L’EP scolaire face au sport de 1945 à nos jours PDF

Title L’EP scolaire face au sport de 1945 à nos jours
Course Préparation au CAPEPS
Institution Université de Montpellier
Pages 13
File Size 222.1 KB
File Type PDF
Total Downloads 87
Total Views 140

Summary

L’EP scolaire face au sport de 1945 à nos jours...


Description

CAPEPS- Ecrit1

L’EP scolaire face au sport de 1945 à nos jours

a)

Introduction

1) Problèmes du choix des pratiques enseignées en EPS Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, 3 périodes peuvent être distingué : - 1er temps (1945 à 1960) = le sport qui progresse dans une société en pleine évolution, s’impose comme l’élément culturel qu’il faut transmettre en EP. Des acteurs, toujours plus nombreux et plus influents, s’attachent à l’introduire dans les contenus de l’EP. Malgré des résistances, l’EP qui veut s’appuyer sur la culture qui l’entoure, devient sportive. Le sport, dont les vertus éducatives tendent à être unanimement reconnues, prend le statut de contenu légitime de cette discipline. - 2ème temps (fin des années 60 à fin des années 70) = les partisans d’une EPS, qui sont les plus nombreux, prennent très peu en compte la diversification en cours des pratiques sportives. Dans un contexte politique difficile, leur principal souci est de mettre en forme scolaire le sport fédéral de type compétitif, qui constitue leur unique référence. Dans la mouvance de mai 68, un certain nombre d’acteurs prône l’utilisation de nouvelles pratiques dites comme alternatives à cette référence exclusive à la compétition. On va proposer d’autres activités qui sont autre que la compétition, ce sont des pratiques par défaut. - 3ème temps (début des années 80) = l’analyse des textes officiels qui apparaissent montre une volonté institutionnelle forte de s’appuyer sur le sport dans toute sa diversité. Cependant la lecture qui est faite de la complexification du champ sportif reste partial et discriminante. La question de la représentativité culturelle de l’EPS reste dés lors entière au tout début du XXIè siècle.

1) Les années de 1945 à 1967 1) Les progrès du sport dans la société a) De 1945 au milieu des années 50 1

Le succès du spectacle sportif Contexte d’après-guerre difficile. Tous les secteurs sont touchés. Le sport est alors un échappatoire. Ce qui diffère n’est pas la pratique mais le spectacle sportif. La presse sportive connaît donc un déploiement, les champions deviennent des héros national. Le spectacle devient le plus important à travers le football, le cyclisme, la boxe (marcel CERDANT), etc…

La structuration du monde sportif Par contre les français pratiquent toujours peu, ce qui est normal car les hommes en âge de faire du sport connaissent des conditions difficiles (sous-alimentation, blessure, etc…). L’heure est à la reconstruction et à cette époque, la France est sous doté d’équipements sportifs. Malgré tout, à la suite de vichy, structuration du sport : - DDJS - Notion de « délégation de pouvoir » en 1945 puis « d’habilitation » en 1946. - Contrôle médical obligatoire pour la compétition sportive. - Création d’offices municipaux des sports.

b) Du milieu des années 50 à fin des années 60

La transformation de la société et explosion des loisirs, moment d’épanouissement et de formation de la personne Les 30 glorieuses : - phase de croissance et de prospérité - augmentation du pouvoir d’achat et élévation du niveau de vie - forte progression de la consommation - désir d’accroître la qualité de la vie : appareils électroménagers, … Bouleversement des structures socioprofessionnelles : - diminution du secteur primaire et fort augmentation du tertiaire - augmentation de la population urbaine - émergence d’une classe moyenne urbaine

2

Augmentation du temps libre : - diminution des horaires de travail hebdomadaire - prolongation des congés annuels Le loisir augmente quantitativement mais aussi qualitativement. Avènement d’une « civilisation des loisirs » (DUMAZEDIER, 1962) : délassement, divertissement, développement.

