Chapitre 2, Panorama des médias français PDF

Title Chapitre 2, Panorama des médias français
Course Histoire des médias, Initiation à la culture numérique
Institution Université Toulouse-Jean-Jaurès
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Chapitre 2, Panorama des médias français...


Description

Chapitre 2, Panorama des médias français Vision des données de cadrage, des chiffres (à apprendre !), des médias chronophages. En février 2017, concernant la TV, sur une population âgée de 15 ans et +, la durée d’écoute moyenne par jour est de 3h58 minutes. Cette moyenne augmente avec l’âge. En additionnant l’usage quotidien des autres médias, le temps passé est + important. Internet perturbe ce calcul, ainsi que les smartphones. Avant le smartphone, les français, en moyenne, passaient 9h par jour à consommer des médias (// Cinéma /livres). Chiffres : 65% des français ont un smartphone. Chez les 18-24 ans, 85% en ont. Un peu moins d’un français sur 2 lit une marque de presse sur mobile. Une marque de presse contient en moyenne 15% de lecteurs sur mobile exclusivement. La moitié des internautes se connecte chaque jour à la radio ou à une appli musicale par le smartphone.

Section 1, La presse écrite Introduction Avertissement : la lecture en ligne de la presse vient bouleverser les analyses faites jusqu’à présent, elle impose des nouveaux modes de recueil de la presse. Aujourd’hui, les statisticiens mesurent la diffusion globale d’un média, la « marque », on ne parlera que de la diffusion papier, dite « print ». Avertissement : « Diffusion » ne veut pas dire « tirage / impression ». Ex : Le Parisien imprime X centaines de milliers d’exemplaires. Il ne vend pas tous ses exemplaires. La diffusion, c’est la vente d’un journal quel qu’en soit son prix (abonnement, [kiosque, hôtel, avion = service inclus]…). La différence entre le tirage et la diffusion est appelée « le bouillon », part importante et couteuse. Le principal coût réside dans l’impression / diffusion du journal. Or l’estimation de vente est difficile, seules des tendances peuvent être anticipées (statistiques, personnel de proximité). Le bouillon est retourné au centre de distribution et détruit = coût. D’où le moindre coût du service en ligne. La presse papier peut être classée de 2 manières : -

La Presse gratuite / payante La famille de presse

Dans la presse gratuite, on distingue la presse d’information / d’annonce. Dans la presse payante, on distingue la presse quotidienne / magazine. Dans la presse quotidienne, on distingue la PQ régionale / nationale. Dans la presse magazine, on distingue la presse magazine grand public / technique et professionnelle.

La famille de presse payante la + puissante est la presse magazine (= moitié de la diffusion payante). La presse quotidienne nationale en France donne le ton, mais est faible par rapport à d’autres pays.

I. La presse gratuite Ne comprend pas les « petites annonces » dans ce cours. Comprend la presse gratuite « d’information », (// mensuelle / hebdomadaire) = quotidienne. La presse gratuite d’information quotidienne est apparue récemment en France. Elle a suscité des résistances dans le milieu journalistique ; on y voyait une attaque à la presse payante en crise. Les premiers titres de presse quotidienne gratuite apparaissent en 2002, tel 20 minutes. La polémique fut violente / complexe. Violente par la polémique verbale et par des blocus des ouvriers du livre (ouvriers qui participent à l’impression des journaux, regroupés dans de puissants syndicats du livre, pouvant adopter des pratiques illégales) tentant de sauvegarder leurs acquis et coûtant de l’argent aux médias. La polémique opposa les défenseurs de la presse payante de ceux qui imaginaient une autre forme de presse. Les 1ers ont bataillé pour imposer l’idée que l’info a un coût, mérite d’être payée = ne pas payer l’info c’est risquer la désinformation ou la mauvaise information. Les 2e ont soulignés que l’info n’avait pas besoin d’être payante pour être de qualité, en prenant en exemple la radio et que la presse gratuite ne vise pas le même public, elle vise un public qui ne lit pas d’habitude la presse, elle ne menace pas la presse payante. En plus, d’autres pays ont une presse quotidienne gratuite et cela n’a pas affecté la presse payante. De fait, les quotidiens gratuits ont moins de journalistes, se fondent sur les dépêches d’agence, offrent une information « low-cost ». La presse payante a pu voir dans la presse gratuite une façon de disposer de ressources financières d’appoint. Ex : le groupe Ouest-France a investi massivement dans la presse gratuite (il possède la moitié de 20 minutes). L’imprimerie du Monde est surdimensionnée, elle a vu son tirage baisser et est conçue pour le tirage d’autres journaux, elle a édité une partie des exemplaires de 20 Minutes pour se rentabiliser. *La tradition française consiste à ce qu’un journal dispose de sa propre imprimerie (// libération), elle a historiquement été dans les mêmes locaux = prix élevé. Ce n’est pas la presse gratuite qui a été à l’origine de la crise de la presse quotidienne payante. En 2002 – 2003 -2004, pas d’inflexion majeure, la baisse est ancienne / régulière / irréversible, liée à la diffusion de la TV. De plus, les jeunes générations lisent – la presse. La presse gratuite est en pleine évolution, en raison de l’explosion de la numérisation de l’information, « 20 minutes c’est un [pur playeur] qui édite aussi un journal », d’un patron de 20 minutes. De +, des titres sont apparus / disparus avec un leader : 20 minutes. En 2002, direct matin n’existait pas. [Boloré] a créé un quotidien gratuit du matin / soir. Le concurrent de 20 minutes, métro, a disparu. Les analystes ont répété que le marché ne pouvait tenir avec si peu de quotidiens. La presse gratuite ne vit que par la publicité achetée par les annonceurs. Elle a perturbé le rythme de la presse quotidienne gratuite, qui n’apparaît pas tout le temps. Chiffres :

