Chapitre 5 : le sport et la violence PDF

Title Chapitre 5 : le sport et la violence
Course Sociologie du Sport
Institution Université d'Évry-Val-d'Essonne
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Chapitre V : le sport et la violence - Sociologie du sport - L1 STAPS
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Chapitre V : le sport et la violence

Intro : La violence est un phénomène de société récurrent. Le sport connait de multiples formes de violence. Comment la sociologie du sport peut-elle nous permettre de réfléchir à cette notion ? 1. Réflexions portées sur une définition de la violence

 Les significations prêtées à la violence sont multiples : physique, psycholgique, individuelle, collective, symbolique, économique.  D.Bodin : « la violence dans son exercice et dans sa perception est socialement, spatialement et temporellement contextetualisée ». Aucun articles ne s’attardent sur la violence dans le sport, il n’y a pas de définition de violence retrouvé dans le sport. Pas de définition claire de la notion de violence Définitions :  La violence se définit au travers de sa dimension physique et psychologique : acte délibéré ou non, provoquant chez celui qui en est la victime, un trouble physique ou moral comportant des conséquences dommageaables pour sa personne ou pour ses biens (définition juridique). Exemple : va s’appliquer à tous les comportements retrouvés sur les terrains sportifs ou dans les tribunes, entre les pratiquants ou entre supporters.  La violence se définit à travers sa dimension symbolique. On appelle pouvoir de violence symbolique « tout pouvoir qui parvient à imposer des significations et à les imposer comme légitimes en dissimulant les rapports de force qui sont au foncement de sa force ». (P.Bourdieu, esquisse d’une théorie de la pratique, paris, 1972) (exemple :la culture transmise à l’école serait une culture plutôt aisé, or une partie des élèves erait en échecs car violence présente mais nn perceptibles)

Exercés par des individus à l’égarts d’autres individus, pouvant être invisible, accepté, subis, quand on parle de violence symbolique. 2. Le sport et la violence : développement de théories divergentes a. Le sport canalisateur de violence



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Thomas OPS, que l’individu est mauvais dans son aisance, par nature. Par conséquent il existerait deux formes de violences : violences illégitime ( qui hémane les individus), et l’autre violence légitime ( concerne la violence employé par l’Etat, à travers des sanctions les comportements déviant des individus). Par rapport à ses deux formes de violences , dans le sport, on dira que, sont considéré comme violents, tous les actes qui vont transgresser les règles de conduites, et qui ont causé un dommage à autrui. Cette violence illégitime dans le sport va être sanctionné par l’arbitre sur le terrain qui va exercé lui une violence légitime. Il y a donc que les arbitres qui peuvent sanctionner les cates de violence, personne ne peut se faire justice soit même. N.Ellias : « Les êtres humains ont un besoin naturel de différentes formes d’excitations dont celle de la bataille. » (la violence maîtrisée, sport et civilisation, 1998) Les joueurs peuvent adopter des comportements violents les uns envers les autres (violence physique et verbale) : on parlera de violence légitime. Le sport est une institution Les instances fédérales établissent des règles de jeu et de conduite pour éviter la violence illégitime pour favoriser le « vivre ensemble » des sportifs.

Ala différence de la société, on ne sanctionne par forcement le fait de causer pa des comportements violents des dommages physique ou morale à l’autre. Pour essayer de le développer, quand on parle de faute dans le domaine du sport, c’est exclusif par rapport à la notion de dommage. C’est-à-dire que dans le sport, on peut on commettre une faute sans créer de dommage mais aussi on peut créer un dommage important sans avoir fait de faute. Pour que l’on parle d’un acte violence illégitime, il faut qu’il y ait la conjonction de deux éléments, il faut que je n’ai pas l’intention de nuire à autrui (éléments morale), et éléments réglementaire, l’action que je réalise n’est pas interdite. Ces deux éléments vont sufir à ne pas sanctionner un joueur qui est dans les règles.

