CM1 introduction à la psychologie clinique PDF

Title CM1 introduction à la psychologie clinique
Course Psychologie Clinique B1
Institution Université de Nantes
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L1 Droit semestre 1...


Description

Psychologie clinique- Introduction à la psychologie clinique [email protected] Aller voir sur madoc pour le plan des cours magistraux HPS1-11 -

Ledoux.A (2013) La communication non verbale dans l’entretien clinique.In C. Chiland (Eds) L’entretien clinique. Paris : PUF Marc E et Bonnal C (2014) Les dispositifs groupaux. In Le groupe thérapeutique. Paris : Dunod Pednielli. J-L (2005). Clinique de l’étude de cas. Les faits. In. L’observation clinique et l’étude de cas Paris : Armand Colin. A TELECHARGER SUR MADOC

Pour bosser ces textes :     

Qu’avez-vous retenu ? Qu’avez-vous compris ? A quoi sert le texte dans votre formation selon vous ? Quels sont les points clés, les réflexions les plus importantes à retirer du texte selon vous ? Pourquoi a-t-il pris le temps de l’écrire ? Quels liens faites-vous avec le CM de clinique ou avec d’autres enseignements en psychologie ou ailleurs ? Qu’est-ce que vous n’avez pas compris, qui paraît important ?

Examens : QCM (6 séances + 3 textes) ou CC, science direct, PubMed, PsycINFO, google scholar

I.

Introduction et définitions

Qu’est-ce que la psychologie clinique ? Bah c’est difficile à définir parce que les auteurs ont donné des définitions différentes. a.

La psychologie

Vient du latin psychologia : psukhe (le souffle, l’esprit, l’âme) et logia (la science, l’étude, la recherche) : donc la science de l’âme => Etude scientifique des effets psychiques et des conduites. Connaissance empirique ou intuitive des émotions, des comportements, des manières de penser, de sentir et d’agir qui caractérisent une personne ou un groupe de personne. La psychologie constitue un ensemble de théories, et une pratique. -> Tous les principes qu’on va apprendre s’appliquent dans une pratique : celle du métier de psychologue. SH, elle a pour vocation de diagnostiquer, de conseiller, de soigner et d’éduquer. Les sources de la psychologie sont philosophiques -> Rencontre de la philosophie avec la médecine. Selon « l’Unité de la psychologie » de D. Lagache, il est difficile de définir LA psychologie. En général les chercheurs se sont plutôt intéressés à des types propres de la psychologie. « Résolution entamée avec le concept de « champs psychologique » de Kurt Lewin ? Il le défini comme le « champs des interactions entre l’organisme et le milieu, et la psychologie a pour objet ces interactions » ». Mais ce n’est pas vrai car les interactions ne relèvent pas tjr de la psychologie. Dans son article il cherche à les regrouper. Mettant néanmoins à part la psychanalyse, il dit que celle-ci apporte à la psychologie clinique mais pas qu’elle est dans la psychologie clinique. Je dois également souligner qu’il existe une muuultitude de psychologies. Je connais la psychologie sociale, cognitive, clinique et du dvlp mais en réalité elles s’entrechoquent et d’autres plus précises apparaissent : psychologie expérimentale, de la famille… On peut parler par exemple de la psychologie évolutionniste qui veut expliquer la pensée, les comportements humains à partir de la théorie de l’évolution biologique et la psychologie du développement qui se sont pas mal opposées : ces derniers ont considérés que les premiers cherchaient à réduire les comportements et le dvlp humain à de simples bases génétiques, mais au final d’autres chercheurs ont alliés les deux… Bon. b. La clinique :

