Grands problèmes économiques contemporains PDF

Title Grands problèmes économiques contemporains
Author Js Val
Course Economie
Institution Université Toulouse I Capitole
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Mme PORTIER ...


Description

ÉCONOMIE Q = production RT = recette totale CT = coût total Rm = recette marginale Cm = coût marginal Tableau (act horaire d'un bar) P (profit) = RT (recette totale = PxQ) – CT (Coût fixe + coût variable) Pour démarrer l'activité il y a toujours un coût fixe. Même si il n'y a pas d'activité, pas de vente il y a un coût fixe. Rm = Variation RT /Variation Q = p (prix) Cm = Variation CT/Variation Q Rm est exactement le prix du bien, ce n'est pas vrai avc l'hypothèse de CPP. Si j'ai le monopole je peux augmenter les prix. Plus je produit, plus le coût total augmente donc plus le coût variable augmente car le coût fixe ne bouge pas. On est certain de faire en sorte que le profit soit maximal, donc que l'écart entre RT et CT soit très grand. Si p (euros) = Rm (euros) = Cm (euros) Si Cm > Rm alors on ne produit plus. On produit tant que Cm est inférieur ou égal à Rm. A partir du moment où Rm = Cm, on arrête de produire. Le gérant du bar réalise le profit le plus élevé lorsqu'il produit 4 à 5 L de boisson. Le profit est alors égal à 7 euros Cm pour 4L est 5 euros et Rm = 6 euros Donc Rm > Cm. A 5 L de boisson Rm = Cm, il ne faut plus produire car plus je produit plus ça me coûte. Donc là je ne produits plus. Toutefois, si le gérant raisonne à la marge, il augmente sa production tant que ….. Le profit est max qd Rm = Cm UTILITÉS TOTALE ET MARGINALE Le conso préfère tjrs consommer plus que moins Toutefois, le consommateur plus il consomme plus il est satisfait mais de moins en moins Utilité totale = satisfaction que je retire à la consommation d’un bien Utilité marginale = satisfaction retirée de la consommation d’une unité supplémentaire de bien. L’utilité totale croît avec la consommation. L’utilité marginale décroît avec la quantité consommée. (en mangeant on prend par ex des parts de pizza de plus en plus petites plus je mange, parce que je suis rassasiée) UT (utilité totale) = UT (Q)+ (+ en dessous) Um = Um(Q)- (- en dessous) EXEMPLE Exemple de la pizza coupée en 10 parts (faire dessein), je commence à manger la première part de pizza. Cette première part de pizza procure une utilité maximale, sur une échelle de 1 à 10 elle me procure 10. La 2°, 9. Um dépend des préférences, des goûts.

UT = somme Um

Um

10

10

1° part

10+9 = 19

9

2° part

26

7

3° part

...

…..

4° part

Plus on est rassasié, on mange de moins de en moins.

Voir courbe UT

4. LES INCITATIONS

DE QUOI S’AGIT-IL ? L’environnement économique est changeant. (ex : les prix des biens changent, il peut y avoir des chocs comme les changements climatiques), on va donc être incité à réagir et on modifie notre comportement en fonction des changements / chocs, on revoit nos choix. Ex : les individus réagissent aux changements de politique économique Les mesures de politique économique relèvent de l’État Ex : Taxer l’essence, augmenter les droits d’inscription à l’université, réduire les impôts, augmenter les dépenses publiques. LA TAILLE DE L’ÉTAT L’État est composé de l’ensemble des administrations publiques centrales (ministères, hôpitaux, universités, musées … tout ce qui est national) et locales ( tout ce qui concerne les régions, départements, communes) La taille de l’État dans l’économie ? Secteur publique : toutes les administrations centrales et locales et toutes les entreprises publiques dans lesquelles l’État est majoritaire dans le capital. En 2019 (%)

Emploi public/ emploi total

Dépenses publiques /PIB

Taux de prélèvement obligatoire (cotisations sociales + impôts)