20 minutes diffuse = 900 000 exemplaires / jour. Elle a des éditions locales, des journalistes locaux rédigent quelques pages, le reste est confié au centre parisien. L’île de France en comprend 560 000 exemplaires. Le public de Paris / île de France consomme + la presse quotidienne nationale. Direct Matin diffuse 800 000 exemplaires, dont 550 000 en île de France. 20 minutes à réussi à toucher des personnes qui ne lisaient pas de quotidiens. Il a été importé en France par un groupe Suédois, il est en France détenu par les Suédois / Ouest-France.

II. La presse quotidienne payante A. La presse quotidienne nationale Cette presse est en crise, elle a vu son nombre de titre baisser, elle peut disparaître. Depuis qlq années, il y a une dizaine de quotidiens nationaux en France dont 2 ont disparus : France soir et La tribune, en 2012. France soir fut le grand quotidien des classes populaire des 50’- 60’. La tribune était un quotidien économique, il concurrençait Les Echos. Depuis, un quotidien est apparu en 2013, L’opinion, qui est subventionné par Betancourt (// logique économique). Mais aucun quotidien n’est rentable en réalité, les actionnaires acceptent d’étancher les déficits. Ex : Si Dassault ne payait pas le coût du Figaro, il n’existerait plus. Pour pâlir au déficit, les éditeurs ont augmenté le prix (// anciennement), technique peu efficace. Chiffres : 1er quotidien national : Le Figaro, 300 000 exemplaires diffusés / jours 2e : Le Monde, 250 000 exemplaire / jours 3e : L’équipe, 225 000 exemplaires / jours (1er quotidien spécialisé / sportif) 4e : Aujourd’hui en France, 130 000 exemplaires / jours et selon les régions (édition nationale du Parisien) 5e : Les Echos, 130 000 exemplaires / jour, spécialisé en économie 6e : La croix, 1er quotidien catholique [chiffre ?] 7e : Libération, 80 [60 ?] 000 8e : l’Humanité, 30 000 Sur ces quotidiens, 2 seuls sont en augmentation, l’Equipe (5% 2016) et Les Echos. *1er quotidien français régional : Ouest-France Le 13/03/2017 S’il y eu des périodes prospères dans les 60’ (France soir : 2M exemplaires entre 45 et 60), l’influence de la TV fait perdre des lecteurs à la presse. Il est aujourd’hui inenvisageable de voir naître un quotidien national mais probable de les voir tous mourir.

Le Parisien est considéré comme un quotidien régional, mais du fait du statut de Paris et de la centralisation du pays, il est lu comme un quotidien national. De plus, Aujourd’hui en France est la réplique nationale du Parisien. En additionnant les chiffres du Parisien et d’AeF, ils constitueraient le 1er quotidien national.