Nous on va parler de la psychologie clinique plus précisément. Etymologiquement elle signifie klinikê = au lit du malade. Au départ c’est une spécificité du médecin. C’est une activité qu’on nomme « clinique » et non pas un lieu. Activité avec ses spécificités et une certaine forme de savoir. C’est un savoir « in vivo » (= sur l’être vivant individuel, ici l’être humain) car elle part d’une préoccupation du sujet malade. Cette démarche clinique se fonde sur la rencontre de deux individus au moins. Cette rencontre clinique permet le développement d’un savoir du sujet unique et singulier. Cette reconnaissance de la singularité (= on est tous différent) est au cœur de la psychologie clinique. Cette rencontre va demander une certaine subjectivité. Il y en a 2 : -

La subjectivité du sujet qui aborde sa vie, ses problèmes, difficultés en fonction de la perception qu’il en a. Ex : je ne raconte pas un traumatisme objectivement, je raconte ce que j’en ai vu La subjectivité du praticien qui va recevoir, percevoir de l’information qu’ils ne vont pas percevoir non plus totalement objectivement puisqu’ils ont eu même leur histoire, leur passé Il y en a aussi une troisième : la subjectivité inhérente à la rencontre, au contexte dans lequel cela s’est fait. (voir CM sur l’observation clinique)

Les outils du clinicien : -

L’entretien clinique L’observation Test, échelles, questionnaires

On parlera de clinique à mains nus quand on utilise uniquement l’observation et l’entretien. Et on parlera de clinique armée ou instrumentale quand on va aussi utiliser des tests, questionnaires. La psychologie clinique s’est développée à la fin du XIXème s et a pour objectif l’étude la plus exhaustive possible des processus psychiques d’un individu ou d’un groupe d’individu dans la totalité de sa situation et de son évolution (c’est important de voir touut). La psychologie clinique étudie le normal autant que le pathologique et s’intéresse à tous les âges de la vie. La psychologie clinique étudie les spécificités d’une classe d’individu qui sera confrontée à des situations similaires. Ex : les situations d’hospitalisation peut importe que ce soit des hommes, des femmes, qui sont concernés, etc. On peut étudier des classes d’individus du même âge ou qui souffrent de la même maladie : schizophrénie, anorexie mentale… Définitions : « Il s'agit d'une science de la conduite humaine, fondée principalement sur l'observation et l'analyse approfondie des cas individuels, aussi bien normaux que pathologiques, et pouvant s'étendre à celle des groupes » (Lagache, 1949) « Elle est une psychologie individuelle et sociale, normale et pathologique ; elle concerne le nouveau-né, l'enfant, l'adolescent, l'homme mûr et enfin le mourant. Le psychologue clinicien remplit 3 grandes fonctions : de diagnostic, de formation, d'expert, apportant le point de vue du psychologue auprès d'autres spécialistes. Le psychologue clinicien reçoit une formation de base nécessaire mais non suffisante pour devenir éventuellement psychothérapeute (...) » (Anzieu, 1983) Ces deux définitions donnent l’objet, la méthode et le but de la psychologie clinique L’objet c’est l’ensemble des conduites humaines, adaptées ou inadaptées, normales ou pathologiques. La méthode c’est essentiellement le recueil des faits par l’observation et l’analyse de ces productions. (Rendre ça intelligible) Le but c’est de conseiller, diagnostiquer, guérir et d’éduquer. Bref la psychologie clinique est autant théorique que pratique. C’est une sous-discipline de la psychologie qui s’intéresse particulièrement à l’étude, à l’évaluation, au diagnostique, à l’aide et au traitement de la souffrance psychique quelle que soit l’origine de cette souffrance psychique.

