C2 - Epidémiologie - Notes de cours 2 PDF

Title C2 - Epidémiologie - Notes de cours 2
Author Grant Talbot
Course Santé publique
Institution Université Le Havre Normandie
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C2 - Epidémiologie...


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UE 7, SSH

COURS

EPIDÉMIOLOGIE DE LA FRANCE C’est une science qui étudie les problèmes de santé dans les populations. C’est une discipline qui est distincte de la démographie mais qui en reste assez proche. Elle ne fait pas que décrire la population, elle a également d’autres méthodes. On distingue 3 types d’épidémiologie :  Epidémiologie analytique ou étiologique : recherche de compréhension et de causes : recherche de facteurs de risques ou déterminants  intérêt pour la prévention  Epidémiologie d’évaluation : juger l’efficacité des actions mises en œuvre pour prévenir ou corriger des problèmes de santé  Epidémiologie descriptive : observe l’état de santé de la population : fréquence, distribution au sein des populations, dans le temps et sur les territoires Cependant la santé n’est pas perçut de la même façon selon les personnes, les points de vue sont multiples :  Médecins : présence ou non de maladies (morbidité qui est l’étude de la maladie et qui implique un diagnostic, souvent nécessaire pour le traitement)  Autres soignants : difficultés induites par les maladies dans les gestes de la vie quotidienne, incapacités  Personnes elles-mêmes : santé = bien être selon la définition de l’OMS en 1946. La conception de ce qu’est la santé est variable suivant les individus. Dimensions multiples (OMS) :  Il y a la composante physique = santé du corps,  mentale = de l’esprit : pas seulement absence de troubles mentaux mais aussi bien être mental, individuel et relationnel,  sociale = capacité à établir avec l’entourage des relations satisfaisantes.  La santé est donc compliquée à définir car même objet perçut différemment selon tel ou tel personne. La santé est dynamique, qui est la capacité d’adaptation d’un individu à son environnement qui change. La difficulté de l’adaptation est le premier signe que quelque chose ne va pas bien dans la santé. Elle est plus difficile pour les personnes malades physiquement ou mentalement. Un schéma résume la façon dont les acteurs de santés pensent les problèmes de santé : Histoire « naturelle » 

Les facteurs de risques : illustre une idée forte épidémiologique, que les problèmes de santé n’apparaissent pas au hasard. Chez certaines personnes on retrouve des caractéristiques qui favorisent ou protège la survenue d’un problème de santé comme l’âge, le sexe, la génétique ou encore les comportements, le milieu social, l’environnement. On va décrire ce qui peut expliquer la survenu du problème de santé. L’enjeu est la prévention.



La morbidité : ce qui affecte la population, les maladies retrouvées. Ces problèmes de santé peuvent trouver une solution efficace rapidement et la personne guérit mais il reste la présence de facteurs qui peuvent expliquer le même problème ou d’autres problèmes de santé. Mais ces problèmes de santé peuvent être présent pour un moment, on parle alors d’une gamme de maladie qui joue un rôle très important dans la population des pays développés notamment de la France, ce sont les maladies chroniques.



Le retentissement : (=conséquence des problèmes de santé sur la vie quotidienne) étude de l’altération de la vie quotidienne comme les déficiences ou les incapacités : le « handicap »



La mortalité : étude des maladies dont meurent les gens et le nombre qui en décèdent. L’épidémiologiste s’intéresse à la mort et à ses causes alors que le démographe ne s’intéresse qu’a la mort.

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LES FACTEURS DE RISQUES

I. 