B. Presse quotidienne régionale Cette presse est aussi en crise, les jeunes l’achètent moins qu’avant. 1er : Ouest France, 690 000 exemplaires / jour 2e : Sud-Ouest, 250 000 exemplaires / jours 3e : La voix du nord 4e : Le Parisien 5e : Le Dauphiné libéré Les 15 premiers titres de la presse régionale diffusent + de 100 000 exemplaires / jours. Il existe en France 54 quotidiens régionaux.  Ouest France Ouest France a son siège à Rennes, il a réussi à gagner du terrain hors de ses circonscriptions d’origine en rachetant des titres et en s’implantant. Ce titre existe en Normandie, à Brest, Nantes…Il recouvre une grande partie de l’Ouest. Il n’est concurrencé que dans la région du Finistère, par Le Télégramme de Brest (=200 000 ex). Il est détenu par la famille Hutin, d’inspiration catholique et centriste.  Les groupes de quotidiens régionaux La presse quotidienne régionale a changé, sa diffusion a baissé. Si ses titres étaient détenus par des familles / groupes politiques, c’est de – en – le cas. Ils ont été rachetés dans des logiques de groupes, qui disposent de plusieurs titres. 1er groupe PQR : Ouest-France 2e : [Hebra], 700 000 exemplaires / jour 3e : Rossel (la voix du nord), 400 000 ex / jour 4e : Roswell (La montagne), - 400 000 ex / jour 5e : La dépêche 6e : Sud-Ouest  La presse du 7e jour La tradition en France fut longtemps de ne pas avoir de quotidien le dimanche sauf pour Le journal du dimanche (en baisse). Désormais, la plupart des titres de la presse régionale ont un quotidien du 7e jour, cela est aussi valable pour bcp des QuotNat. Mais les chiffres de diffusion du dimanche sont – importants (habitudes, nb de points de vente – importants). Dimanche Ouest France est le 1er quotidien du 7e jour, mais il ne diffuse que 350 000 exemplaires. L’équipe dimanche diffuse 220 000 exemplaires. Seuls 15 titres de la presse du 7e jour diffusent à + de 100 000 ex pour 45 titres du dimanche.  La presse hebdomadaire régionale (PHR)

Il s’agit d’un héritage culturel, qui fait peu de diffusion. C’est une presse locale, concurrencée par la PQR et du 7e jour. Il existe 172 titres de PHR, mais la diffusion est modeste. 1er titre : La Manche libre, 60 000 ex / semaine 2e : Le courrier cauchois, 30 000 ex / semaine 3e : Le messager du [Tonom], 20 000 ex / semaine On passe en dessous des 20 000 exemplaires dès le 5e titre PHR.

C. La presse magazine Elle fut longtemps considérée comme puissante / riche en France, elle est aujourd’hui en crise. Les stratégies commerciales pour maintenir cette presse n’ont pas enrayé la crise. On y trouve les cadeaux offerts aux abonnés et les ventes inclusives (association avec un produit supplémentaire). Rares sont les domaines non-couverts par la presse magazine. Au moins 95% des français fréquentent au moins 1 magazine / mois.  Les magazines TV 7 des 10 premiers titres magazines traitent de la TV, les 2 autres de la famille. Parmi eux, les 2 premiers sont des compléments de la presse quotidienne régionale (TV magazine, version féminin). Tous les magazines sont en baisse. 1er : TV magazine, 4M 800 000 ex / Semaine 2e : Version féminin, 2M 800 000 ex / semaine 3e : Télé 7 jours, 1 M 100 000 ex / semaine (pas complément, 1er titre ?) La presse TV est populaire sauf exception : Télérama, 500 000 ex / semaine, plutôt intellectuel.  Les newsmagazines Traitent d’actualité politique / société. Paris Match est 15e et diffuse + 500 000 ex mais n’est pas un newsmagazine. On y trouve l’Obs, l’Express, Le point, Marianne, Valeurs actuelles… Ce groupe date des années 50 – 60. Le titre historique est l’express, crée par les [Servan-Schreiber], il voulut offrir un genre de presse américain, s’adressait aux cadres, participait au phénomène d’américanisation de la société. Il faisait partie d’une famille de presse prospère, cette dernière est aujourd’hui est crise et en pleine restructuration, l’Obs est le nouveau 1er titre de cette famille (- 15% pour l’express). 1er : L’Obs diffuse 360 000 ex / [semaine ?]* 2e : Le Point, 340 000 ex / * 3e : L’express, - 300 000 ex / * 4e : Marianne, 140 000 ex / * La presse quotidienne du WE est une concurrence pour les news. [Manque 2 minutes d’inattention]  Les groupes magazines La presse magazine s’inscrit dans une logique de groupes.

