CM Grands courants pédagogiques PDF

Title CM Grands courants pédagogiques
Author Marie-Céline Dormoy
Course Grands courants pédagogiques
Institution Université Catholique de Lyon
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Grands courants pédagogiques Partiel : de 2h, deux questions au choix, (dissertation), sois de cours sois de réflexion personnelle. Attentes : Donner des connaissances du cours, réflexion personnelles aussi, pas de liste sans réflexion personnelle, et pas que de la réflexion personnelle, sinon pas la moyenne. Il faut des éléments du cours et une réflexion personnelle. Le cours ce n’est pas que le cours mais aussi des références bibliographiques, des éléments de lecture. Souvent de réflexion personnelle. 1er critère, éléments qui montre qu’il a assister au cours. 2ème il faut que la personne comprenne le cours et se fasse une réflexion personnelle. Il faut combiner les deux sinon pas la moyenne. Plan : Chapitre 1 : Complexité pédagogique (de la pensée pédagogique) Chapitre 2 : Etudier quelques courants pédagogique Chapitre 3 : La relation pédagogique (on ne peut pas séparer le cognitif de l’affectif) Chapitre 4 : La relation famille, école Chapitre 5 : La relation qui lie l’enseignant, comme le parent à l’enfant Chapitre 6 : Notion d’éducabilité

25.09.14 Chapitre 1 : Diversité et complexité pédagogique (de la pensée pédagogique) Cette diversité peut s’expliquer la l’évolution de l’institution scolaire a travers les siècles, les historiens ont finis par repérer 5 étapes d’évolution observé, de compréhension possible 1. Evolution de l’institution scolaire 1ère étape de l’évolution : étape de l’initiation Au départ il n’y avait pas d’école, on apprenais par initiation et par des cérémonies dans la tribu, il n’y avait pas d’état, on vivait dans des clans des tribus c’était les anciens qui initiait les jeunes. Il y avait des coutumes et des règles à apprendre. C’est quand les religions apparaissent que les anciens initient. (Exemple : en France une initiation mal vu est le bizutage, le scoutisme est un rite d’initiation, dans les bandes de jeunes, les soutenances de master et de thèse). Peut a peut les hommes acquièrent une mémoire sociale, ils sont de plus en plus conscient de l’importance de leur passé, ils vont donc chercher a le transmettre, se pose donc la question de la transmission. Nous ne partons pas de rien il faut donc conserver ses acquit et les transmettre au jeunes, et aussi designer des espace de transmission pour transmettre les savoirs, dans les village ca se passait sous le vieux chêne. On va spécialiser les espaces, ainsi que le temps pour l’apprentissage et surtout spécialisé les