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COURS

Définition : Caractéristiques des personnes (ou des groupes) qui influencent la survenue chez elles de problèmes de santé :  Effets défavorables (majore le risque)  Effets favorables (réduit le risque, effet « protecteur ») Intérêt : suppression des facteurs de risques pour prévention, ou ciblage des actions chez les personnes avec FDR Synonyme de facteurs de risques : déterminants de la santé Méthodes :  Mise en évidence par l’épidémiologie analytique : enquêtes de cohortes ou cas – témoins, mesurent l’association entre facteurs de risques et maladie  Relation de causalité souvent incertaine, difficile à démontrer Spécificité :  Chaque problème de santé à ses propres facteurs et peut avoir plusieurs facteurs de risques  Un facteur de risque peut influencer plusieurs problèmes de santé  Exemple : tabac  maladies cardio-vasculaires, cancers bronchiques, cancers vessie…

On distingue 4 types de facteurs de risques : 

Les facteurs intrinsèques : l’âge (facteurs très puissant pour expliquer les problèmes de santé), le sexe. La fréquence d’une maladie n’est pas la même chez les hommes et les femmes. On retrouve également le facteur génétique qui est non négligeable mais difficile d’accès. Ils sont non modifiables avec une prévention limitée et des problèmes éthiques.



Les comportements individuels : l’alimentation, l’activité physique, la consommation de tabac, d’alcool  mode de vie. Ces comportements ne sont pas intouchables, ils peuvent changer. Ils ouvrent une possibilité de prévention intéressante.



Les facteurs sociaux : ce sont des facteurs collectifs. Ils vont influencer les comportements individuels. Cela concerne l’éducation, le revenu, la classe socioprofessionnelle, la précarité, le logement, l’activité professionnelle qui jouent un rôle important dans la construction de problèmes de santé.



Environnement : concerne le milieu de vie : physique comme le bruit, les radiations, la température, l’air, chimique comme l’air, l’eau, l’alimentation et biologique comme les microorganismes, les animaux.

Chez une même personne, ces facteurs sont nombreux, ils se cumulent au cours de sa vie, on parle d’épidémiologiebiographique. Ils sont compliqués à étudier car ils sont intriqués et peuvent interagir les uns avec les autres, on dit qu’il y a des interactions entre facteurs de risques.  Enquête nutrition de santé de 2006 Un facteur favorable est de manger 5 fruits et légumes par jours. C’est un comportement très minoritaire chez les jeunes (18-29 ans) et concerne 20% (1/5 habitants) chez les hommes et les femmes, il atteint 60% (2/3) environ après 55 ans pour les hommes et les femmes et est d’environ 40% pour les 30-54 ans. Ce comportement permet la prévention contre les cancers. Il n’y a pas vraiment de différence entre les hommes et les femmes concernant chaque classe d’âge. Etude du poids de la population : on utilise l’indice de masse corporel, l’IMC, on peut distinguer les maigres, les normaux, ceux en surpoids et enfin les obèses, avec des retentissements sur les problèmes de santés. L’obésité augmente avec l’âge, 8% chez jeunes, 16% chez les adultes et 24% pour les personnes âgées. La maigreur est quasiment absente chez les hommes, mais importante chez les jeunes filles (11%), et diminue ensuite avec l’âge. Les sujets « normaux » sont plus nombreux chez les 18-29 ans (66%).

 « Baromètre » santé – INPES Page 2 sur 10

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L’institut Nationale de Prévention et d’Education à la Santé est une agence sanitaire. Cette enquête périodique constitue en un questionnement de 15 000 personnes sur différents thèmes comme la consommation de tabac ou autres drogues, la qualité de vie, les relations et la sociabilité, les comportements de soins comme la santé perçue, le recours aux soins ou encore les accidents, le suicide, la violence. Les cibles sont multiples, elle peut être réalisée soit dans toute la population, dans des groupes de population (exemple : baromètre santé jeune 15-19 ans), ou chez les professionnels de santé. Prenons l’exemple des substances psychoactives pour les facteurs individuels :  Actives sur le cerveau (neuromédiateurs)  Effets : Changements de perception, de sensation, d’humeur, de comportements  Effets physiques et psychiques (selon produit, doses) 

