leur esprit. Sa poésie implique que cette expérience dans une langue ne doit pas être prise par la fausseté immédiate, elle doit exprimer l'unité de notre perception du monde sauvage et des certaines expériences sensibles ou émotives. Sa contribution au paysage esthétique et critique a marqué la poésie. L'ensemble de son œuvre poétique constitue un important panorama de la littérature francophone et mondiale. Sous l'influence surréaliste, la poétique de Bonnefoy a évoluée esthétiquement dans les nouvelles approches du style et des problématiques en faisant des questions sur Dieu, la mort, et l'image poétique. Sans aucun doute il est un des principales voix de la poésie française contemporaine. Ses essais, traductions, conférences au Collège de France, ses écrits d'art sont devenus indispensables pour les nouvelles générations d'écrivains et des critiques d'art. Il va être élu au Collège de France en 1981 à la présidence d'études comparées de la fonction poétique, il a également enseigné dans des universités aux ÉtatsUnis, comme Brandeis, Johns Hopkins, Princeton, Yale et de l'Université de New York, et à Nice, Aix-en-Provence et à Genève. Il a remporté des prix pour la poésie en France, comme le Prix des critiques, le Grand Prix de Poésie de l'Académie Française, le Grand Prix de Littérature de la Société des gens de

Universidad de Alicante Grado en Estudios Franceses Poesía Francesa de los siglos XIX-XX lettres, et le Prix Goncourt pour la poésie et dans d'autres pays, le prix Cino del Duca mondiale, le Prix Balzan, le prix Franz Kafka et le Prix Griffin pour son corps de travail, entre autres. Il a reçu des doctorats honorifiques de plusieurs universités en Europe et aux États-Unis; son travail a fait l'objet de nombreuses discussions et en 1992, la Bibliothèque nationale de France a mis en scène l'exposition Yves Bonnefoy: livres et documents.

4. Réflexion métacognitive Je réponds à : dans quelle mesure la réalisation de la matière m'a permis dans toute sa progression d'être capable de réaliser ce travail individuel : D’être capable de chercher des poètes des dernières tendances, de les lire, et de les apprécier, d'en élaborer une réflexion, et bien entendu, de vouloir en savoir plus sur la poésie de façon autonome. Avant de commencer ce cours, je peux dire que j’avais une vague idée de comment faire un analyse et commentaire de la poésie. En fait, je n’avais pas lu des œuvres poétiques françaises, plus que les mondialement connues comme Les Fleurs du Mal de Baudelaire et quelques autres de Victor Hugo. Mais après avoir connu plusieurs auteurs contemporains et de pouvoir analyser mieux ses œuvres, j'aime plus la poésie française. Je suis sûre que j’ai une vision plus ample de la poésie et je suis contente pour cela.

5. Bibliographie Œuvres Littéraires :

Universidad de Alicante Grado en Estudios Franceses Poesía Francesa de los siglos XIX-XX 

Poétique d'Yves Bonnefoy. Par Jérôme Thélot.



Yves Bonnefoy: la poésie, la présence. Par Gérard Gasarian.

Web : http://www.wikipoemes.com/poemes/yves-bonnefoy/ http://www.etudes-litteraires.com/figures-de-style/index-figures.php https://es.wikipedia.org/wiki/Yves_Bonnefoy Document audiovisuel : Conférence légendaire d'Yves Bonnefoy "La parole poétique" (Université de tous les savoirs, 2000)  https://www.youtube.com/watch?v=_i_p5TrnMrg...


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