E-U

15

39

25

Japon

7

43

27

UE

16

49

39

France

20

57

45

Les E.-U. 15 % de l’emploi public total, Dépenses public qui concernent 39 % du PIB ( toutes les richesses crées au cours d’une année), et un taux de prélèvement obligatoire qui est la plus bas : 25 %. La France est à l’opposé, elle est très interventionniste, la représentation de l’État est la plus importante par rapport aux E.-U. Et dans l’Europe. DOMAINE D’INTERVENTION DE L’ÉTAT Initialement, le domaine d’intervention de l’État était limité à ses fonctions régaliennes : défense nationale, affaires étrangères, police, justice, émission de monnaie (imprimer des billets, fabriquer des pièces, accorder des crédits aux banques). l’État a le monopole de l’émission monétaire. Dès le XIX° s, le domaine d’intervention de l’État s’étend au domaine économique : éducation, santé, transport, culture... ( ce sont des domaines d’activités dans lesquels il n’est pas possible des entreprises privées s’en chargent car les coût d’installation sont très important (coût fixes), ces entreprises n’ont pas d’intérêt à les financer) Il redistribue les revenus (même aux E.-U. l’État prélève les impôts, il intervient dans le processus de répartition des richesses) via l’impôt et intervient parfois dans le processus de production : il produit des biens dans ces domaines. POURQUOI L’ÉTAT INTERVIENT DANS L’ÉCONOMIE/ dans le marché ? Pour garantir l’efficacité économique : Comme les ressources sont rares, l’État va aider le M a faire en sorte que le PIB soit le plus important possible, l’État a pour objectif que te taux de croissance soit correct/positif, on maximise le PIB. Pour garantir l’équité économique : Justice sociale. L’État intervient dans la répartition des richesses via l’impôt ou par l’éducation et soins gratuits (même condition d’accès à l éducation, aux soins pour tous). Pour garantir la stabilité économique : Relève essentiellement du domaine macroéconomique (niveau d’un pays). Il s’agit de se demander quel est l’objectif du pays. Si c’est la stabilité économique, ça peut être un taux de croissance stable. ( ex taux de croissance de 2 % / an). Les instruments utilisés par l’État pour garantir cette stabilité économique sont le budget et la monnaie : la politique budgétaire et la politique monétaire. (on peut avoir des objectifs de taux de croissance, de PIB, d’inflation, de chômage) En Europe il y a une politique monétaire commune par le biais BCE à Francfort. L’État conduit la politique budgétaire et monétaire afin d’assurer la croissance, lutter contre le chômage ou l’inflation. LA POLITIQUE BUDGÉTAIRE L’État exerce un contrôle sur les dépenses publiques et les recettes fiscales. Les dépenses publiques = dépenses liées à la dette publique ( en France > 100 % du PIB, ce n’est pas alarmant si le ratio dette / croissance du pays est positif), les dépenses de personnel (concernent les rémunérations des fonctionnaires), les dépenses de fonctionnement ( fait de faire marcher tout ce