Vers un sport, véritable phénomène culturel Nouveau regard porté au corps. Arrivée à l’adolescence des enfants du baby-boom. A partir de cette époque, on fait attention à son corps. Les jeunes qui ont une contre culture se voient copié par les vieux : il faut faire jeune. Les adultes vont donc aussi s’approprier les pratiques sportives. Massification du sport dans la société. 1955 : 2264120 licences sportives 1968 : 4721207 (le double) On passe de 15% de femmes parmi les licenciés dans les années 50 à 22% la décennie suivante.

Une politique sportive effective HERZOG à la tête du haut-commissariat à la Jeunesse et au Sports. Bouleversement de l’organisation sportive française : véritable politique de nationalisation du sport. - diplôme de conseiller sportif, d’éducateur sportif et Brevet d’Etat - création des DTN, CTR et CTD - sport de haut niveau soutenu (préparation olympique, centre de Font-Romeu, INSEP) - budget de Jeunesse et Sport en hausse (+30%) - construction d’équipements sportifs Succès du haut niveau, salués comme le signe de la rénovation de la France, le symbole de son rajeunissement et de sa fierté retrouvé (politique de la grandeur de DeGAULLE). Résonance de ses exploits avec la hausse du nombre de téléviseurs dans les ménages (23% des ménages en 62, 78% en 73).

3

Tous coïncident dans les années 60 pour que le sport soient élevé. L’EP peut-il rester insensible à ce phénomène ? le sport peut-il prétendre à une légitimité lui permettant de devenir un contenu privilégié de cette discipline ?

2) Pour un sport éducatif a) Le sport, « moyen de culture » Réflexion sur sa portée culturelle et éducative : -1946 = Congrès national du sport et du plein air - création d’une « Commission National de culture Sportive » coordonnée par J.DUMAZEDIER. Idée directrice : étudier et diffuser la « culture sportive » Donne lieu à 2 ouvrages : « regard neufs sur le sport. Moyen de culture » ‘1950) et « Regard neuf sur les IO » (1952).

b) Le sport, moyen d’éducation Réflexion au sein de l’Ecole normale Supérieur d’Education Physique (l’ENSEP) et de l’Institut National des Sports (INS) sur les bienfaits de l’éducation sportive. Enjeu : démontrer la valeur éducative du sport. Pour M.BAQUET, un terrain de sport est une mini société, donc on peut former des citoyens par le terrain de sport. Viennent contrecarrer l’argumentation, développé par G.HEBERT et plus encore par la LFEP (P.SEURIN), qui s’appuie sur les dérives du sport. Le sport serait dangereux à cause de l’excès de compétition alors que l’EP doit être la maitrise dosé des exercices. Le sport n’arriverai que dans un second temps. c) Pour une éducation physique sportive A partir de la fin des années 50, multiplication des discours démontrant la nécessité d’utiliser le sport comme moyen privilégié de l’EP pour les jeunes. Pour beaucoup, l’EP doit devenir sportive. - action de M.HERZOG, haut commissaire à la Jeunesse et aux Sports - essai de doctrine du sport (1965)

4

- constitution d’un véritable « courant sportif » en EP. Vers une doctrine du « sport éducatif ». - influence de R.MERAND (didactisation des APS) - réflexion marxiste sur le sport (SNEP, FSGT, PCF) Circ.1962 : demi-journée de sport et « initiation sportive, entraînement, compétition ». IO de 1967 : avènement du sport. L’éducation d’un individu ne peut se concevoir qu’en l’immergeant dans la société. Il faut confronter l’individu aux pratiques sociales que sont les APS.