personnes qui vont transmettre le savoir. Un enseignant c’est quelqu’un qui a de l’expérience et qui le transmette sans pour autant savoir lire ou écrire. Au 19° les enseignants avaient un niveau de 3° Au 20° ils avaient un niveau Bac, Bac+2 Dans les année 60-70 bac +3 et maintenant c’est Bac + 7 2ème étape : La scolarisation parcellaire (partielle) Ca commence début de l’aire chrétienne et finis au 19° siècle en France, développement de l’état qui devient moderne, on passe de l’état féodal à l’état moderne. L’état moderne va essayer de contrôler d’éducation, il ne veut pas y laisser à la religion, une séparation se créait ce qui apporte l’école privée et publique. Etat favorise le développement scolaire. Il a également un développement technologique (les usines, les machines, l’industrie du fordisme qui connaît son apogée au 19° siècle) L’économie avait besoin de plus en plus d’ouvriers qui sache lire (mode d’emploi des machines) il donc fallut que les enfants soit scolarisé non pas par plaisir mais pour des raisons économique et politique. Le 3ème développement arrive lui à partir 16ème siècle, c’est le développement du catholicisme, car Luther apparaît avec le protestantisme, il traduit la bible et alphabétise ses lecteurs, la papauté réagit et fait exactement la même chose. Ces 3 développements vont converger et il y aura différentes écoles et différentes matières. Mais un 4ème développement apparaît c’est le développement de la laïcité, a cause de la révolution française c’est l’état qui récupère toute les écoles et la congrégations religieuse se retrouve sans rien. C’est Napoléon Ier qui restitue les écoles primaires religieuses mais il refuse pour les facultés. La laïcité va uniformiser mentalement le pays par la langue. La notation sur 10 et sur 20 apparaît par le règne de napoléon, il n’est pas seulement un militaire, il est très pédagogique il fait ouvrir de grandes écoles (filières université et grandes écoles (voie royale = grandes écoles et classes préparatoires)) 3ème étape : la période de l’instruction obligatoire De 1880 a début du XX° siècle, institués par les lois de Jules Ferry école primaire (de 6 ans à 12 ans) gratuite laïque, obligatoire et neutre, votées entre 1881 et 1886, c’est pas l’école qui est obligatoire mais l’instruction. Dés 1830 les enfants fréquente massivement l’école. En 1817 il n’y avait que 866 élèves En 1832 il y a 1million 940 milles élèves. En 1837 il y a 2millions 690 milles élèves. En 1863 il y a 4millions 340 milles élèves. En 1877 il y a 4millions 720 milles élèves. Les lois de J.F n’ont fait qu’entériner un état de faits déjà bien enclencher et en 1890 on est a 5millions 500 milles élèves. 4ème étape : la période de l’explosion scolaire (1960-70) Dés la fin de la seconde guerre mondiale il y a une explosion scolaire au niveau du secondaire, collège et lycée, il y a de plus en d’enseignants et d’établissements et de plus en plus d’élèves.

En 1897 il y avait seulement 130 milles élèves dans le secondaire (6ème à la terminale) En 1945 on passe a 690 milles. En 1958 il y avait 1 millions 375 milles. En 1972 il y avait 3 millions 720 milles. En 1984 il y avait 5 millions 400 milles élèves. Et aujourd’hui 6 millions. Cette explosion scolaire s’explique par 3 raisons : -

Prolongation longitudinale ascendante : car à partir de 1937 l’instruction obligatoire va commencer à 6 ans et s’arrêtera à 14 ans au lieu de 12 ans (par la loi de Jule Ferry). Aujourd’hui l’école est obligatoire de 6 ans à 16 ans

- Prolongation longitudinale descendante ou régressive : 1966-67 les enfants de 2 ans qui fréquentaient l’école étaient 12% mais en compagne 0%, 3 ans = 48%, 4 ans = 76%, 5 ans = 98% 1972-73 les enfants de 2 ans = 21%, 3 ans = 70%, 4 ans = 92%, 5 ans = 100% 1982-83 les enfants de 2 ans = 37%, de 3 ans = 91%, 4 ans = 100%, 5 ans = 100% Aujourd’hui 2 ans = 45% -

Prolongation latérale : formation continue suivie a n’importe qu’elle âge de la vie, appelé reformation obligatoire. On observe l’explosion des diplômes, des cursus, des filières. Il y a de plus en plus de diplômés dans tout les domaines, cela montre la sous qualification des diplômes, plus il y a de diplômes plus la valeur du travail régresse.

Résultat de cette explosion scolaire on a de plus de 15 millions d’élèves scolarisés, plus de 2 millions de personnes s’occupent de l’éducation et 2,5 millions d’adultes en formation. Le temps de la scolarisation de notre vie est de 1/3. Sur 24h on passe 8h de sommeil, 8h d’école et 8h du reste 5ème étape : L’étape de l’implosion scolaire 02.10.14 Raison 1 : C’est l’explosion à l’intérieur de l’institution scolaire, parce que jusqu'à récemment les effectifs des élèves ont continuer a augmenter et les moyens financier eux n’augmentait pas. Les moyens ne suivaient pas. Accroissement des effectifs, décroissement des moyens financiers. 90% du budget national va vers les enseignements et les administratifs scolaires. Cette implosion va se calmer avec le para scolaire, qui ne nécessite pas de l’aide du budget national, se sont les parents qui payent et place leurs enfants dans ces écoles. Ca va atténuer cette différence effectif/budget. 2. Les mouvements pédagogiques Raison 2 : L’évolution de la pédagogie en générale nous permet de constate 7 caractéristique, ligne de force, mouvements, qu’on peut repérer a travers les époques. -