Au rugby, un joueur qui va plaquer un autre joueur, et va lui causé plusieurs dommages physiques, si le plaquage du joueur est tolérer, alors le joueur ne sera pas sanctionner. De même au foot avec un tacle réglementaire. Dans le sport il ne faut pas confondre l’acte agressif, qui est un comportement qui fait partie des normes, de l’acte violent illégitime, qui lui va transgresser les règles. Quand on aprle de violence toléré, ce n’est pas une violence illégitime.

Quels sont les actes qui ne sont pas considérés comme illégitimes ?  L’agressivité motrice (agressivité praxique) =action qui entraîne des contacts physique entre les joueurs.  Agressivité kinésique, tous les gestes ajoutés à l’action motrice ou qui vont l’appuyer. (exemple : attitude violente développé après une action réussie, par forcément sanctionné selon le degré de violence). Quels sont les actes de violence illégitime ? Deux formes de violences dans le sport. Première hypothèse, la violence dans laquelle un joueur sans avoir l’intention de nuire a son adversaires va réaliser une action interdite par les règles du jeu, ayant pour conséquence de blessé son adversaire, n’ayant pourtant pas eut l’intention de le blessé. (exemple : tacle au foot par derrière).  La violence instrumentale, violence dans laquelle un joueur sans avoir l’intention de nuire a son adversaires va réaliser une action interdite par les règles du jeu, ayant pour conséquence de blessé son adversaire, n’ayant pourtant pas eut l’intention de le blessé. (exemple : tacle au foot par derrière). On parlera de violence instrumentale lorsque elle est orienté vers la réalisation de la tâche motrice. Elle est destiné à rendre l’action motrice du destinateur plus efficace, et donc moins efficace pour le destinataire, (exemple, réalisation de faute sur l’attaquant devant les butes ayant pour but de l’empêcher d’avancer jusqu’au but pour avancer). Deuxième hypothèse : Le joueur va avoir l’intention de nuire de faire mal à l’autre, dans l’intention de lui faire. Intention est détourné de l’esprit du jeu, on parlera de violence affective.  La violence affective, lorsqu’elle n’est pas orienté vers la réalisation de la tâche, sa fonction première est de faire du tord, de manifester de l’hostilité

envers autrui et à l’égart des adversaires, mais aussi envers l’arbitre ou le public. Cela se manifeste verbalement, (grossièreté, injures, menaces), et physiquement, (bagarres, conflits physiques en dehors de l’esprit d jeu). Il est difficile pour l’arbitre de définir s’il y a eut une intention de nuire ou pas. Difficulté à distinguer la première hypothèe de la deuxième. Pour conclure, D.Baudin, on ne peut pas se passer que la violence s’exprime de manière physique ou psychologique, mais ce n’est pas les seuls. Quand on parle de violence dans le domaine du sport, il y a la violence illégitime, mis aussi une violence au sein du sport qui s’exprime non pas les gestes ou la paroles, pas uniquement par des actes individuelles, mais d’après lui il faut tenir compte d’une forme de violence, violence symbolique ou institutionnelle, et que P.Bourdieu, qualifiera de violence symbolique. Dans cette forme de violence, l’homme est victime de la société dans laquelle il évolue, ce serait donc la société qui exercerait une autre forme de violence à l’égart des individus. b. Le sport : producteur de violence Approche de Jean jacque rousseau, « l’homme est bon par nature, que se sont les institutions, l’Etat, en contraignant les libertés de chacun, vont exercer une forme de vioence symbolique sur les individus ». On peut dire qu’en partant e cette conception, la société à rendu l’homme méchant en le rendant sociable Le sport moderne étant un fait social  P.Bourdieu, « la violence symbolique c’est tout pouvoir qui parvient à imposer les significations et à les imposer comme légitimes en dissimulant les rapports de forces qui sont au fondement de sa force. Deux exemples :  Le sport de haut niveau : une machine à exclusion. On peut le considérer comme une organisationd e rendement que l’on pourrait qualifier de rendement de la machine humaine, par son objectif d’exclure et de mettre de côté certains individus, (les mauvais). Ce qui fait dire à jean Marie Brohm, « le sport nous discrimine, par son principe moteur qui est le rendement . On ne considère pas l’individus au travers de sa personnalité, mais serait considérer comme producteur de résultats ». l’aversaire n’est pas considéré comme dans le fondement come moi mais dans le but de le détruire dans sa production de résultats .Les relations dominantes dans le sport de haut niveau ont comme forme de violence, rapports hostiles.

