Le sport scolaire PDF

Title Le sport scolaire
Course Histoire du sport
Institution Université du Littoral-Côte-d'Opale
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Le sport scolaire Le sport scolaire est une pratique sportive offerte dans le cadre scolaire aux élèves volontaires, encadrée par les enseignants d'éducation physique et débouchant le plus souvent sur des compétitions. Sa spécificité est son double ancrage : à la fois dans le système éducatif et dans le monde sportif. Idée directrice Le sport scolaire a permis l'entrée du sport à l'école par la « voie associative » (Arnaud, 1993) Plusieurs périodes : - De la fin du XIXème siècle au début des années 1920, les prémices du sport scolaire - Au cours des années 1920 à 1930 est mis en place un cadre institutionnel visant à organiser la pratique sportive dans les établissements scolaires : la structuration est esquissée en 1923 (comités sportifs d'académie), affinée au niveau universitaire en 1931 (OSU) et généralisée au niveau scolaire en 1938 (OSSU) - De la seconde guerre mondiale jusqu'à la fin des années 1950, on assiste à une reconnaissance grandissante de l'OSSU, sur une base hygiènéo-ludique (Bordet, 1999) - Du début des années 1960 au début des années 1980, avec la création de l'ASSU, le sport scolaire est mis au service d'une ambition politique et perd sa finalité ludique. Il participe à la sportivisation de l'éducation physique en mettant en relation l'EPS scolaire et le sport extra-scolaire. - A partir des années 1980, la remise en cause dont il a été l'objet au cours de la décennie précédente (et qui est susceptible de refaire surface) incite ses défenseurs à l'éloigner du sport civil et à montrer qu'il participe aux missions de l'école.  Sa spécificité permet de comprendre son évolution, qui n'est autre que le fruit d'une balance, d'un « grand écart » entre les deux pôles (scolaire et extra-scolaire) Quelques pistes à exploiter :

De la fin du XIXème siècle au début des années 1920 - À partir de 1890, de nombreuses associations sportives scolaires sont créées. Elles adhèrent à l'USFSA (union des sociétés françaises de sport athlétique), qui sont gérées de façon autonome par les élèves. Coubertin a un objectif, de créer une Union scolaire des sports athlétiques, mais il échouera. Les premiers clubs universitaires sont institués : le Bordeaux Etudiant Club en 1903, le Paris Université Club en 1905. - En 1889, Grousset, qui s'appuie sur la Ligue Nationales de l'Education Physique nouvellement créée, organise à Paris un « Lendit ». C'est un « grand concours de force et d'adresse » regroupant 12 épreuves. Ces concours peuvent être considérées comme les prémices du sport scolaire et universitaire. Plus de 800 élèves prendront part à cette manifestation. D'autres « Lendits » sont dès lors organisés dans plusieurs régions de France. Ces Lendits provoquent dans les établissements secondaires, la naissance d'association de jeux. Il y a une concurrence qui s'installe entre la Ligue Nationale de l'Education Physique et l'USFSA - En 1891, Gréard convoque les présidents des différentes sociétés sportives afin d'harmoniser le calendrier des manifestations physiques scolaires qui se multiplient de façon arnachique et se livrent une concurrence acharnée. Il tente de fusionner la Ligue et l'Union mais cela a échoué. Les associations sportives n'existent plus au tournant du siècle, le système scolaire l'emporte et les jeux et les sports sont à proscrire.

- Après la première guerre mondiale, la leçon est contrôlée par les médecins , apparaissent un certain nombre d'actions visant à favoriser la pratique du sport chez les élèves en dehors de la leçon. Ces initiatives sont essentiellement le fait d'entreprises fédérales : le « spot des scolaires » est pris en compte par l'USFSA et par l'UGSEL (Union Générale Sportive de l'Enseignement Libre créée en 1911 par la Fédération gymnastique et sportive des patronages de France). Cette tutelle est encouragée (circulaire du 15 Avril 1918)

