Psychologie Clinique - Psychoses PDF

Title Psychologie Clinique - Psychoses
Course Intelligences et apprentissages
Institution Université de Caen-Normandie
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Summary

Cette unité fait partie de l'UE11 pour Licence 2 (Intelligence et apprentissage). Cette fichier contient tous les cours de prof. Marchand (partie psychoses) pour cette unité - approche de clinique. Les questions pour examen de cette partie sont au format de QCM....


Description

CM: UE12 – Psychose Plusieurs types de psychopathologie, les deux plus importants : - Psychopathologie biologique - Psychopathologique psychanalytique Psychanalyse – se fonde sur l’étude de cas individuel pour compréhension théorique – métapsychologique. On étudie se qui est dans psychologie invisible, tous qui est échappe de sujet. La réalité psychique c’est la construction fantasmatique de la réalité objective. La subjectivité se construire dans intersubjectivité dans les premiers jours de la vie, dans la relation avec les autres. Rien de ce qui existe en nous ne se construire seul. ● La réalité psychique est déterminant – elle a conséquences dans la vie réelle. Ex. La personne se suicide à cause de sa réalité psychique. Le sujet a les idées mélancoliques d’estime de soi, la personne arrive à une limite où il ne peut plus. Leur psychique est déterminant. ● La réalité psychique est hyper complexe et relative – on peut par prévoir ce qu’il va se passer. ● La réalité psychique c’est la capacité à se ressentir. Souvent les personnes qui ne se ressentissent pas ils sont avec les troubles psychotiques. Ex. dans les troubles psychosomatiques, le corps va exprime la souffrance, particulièrement souffrance psychique qui n’était pas ressentir par le sujet. ● La réalité psychique c’est la difficulté à se percevoir, soit dans le rapport de soi soit de manière comment les autres nous perçoivent. Ex chez la personne qui souffre de paranoïa, elle va penser que les autres pensent mal de lui. Ou la personne anorexique qui se voit tjr très grosse dans le miroir. Le narcissisme par ex se construit comment les autres portent leur regarde sur nous. Dans le narcissisme le regarde de soi est déterminé de soi. ● La réalité psychique c’est de s’entendre. Lapsus ce passe lorsqu’on n’entend pas ce qui se passe à l’intérieur de nous. Ca permet d’accéder à ce qui est conflictuelle.

Norme/normal/pathologique Il y un continuum entre le normal et pathologique. Se qui va attribuer le normal ou pathologique c’est la souffrance psychique. Nous sommes tous menacer par la pathologie. Le normal est indépendamment d’une norme. Métaphore de cristal = Freud a parlé dans psychanalyse. On ne peut définir un tableau clinique sans se référer à une conception claire et précise de l’organisation du patient et des repères structuraux stables. Freud va défier le concept de structure psychique grâce à cette métaphore cristal. Dès la naissance en fonction de plusieurs facteurs, la relation des parents, les frustrations, les conflits, les traumatismes, le psychisme peut s’organise (se cristallise). Si le cristal tombe il va se brise a n’import quelle façon. L’excuseur est invisible d’extérieurement mais déterminé par la structure préalable d’un cristal. Tente que le sujet est névrotique ou psychotique et ne subi pas des conflits, le cristal ne tombe pas. En psychopathologie on s’intéresse pas des conduits pathologiques, mais de l’atteint de

fonctionnement psychique.

5 éléments fondamentaux que caractérise la personnalité : 1) Symptômes psychotiques ou névrotiques - Il n’existe pas les symptômes psychotiques ou névrotiques. C’est possible de trouver tout les symptômes chez la personne n’import si elle a névrose ou psychose. 2) Mécanismes de défense – on retrouve des défenses archaïque dans la névrose et les défenses apathique dans la psychose. Ces deux éléments ne sont suffisants pour déterminer la structure psychique d’une personne. En réalité la structure psychique se caractérisé par un degré de cohésion de la personnalité. La cohésion de personnalité peut être morcèlement.

3) Degrés de cohésion de personnalité = la métaphore géologique - Il y une forme d’anarchie interne ou les différents morceaux qui vont fonctionner de manière indépendant un par rapport aux autres. 4) La relation d’objet – c’est la relation de mode de relation du sujet avec son monde et avec le monde. Le type de relation d’objet dépend plus de manière comment le sujet perçoit des objets que des objets réels lui entourent. Un objet est construction fantasmatique de personne. Il y aucune différence entre la Moi et l’objet, c.-à-d. que deux personnes forment une seule entité. Dans l’Etat limite on a relation avec l’objet de type anaclitique – Moi et l’Autre sont différenciés, mais il y forte dépendance à l’objet, il y grande proximité de l’objet. Le peur de perdre l’autre ou d’être abandonner est tres présente chez ces personnes). - Relation d’objet de type génitale – l’objet est proche mais pas trop, il y une distance. Chez les personnes qui se suicident pour les causes amoureuses on retrouve plutôt la relation anaclitique que la relation de type génitale avec l’objet. Le conflit dans la psychose se situe entre le Moi et la réalité. La personne psychotique n’arrive pas de faire compromis avec la réalité, et elle va met en place les symptômes comme les hallucinations par ex, pour remplacer la réalité. La personne va remplace la réalité avec certain néo-réalité. 5) Angoisse - surcharge d’énergie pulsionnelle selon le principe de constance. Le but est de rester le plus calme possible avec moins rétention possible. La conception d’angoisse selon Freud – il disait que les gens qui n’on pas les actes sexuels ont plus d’angoisse que les autres. L’angoisse chez la névrose est gérable, l’angoisse chez la psychose n’est pas gérable. La fonction d’angoisse est un alarme, une fonctionne adaptative, permet de prendre en compte un danger potentiel. Pert d’objet = l’Etat Limite (le peur de perdre l’autre – l’angoisse. C’est un etat dans la quelle il y instabilité de personnalité. La personne n’est pas bien structurée) Angoisse de castration = Névrose Angoisse de morcèlement = Psychose Conflit intrapsychique se joue entre plusieurs topiques (entre Ca, Moi, Surmoi). Dans la psychose le conflit et entre Moi de sujet et la réalité.