L’institution sportive va donc faire une certaine sélection selon la production de résultats des sportifs de haut niveau.  Les représentations dominantes masculines comme forme de violence. Apparaît à travers la ségrégation sexué, notamment à travers les sportives qui n’auraient pas les critères de la féminité dans le sport, risquent une masculinisation, entraînant une stigmatisation des sportives, qui serait dans un domaine masculin. La pratiquante qui décide de ne as forcément être en accord avec les critère de la féminité risque de forte critiques, des reproches, c’est le cas lorsqu’elles pratiquent des sports de types masculin. Ces critiques sont liés aux représentations sociales dominantes, les femmes doivent pratiqués des activités physiques qui sont adaptés à leurs physiques. Plus les femmes vont cultivé un rapport de contact dans le sports, des sports mécanniques, plus elle vont avoir des rapports masculin, plus elles vont subir cette violence symbolique Conclusion du chapitre : Les normes sexuelles mises en place dans le domaine du sport vont engendrer des violences physiques, violence qui s’exprime par l’exclusion, une stigmatisation, ayant un impact sur les pratiquants visés.

Dans un premier temp, on peut dire que le sport est une lutte contre les violences physiques, verbales. Le sport apparaît comme favorisant l’éducation, l’intégration, l’insertion. Il pouvait être violence à travers la violence symbolique, le hooliganisme, on pouvait y relever un certains nombres d’aspects négatifs. Grâce aux dérives sportives, aux violences, qu’un projet européen a vu le jour qui visait à développer un espace éducatif à travers le sport, et est vue comme un moyen d’échange, de paix, (signé par 47 états), a pour but de dévelloper un modèle du sport européen en vue de favoriser plus égalitaire.

Chapitre VI : Le sport et la politique

Intro : Le sport dit être pur équitable (dans la charte européenne du sport pour tous), être tolérant, construit sur des valeurs étiques, et doit lutter contre toutes formes d’exploitations de ceux qui s’engage dans le sport. Le sport serai au dessus de toutes formes de batailles politiques, comme un monde à part qui serai perçue d’ONU sportive. Le sport serait intrinsèquement neutre et œuvrerait essentiellement pour l’amitié, la réconciliation, l’harmonie sociale, la coexistence pacifique, l’apaisement et la résolution de tous les conflits. Dans le sport on a tous le même objectif, gagner tout en respectant autrui, dans une équité. Mais un certains nombres de sociologues critique du sport vont s’opposer à cet idéal du sport. Ils vont chercher à montrer que « le sport n’est pas harmonie sociale, ou réconciliation entre les peuples, il aurait été toujours politique »( Michel Caillat). D’après lui, le sport est une vision du monde qui va véhiculer des valeurs politiques. Pour lui le sport endosse les valeurs de la société, une société libérale. Ces valeurs peuvent s’exprimer à travers le rendement, l’efficacité, la compétition, la performance, finalement le sport serait l’illustration de la société libérale. Le sport d’après lui a toujours été politique dans le sens, ou les états ont toujours utilisé le sport à des fins extra sportive, afin de montrer leurs puissances. 1. Le sport : un mode de production capitaliste Dans son ouvrage l’opium du peuple (2008), Jean-Marie Brohm, d’près lui, le sport av prendre essor avec l’avènement de la société capitaliste industrielle. Ce qui fait dire a J-M Brohm, le sport est politiquement, et idéologiquement déterminé par le mode de production capitaliste. Si l’on étudie les organisations sportives, on aperçoit qu’elle est construite de la même manière que l’organisation capitaliste, en somme que le sport serait une microsociété intégré dans la société. On retrouverait ans le sport des rapports de force de certaines catégories dominantes de la société. Pour lui, le sport serai bourgeois, au travers de la sélection etc… 2. Le sport : un instrument politique A. Le sport vu comme un moyen de pression politique