Situation des personnes :  (risques selon situation ou chez des personnes vulnérables)  Troubles liés à l’usage (Conduites addictives) : léger, modéré, sévère  À court terme : surdose, accidents, infections…  A long terme : morbidité (mental…), retentissement social (relations, travail, délinquance…)  Consommateurs de substances psychoactives 2014 France (11-75 ans)



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Cannabis : 17 millions de personnes ont déjà expérimenté le cannabis mais moins de 1 personne sur 10 l’utilise régulièrement (1,5 millions). Pour le cannabis, la consommation est plus importante chez les jeunes et un peu plus chez les hommes que chez les femmes. Alcool : 47 millions de personnes l’ont déjà expérimenté mais seulement 1 personne sur 5 (9 millions) sont des usagers réguliers. Différence très marqué pour les hommes et les femmes concernant la consommation d’alcool. Tabac : 1 personne sur 3 ayant déjà consommé du tabac (38 millions) deviennent des usagers réguliers dont le nombre est de 13 millions. On a des consommations différentes pour le tabac mais quand même relativement proches entre les hommes et les femmes. Médicaments psychotropes : 16 millions de personnes en ont déjà utilisés dont 11 millions dans l’année.

Pour le tabac, l’usage régulier diminue avec l’âge mais en revanche, la consommation d’alcool augmente avec l’âge de façon plus marqué chez les hommes. Le fait de fumer commence chez les jeunes, cela augmente avec l’âge et culmine à 26-34 ans chez les hommes et 18-25ans chez les femmes. Puis elle diminue pour devenir rare ensuite, car plus on avance dans le temps et plus le tabac a fait ses effets et les gens sont décédés. La proportion d’hommes qui fument quel que soit la classe d’âge est supérieure à celle des femmes.  Le tabac 

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Consommation large (plus de 1/3 de la population), mais moindre acceptation sociale récente : Il est très largement utilisé, même si son utilisation recule depuis 40 ans, la société a changé son regard à son sujet : dans les années 70, fumer donnait une image positive, mais depuis quelques années, fumer est connoté négativement, ce n’est pas une caractéristique favorable. Dépendance rapide, chez la plupart des usagers Fumer est un comportement qui débute chez les jeunes Hommes plus que femmes (évolutions différentes) Impact sur la santé : 70 000 morts par an en France par de multiples affections soit environ 12% des décès : cancers, maladies cardio-vasculaires, respiratoires…

Evolution du statut tabagique entre 2010 et 2014 :

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Parmi ceux qui ont déjà fumé, on a une augmentation pour ceux qui ont déjà essayé une ou deux fois et on a une augmentation des ex-fumeurs. Le pourcentage de fumeurs occasionnel a un petit peu augmenté et on a une diminution des fumeurs réguliers ainsi qu’une diminution des personnes n’ayant jamais fumé. L’épidémiologiste s’intéresse également à l’évolution dans le temps. Dans la fin des années 70, première réaction face au tabac, 60% des hommes fument contre 30% des femmes. Puis périodiquement, notamment dans les années 90, grâce à la loi Evin, on voit qu’il y a diminution d’1/3 de la consommation chez les hommes, mais chez les femmes elle ne change pas. Les conséquences chez les hommes se traduisent par une diminution des cancers, mais chez les femmes cela augmente et on prévoit qu’il y aura plus de cancer chez les femmes. Cependant dans les années 2007, il y a de nouveau une légère augmentation. La répartition sur le territoire des fumeurs réguliers n’est pas homogène. 29% de la population sont fumeurs quotidiens soit environ 20 millions, mais dans le sud de la France, le pourcentage est plus élevé, et certaines régions sont moins touchées comme l’IDF. La prévention liée au tabac n’a pas la même activité selon les régions. La HN est dans la moyenne.  L’alcool Consommation très courante, socialement acceptée (voire encouragée) malgré les effets délétères  chez les hommes plus que chez les femmes,  Habituelle ou bien plus ponctuelle (chez les jeunes) : absorption massive, en fin de semaine avec recherche d’ivresse, ou du coma («binge drinking») : risques d’accidents mortels  Impact sur la santé :  49 000 morts par an en France  Conséquences multiples : cancers, maladies du foie, neuropathies, syndrome d’alcoolisme fœtal, accidents… Sa consommation reste assez différente du tabac, la dépendance est moins systématique, et quand apparait elle est plus tardive. 