1er : je constate un passage progressive de la pédagogique privée vers la publique. Avant il n’y avait que des écoles privées. Mais a partir du 19ème s l’état s’intéresse

a l’école, il va essayer de récupère l’essentiel des écoles et va en créer de plus en plus publique. Pédagogie privée vers publique = pédagogie d’état. Mais l’excès du publique nous ramène vers le privé. -

2ème mouvement : passage progressive du sacrée au profane, au dépars toutes les pédagogies étaient sacrées, puis peut a peut vers la fin du 18ème le mouvement de laïcité va s’affirmer de plus en plus, on assiste a l’émergence d’une éducation profane et plus religieuse. L’excès de laïcité va ramener vers la religion, on constate qu’il y a de plus en plus de sectes.

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3ème mouvement : le passage du possible, de l’optionnel à l’obligatoire, l’instruction n’était pas obligatoire en France puis peu a peu elle le devient dans la pratique, puis par la loi. L’excès de l’obligation va autoriser un certain optionnel (10% d’optionnel dans l’emploi du temps), puis on a commencer a appeler ca la pédagogie du projet (c’est donner la possibilité a un enseignant et a sa classe de travail sur un projet).

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4ème mouvement : passage progressive du partiel au total, au 20ème siècle on commence a vouloir tout enseigner (sexualité), l’excès pousse les parents a dire « non c’est a nous d’apprendre ca ».

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5ème mouvement : passage progressif de la non scolarisation a la scolarisation. Pas d’écoles au début et de plus en plus après. Le mouvement du balancier d’après Yann… prête catholique.

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6ème : passage de l’homogène a l’hétérogène, car un savoir a minima, unitaire et plus le savoir se diversifiait et devenais hétérogène. L’excès de l’hétérogène va susciter la résurgence de l’opposer (l’homogène). On souhaite un guide, un Big Brother qui nous défait de tous nos problèmes.

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7ème : passage progressif de l’individualisation a l’uniformisation, chaque élève était éduquer pour lui même. Prendre en compte l’élève, avoir une relation intime (confiance) entre maître et discipline. Normaliser, uniformiser l’éducation, ca commence avec Jules Ferry. Pédagogie différenciée, travail en groupe, c’est à dire que les élèves ne sont plus perçus comme des objets interchangeables, se sont des personnes a part entière (que l’élève moyen a qui je pense quand je prépare mon cours n’existe pas il n’existe que dans ma tête)

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Touts ces mouvements peuvent être représenté comme une spirale qui monte, qui s’améliore, ce sont des mouvements de types sépaloïdes

3. Une explication philosophique Si aujourd’hui les pédagogies sont variées, il y a indépendamment, de l’évolution de la pédagogie il y a d’autres éléments qui rentrent en jeux, qu’on appelle la modification des finalités. Les philosophes de l’éducation évoluent et elles sont favorisées. Philosophie de l’éducation :

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Théocentrisme : C’est apparut depuis que la croyance en dieu est appart, c’est une philosophie d’éducation basée sur le dieu sacrée, depuis l’antiquité, il y avait déjà des courants philosophiques comme e courant nationaliste, mais c’était des courants minoritaires. Dominant jusqu'à la révolution, jusqu’au 19ème siècle, sur le plan pédagogique, il veut faire de chaque élève un fidèle.

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Sociocentrisme : qui place la société au centre de l’acte éducatif, c’est à dire que l’école doit produire des enfants qui puissent être utile, employable a la société a laquelle il se destine ? Celons Durkheim la reproduction sociale c’était la mission de l’école. Il veut faire de chaque élève un citoyen (c’est honorable), mais il ne faut pas qu’il soit intégriste.

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L’anthropocentrisme : qui refuse toute prédestination, étiquetage. La fin de l’éducation se trouve dans l’individu lui même et non dans un idéal extérieur (dieu et société). Vise l’épanouissement et le développement de la personne. Leur but final c’est de développer la personne elle même (élève → personne).