Le groupe [Lagarder] est présent dans les médias (Elle, Paris Match, Télé 7 jours, JDD…), dans l’armement... Le groupe Prisma (Géo, Capital, Voici, Gala…). Des journalistes travaillent dans plusieurs titres au sein d’un groupe, logique marketing.

D. La presse professionnelle Elle s’adresse aux professionnels, vend de nombreux titres. La plupart des métiers ont un magazine. Cette presse n’a pas bonne image car l’indépendance des journalistes est remise en cause par les annonceurs. On y retrouve la presse syndicale. Les métiers qui disposent d’une presse dispose de + - de journaux. Ex : la presse paysanne est très nombreuse, Le Betteravier français est 14e. Sur les 20 premiers titres de la presse pro, 5 sont de la presse agricole. Les titres [nombre ?] sont peu nombreux à diffuser à plus de [50 000 exemplaires]. Seuls 6 titres diffusent à plus de 50 000 exemplaires, 1 seul diffuse au-delà de 100 000 exemplaires (titre syndical enseignant), le 2e est La France agricole. Sur les 10 1ers titres, 3 appartiennent à l’enseignement, 2 au secteur agricole, 2 au secteur du bâtiment.

Section 2, La radio 8/10e des français écoutent la radio quotidiennement. Avant les smartphones et internet, on estimait qu’il y avait en moyenne par foyer français 6 radios disponibles. En 1981, la gauche arrive au pouvoir. A l’époque, on craint le pouvoir de la radio, elle contrôlée (// privatisée) ; la radio est publique. Les seules radios privées sont périphériques (RMC, Europe 1, RTL, ne peuvent diffuser de France). Beaucoup d’ondes sont réservées aux militaires. Dans la 2nd moitié des 70’, des radios pirates naissent et sont réprimées. La gauche décide de libéraliser les ondes. Problème : trop d’acteurs très diversifiés veulent créer leur radio, le gouvernement va créer une instance de régulation pour rationaliser les diffusions, accorder / refuser des autorisations. Au départ, les radios, très diverses, sont bricolées, sont locales…Au fur et à mesure que les intérêts économiques se développent, des radios rachètent d’autres radios un peu partout et se nationalisent, forment des groupes, étouffent la diversité initiale. Les radios thématiques prolifèrent après 1981 (avant France culture / France [ ?]). On distingue la radio à travers 2 clivages : Radios généralistes / thématiques & radios publiques / privées.

I. Clivage radios publiques / privées A. Radio publique Radio France est la 1ere radio publique, elle comprend 5 stations [??]. + Radio France Outre-mer, RFO + Radio France Internationale, RFI

Le 20/03/2017 + point audience Audience cumulée, part d’audience, durée d’écoute / auditeur. L’audience cumulée est la + utilisée ; pourcentage de français en contact avec le média au moins 1x par jour. Part d’audience : pourcentage de personnes ayant suivi un support de radio par rapport à l’audience globale du média. Durée d’écoute par auditeur : heure et minutes. Chiffres, en audience cumulée : -

-

RTL occupe la 1ere place dans les radios, mais des audiences peuvent indiquer des changements hiérarchiques, comme en 2015, ou NRJ était la 1ere radio française (audience cumulée de 12,8 %) France-Inter est la 2e radio française (11,2 %) NRJ est la 3e (10,7 %) RMC & Europe 1 (8,1 %) France Info (= 7,5 %) France bleu (7%), moyenne du réseau local Fun (6,4 %) Nostalgie (6,3 %) Skyrock (6%)

Europe 1, en crise depuis plusieurs années, vit mal son classement. Si on additionne les radios musicales, le pourcentage est au moins 35%. Elles sont en grande concurrence. Les radios publiques citées, additionnées, représentent le quart de l’audience publique. En juin 2016, Skyrock, nostalgie etc étaient sous la barre des 5%. RMC était à 7,4 %. RTL était à 11%. Chiffres, en durée d’écoute moyenne : -

RTL (2h20 / jour) France Inter (2h18) NRJ (1h20) RMC (1h57) Europe 1 (1h55) France info (?) France bleu (2h01)

RFI est très populaire en Afrique (peu en France). Les radios sont structurées en groupes en général.

