1- la culture, le corps, le sport PDF

Preview

Summary

Download 1- la culture, le corps, le sport PDF

Description

Sociologie de la culture

La culture - Le corps - Le sport I - comprendre la culture! La culture est souvent associée à la connaissance => culture générale.!

a) Dans une perspective anthropologique et universaliste :! On l’étudie dans une perspective universaliste et anthropologique car l’anthropologie était l’ancêtre de la sociologie.! Définition de la culture selon Tylor, inventeur de la notion sociologie britannique :! «!la culture est ce tout complexe qui comprend la connaissance, les croyances, l’art, la morale, le droit, les coutumes et les autres capacités ou habitudes acquises par l’homme en tant que membre de la société!». 1871! Il a une vision de la culture envisagée comme un tout, quelque chose d’un peu uniforme.! Le corps est omni-absent dans cette définition. On garde l’idée de tout, ce qui sousentends que la culture est partout, au niveau géographique, territorial. Il n’y a pas de peuples qui n’ai pas de culture. Questionnement de la société primitive (en retard) face à la culture industrielle, cette définition dit l’inverse : la culture traverse tous les peuples.! Le terme complexe est important car c’est compliqué d’identifier toutes les dimensions de la culture, parce qu’elle est partout dans toutes les dimensions de notre vie.! Le message premier est que le comportement de l’homme n’est pas dominé par son corps, sa partie biologique.! Boas cherche à définir les cultures au pluriel : Il succède à l’entreprise théorique de Tylor, il s’intéresse au phénomène migratoire. Il essaie de comprendre la différence entre la culture et «# les cultures# ». Il revient sur les pensées raciste de l’époque qui vise à associer un ordre biologique avec des cultures différentes, comportement de race. Il veut montrer que toutes les cultures se valent donc que les différences entre les êtres humains relèvent d’un arbitraire culturel qui nous oblige à renoncer à tout présupposés de types biologiques raciaux notamment => c’est le relativisme culturel. La culture est pour lui une totalité spirituelle intégrée mais diversifiée.! Mead : culture homme - femme. Exemple de recherches menées en Océanie (NouvelleGuinée) en 1935.! Cette scientifique s’est dit que s’il y a des préjugés raciaux, il y en a aussi de types genrés. A l’époque il n’y avait pas de réelle différence entre le genre et le sexe.! Mead a mené des recherches sur trois tribus d’océnie : Les Arabesh, Les Mundugomor, et les Chambun. Elle fait cela pour voir comment ils élèvent les filles et les garçon. chez les Arabesh, dès la petite enfance ils élèvent de façon indistincte filles et garçons en faveur plutôt de la disposition à la douceur. Chez les Mundugomor c’est plutôt des dispositions du masculin qu’on voit chez les filles et les garçons avec toujours une façon d’élever indistinctement. Enfin chez les Chambun, ils les élèvent distinctement cette fois

Sociologie de la culture mais de manière inversé à notre société occidentale (Hommes : foyer, esthétique, enfants. Femme : pouvoir économique, assurer la subsistance du groupe à travers les activités.). ! Tout cela est étudié à la même époque et sur le même continent. On peut donc conclure de ses recherches que l’identité sexuelle ne dépend pas de notre nature mais de l’éducation et de la culture transmise dès le plus jeune âge; au cours du processus de socialisation.! Les études d’Evans Richard en 1973 démontre que dans certaines société quand la femme était infertile, on lui attribuait un rôle d’homme. On observe une confusion de l’ordre biologique.!