3) L’EP devient EP et Sportive a) L’institutionnalisation de l’EP et Sportive Année 1950 : - en décembre 1945, publication d’un projet de « doctrine d’EP » (BAQUET, INS), traitement pédagogique du sport. - revues : notes techniques et pédagogique de l’ENEPS (puis de l’ENSEP), (HERACLES et INS) : proposition pédagogique. Jeunes enseignant favorable au sport (formés sous Vichy, impliqués dans le monde sportif). Engouement auprès des élèves. Année 1960 : Expérimentation d’EPS :- lycée Corbeil-Essonnes à partir de 1963. - Collège de Calais à partir de 1965 (J.deRETTE) , « République des sports » - Classes à « mi-temps pédagogique et sportif » ou à « horaire aménagés ».

b) Un regard global sur le sport Positionnement pour ou contre l’utilisation du sport. Sport envisagé de manière globale, indifférenciée : entendu comme l’ensemble des sports, et plus précisément l’ensemble des sports fédérés et compétitifs. Très peu de traitement particulier pour l’EP. En EPS et dans tous les clubs, l’apprentissage est envisagé de la même manière.

5

2) Des années 1968 à 1980 1) L’émergence de nouvelles pratiques physiques et sportives dans la société a) Vers une diversification du sport Le statut accordé au loisir et aux valeurs qui lui sont associées continue de progresser. 1968 : 4721207 licences sportives délivrées 1980 : 9501176. Dans le même temps, transformation de « l’espace des sports ». La pratique sportive hors des fédérations institutionnalisés tend à prendre une importance non négligeable. Forte diversification : - des pratiques sportives et modalités de pratique - des lieux de pratique - des modes d’organisation de la pratique - des publics et motifs de la pratique « L’idéologie du loisir » tend à suppléer « l’idéologie fédéral ». Peut être mis en relation avec une évolution plus générale des mentalités : - dans la mouvance des événements de mai 1968, remise en cause des idéaux dominants. Critique de la société de consommation. Revendication d’une plus grande liberté individuelle. Baisse des croyances politiques, grandes idéologies et causes collectives. - repli de chacun sur soi-même 2 tendances peuvent être dégagées : - engouement chez les hommes essentiellement pour le sport de pleine nature. - attrait des femmes pour les exercices physiques d’entretien.

b) L’engouement en faveur des sports de pleine nature

6

Développement dans les années 70 d’un ensemble d’activités prenant pour cadre d’exercice la pleine nature. Emergence d’un « esprit plein air (…) figure emblématique du sport non compétitif ». - refus des couloirs et balisage codifiés : volonté de déterritorialisation - confrontation à un milieu aléatoire, incertain, imprévu - investissement informationnel du corps à partir du pilotage d’un engin permettant d’exploiter les sources d’énergie extérieures. - accent mis sur les émotions et l’esthétisation du mouvement

c) La montée des exercices physiques d’entretien Chez les femmes, intérêt pour les exercices physiques visant directement l’entretien et la beauté du corps. Nouveau regard porté au corps. Il faut « vivre son corps » (Y.BERGE, 1975) La libération du corps, objet de revendication privilégié après 68, se transforme en véritable contrainte : - recherche d’une silhouette juvénile - désir de minceur (incarné dans les magazines et pub pour les stars et les mannequins). Evolution de l’alimentation (plus légère) et de la gymnastique d’entretien : - forte augmentation du nombre de licencié de la FFEPGV (FF Education Physique et de Gymnastique Volontaire) de 40000 en 1970 à 240000 en 1980 (94% de femmes) - augmentation des effectifs de la FFEPMM (FF d’Entraînement Physique dans le Monde Moderne) - les programmes beauté et santé des magazines féminins utilisent progressivement des activités physiques - le nombre d’adeptes de la course à pied croît considérablement (les hommes, essentiellement cadres supérieurs).

2) Education sportive ou corporelle en EPS ? Les transformations du système éducatif ont-elles une incidence sur les réflexions qui animent l’EPS ?