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Bio centrisme : dans les années 70 on assiste au retour musclé du bio centrisme, (apparaît au 16ème siècle) elle réapparait parce que des intellectuels Américains et des livres vont véhiculer bien plus qu’avant cette philosophie. Patrimoine génétique et biologique noirs : jambes, bancs : tête, basané : cœur. → finalité : élèves vecteurs : porteurs génétiques sains. Nos comportements dépendent de nos gènes et chromosomes, celons un Américain du nom de Wilson. Dawkins dans le livre le « gène égoïste » il dis « nous sommes des machines a survis, des véhicules, des robot aveuglement programmé, pour préserver nos molécules égoïstes (gènes). Les parents n’hésitent pas à se scarifier pour leur enfant. Pierre Tullier « les biologistes vont-ils prendre le pouvoir ? »

(Lien avec le bio centrisme) Histoire des rapports entre biologie et racisme : On peut remonter jusqu’au 16ème siècle, parce qu’au commence a mettre les frontières dans les pays et mettre en place des lois. Les rapports des peuples ne sont plus ce qu’ils étaient avant. Mélange constant en Europe entre les populations mais plus à partir 16ème, l’Europe va donc après découvrir d’autre races et continents. Christophe Colomb découverte des Amériques, conquistadors, ils vont être pris en charge et soignés par les Indiens d’Amériques, juste après ils vont les massacrés. La papauté était gênée, il y a eu un grand débat sur les Indiens pour savoir si ils étaient des animaux ou des sauvages, on les appelait « des animaux a tête d’homme ». On ne savait donc pas si ils étaient des humains, leur beauté fessait penser à l’origine du monde, mais le fait qu’ils soient cannibale montrait que non ils n’était pas des chrétiens originels. Le pape Paul 3 déclarera en 1537 que les Indiens ne sont pas considérés comme des hommes. Apparait donc l’esclavagisme. Les indiens on aussi des écrits bibliques avec des manitou au lie de Dieu (homme blanc pas assez cuit, homme noir trop cuit, homme rouge parfait)

Au 16ème siècle apparait une vision laïque, par rapport a la couleur de peau, les coutumes, cela va compter plus que la religion qui peut être commune. C’est le racisme. Au 18ème siècle le naturaliste Linné va classer l’humanité de façon de liste en haut l’homme blanc l’être suprême, dessous l’homme Américain (rouge), en dessous l’asiatique (jaune), et en dessous le noir. Et puis il va classer en dessous du noir les hommes tératologiques, c’est un homme qui a une apparence physique monstrueuse (éléphante man). Toujours au 18ème un autre naturaliste Buffon dit « La blancheur est la seule couleur naturelle de l’homme … et que la noirceur est le propre de la dégénérescence et de la primitivité. » Au 19ème siècle, Chamberlain et Gobineau écrive des textes de classement des races dont Hitler va s’inspirer pour « Mein Kampf ». La meilleur classe, la plus blanche de toute, se sont les Ariens. En 1859 avec Darwin on donne des fondements à toutes ces perspectives raciales. Dans cet ouvrage « l’origine des espèces » il parle de la sélection naturelle et de la notion de lutte pour la vie (les espèces fortes l’emportent sur les faibles, voué à la disparition). D’autres auteurs lutte contre cette tendance et contre le Darwinisme. Pour eux le racisme est une histoire de colonisation interne et externe. Au 20ème siècle, plus précisément en 1926, pédagogue suisse Balmer va dire « l’école ne pourra jamais faire disparaitre les inégalités sociale parce que … ces inégalités sont biologiques. » En 1935, avec le français Alexis Carrel (grand chirurgien, spécialiste des greffes d’organes) il dit dans « l’homme, cet inconnu » (publié en 1936, pendant la montée du Nazisme), « ce qui dirige le monde c’est la biologie et non pas les politique, etc. » Vichy va faire appel a lui. Il disait que la répartition de la société ne se fessait pas par classe social, mais par la biologie profonde. Pour lui âme et tissu allait ensemble, et nous définissait. Il prend le résonnement de Darwin et l’amène tout au fond, il dit « il faut développer les fort et ne plus protégés les faible. » Le père fondateur de l’eugénisme c’est Alexis Carrel, car pour lui on stérilise les handicapés pour qu’il ne se reproduise pas. En 1940, gouvernement de vichy, une loi du gouvernement, est la loi du 18 octobre, qui définit ce qu’est un juif, et si tout ces juifs la sont profs ils doivent arrêter et ne plus enseigner parce qu’il étaient juifs. Années 70, en 1978 l’ouvrage d’un psychologue français, Pierre Debray Ritzen, « Lettre ouverte aux parents des petits écoliers », il dit « nous sommes intelligents, parce que l’hérédité explique plus de 80% de mon intelligence ». Lamarck parle de l’hérédité des potentiels acquis. En 1970 apparait le bio centrisme, appeler sociobiologie, c’est une philosophie qui nous dis qu’il faudrait interpréter les comportements sociaux en mettant en avant ses attribues biologiques. C’est le fait de procéder à un transfert de l’information biologique dans le champ social. Le professeur Wilson, prof d’Harvard et prof d’entomologie, travails sur les comportements des insectes. Cela met en place un processus de discrimination par dénonciation (non ce n’ai pas moi c’est lui. Exemple les personnes contres les immigrés sont souvent des immigrés).