Les années 1920 et 1930 C'est au début des années 20 qu'est instauré dans les établissements scolaires un cadre institutionnel ayant pour but « d'accommoder la pratique sportive avec les exigences légitimes de l'enseignement » (Thibault, 1972) - En 1922 la création du « Comité d'éducation physique et sportive » par Gaston Vidal, dernier président de l'USFSA, aboutissent à la circulaire du 13 février 1923 qui officialise les associations sportives d'établissements. Un « livret individuel d'éducation physique » est créé pour chaque élève. Enfin des « comités sportifs d'Académie » sont institués. Ceux-ci, doivent un rôle de propagande, en suscitant la création d'association, et un rôle de direction et d'administration, en établissant un calendrier d'épreuves par Académie. Les associations d'établissements reçoivent des statuts-types. Ces textes marquent une première reconnaissance au niveau politique du sport à l'école. Elles sont très peu appliqués, dû au manque d'installations sportives et les enseignants refusent d'encadrer l'association car elle semble aller à l'encontre de l'éducation physique et incompatible avec les études. Le sport scolaire dépend totalement du sport civil. Les tâches qui sont imposées aux associations et aux Comités d'Académie sont déléguées, aux fédérations sportives, qui créent des commissions scolaires, des brevets scolaires, fournissent terrain, matériel, arbitre et entraîneur. La pratique reste faible et dépend des initiatives locales. Le plus souvent, elle s'arrête à des matchs qui permettent aux élèves internes de se distraire et de se défouler. Parallèlement, un certain nombre de clubs universitaires sont crées dans les années 20. Au début des années 30, la situation progresse au niveau universitaire. En 1931, le Commissariat Général des Sports de l'UNEF adopte l'appellation d'Office du Sport Universitaire (OSU). Au même moment, hommes politiques, dirigeants du sport et éducateurs, veulent organiser un sport scolaire universitaire autonome, « un sport vrai, un sport pur » promouvant l'éthique sportive reposant sur l'amateurisme, le fair-play, le courage, la discipline. Les membres de la « Société des Amis du Sport Universitaire » revendiquent la propagation de la « vraie doctrine du sport, complément de l'éducation intellectuelle » L'OSU est reconnu en tant que Fédération privée par les Fédérations sportives. Il rassemble 13 clubs universitaires en 1932. Le 10 janvier 1934 : officiellement publiées les statuts de l'OSU. Le sport scolaire reste contrôlé par les Comités sportifs d'Académie et les circulaires de 1923, qui confient l'organisation aux fédérations sportives. Que ce soit au niveau scolaire ou universitaire, le sport est finalement peu apprécié. Participant à l'élan en faveur du sport à l'école (Front populaire), une nouvelle offensive des universitaires est menée en 1937. En 1938 est créée l'OSSU « Office du Sport Scolaire et Universitaire », institution officielle, autonome, séparée du sport civil, et entre dans la stratégie générale du Front Populaire qui veut généraliser la pratique sportive scolaire. L'OSSU est une « organisation nationale où sportif, étudiants, médecins, administrateurs sont représentés, l'ensemble des acteurs participent aux décisions » Le livret est remplacé par une licence payante et obligatoire. Les catégories d'âge sont affinées et spécifiques au fonctionnement scolaire.

« L'OSSU devient l'organisme animateur du sport scolaire autonome, qui semble à l'abri des plaies des compétitions civiles grâce à des épreuves bien définies, des catégories d'âge aménagées, rencontres équilibrées » Les intentions, telles que la construction d'équipements, se heurteront aux réalités d'avant-guerre. Malgré un investissement plus important des enseignants, mieux formés et plus nombreux mais toujours bénévoles, le développement quantitatif du sport scolaire reste limité. En 1939, l'OSSU compte près de 600 associations pour 17000 adhérents, alors qu'il y a 430000 élèves dans l'enseignement secondaire. Les activités restent proches des compétitions du sport civil. Le 1er Février 1939, création par l'UFOLEP d’une commission scolaire, « l’Union Sportive de l'Enseignement Primaire » (USEP) équivalant à l'OSSU pour le second degré. Cette structure apporte sa collaboration aux autorités scolaire dans le domaine de l'EP et à organiser « au sein des établissement scolaires ce qui est athlétisme et sport, ainsi que les compétitions dans le cadre de chaque école et dans le cadre du département et de l'Académie ».