II. Psychologue ? Psychiatre ? Psychanalyste ? Psychothérapeute ? Le psychologue a fait des études à la fac de psycho et est allé jusqu’au master 2 : titre de psychologue. Puis référencé à l’ARS sur la liste ADELI. Il ne peut pas prescrire de médicament car il n’a pas été à la fac de médecine. En fonction de son histoire il pourra avoir une orientation thérapeutique spéciale propre. Le psychiatre. La psychiatrie s’intéresse plus spécialement aux maladies mentales. Il a fait 6 ans de médecine + 4 ans de spécialisation en internat. Lui peut donc prescrire des médicaments. Il est alors responsable et peut être attaqué en justice pour ce qu’il a fait en tant que médecin psychiatre. Guelfi manuel de psychiatrie. Le psychanalyste. La psychanalyse a été « inventée » par Freud, elle pose l’hypothèse centrale de l’inconscient. Pour lui la psychanalyse est un procédé d’investigation des processus mentaux à peu près inaccessibles autrement. C’est également une méthode qui est fondée sur cette investigation pour le traitement des désordres névrotiques (donc ce n’est pas juste étudier pour étudier, pratique, théorique). Et c’est enfin une série de conceptions psychologiques acquises par ce moyen et qui s’accroissent ensemble pour former progressivement une nouvelle discipline scientifique qu’on appelle la métapsychologie (théorie fondamentale de la psychanalyse). Le psychanalyste va travailler avec cette base de théorie. Le titre de psychanalyste n’est pas réglementé. Les psychanalystes ont leur propre école et vont se reconnaître entre eux. Un des pré requis est d’avoir fait soi-même l’expérience d’une psychanalyse. La durée est d’en moyenne 8 ans : cf TD et la fiche qu’elle nous a donné La recherche psychanalytique porte sur la différence entre pensée consciente ou inconsciente, ce qui est certainement différent de la recherche en psychologie Le psychothérapeute. Depuis un décret de 2012 son titre est protégé. Il faut un certain nombre de pré requis puis la demande se fait encore à l’ARS. C’est donc les médecins, les psychologues, les psychanalystes reconnus etc. En fonction de ce qu’on a déjà on va devoir repasser des stages etc. Je ne suis pas sûre d’avoir tout compris mais il me semble que le psychothérapeute est celui qui met en place une thérapie, donc qui traite réellement le patient. On peut devenir psychothérapeute lorsqu’on est psychologue car on a les bases théoriques. Mais alors si je dis ça cela suppose que le psychologue tout seul ne peut pas exercer de thérapies ? Si en gros un psychologue qui se dit psychothérapeute, il n’y a rien de moins logique, mais c’est une dénomination à part entière quand même (sûrement parce qu’avant elle n’était pas protégée). On peut combiner les trois. III. Psychopathologies et psychothérapies a.

La psychopathologie

Le lien entre psychopathologie et psychologie clinique est discutable, en effet tous les chercheurs ne sont pas d’accords pour mettre cette dernière comme un domaine de la psychologie clinique, mais certains le font. Pedinielli les met ensemble. Ménéchal considère que la psychopathologie fonde la clinique. La psychopathologie est cependant plus vielle que la psychologie clinique « précurseur de la psychologie » selon Olivier Douville. Pedinielli dans son livre nous dit que la distinction entre psychologie clinique et psychopathologie n’est pas évidente. Certains alors considèrent que la psychologie clinique est une psychopathologie des troubles mineures (elle s’intéresse aux troubles moins graves) entre autre. C’est la somme des savoirs qui tentent d’étudier, de décrire, de comprendre et d’expliquer comment une pathologie peut apparaître ou est apparue au regard de la dynamique psychologique du sujet. = « psychologie du pathologique ». Quand on parle de psychopathologie on parle de maladies mentales. La psychologie s’intéresse autant au normal qu’au pathologique, la psychopathologie s’intéresse au pas normal = la psychopathologie peut être définie comme une approche visant à comprendre de manière résonnée la souffrance psychique (Roussillon). Pedinielli dans « Introduction à la psychologie clinique » précise néanmoins que le champ de la psychopathologie est bien plus large que la simple étude des maladies mentales : « Son objet est la pathologie mentale avérée, les effets de toutes pathologies, la souffrance exprimée, la souffrance inexprimable via diverses médiations (humeur, cognitions et conduites, et certains comportement « anormaux » pour lesquels la légitimité de sa réflexion peut poser des questions éthiques. » : ils ne cherchent pas simplement à trouver la cause de la démence, mais à reconstituer entièrement le monde, le passé de la personne démente : on étudie la démence, on ne cherche pas les causes à celle-ci (à ce que je comprend )