Section 3, La Télévision C’est une activité très chronophage (2e activité d’un H après le sommeil).

Temps moyen d’écoute en février 2017, pour les individus de 15 ans et +, 3h58. Ce chiffre varie selon les mois de l’année. Aout 2016, 3h33 / juillet, 3h38. Moyenne entre 3h30 et 4h (janvier, 4h04). Histoire de la TV : -

1ere chaine TV, TF1: 1935 2e chaine TV : 1964 ORTF (regroupement des chaînes) : 1965 3e chaine : 1972

George Pompidou, à propos de la TV : « voix de la France (du gouvernement) ». Dans les 60’, un ministre est en charge de la TV, les journalistes TV ont peu d’autonomie… Après 1968, relâchement mais des journalistes licenciés. -

Equipement massif de postes : 70’

-

En 1981 avec l’arrivée de la gauche, une + grande autonomie est accordée aux journalistes, le nombre de canaux augmente (1984), les chaînes privées apparaissent.

-

En 1984, la 1ere chaîne privée apparaît (Canal +)

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En 1986, les chaînes privées 5 (meurt en 1992) et TV 6 (M6 actuel) apparaissent. TF1 est vendue à Bouygues (BTP).

-

En 90’, des chaînes thématiques / locales apparaissent (câblage, satellites dédiés…) + TV numérique (ADSL) = le nb de chaines explose.

 En 50 ans, on passe d’une chaine à des centaines. Désormais, les hiérarchies / audiences n’ont plus les mêmes structures et continuent d’évoluer. La tendance est à l’effritement continu des chaînes généralistes qui restent néanmoins puissantes. Paradoxe : TF1 et France 2 existent tjr, de + les chaînes thématiques ont peu d’audience. Chiffres d’audience, en Février 2017 : -

1°, TF1, 19,3 % 2°, France 2, 12,6% M6, 9,7 % France 3, 8,8 % C8, 3,7 % Arte, 2,1 % France O, 0,7 % Canal +, perte de 50% en un an

Les chaines généralistes représentent entre 55% et 60% d’audience. Le pôle public représente 3/10e de l’audience. Fin du modèle généraliste ? Non, car les chaînes généralistes restent puissantes. Oui, car elles s’effritent : effritement constant, conséquent (JT de TF1, 13M en 86, 10M en 2000, 8M en 2010, 5-6M en 2016 [// 4-5M Fr2 // 2-3M Fr3// 2M M6] = 15M de français en gros regardent des JT du soir).

Section IV, La numérisation de l’information I. Le poids du digital 1°, internet : 85 % de la population française peut être considéré comme composé d’utilisateurs d’internet. 15% touchés par la fracture numérique, générationnelle & sociale. 55% d’utilisateurs d’internet par smartphone. 32M d’utilisateurs de réseaux sociaux en Fr, dont 25M par smartphone. 2°, appareils électroniques : 91% des fr ont un téléphone portable (60% ont un smartphone). 75% des fr ont un ordinateur (25% n’en ont pas). = 1/3 / 32% des fr ont une tablette. 1/3 des possesseurs d’appareils électroniques ont un ordi / smartphone / tablette. 3°, temps moyen passé sur internet : sur un ordi / tablette (3h30), sur téléphone (1h), sur réseaux sociaux (1h15) … 4°, fréquence de fréquentation d’internet : 80% de la population ayant internet tous les jours, 20% 1 x par mois / semaine. 15% population ne va jamais sur internet (20% + faible fréquence). 5°, réseaux sociaux et autres : parmi les utilisateurs de réseaux sociaux, 40% ont Facebook, Messenger 20%, Google + 10%, twitter 10%, Snapchat 10%, Skype 8%. 6°, navigateurs : chrome est 1er avec ½ utilisateurs d’internet (60% au niveau mondial). Firefox (25 %), Internet explorer (10%)… 7°, e-mail : Reste puissant dans le monde pro. 26M d’utilisateurs de mails en France, 70M de boites mail. 1,4 Milliards de mails hors-spam sont envoyés chaque jour. En moyenne, chaque internaute reçoit 40 mails par jour. Les cadres passent bcp de temps à...


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