Conclusion : Il y a une dichotomie qui ressort entre la vision évolutionniste (identifier les ressemblances, ce qu’il y a de commun) et le culturalisme. Elles suivaient toutes les mêmes évolutions les mêmes étapes et s’orienteraient dans une même direction. Le postulat sous-jacent est l’idée de l’universalité de l’esprit humain. En second lieu on observe que le culturalisme défend plutôt les singularités des formes culturelles, et l’actualisation sans fin des modèles culturels : l’être humain est une sorte de page blanche sur laquelle la culture va inscrire et écrire une histoire, un environnement, des valeurs, un milieu… En retour ces éléments de culture vont influencer l’environnement, modifier l’organisation de la société (il y a une portée plus interactionniste et diversifiée). ! Il y a une seconde dichotomie entre l’approche traditionnelle (Holistique) de l’anthropologie et l’approche par le sens.! L’approche traditionnelle implique l’unicité, l’homogénéité, la cohérence d’une culture dont on retient essentiellement les éléments communs.! L’approche par le sens, c’est une vision plus relationnelle de la culture, vision interactionelles, c’est donc un moyen de communication entre les individus, la culture est bricoler dans l’activité humaine, elle se recompose se transforme au fil des actions et des rencontres entre les individus. ! Les éléments de culture doivent à tout pris se défaire des préjugés naturalistes. Il faut bien prendre en compte le biologique et réhabiliter la dimension culturelle de toutes nos activités.!

b) Au sens sociologique :! L’oeuvre fondatrice de Durkheim (fondateur de la sociologie - CF cours L1), théorie d’une culture régie par la conscience collective : une approche unitaire des faits de culture.! Il a une vision d’une société qui forme un tout, c’est l’individu qui se conforme à la société donc le tout domine l’individu. Les faits sociaux préexistent par rapport à l’individu et le succède. Il se confronte à des crise du lien social. Il n’y a plus de solidarité de cohésion. Le lien mécanique est perpétué par les traditions, les croyances. les sociétés avancées sont plus animées par un lien de solidarité organique => métaphore de l’organisme vivant : objectif commun d’être en forme donc pour la société de bien fonctionner, chacun des organes (coeur : école, cerveau : prison ..) collaborent pour oeuvrer au bon

Sociologie de la culture fonctionnement du corps, tout comme dans la société. On est à la fois dépendant des autres et aussi indépendant, on a besoin des autres mais on est libre chacun. Notre culture c’est notre conscience collective, elle régit nos comportements et s’impose par la contrainte. Elle est définie comme l’ensemble des croyances et des sentiments communs à la moyenne des membres d’une société.! C’est une vision très descendante de la culture, qui impose aux individus de partager ce qu’il appel un ensemble de manières de penser, de sentir, d’agir, leur permettant ainsi de former un ensemble, une collectivité, bref un tout cohérent.! Il y a une différenciation entre culture et civilisation. On envisage la civilisation pour désigner un ensemble de cultures particulières qui ont entre elles des affinités ou origines communes, par exemple civilisation américaine ou occidentale. le terme civilisation peut être utilisé pour les groupes qui présentent un stade avancé de développement en terme de progrès.! Certains auteurs comme R.Hoggart dans «# la culture du pauvre# » (1957), apporteront quelques nuances à cette définition catégorisée comme holiste (le tout domine l’individu), en précisant que nos sociétés sont aujourd’hui de plus en plus différenciées à tel point que les groupes qui les composent sont pourvus de cultures désormais spécifiques et non plus d’un modèle culturel unique.!

c) Les caractéristiques principales et fonction de la culture pour Rocher :! «# La culture est un ensemble lié de manières de penser, de sentir, d’agir, plus ou moins formalisées qui, étant apprises et partagées par une pluralité de personnes, servent, d’une manière à la fois objective et symbolique, à constituer ces personnes en une collectivité particulière et distincte# » (Rocher, G, 1968, Introduction à la sociologie générale, p.111).! élément à retenir → notion de manière de penser, d’agir, elle montre que la culture recouvre différentes dimensions. De plus, la culture ici est apprise et partagée.!

- La culture est action! : elle est d’abord vécue. «#C’est parce qu’elle se conforme à une culture donnée que l’action des personnes peut être dite action sociale ». Cette culture recouvre des dimensions formelles, codes, lois, règlement… !