Albert Jacquard écrit « éloge de la différence »

4. L’évolution contextuelle -

Un des premiers changements c’est l’essor démographique, plus le nombres de scolarisés augmente et plus les cours et leurs contenus augmentent et s’adaptent au élèves et aux nombres. En 1958, on démocratise l’entrée en 6ème. L’hétérogénéité s’observe au lycée, les méthodes pédagogiques font se multiplier et changer.

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L’essor démocratique. Une petite élite continus les études, on est destiné a une filière soit on continus sois on rentre dans la vie active. Ce n’est pas considéré comme un échec scolaire mais comme une normalité sociale.

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L’essor scientifique. Commence fin 19ème siècle, jusqu’au 20ème. Toutes sortes de sciences humaines font leurs entrées, psychanalyse, psychologie, sociologie. Arrivée du discours psychanalytique.

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L’essor technologique. C’est l’introduction de la technologie dans le domaine scolaire, informatique

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L’essor du savoir pédagogique moyen. Aujourd’hui la plus part des parents on un savoir pédagogique moyen plus élever que ceux du début du 20ème siècle, ils ont une culture générale

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L’essor de l’opposition entre matérialisme et idéalisme. Le mythe du progrès est battu en retraite.

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L’essor de l’écart entre l’institué et l’instituant. Force qui pousse l’institution à se régénérer. Lutte entre ces deux forces bureaucratique et vivante, cette tentions va jouer comme un éléments de variation qui va pousser vers la variabilités pédagogique.

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L’essor de l’incertitude. Elle est parfois liée au cumul d’expérience pédagogique contradictoire.

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L’essor lié aux interactions de tout ce qui vient de précéder. Nous somme a la fois dans un contexte démographique, scientifique, technologique, etc.

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L’essor du choc du futur (vient d’un psychosociologue américain, Alvin Toffler), le future est multiple.

→ D’autant que dans le domaine pédagogiques certaines questions restent en suspend. Tel que : - Prolongation ou réduction du temps scolaire légale ? - Accroissement ou diminution du budget de l’état ? - Maximalisme ou minimalise ? - Politisation de l’école ? l’école est neutre mais elle ne peut s’isoler du débat politique présent

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Conservatrice ou novatrice ? L’école est t-elle pas pour perpétuer l’école telle qu’elle ou pour créer un monde nouveau. Scolarisé ou déscolarisé ? Question qui se posse depuis 1980 Evolution ou révolution ? Pour certains pédagogues, hommes politiques, l’école doit changer la société, il faut d’abord commencer pas changer l’école, et dans ce cas la on est dans un processus d’évolution. Il faut d’abord changer la société et après l’école pas l’inverse ! L’école refuse dans ce cas de figure le changement social.

Chapitre 2 : Etudier quelques courants pédagogique Les options en présence : Introduction : Vu ...


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