En psychopathologie on cherche plus que des symptômes, il s’agit d’une approche plus vaste qui inclue l’analyse générale du psyché même avant l’apparition de la maladie mentale ou de la souffrance psychique. La psychopathologie a plusieurs approches : -

L’approche nosographique : Approche de classification qui selon Doron et Parot (dans mon dictionnaire) ont tendance à se fonder sur des critères de diagnostic a priori. L’approche psychodynamique ou structurale = Qualifie des conceptions dérivées de S. Freud au sujet du fonctionnement psychique : on se met du point de vu de la personne pour comprendre ce que elle n’a pas vu, rendre conscient ce qui est encore inconscient.

Deux manières de voir mais aussi de soigner (car on le rappelle la psychologie et la manière de traiter part d’une base théorique) b.

Les psychothérapies

C’est un mode de prise en charge psychologique d’un trouble ou d’une souffrance psychique chez un individu (psychothérapie individuelle) ou d’un groupe d’individu (psychothérapie de groupe) Elle va permettre un changement psychique qui s’instaure dans le cadre d’une relation à un professionnel spécifique. Le terme regroupe l’ensemble des méthodes codifiées soutenues par une théorie scientifique, une validation des résultats, qui visent, par des moyens psychologiques, à permettre à un sujet de comprendre et de modifier certains de ses comportements ou de ses pensées dans un sens bénéfique pour lui Il existe aujourd’hui une multitude de psychothérapies qui sont toutes sous-tendues par un modèle, une théorie. La manière dont on va concevoir le psychisme aura un impact sur les positions psychothérapeutiques. Donc on ne propose pas les mêmes choses aux patients. Face à cette multitude, des chercheurs se sont intéressées à l’intérêt de toutes ces psychothérapies : il en arrive qu’il existe un certain nombre de points communs et que c’est ceux-ci qui permettent la réussite de la psychothérapie. L’un de ces points communs est : l’alliance thérapeutique qui est un mot utilisé pour la première fois par Freud en 1913. A cette époque il définie la psychothérapie comme une considération bienveillante de la part du thérapeute pour développer un échange réciproque entre lui et le patient. Il insistait sur une alliance forte entre les deux. Karl Rogers a défini l’alliance thérapeutique comme un engagement essentiel à la thérapie qui va englober plusieurs choses : une confiance réciproque (la confiance étant un sentiment de sécurité de celui qui se confie à qqn et réciproquement) qui va se construire au fur et à mesure. Il faut que chacun soit responsable de cette confiance. Le deuxième point c’est l’acceptation inconditionnelle qui est l’idée d’accepter son patient dans tout ce qu’il est et ce qu’il a été et fait ou qu’il a fait. Le troisième point c’est la question de la confidentialité. Cette alliance est indispensable mais pas suffisante. Comme je le disais tout à l’heure une psychothérapie vient d’un modèle théorique indispensable (code de déontologie). On va en voir 4 : -

Thérapies d’inspiration psychanalytique : Il est discutable de mettre la psychanalyse dans la case « psychothérapie » car elle ne vise pas à changer les comportements directement, cela se fait de manière corrélationaire grâce à l’analyse et à l’expression, la remontée de l’inconscient (selon Freud). Mais parler de thérapies d’inspiration psychanalytiques ce n’est pas que parler des psychanalyses car en effet il existe d’autres psychothérapies qui se base sur la théorie Freudienne.