- Formalisée/ informelle! : mais elles recouvrent aussi des dimensions informelles comme des ressentis, émotions, goûts..!

- Partagée/ plurielle! : elle est commune, on la retrouve chez plusieurs personnes ! - Apprentissage! : processus d’acquisition, résultat d’une éducation! - Système! : les éléments de la culture ne sont pas seulement juxtaposés les uns à coté des autres mais ils ont des liens de cohérence qui les rattachent les uns aux autres.!

Sociologie de la culture Caractère plus global que Tylor! : culture est un ensemble, «#Ensemble lié#» → il y a une cohérence dans toutes les dimensions de la vie culturelle, quelque chose qui produit du lien.! Le terme «# symbolique# » → difficile de définir culture, il y a une dimension subjective.! 2 fonctions de la culture → Adaptation de l’homme à son environnement! - La fonction sociale, essentielle, de réunion des individus à l’intérieur d’une collectivité, d’un groupe, c’est ce qu’appelait Durkheim la création de la solidarité.! - La fonction psychique, elle forme et informe la personnalité, c’est en quelque sorte un moule à cake pour couler les différentes personnalités, en disant ce qui est bien et pas bien.! «#L’éducation laisse l’empreinte d’une culture … Nous ne pouvons donc traiter l’éducation en dehors de la culture dont elle est issue, et donc l’éducation physique » (Braunstein et Pépin, 1999, La place du corps dans la culture occidentale)! Conclure à un «#concept protéiforme#» (Passeron, 2003, Le public de la culture)! → concept complexe, elle recouvre des formes très différentes et en mouvement (comme une cellule)! Passeron donne 3 caractéristiques!: ! la culture existe :! - Comme style de vie ! - à l’état de comportement déclaratif (normes sociales)! - Comme corpus d’œuvre valorisé! Chaque groupe humain se caractérise par l’articulation différencié de ces trois éléments.!

Sociologie de la culture

II - La culture comme capital" : héritage, reproduction et distinction sociale ! La sociologie - Pierre Bourdieu! : Film# : «# Le Goût des autres# »!

a) Théorie de l’habitus" : sociologie de la reproduction!

Espace social : Espace hiérarchisé, avec différentes positions déterminées dès la naissance, espace de lutte entre ces individus. Ils ne développent pas les mêmes intérêts.! Dynamique# : ici on peut voir que la culture divise!

L’habitus : «# Système de dispositions durables et transposables, structures structurées prédisposées à fonctionner comme structures structurantes, c’est à dire en tant que principes générateurs et organisateurs de pratiques et de représentations# » (Bourdieu, Le sens pratique, Paris, Ed de minuit, 1980)! Habitus = «#La classe incorporée#» (1979)#; «#le social incorporé, donc individué#» (1987).!

Sociologie de la culture Dispositions, c’est à dire des inclinaisons à percevoir, sentir, faire et penser d’une certaine manière, intériorisées et incorporées, le plus souvent de manière non consciente, par chaque individu, du fait de ses conditions objectives d’existence et de sa trajectoire sociale#».! Durables, car si ces dispositions peuvent se modifier dans le cours de nos expériences, elles sont fortement enracinées en nous et tendent de ce fait à résister au changement, marquant ainsi une certaine continuité dans la vie de la personne#».! Transposables, car des dispositions acquises dans le cours de certaines expériences (familiales par exemple) ont des effets sur d’autres expériences (pro par ex)# ; c’est un premier élément d’unité de la personne. ! Enfin système, car ces dispositions tendent à être unifiées entre elles# » (Bourdieu, Le sens pratique, 1980).!