Le boycott sportif : une arme politique Depuis les 3M d’existences des JO, des contestations ont eut lieu, elle sont politiques. Exemple : JO d’Anvers 1920 = intitulé par Pierre Arnault, comme des jeux de la guerre. Durant ces JO, ce sont déroulé sans les nations vaincus (Allemagne, URSS), seuls les nations qui ont gagné la guerre peuvent s’affronter. Ce la nous permet de dire que le critère d’exclusion est uniquement de nature politique. JO de Berlin 1936 = boycott de plusieurs nations (USA, France, certains nombres de pays européens), pour dénoncer le développement de la campagne du régime nazie, et vont tenter d’organiser des contres-jeux, à Barcelone, pour s’opposer aux JO de Berlin, mais n’auront pas lieu à cause de la guerre d’Espagne. JO de Melbourne en 1956 = montre que plusieurs pays (Egypte, Irak, Liban) vont boycott ces jeux, pour protester contre la guerre de Suez. Pour dénoncer l’intervention franco-britannique à Suez, car nationalisation du canal de Suez. D’autres pays pour d’autres raisons politiques vont les boycott ces jeux, (Espagne, Suisse, Pays-Bas) vont refuser d’y participer pour ne pas rencontrer l’union soviétique qui a envahie la Hongrie. JO de Moscou 1980= boycott des USA, car l’union soviétique envahie l’Afghanistan en 79, amenant une protestation mondiale, à l’initiative des américains, avec une cinquantaine de nations qui vont boycott ces JO. En dehors l’initiative américaine, il y a 29 pays musulmans qui vont s’associer a ce boycott, car pour, c’est une attaque contre l’islam. JO de LA en 1984 = boycott de Moscou, quinzaine de pays du bloc communiste qui vont boycotté ces jeux de LA. Les motifs évoqué par l’URSS sont, pour leurs sécurité, et une réplique face au boycott des américains 4 ans plutôt. Le CIO va essayer d’éviter ce boycott. (Roumanie, Yougoslavie, Chine) qui s’allie avec l’URSS. JO de Pékin 2008 = tension dans la phase de préparation des jeux, pour plusieurs raisons. Chine devait tenir des engagements, notamment par rapport aux troubles face au Tibet, plusieurs pays appelé au boycott de la cérémonie d’ouverture. Un certains nombre d’espace sportif sont pollué. Le CIO va demandé a la chine de

faire des efforts face à l’environnement. Anguela Merkel, et Premier ministre de n’assisteront pas à l’ouverture, ainsi que le secrétaire des nations unies. En conclusion, les évènements sportifs sont utilisé comme pression politique sur certains pays. Que le boycott, montre que le sport n’est pas forcément une grande fête qui réunie tous les peuples, toutes les nations, mais qui est bel et bien un instrument au service des états. Deux exemples de combats politiques : JO de Mexico en 1968 = Assassinat de Martin Luther King ( ç avril), durant ces JO, plus grande contestation du racisme, imité par les américains, le black power. Un certains nombres d’athlètes noirs et blanc américains vont porter un message, un projet olympique des droits humains, une première forme de lutte contre le racisme. Le 16 octobre 68, Toni Smith et John Carlos, vont arriver premier et troisième au 300 m, lors de la remise des médailles, vont lever le point ganté en l’air contre la ségrégation raciale pendant l’hymne américaine. Ce geste renvoie au soutien politique des black penters, dénonçant la ségrégation raciale. Le CIO ordonne aux américains de suspendre ces deux athlètes, exclut à vie des JO, suite à la demande du CIO. JO de Munich 1972 = drame rencontré au cours de ces JO par la prise d’otages d’athlètes israéliens par des palestiniens, JO de Munich marqués par le terrorisme. 5 septembre 72 au matin, un groupe armé palestinien va entré dans le village olympique va prendre en otage 9 athlètes israéliens, pour exiger la libération de 200 prisonniers palestiniens. Parmi ces 9 athlètes, 2 d’entre eux seront exécutés, et le comité des JO va décider de suspendre les JO, afin de rentrer en discussion avec les terroristes, discussion difficile, car terroristes vont s’envoler pour le Caire, ou les otages seront tués à l’aéroport durant l’assault de la police à l’aéroport....


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