7

a) La didactique du sport compétitif Année 1970 : crise économique (choc pétrolier) Problèmes budgétaires : diminution du budget de Jeunesse et Sport. Développement en dehors de l’école d’une pratique optionnelle de l’EPS, création des CAS, etc… EP en danger. Mesures vécues par les enseignants d’EPS : - grèves et manifestation - un certain nombre d’enseignants tentent de prouver l’utilité de l’EPS au sein du système scolaire. Réflexion : quelle est la spécificité de l’EPS ? Finalités et contenus ? Comment doit-elle se positionner face à la culture sportive ? Intense activité du courant sportif (R.MERAND). Il veut montrer que l’EP scolaire n’a rien à voir avec le sport fédéral. Ils s’appuient sur PIAGET-WALLON et sport de l’enfance. Aucune analyse globale du système des sports et de son évolution n’est fait. Important : la complémentarité des différentes APS permet une formation complète de l’élève.

b) Critique de l’utilisation de la compétition et ouverture des pratiques enseignées Recherche d’une éducation corporelle complète en élargissant la gamme des activités proposées. Utilisation de pratiques non compétitives et qui sont source d’un plaisir qui n’est pas lié à « la gagne » et domination de l’autre. Pratiques d’expression corporelle : conçues comme des activités alternatives à un enseignement sportif, n’imposant pas une technique à l’individu, rigide, stéréotypée, efficiente mais privilégiant l’expression, l’imagination, l’improvisation, la liberté, la créativité. Dans la mouvance de J.M.BROHM (critique radical du sport), proposition de mise en œuvre d’une autre EP non sportive. Utilisation du yoga, bioénergie, expression corporelle, pleine nature. Ces nouvelles pratiques peuvent permettre d’échapper à la domination sportive, dans sa version compétitive.

8

Pour PARLEBAS, l’EPS doit s’ouvrir aux activités dans laquelle, l’incertitude est forte et qui sollicite en premier lieu les processus perceptif et décisionnel du pratiquant. Valorisation des jeux sportifs traditionnels et des activités de pleine nature.

3) L’hégémonie des sports de base dans les cours d’EPS a) L’EPS face aux « nouvelles pratiques » Courant sportif le plus influent. Majorité des enseignants en faveur de l’utilisation du sport compétitif. Evolution du système sportif est très peu pris en compte. Les activités de pleine nature. IO de 1967 mais malgré tout très peu enseignées. Quand elle sont proposée’ c’est à la porte de la leçon : stage plein air, sortie organisée dans le cadre de l’AS. Elles ne font pas l’objet d’évaluation et de notation. Les gymnastiques d’entretiens : IO de 1967 mais oubliés sur le terrain (sauf échauffement et retour au calme + séance de musculation et de préparation physique généralisée).

b) L’hégémonie des sports de base L’athlétisme et la gymnastique (+ natation et sports collectifs) : activités les plus pratiqués. Enquête en 1978 à Besançon : athlétisme (29%), gymnastique (24%), sport collectif (34%), autres activités (-10%), plein air : 1,81%. A cet période, les sports de base reste des piliers de l’EPS. Le sport de base préparerait aux autres sports.

3) De 1981 à nos jours 1) La complexification du champ sportif Début des années 1980, très importante complexification. a) Le développement du sport spectacle Sport de haut niveau : spectacle pratiqué et géré par des professionnels.

9

Place croissante de la télévision et des sponsors. Sport : produit industriel très porteur. Problèmes d’éthiques :argent, corruption, violence, dopage. Remise en cause des valeurs humanistes du sport.

b) Diversification des loisirs sportifs Stagnation des effectifs de la fédération 1980 : 9501176 licences délivrées. 1989 : 12670972. 2000 : 14385009 Le taux de féminisation des fédérations n’évolue plus (30% en 1999). Les deux tendances des années 1970 connaissent un essor important, remettant en cause l’hégémonie des fédérations sportives : - développement des pratiques alternatives, transgressives, ludiques, dont les adeptes se démarquent de la sociabilité traditionnelle (club, licence) : pratique de pleine nature et de rue. - essor des pratiques d’entretien du corps, qui correspondent à un souci grandissant de prendre soin de son corps : gymnastique et culture physique.