Des années 1940 à la fin des années 1950 En 1942, l'OSSU devient USSU (Union remplace Office). De 1939 à 1944 le nombre d’associations passent à le plus de 1300, ses effectifs triplent 50000. « Le challenge scolaire d'athlétisme complet » attire 8000 concurrents à sa création en 1940, en 1942 on est passé à + de 86000. L'ordonnance du 12 Octobre 1945 et l'arrêté du 5 Novembre 1945, rétablissent l'OSSU en renforçant ses dispositions : - L'OSSU reconnue d'utilité publique - Obligation de créer une association sportive dans tous les établissements de l'enseignement public (pas universitaire ni primaire) - Le jeudi après-midi doit être libéré par les chefs d'établissement pour permettre la pratique à l'AS. La même année, les IO de 1945 placent le sport scolaire dans le prolongement de l'EP et de l'initiation sportive dispensée dans le cadre de la demi-journée de plein air. Le décret du 25 Mai 1950 intègre un forfait de 3H dans l'emploi du temps des enseignants d'EP pour animer l'AS de leur établissement. L'ancrage scolaire du sport scolaire et sa reconnaissance progresse sensiblement. En 1948, l'OSSU est admise au Conseil National des Sports, cela marque sa reconnaissance par les instances sportives nationales. Pourquoi cette reconnaissance ? Depuis ses origines, cet horaire facultatif permet de faire rentrer le sport dans l'école afin de favoriser sa pratique chez les jeunes (le sport progresse dans la société et tend à devenir une pratique culturelle reconnue) tout en gommant ses perversions (idée d'un sport pur, vrai) L'OSSU offre une plus grande prégnance sur les AS que sur la leçon, le sport pénètre l'école par l'AS « Cette introduction fait consensus entre les différents courants » Ceci permet de faire profiter les pratiquants de ses bienfaits : dans la logique du Brevet Sportif Populaire et de la demi-journée de plein air initiés sous le Front Populaire, le sport scolaire est considéré comme une pratique à la fois récréative et hygiénique. Jeu compétitif épuré, dégagé des dérives du sport civil et pouvant donc être placé au service de l'hygiène, son fondement est hygiénoludique. C'est dans cet esprit que sont mis en place un contrôle médico-sportif, des catégories d'âges, des formes de compétitions, pour but de protéger les élèves des excès du sport de compétition. Le sport scolaire rentre donc à l'école par l'AS : il s'introduit plus vite dans l'école qu'en EP Les effectifs du sport scolaire progressent de manière importante entre 1945 et 1949 pour atteindre plus de 180000 licenciés (228000 en 1960). Ces progrès peuvent être mis en relation avec la lente implantation du sport dans la société ainsi qu'à l'évolution des motivations des enseignants par rapport au sport.

Finalement, le développement du sport scolaire participe à la sportivisation de l'EP. Malgré tout, le sport à l'AS est joué (compétitions : les IO de 59 parlent de l'organisation des matchs amicaux) et donc très différent de l'initiation sportive « analytique » pendant la leçon. Durant toute cette période, une seule personne est à la tête de l'OSSU : Jacques Flouret. En 1950, sa conception du sport scolaire est remise en question par Maurice Herzog. On entre alors dans une nouvelle période pour le sport scolaire.