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D’inspiration cognitive et comportementale (TCC) : elles ont pour principe l'aide donnée à un sujet pour se libérer de pensées contraignantes, en lui fournissant des règles de conduites nouvelles. Les thérapies humanistes : Vise plus à un épanouissement de la personne qu’à régler un soucis. Les thérapies systémiques : dans celles-ci on considère l’interaction entre les différents membres d’un groupe comme essentielles (Palo Alto)

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Les thérapies intégratives (plus contemporain) = on va aller chercher des outils, des concepts qui vient des autres champs théoriques et les intégrer les uns aux autres

IV. L’histoire de la psychologie clinique : La psychologie clinique est apparue dans un contexte où la notion de « clinique » avait déjà une définition et qualifiait des pratiques médicales. Le terme de « psychologie clinique » a donc eu du mal, notamment en France, à se faire une place, l’institution médicale n’acceptant pas tellement l’idée. a.1 Psychologie La psychologie est née je ne sais pas trop quand mais disons vers 1820 de la fracture de celle-ci avec la philosophie (« en se développant suivant un modèle expérimental ») et la médecine. Plusieurs branches en sont apparues : psychologie expérimentale, psychologie différentielle, du dvlp, psychanalyse. Chacune ayant son fond théorique, son objet et ses pratiques propres même si dans tous les cas ils cherchent à comprendre les comportements. a. De l’origine de la psychologie clinique En France on a la particularité que la psychologie clinique a été très influencé par la psychanalyse. Les méthodes cliniques n’appartiennent pas qu’aux champs psychologiques, en effet à la base cela dépendait du champ médical, c’était à la base une simple collection de cas, de faits pathologiques. Seulement la psychologie a créé une réelle rupture avec le sens originale en s’inscrivant dans un projet totalement différent (cf. CM2 et les méthodes). Elle commence au XVII-XVIIIème s de la rencontre entre la philo et la médecine. Le passage de la simple collection à la réelle psychologie clinique a dépendu de plusieurs facteurs : -

Une nouvelle définition des structures de soin (on va changer la façon dont on voit la maladie mentale) Un nouveau statut pour le malade Un débat avec un intérêt grandissant pour la singularité de l’individu mais également de l’influence de son environnement social Le positionnement de l’individu au sein d’une expertise scientifique = dvlp considérable de l’étude de cas, nécessité de décrire et d’ordonner les faits avant de les expliquer. Développement du nombre et de la qualité des observations cliniques Souhait d’une base de connaissance solide sur le fonctionnement et la dynamique du psychisme humain.

L’essor de la psychiatrie clinique a également été un bon terreau à cela. La méthode clinique est donc une révolution dans la manière d’envisager la maladie, de la reconnaître et de la traiter. Cette discipline s’est réellement développée au XIXème s. grâce à l’essor de la psychiatrie clinique, mais ce n’est pas le début début de la psychologie clinique En effet, depuis le cogito jusqu’à Spinoza on essayait de comprendre le monde (et donc l’individu) par une logique purement scientifique de causalité générale en oubliant complètement le particulier. Seulement, par la suite, il leur a bien fallu admettre que cette vision des choses n’expliquait pas tout, notamment par toutes les contradictions qui résultaient du travail des philosophes. Alors on a essayé de rendre ça plus scientifique. Deux options s’offraient : soit faire en sorte que la psychologie soit une science qui donne des donnés objectives et générales, mais alors on est plus tellement dans le psychique. Soit on considère ce paradoxe entre scientificité et psychologie (subjectivité) pour essayer de donner un truc pas trop mal : « produire néanmoins une théorie du singulier digne du discours scientifique » (Olivier Douville- les méthodes cliniques en psychologie). Finalement ça va donner deux voies à la psychologie clinique : la première avec une psychologie que O. Douville qualifie de « un sujet sans psychologie ou celui, inverse, d’une psychologie sans sujet » et la seconde qui accepte que cette contradiction entre science/ objectivité et subjectivité/cas par cas soit l’objet même de la psychologie clinique. b. Un peu d’histoire, de Mesmer à Charcot Déjà avant il y avait déjà des gens qui faisaient de la clinique sans en faire pour de vrai

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Mesmer était un médecin allemand qui a développé une théorie qui est celle du magnétisme animal. Il a fait l’hypothèse de l’existence d’un fluide physique subtil et qui emplirait l’univers...


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