L’étude baromètre santé : on a une diminution de la concentration quotidienne d’alcool entre 2010 et 2014. Pour l’alcoolisation ponctuelle importante, elle diminue avec l’âge. En termes de fréquence, en cas d’avoir eu au moins 1 API dans l’année, cela a augmenté entre 2010 et 2014 ce qui a des conséquences sur les maladies. 9% de la population consomme chroniquement de l’alcool, et 28% ont une consommation ponctuelle à risques, avec des effets rapides et immédiats sur la santé, comme les risques de coma et d’accidents. 15% des hommes en consomme chroniquement, face à 3% chez les femmes. La consommation chronique d’alcool est donc 5 fois plus élevée chez les hommes. L’alcoolisation aigue est très fréquente chez les jeunes, 40% des jeunes déclare une consommation ponctuelle, « binge drinking » qui consiste en l’absorption rapide d’alcool pour atteindre l’ivresse. La consommation n’est pas la même partout. La moyenne de l’usage quotidien en France est de 11% soit 7,4 millions. Le NPC, et le sud sont les plus touchés. La HN ainsi que l’IDF sont en dessous de la moyenne.  Conditions de travail pénible Les caractéristiques du mode de travail ont un effet sur la santé. On retrouve des troubles musculo-squelettique (TMS), du fait de la répétition de taches à cadence élevée, ou encore le fait de porter des charges lourdes comme pour les métiers du bâtiment, entrainant des risques de douleurs chroniques.  Exposition à des polluants de l’air (NO2 et PM10) 



NO2 a un effet sur les maladies cardio-vasculaires. La pollution industrielle diminue. Mais pour le trafic automobile on retrouve une petite baisse mais des valeurs qui parfois dépassent la valeur limite (qui elle-même baisse au cours du temps). PM10 entraine des décès par infection cardio-vasculaire et des maladies respiratoires (particule de moins de 10µ), elle est au dessous de la norme et on observe une petite diminution.  Qualité des eaux du robinet Page 4 sur 10

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La qualité microbiologique n’est pas homogène sur le territoire, comme la présence de nitrates dans l’eau de certaines régions agricoles. L’usage régulier des pesticides est loin de suivre la réglementation.

MORBIDITÉ

II.

Les problèmes de santé ne sont pas simple à étudier, car ils sont à la fois très nombreux et aussi parce que la définition de la santé n’est pas tout à fait la même selon les personnes. On retrouve différents types de morbidités :  La morbidité ressentie : perception des individus.  La morbidité exprimée : recours aux soins ou autres réponses  La morbidité diagnostiquée : diagnostic par un professionnel de santé.  La morbidité objective : c’est la morbidité mesurée par enquête dans la population. On a plusieurs sources de données sur la morbidité :  D’abord, on peut faire des enquêtes par sondage (échantillon),  Mais on dispose également d’un système d’information, qui, pour un groupe de population, ou une situation ou encore une maladie donnée, enregistre la présence de problème de santé de façon exhaustive. Les informations sont recueillies en permanence. Epidémiologiste, comme le démographe, raisonne de 2 manières, dans l’instant et dans le temps :  Dans l’instant, il s’agit de la prévalence, c’est le nombre de cas à un moment donné. C’est un pourcentage, mesure statique.  Dans le temps, c’est l’incidence, c’est le nombre de nouveaux cas pendant une période de temps. C’est un taux, mesure dynamique