Les années 1960 et 1970 Conflit Herzog/Flouret : l'OSSU ne répond pas aux objectifs que se fixe Herzog à son arrivée à la tête du Haut-Commissariat à la Jeunesse et aux Sports. Selon lui, le sport scolaire doit devenir un maillon de la théorie pyramidale de l'acquisition d'une élite. Il doit s'intégrer à la politique sportive nationale. Le sport scolaire ne peut donc pas se contenter d'être récréatif, il doit être mis au service de la formation sportive. Flouret est démis de ses fonctions en 1960 Avril 1961 : est publié le rapport de commission de réforme du sport scolaire au niveau national et académique. Circulaire du 21 Août 1962 : indique que la compétition sportive scolaire est pleinement intégrée à l'organisation des activités de sport dans les établissements scolaires. Le décret du 7 Mars 1963 : création l'ASSU (Association Sportive Scolaire et Universitaire), dont les statuts renforcent les liens avec le sport civil. L'ASSU est conçue comme le maillon entre l'école et les clubs civils. Elle joue un rôle important dans l'acquisition d'une élite et la détection des espoirs , tout comme dans la formation de futurs dirigeants. Placée entre l'initiation et l'élite avec comme référence la compétition, sa vision est élitiste. Cette politique est poursuivie durant toutes les années 1960. IO de 67 indiquent que le sport scolaire vise à « former des sportifs et des dirigeants ». L'ASSU participe à l'établissement d'une culture sportive. Les effectifs progressent (400000 fin année 1960), ceci est expliqué par l'explosion scolaire, l'expansion du sport dans la société, l'augmentation du nombre d'enseignants d'EPS (recrutement élevé dans les années 1960) et les progrès en matière d'équipements sportifs. En 1966, sont mis en place dans certains établissements des expériences dites « d'animation sportive » faites de tournois inter-classes et inter-établissements venant s'ajouter aux championnats traditionnels. Ces expériences, sont officialisées en 1971 sous la formule « masse ». Cette innovation ne fait pas l'unanimité mais les effectifs connaissent une très forte hausse (420 000 licenciés en 1969 contre 650 000 en 1971 et environ 800 000 en 1980). Même si les effectifs progressent, le sport scolaire est mis à mal au cours des années 1970, parallèlement à la situation de crise que vit la société et l'EPS avec la diminution du budget. A partir du 1973, plusieurs textes suppriment l'obligation faite aux enseignants (depuis 1950) d'encadrer l'AS. L'enseignant a le choix entre 3 options : - un forfait AS de 3h compris dans leur service - pas d'animation sportive - 3H rémunérés en vacations (heures supplémentaires) En 1975, la loi Mazeaud sépare le sport scolaire et universitaire : création de l'UNSS et de la FNSU. En 1978, avec le plan Soisson, le forfait AS est réduit à 2H, pour but de dissuader les enseignants d'EPS de conserver l'animation sportive dans leur service, les mesures de 1973 s'étant soldées sur un échec (résistance des enseignants pour l'AS dans leur service) En 1980, une circulaire précise que ces deux heures correspondent à 4H de présence effective, avec au moins 30 licenciés pendant 26 semaines.

Au regard de ces mesures, la formule masse peut-être considérée comme étant en rupture avec la logique des années 1960 : avec la massification de ses effectifs, le spot scolaire diminue son caractère « compétition/club ». « La masse des adhérents ne nourrit plus l'élite du sport scolaire » (Gomet, Grall, Renaud, 2016) La pratique sportive à l'AS a pour but « de se différencier des pratiques compétitives traditionnelles sélectives, d'établir des relations plus étroites avec l'EP et de motiver le plus d'élèves par une gestion locale et adaptée ». Ainsi il est possible de considérer que cette nouvelle formule constitue une réponse aux attaques portées à l'ASSU, attaques qui s'appuient sur l'idée que les associations sportives scolaires peuvent être supprimées puisqu'elles ne diffèrent que très peu du sport civil. Avec la nouvelle formule, l'ASSU n'est plus une copie du sport civil, puisqu'elle offre des formes de compétitions et de pratiques innovantes. Sa logique se veut spécifique : s'adresser à tous, comme l'école tout entière, ce qui nécessite de se rapprocher des missions du système scolaire.