L’espace des positions sociales :

Sociologie de la culture L’espace social se construit en 3 dimensions# :! Il «# est défini par l’exclusion mutuelle, ou la distinction, des positions qui le constituent#» (1997)! « On peut construire un espace » dont les trois dimensions fondamentales seraient définies par le volume du capital, la structure du capital et l’évolution dans le temps de ces deux propriétés#» (1979)! Un axe vertical qui matérialise le volume du capital global.! Le capital économique : c’est les ressources mais aussi un rapport au capital économique lui même (je peux avoir de l’argent, mais pas en accorder de l’importance). !

b) Le capital culturel discriminant ! Le capital culturel en trois formes# :! - « à l’état incorporé#» : dispositions durables de l’organisme. Exemple! : docilité! - «#à l’état objectivé#» : biens culturels (bibliothèques, spectacles, ect.)! - « à l’état institutionnalisé# » : sous la forme des titres, notamment scolaires / universitaires, ect..! Lecture! : les trois états du capital culturel, Actes de la Recherche en Sciences sociales, 1979.! Le capital dit social c’est en quelque sorte les ressources personnelles, les réseaux de connaissances, c’est celui qui explique les insertions. ! Le capital symbolique est la réputation, aide à s’émouvoir.!

c) La distribution des inégalités culturelles" : le processus de distinction! La transmission des différentes formes de capitaux en particulier le capital culturel, dès la plus tendre enfance, forme des distances et des différences de dotation (des dispositions différentes et des capitaux inégalement pourvus) qui sont difficiles à compenser dans la mesure où ces différences, tellement incorporées, passent pour naturelles et ne sont pas directement visibles et identifiables.! La culture nous divise, nous échappe et symbolique (octrois certains avantages aux individus)! Le cheminement de l’auteur démontre qu’il y a une inégalité d’accès aux pratiques culturelles, selon d’où je suis dans l’espace social.!

Sociologie de la culture

d) La distinction comme enjeu de légitimation ! «#La double ligne d’analyse (position, condition) produit des effets bien nets. D’une part, les groupes sociaux apparaissent en compétition dans différents espaces pour s’approprier les ressources culturelles les plus valorisées, pour légitimer (valoriser, justifier) les ressources qu’ils possèdent et que les autres n’ont pas, et pour exclure les autres groupes de l’accès aux biens culturels les plus précieux# » (Defrance.J, 1995)! Catégories supérieurs = invention et distinction = «#culture légitime#»! catégories moyennes = imitation et désir/aspiration = «#bonne volonté culturelle »! catégories inférieures = exclusion et auto-exclusion = «#résidus culturels#»! Exemple! : Usages sociaux de la photographie, « un art moyen », Bourdieu. P Exemple! : Usages de la danse, Sorignet P.E et Faure S.

e) La reproduction : les inégalités scolaire au coeur de l’idéologie du don! Il y a une hiérarchisation des pratiques culturelles , et aussi de l'accès à ces pratiques.! On constate des inégalités d’accès aux études entre les héritiers et les polarisés. L’universalisme scolaire masque idéologie du don.! « l'héritage culturel, qui diffère selon les classes sociales, est responsable de l'inégalité initiale des enfants devant l'épreuve scolaire et par là des taux inégaux de réussite#» (Bourdieu, L'école Conservatrice, 1966, RFS, p. 325)! C'est pour une grande part l'explication de ces différences, responsable de l'inégalité initiale des parcours scolaire. L'habitus familial est en concordance avec l’habitus scolaire. Leur héritage culturel les prédispose à la réussite ou à l'échec.! Transmission de la docilité, éducation différentes… L'habitus scolaire est formulé par les élites. ! «#De tous les obstacles culturels, ceux qui tiennent à la langue parlée sont sans doutes les plus graves et les plus insidieux#» (Bourdieu, L'école conservatrice, 1966, RFS, p. 329).! La fonction de reproduction de l'école s'exerce par la violence symbolique, comme opératrice d'un ordre scolaire.! Ils existent des inégalités à l'école et dans le parcours universitaire = premier constat sur lequel sont basées ces deux ouvrages.! Il y a une évaporation des classes populaires et donc à l'université il y a une sur représentation des classes privilégiés.! Voir film.