qui est publique), les dépenses d’investissement (concerne l’accroissement du secteur publique en investissant) ou d’intervention(aide d’entreprises, de personnes en difficulté , le payement des intérêts de la dette souveraine(car on emprunte pour rembourser la dette). Pour l’État, les recettes ne sont pas égales aux dépenses. Les recettes fiscales regroupent les impôts directs( : impôt sur le revenu (en France il est progressif, il y a des tranches d’impôts, il y une progression de l’impôt qui fait que plus on est riche plus notre taux marginal de l’impôt est important) et impôt sur le bénéfice) et les impôts indirects. (TVA : taxe sur la valeur ajoutée, elle est en général de 20% sur le prix du bien. La TVA est prélevée par les entreprises qui la reversent à l’État mais elle est payée par les consommateurs. C’est un impôt indolore, et injuste car tous le monde paye le même taux de TVA, on ne considère pas les riches et moins riches et la TIPP : taxe intérieure sur les produits pétroliers ). Elle dépend des E, pas commune dans l’Europe Son instrument c’est le budget. En 2017, en France, les recettes fiscales sont de 286 milliards d’euros dont 145 milliards pour la TVA. L’Etat influence l’activité économique via les dépenses publiques ou les recettes fiscales. Pendant les récessions, l’Etat augmente les dépenses publiques et/ou diminue les impôts pour soutenir la demande de biens et services et ainsi la production et l’emploi. Pendant les expansions, l’Etat diminue les dépenses publiques et/ou augmente les impôts pour réduire la demande de biens et services. LA POLITIQUE MONÉTAIRE Son instrument c’est le taux d’intérêt directeur. En Europe, elle est commune pour tous les pays La BCE qui se situe à Francfort prête de la Mon aux banques com au taux d’intérêt directeur. La BCE a pour objectif de maintenir la stabilité des prix. La BCE agit sur la quantité de monnaie, elle en injecte sur le marché. La BCE a de l’effet sur l’activité économique car elle agit sur les banques commerciales, banques de second rang. Actuellement le taux directeur est < 1 %. Si ce taux est bas, la BCE soutient l’activité alors les banques com empruntent à la BCE et accordent des crédits aux particuliers. C’est le quantitative easing: elle a injecté de l’argent dans l’économie pour faire face à la crise de 2008.La BCE a le monopole de la quantité de monnaie qui circule dans le système économique. Si ce taux est élevé alors les banques com empruntent peu à la BCE et accordent peu de crédits aux particuliers. Elle va freiner l’activité économique, les banques prêtent moins, les consommateurs consomment moins, donc il y a moins de création de richesse. On peut utiliser les deux politiques. Jusqu’à la mise en place de la BCE en 2002, la Banque de France était assujetti au gouvernement. Maintenant l’intérêt directeur est indépendant des gouvernement, le taux ne peut pas être influencé par les gouvernements. L’ETAT CONTRÔLE-T-IL L’ECONOMIE ? Il est difficile pour l’État de contrôler l’économie à partir de la politique économique car : -Un délai interne existe entre le moment de la prise de décision (ex : baisser le taux d’intérêt)et la mise en œuvre d’une politique économique. (ex : réaction des banques commerciales) -Un délai externe existe dans la mise en œuvre et le résultat d’une politique économique. On est pas sûr que tous les consommateurs vont réagir pareil à la politique économique.

LES MULTIPLICATEURS Y=PIB. G = dépenses publiques. T=Recettes fiscales . M=Monnaie BC. Le multiplicateur budgétaire g est égal à : g=Variation Y / Variation G, g>0 Si le budget augmente, le PIB augmente aussi. Le multiplicateur fiscal t est égal à : De combien va varier le PIB lorsque les impôts varient. t= Variation Y / Variation T, t0 Si le niveau de monnaie augmente, le PIB augmente aussi. APPLICATION : g=1,8 t= - 1,5 m= 1,9 De combien varie Y si G augmente de 1 milliard d’euros ? Variation Y = 1,8 milliards d’euros

Même question si T diminues d’1 milliard d’euros. Variation T = 1,5 milliards d’euros

Même question si M augmente d’1 milliard d’euros. Variation M = 1,9 milliards d’euros

La politique monétaire est donc la plus efficace. 5. L’ÉCHANGE DE QUOI S’AGIT-IL ? L’échange des biens identiques, substituables conduit à une concurrence rude entre les pays. L’échange ne profite qu’au seul pays qui emporte le marché, il y a un gagnant et des perdants. Ex ; si la France se lance dans la production de textile, elle est perdante car c’est le pôle Asie qui domine le textile. Ses coûts de productions sont vraiment inférieurs donc les prix sont moindres. L’échange est un jeu à somme nul : le gagnant emporte tout. Celui qui gagne est celui qui a le coût de production le plus bas, il emporte tout le marché. La grande majorité des biens échangés sont différents les uns des autres ce ne sont pas des biens identiques, qui ne sont pas substituables entre eux. Donc j’ai intérêt à échanger. L’échange est alors profitable à tous. (Ex ; L’Allemagne qui importe beaucoup de bananes décide de fermer ses frontières. A la place ils mettent en place des serres, mais le coût de production va être très important. Ou l’Allemagne taxe les bananes qui entrent venant de pays chauds. ).

PROTECTIONNISME (taxes à l’importation et subventions à l’exportation, droits de douane) VS LIBRE ÉCHANGE (droits de douane nuls). Au sein de l’Europe les droits de douane sont nuls, les consommateurs gagnent.