1. La morbidité ressentie A l’occasion d’une enquête, on demande aux gens comment ils se sentent. Ils peuvent juger leur santé très mauvaise, mauvaise, moyenne, bonne, très bonne. C’est une enquête de 2012 qui nous dit que 90% des hommes et des femmes se sentent en bonne ou très bonne santé jusqu’à environ 34 ans. Puis avec l’âge cela se dégrade, seulement 25% chez les personnes âgés. De plus selon les hommes et les femmes, dans chaque tranche d’âge, la santé perçue par les femmes est moins bonne que celle des hommes jusqu’à 64 ans.  Morbidité ressentie pour les maladies chroniques perçue La fréquence augmente très fortement avec l’âge, entre 12% (hommes) et 16% (femmes) chez les jeunes, puis pour les plus de 75 ans, on arrive à plus de 70%. Ce n’est qu’à partir de 55 ans que les hommes déclarent plus de problèmes que les femmes.

2. La morbidité diagnostiquée : les motifs de soins hospitaliers.  



Codage des affections nécessitant des soins lors d’un séjour dans un établissement de santé Financement des établissements : Programme de Médicalisation des Systèmes d’Information (PMSI) présent dans tous les hôpitaux publics et privés en France qui recueille les informations sur les entrées afin de savoir pour quels problèmes de santé les patients ont été admis et quels soins ont été effectué Analyse :  A l’échelle d’un établissement  Ou chaînage possible des séjours successifs d’un même patient dans différents établissements.

 Effet de l’âge et du sexe sur les problèmes de santé

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Chez les moins de 25 ans, on a surtout des hospitalisations pour des problèmes de l’appareil digestif +++, ou encore des maladies respiratoires et chez les femmes, en particulier pour l’accouchement qui est la première cause d’hospitalisation. Chez les gens âgés, on vient pour d’autres maladies, comme des maladies cardio-circulatoires ou encore des affections de l’œil (cataracte). Chez les jeunes, les traumatismes et empoissonnements sont plus importants chez les hommes alors que chez les personnes âgées, ils sont plus importants chez les femmes.  Tentatives de suicide entrainant une hospitalisation Cette réaction exprime une souffrance mentale, et un appel à l’aide qui est plus fréquente chez les femmes. La fréquence est très liée à l’âge, avec un maximum chez les adultes, entre 35-45 ans chez les hommes, et 40-50 ans chez les femmes. Mais on retrouve également un pic très tôt chez les femmes aux alentours de 15-19 ans. Puis elle diminue en fréquence après l’âge de 50 ans. Cependant la fréquence liée aux décès suite à un suicide est totalement différent, elle est plus importante chez les hommes, et augmente avec l’âge.  Admission pour troubles psychotiques en 2012 Effet très marqué de l’âge : ces troubles voient leur fréquence augmenter chez les adultes. Chez les hommes elle est maximale à 30-35 ans, alors qu’il est de 45-50 ans chez les femmes, avec un déclin avec l’âge. La cause la plus fréquente est la schizophrénie, plus importante chez les hommes que chez les femmes, avec également un déclin avec l’âge.  Episode dépressif en population (Baromètre santé 2010) Une mauvaise santé mentale peut se traduire par une dépression. Par le biais du baromètre santé on peut établir si une personne souffre de troubles dépressifs ou non. Ils sont présents chez 8% de la population générale, soignés ou non. On les trouve à tous les âges, prédominant à 20-35 ans (10%), de façon plus importante chez les femmes (10%) que chez les hommes (5,6%). Il représente 6,5 % chez les 15-19 ans, 9% chez les 35-54 ans et 5% chez les 55-75 ans.  Morbidité diagnostiquée : recours au médecin de ville 2012    

Le recours au médecin augmente beaucoup avec l’âge. On est autour de 120 à moins de 25 ans, à l’âge adulte on est à 140, et à plus de 200 à 65 ans et plus Chez les jeunes ce sont toujours les maladies respiratoires (moins grave que pour l’hospitalisation). Pour les adultes, toujours des maladies respiratoires, mais aussi des affections du cœur, ostéo-articulaires, et des trouble de santé mentale. Chez les personne...


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