Sociologie de la culture

III ) La culture et le corps! a) Les techniques du corps (Mauss, 1933)":! Le corps était déjà omniprésent à l'époque, dans les années 30, Mauss, dit qu'il existe un lien entre les pratiques culturelles et la culture. On ne s’assoit pas, on ne marche pas, on ne se couche pas de la même manière d'une culture à l'autre. Il définit les techniques du corps.! Les techniques du corps sont des « actes traditionnels efficaces » et acquis autrement dit les « façon dont les hommes, sociétés par sociétés, d'une façon traditionnelle, savent se servir de leur corps ».! Corps : «# le premier et le plus naturel objet technique et, en même temps, moyen technique de l'homme#». ! Le corps va devenir un objet culturel : exemple dans différentes nages; grenouilles pour les européens, le serpent pour les indiens… Par le sommeil dans certaines sociétés on arrive à dormir debout.! Habitus comme «# adaptation à un but physique est poursuivie dans une série d'actes montés, et montés chez l'individu non pas simplement pour lui-même, mais par toute son éducation, par toute la société dont il fait partie, «# à la place qu'il y occupe#».#».! « Ces habitudes varient non pas seulement avec les individus et leurs imitations, elles varient surtout avec les sociétés, les éducations, les convenances et les modes, les prestiges#».!

b) Les usages sociaux du corps" :! Parler d’usages sociaux du corps c’est poser l’existence d’une correspondance globale entre, d’une part l’utilisation que les individus font de leur corps, la relation qu’ils entretiennent avec leur corps propre et même certaines propriétés somatiques (exemple : poids, taille, maladies, morbidité etc.) et d’autre part leur appartenance sociale, la place qu’ils occupent dans la division du travail, la culture du groupe auquel ils appartiennent » (Boltanski, 1985). ! Donc contester le pouvoir « exorbitant » accordé aux déterminismes biologiques. ! Pour Boltanski les techniques du corps ne sont qu'un élément d'un ensemble cohérent et transférable d'un domaine à l’autre, d'une situation à l'autre (apport à l'hygiène, la santé, l'alimentation, sport, sommeil... Il s'inscrit dans l'héritage de l'habitus de Bourdieu. !

Sociologie de la culture La diversité des pratiques corporelles entre les sociétés, et à l’intérieur d’une même société, entre les différents groupes sociaux (…) n’est ni conditionnée par des mécanismes héréditaires et fatals (que suppose l’explication par la « race » ou le patrimoine génétique) ni même « déterminée de façon directe par l’action des conditions physiques d’existence (climat, alimentation, etc.). Elle est une expression parmi d’autres de la diversité des pratiques culturelles » (Boltanski, 1985). ! Il importe ici de mettre en évidence le « principe générateur et unificateur des conduites qui est l'habitus corporel des membres d'un groupe comme système des règles profondément intériorisées qui, sans jamais être exprimées en totalité ni de façon systématique, organise implicitement le rapport des individus d'un même groupe à leur corps et dont l'application à un grand nombre de situations différentes permet la production de conduites physiques différentes et différemment adaptées à ces situations mais dont l'unité profonde réside en ce qu'elles restent toujours conformes à la culture somatique de ceux qui les réalisent » (Boltanski, 1971, 225).! Le moteur c'est l’habitus, il n'est pas seulement socialisé mais fonctionne comme un système. L'individu va agir en fonction de ce que renvoi son groupe social. Retenir l'idée d'intériorisé donc échapper à la conscience.!

c) Culture somatique : l’exemple du rapport à la santé / la médecine ! C’est dans les classes où le risque sanitaire est le plus élevé (agriculteurs, ouvriers, etc.) que la consommation médicale est la plus faible. ! -> Explications économiques insuffisantes (le taux de mortalité différente, analyse morphologique des populations ! -> Mais effet d’un rapport socialement différencié au corps : Ne disposent pas des catégories savantes; Cultive...