ÉTUDE DE CAS : Les gains à l’échange Pour échanger min 2 pers et il fut 1 offreur et 1 demandeur. Deux B : pomme de terre et viande. ( pdt et v) 2 individus : un cultivateur et un élévateur. Ils peuvent tous les 2 produire les 2 biens. Tps de L journalier : 8h. Le tps en minutes nécessaire pour produire 1 kg est : 1kg pomme de terre

1Kg viande

Cultivateur

15 min

60 min

Éleveur En une journée de L :

10 min

20 min

Pomme de terre

Viande

4kg par heure x8h = 32 min

8 x 1 kg par heure = 8 min

Cultivateur

Éleveur 8h x 6 kg par h = 48 min 8h x 3 kg par h = 24 min Si les individus n’échangent pas, ils consomment leur P°. En général, ils préfèrent diversifier leur P° et leur conso°. Ils ont intérêt à échanger. Si les 2 produisent les 2 B et consacrent un tps égal à produire chaque B alors ils produisent et consomment. Donc chacun consacre 4 h à produire de la viande et 4h de la pomme de terre. Pomme de terre

Viande

Cultivateur

4 h x 4 kg = 16 kg

1 kg x 4 h = 4 kg

Éleveur

6 kg x 4h = 24 kg

3 kg x 4 h = 12 kg

Selon le tps nécessaire à produire, l’éleveur est tjrs + compétitif que le cultivateur. ( Ex en 4 h, l’éleveur produit 6 kg de pomme de terre tandis que le cultivateur produit seulement 4kg). L’éleveur a un intérêt absolu par rapport au cultivateur dc il n’a pas intérêt à échanger. Celui qui offre, c celui qui offre au coût de production le plus bas, le tps passé en min à produire c le coût de production : selon la Théorie des Avantages Absolus d’Adam Smith. La théorie des avantages comparatifs de D. Riccardo : Notion de coût d’opportunité. Pour une heure de L supplémentaire, le coût d’opportunité est égal à : Pomme de terre

Viande

Cultivateur

4 kg

1 kg

Eleveur

6 kg

3 kg

Si je choisi de faire de la pomme de terre en tant que cultivateur, au bout d’une heure je produit 4 kg , je renonce à 1kg de viande. L’éleveur en heure produit 6 kg de pomme de terre, s’il choisit la pomme de terre il renonce à 3 kg de viande. Au bout d’une heure de tps : (cultivateur ) = 4 kg pomme de terre/ 1 kg viande. Eleveur = 6 kg pomme de terre / 3 kg de viande = 2 kg / 1kg ;

Le cultivateur va se spécialiser ds la production de pomme de terre car le coût d’opportunité de pommes de terres est moins important. Pour le cultivateur : si je produit 4 kg de pommes de terres supplémentaire, je renonce à 1/4 kg de viande. Pour l’éleveur produit 6 kg de pommes de terres il renonce à 1/2 kg de viande.

Dc l’éleveur fait de la viande, et le cultivateur qui renonce à moins de viande ( 1/4 < 1/2) produit de la pomme de terre. Selon le tableau il y a intérêt à échanger. Le cultivateur offre des pommes de terres et demande de la viande et l’éleveur offre de la viande et demande des pommes de terres. Le cultivateur va se spécialise ds la pdt car le coût d’opportunité de cultiver 1 kg de pdt ( 250 g de viande ( 1/4)) est moins élevé que celui de l’éleveur (500 g (1/2)) L’éleveur se spécialise ds la viande, le coût d’opportunité de produire 1 kg de viande ( 2kg pdt) est moins élevé que celui du cultivateur ( 4 kg de pdt). Tant que le tx d’échange X est compris entre 2 et 4 kg : 2 kg pdt 0 en f° de sa disposition à payer ( préférence et contrainte budgétaire).