A parti du début des années 1980 Avec les années 1980, le rapprochement du sport scolaire des missions de l'école devient explicite. En 1981, la 3ème heure rétablie dans le forfait AS. Dans les années suivantes, la participation de l'AS aux missions de l'école est maintes fois affirmée, notamment dans la loi sur le sport de 1984 (Avice) puis dans tous les Textes Officiels (IO, Programmes). L'EPS et le sport scolaire sont mis au service de l'école, sont intégrés à la politique de rénovation du système scolaire. Etant tous deux réintégrés au ministère de l'éducation nationales, ils participent directement aux missions de l'école. Le sport scolaire est investi d'une double mission : éducative (liée à l'école) et culturelle et sociale (liée à la culture sportive mais dans un cadre éducatif). En 1986, l'UNSS permet l'apprentissage de la vie associative. Elle incite les élèves à participer aux différentes tâches (arbitres, juges, officiels…) A partir des années 1990, l'UNSS renforce la formation des jeunes officiels et participe à l'éducation à la citoyenneté. Une journée nationale du sport scolaire est mise en place en 2010 Malgré tout, si le sport scolaire permet d'atteindre les mêmes objectifs que l'EPS, quelle est sa spécificité ? Quelle est ton utilité ? Quel est l'intérêt de son financement ? Le sport scolaire peut-il se permettre de n'être que la pâle copie de l'EPS ? Quelle peut être la contribution originale de l'UNSS ? Elle doit permettre la participation réelle des élèves dans le fonctionnement des AS (ce qui n'est le cas ni dans les clubs, ni en EPS) et donc « encourager l'engagement associatif citoyen » Elle doit ouvrir à d'autres APS que l'EPS. Dans la réalité, ceci est loin d'être le cas : Les élèves participent peu au fonctionnement des AS. Ils viennent jouer, s'entraîner, faire de la compétition (matchs). On compte très peu d'arbitres dans les formations (2% par rapport au nombre de licenciés). Le sport scolaire n'est souvent encore que « du sport à l'école » (Bordet 1999). La tradition sportive reste très forte. La grande majorité des APS proposées dans le sport scolaire sont les mêmes qu'en EPS, même si la diversité des APS proposées à l'AS est plus grande qu'en EPS dans certain établissements (l'essor du badminton et progrès pour les activités artistiques).

En outre : Le sport scolaire est le moins présent la où il pourrait jouer le mieux son rôle : les lycées professionnels (apprentissage de la démocratie, de la vie sociale, de la citoyenneté).

Plus de 50 % des élèves licenciés à l'UNSS sont licenciés en club. Quelle est donc son utilité ? Quelle place doit prendre la compétition ? Point positif, la participation des filles (40 %) + que dans les clubs. La formation initiale à l'animation sportive à l'AS est quasi-inexistante. L'investissement et la motivation d'un certain nombre d'enseignants pour l'UNSS ne sont pas totale. Malgré le nombre de licenciés qui augmente (871 000 licenciés en 2000 et 1 million en 2008), la « rentabilité » du sport scolaire est sujette à discussion. - En 2000-2001 apparaît une polémique autour du rapport sur le sport scolaire par l'Inspecteur Général Leblanc. Ce rapport est dénoncé par le SNEP, qui y voit une attaque de l'UNSS. Ce syndicat milite pour la pleine reconnaissance scolaire du sport scolaire, envisagé comme le prolongement de l'EPS obligatoire offert aux élèves volontaires : Le sport scolaire est « un élément indiscutable du service public d'éducation » - Les décrets et arrêtés du 12 Fevrier 2007, remettent en cause le forfait AS des enseignants - La circulaire du 18 Août 2010 « centrée sur le développement du sport scolaire », précise qu'il est « une des composantes de la politique de notre pays, au service de la réussite, de la responsabilisation, de la santé et du bien être des élèves » - Celle du 29 Septembre 2011 confirme que « les nombreuses sections sportives scolaires contribuent à développer la pratique sportive des élèves à l'école » et que le « sport est reconnu comme moyen d'enrichissement physique, moral, culturel. Il contribue à la formation d'un citoyen cultivé, lucide, autonome et socialement éduqué » - En 2012, remise en cause du sport scolaire par la Cour des Comptes - Décret du 7 mai 2014, « relatif à la participation des enseignants d'EPS aux activités sportives scolaires volontaires des élèves », réaffirme que leur service hebdomadaire comprend 3H consacrées au sport scolaire

Conclu...


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