L’essor des pratiques ludiques non institutionnalisés Pratique de pleine nature et rêve d’aventure. Développement VTT, deltaplane, funboard ou snowboard. Mélange de plaisir, vertige et risque : connotation d’aventure. Création d’épreuves inédites : - Paris Dakar en 1978 - raid d’endurance à pied, ski, moto, voile. - épreuve associant plusieurs disciplines. Multiplication de défis individuelles toujours plus insensés :

10

- traversée des mers à la nage, planche à voile, rame. - conquêtes des pôles à pied. Nouvelles formes de compétition vis-à-vis de soi même. Expérience du risque et de l’extrême : jeu symbolique avec la mort, besoin de s’éprouver. Développement d’un marché de l’aventure : stage, descente, expédition. 

Sport de rue et sportivisation de la cité

Année 1990 : le sport conquiert les espaces urbains. Caractéristiques : - auto organisées - espace non normalisé, non standardisé : recherche de nouvelles territorialités sportives - revendication de liberté et de non contrainte - peu homogène et peu structuré - convivialité - principe directeur : plaisir du jeu - prouesse individuelle, virtuosité et esthétique du geste valorisé



Une nouvelle éthique sportive ?

Dans ces activités : refus de compétition institué, des structures fédératrices, des lieux et équipements spécialisés et standardisés, à accès réglementé et spécifique au sport. Important : convivialité et plaisir, auto organisation, sensations fortes, excitation et partages des émotions en petits groupes.

L’engouement pour les pratiques physique d’entretien du corps Il faut être en forme. Explosion des gymnastiques d’entretien et de forme. Phénomène aérobic, gymnase club. - enquête de l’INSEP sur les pratiques sportives des français. « Culture physique » au premier rang du classement des activités physiques et sportives par effectifs de pratiquants (26,3%), ¼ des femmes.

11

- 1994 : plus d’un français sur 5 ont entre 18 et 64 ans (22%) - 2000 : ¼ des français (25%) - 2002 : 28% La réponse à la question « qu’est-ce que le sport ? » ou « faites-vous du sport ? » devient de plus en plus délicate. Complexification du champ sportif accrue par une tendance actuelle toujours plus grande à la « multi pratique », au panachage et au « zapping ».

2) L’EPS face aux transformations du champ sportif a) EPS et complexification du loisir sportif Une réelle volonté institutionnelle d’intégration A partir du début des années 1980 : - arrêté de 1983 relatif à l’évaluation de l’EPS au BAC - IO de 1985 et 1986 pour collège et lycée Ces textes ouvrent la panelle d’activités qu’on peut enseigner à l’EPS. - nouvelles épreuves d’EPS au BAC (1993) - programmes (à partir de 1996)

Une volonté qui reste discriminante Certaines des pratiques nouvelles sont très valorisés et d’autres quasi-ignorées : - activité de pleine nature : +++ - pratique d’entretien : ++ - sport de rue : + voire – Activité de pleine nature -organisation de stage plein air, dans cadre de Projet d’Action Educative, place croissante par les APPN en UNSS. - nombreuse réflexion menée à leur sujet. Pratique d’entretien

12

- 1 seule fois référence dans les IO de 85-86. Rien dans la classification des APS de 1996. en 6ème on l’appelle « intervention pédagogique particulière ». - 1998 : 9 groupes d’APSA, le 9ème est dénommé « activités physiques d’entretien et développement de la personne ». - programme lycée : compétence culturelle visant « l’entretien de soi ». Sport de rue En débat. Emergence des premiers travaux sur les sports de rue en EPS.

Des pratiques de terrain qui n’évolue que lentement Constat unanime de toute les enquêtes : l’EPS se démarque de l’évolution récente des activités physiques. Suprématie écrasante des APS traditionnelles (+ quelques activités comme le badminton). La légitimité culturelle ne guide pas vraiment essentiellement l’évolution de l’EPS, mais plutôt la légitimité scolaire. L’EPS essaye toujours de se faire sa place.

13...


Similar Free PDFs