Si Prix > Disposition à payer du Deur alors D = 0. Le conso veut que le prix soit le plus bas possible et le producteur veut que le prix soit le plus haut possible. Main invisible fait que tant que coût de P° < Prix < Disposition à payer il y a de l’échange. La main invisible est une notion mise en évidence par Adam Smith en 1776. ( Au XVIII°s, c le siècle des lumières. Main invisible : chacun recherche son intérêt personnel , la seule chose commune à ces individus c le prux du B qui fédère les souhait de chacun : tant que coût de P° < Prix < Disposition à payer il y un accord entre offreurs et Deur, ça les satisfait les 2 dc il y a de l’échange. La “magie” de la main invisible vient du fait que les prix des B reflètent à la fois la valeur que la société accorde aux biens et ce qu’il coûte à la société de les produire. LE THÉORÈME DU BIEN-ÊTRE : Le théorème du B-ê fait référence à la notion d’efficience (efficacité)est un concept normatif lié à la maximisation du B-être : considérer la maximisation du profit pour les producteurs et la maximisation de l’utilité pour le consommateur. L’efficience maximale (maximisation du B-ê)est atteinte au pt d’équilibre ( Prix et Quantité pour lesquels les Deurs et offreurs s’entendent) concurrentiel (équilibre concurrentiel : il faut que sur un M il y ait bcp d’offreurs et de Deurs, on constate qu’aucun de ces agents économiques n’influencent le prix) : c le 1er théorème du B-ê. Ds cette théorie c le M qui prime, il y a une perte du poids et pouvoir de l’E. Le libre fonctionnement des M conduit à un équilibre pour lesquels les gains à l’échange sont les plus élevés. 4 HYPOTHÈSES : CPP ( 5hyp) Hyp 1 : Les entreprises sont preneuses de prix. Les ent ne peuvent que constater le Prix du B, la seule décision qu’elles peuvent prendre c que compte tenu de ce prix, s’il est supérieur ou égal à leur coût de P° elles vont produire, sinon elles ne produisent pas. S’il y +++ ent elles sont en concurrence. En général, un M concurrentiel le prix pratiqué par l’ens des ent est = au coût marginal de P° ( coût du dernier B réalisé), elles ont ttes le même coût. Mais alors le profit sur le M est nul, mais les ent qui sont le M concurrentiel sont en général sur d’autres M où elles vont réaliser du pouvoir de M. Hyp 2 : Il n’ y a pas B ou de S public (B commun) qui est échangé sur le M. Ex : éclairage public qui bénéficie à tt le monde. Si cet éclairage est géré par une ent privée, alors les gens préféreront rentrer chez eux avant la nuit. Ces B ne mettent pas en concurrence les gens, il y a non-exclusion (on ne peut pas empêcher une pers d’y avoir accès) et non-rivalité. Ces biens sont financés par les impôts donc tt le monde contribue. Hyp 3 : Les consommateurs ont une information parfaite sur les B et S offerts. Ce n’est pas tjrs le cas. (Ex : cas du M des voitures d’occasion. : aléa d’information…) Ici l’E va aider le M en mettant en place des N (contrôle technique, assurance…). Hyp 4 : Il n’existe pas d’externalités. : L’échange va avoir un impact sur d’autres individus, il n’est pas pris en compte par le M, l’externalité est négative (ents chinoises qui polluent) ou positive (l’éducation gratuite en Fce). Le coût externe /de pollution n’est pas compris ds le coût de production dc ds le prix de vente. L’E peut taxer ces ents qui polluent ppur les inciter à prendre en compte le coût externe ds le coût de P°. Elle peut répercuter ds le prix de vente la taxation de l’E. (Hyp 5 : les ind sont libres de quitter ou d’entrer le M librement. ) Il faut que ces 4 hypothèses soient respectées pour atteindre l’équilibre. PRINCIPE 7 : LE RÔLE DE L’E DE QUOI S’AGIT-IL ?

L’E est présent ds les économies de M car il est le seul garant du respect des droits de propriétés. Le fondement de tte économie de M décentralisée c la propriété, il y a une confiance qui s’instaure, pour échanger la confiance est nécessaire. S’il n’y a pas de confiance, il n’y a pas d’échange. Même ds une économie de M la plus libérale, l’E veille au respect de la confiance et des droits de propriété. La présence de l’E est nécessaire ds les économies de M lorsque la main invisible n’assure pas une allocation soit efficace, soit équitable des ressources. Il cherche à mettre en place une meilleure allocation des ressources. (équité horizontale = égalité des chances d’accès / équité verticale = redistribution des ressources des plus riches vers les moins ric...


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