Fonction de mécanisme de défense Les défenses sont inadaptative ou adaptative. Plus le sujet est une souffrance plus il dvpt la défense inadaptatives. Mécanisme de défense (def) : Un ensemble des opérations psychiques dont la finalité est de réduire, voir de supprimer tout modification susceptible de mettre en danger l’intégrité psychique est homéostasie psychique du sujet. C’est le produit de Moi contre la défense. Les mécanismes de défense vont …excitation interne (affect déplaisant = angoisse) ou le représentation (souvenir de fantasme qui sont vécu de temps de plaisir) – contre le déplaisant. Ex. Le refoulement – l’affect existe, mais le psychisme met en l’inconsciente la représentation gênant. L’affect subsiste. La défense par isolation (névrose obsessionnelle) va porter sur l’affect. La personne est capable de fournir un scénario (ex. de parle de qqc terrible sans affects). La défense opère de façon inconsciente. Les mécanismes de défense peuvent être produit au n’import quel moment. Plus les mécanismes sont drastique ils sont plus inefficace est cout plus la psychique.

Symptômes : Deux types de symptômes, de quels on doit choisit a un moment donne. Médecin parle de signes, de sémiologie. Il se situe dans une approche descriptive qui relève validation de connaissances dans une démarche rigorose. Dans la 2 eme approche de psychanalyse – ces symptômes sont heuristique / herméneutique. Heuristique - il s’agit qu’on e dans une approche exploratoire Herméneutique – approche interprétative Le symptôme dans psychanalyse est considéré comme message inconscient. Dans l’observation clinique les symptômes ne peuvent pas être touché, ne s’observent pas avec l’IRM, ils sont dans la globalité de fonctionnement psychique. Dans l’observation médicale la sémiologie peut être même pour tous les sujets. Mais dans l’observation clinique psychanalytique on doit prendre en compte le contexte de fonctionnement psychique de sujet, pour sa l’histoire pour pouvoir travailler avec le sujet. La psychanalyse a été essayée de se confronter à la médicine (fin 19eme siècle).  Philippe Pinel – l’essentiel de démarche clinique est de privilégie se qu’on apprendre dans l’entretien clinique. En procédant de la sorte, on peut avoir la confiance avec le patient mais aussi ça peut nous apprendre bcp pour la médicine. Psychiatrie va attirer l’observation de patient et pas d’observation clinique du corps de patient. Certaine subjectivité peut être trouver dans la folie même pour les patients psychotiques. On peut retrouve traces sains dans la personne psychotique.

Psychopathologie de l’enfant 1) Intérêt pour la jeunesse et la création de centres spécialisés. 2) Dvpt de centre infantile qui met accent d’environnement scolaire, familiale etc. 3) Les essaye thérapeutique et diffusion de psychothérapies analytiques. On a bcp moins connaissance dvp chez l’enfant que pour chez les adultes. Si on ne peut pas expliquer les symptômes chez l’enfant, ce sont les même comme chez l’adulte mais s’expriment dans la différente manière. La psychanalyse va modifier la constitution de l’enfant. Il va voir une théorisation tres profond, observation directe de l’enfant soit observation de l’enfant et adulte (observation directe et indirecte) Névrose infantile (décrire par Freud)  reste tout au long de la vie. Retrouver chez le patients hystériques, avec culpabilité, refoulement, etc. Pour pouvoir mettre pronostic on doit se mettre en prédiction de trb qui peuvent se dvpt. Le délire est établit entre l’âge d’enfant et l’adulte. Souvent on ne retrouve pas le lien de cause et effet de récompense de l’enfance et en l’âge d’adulte. Il y des choses qui sont pas visibles. On ne parle jamais de dvpt de l’enfant. Et aussi, la plupart des processus psychiques font partie de dvpt normal. On considère comme étant pathologique chez l’adulte, on peut observer chez l’enfant mais chez lui ca c’est normal. Qu’est ce qui détermine si un symptôme est pathologique ou non ? - Sa massivité de symptôme, son exclusivité et sa durée. En psychopathologie de l’enfant plusieurs symptômes sont massifs, précoces et durables. Plus un symptôme est visible il est probable d’être source de pathologie. Plus un symptôme est isolé même si le source de souffrance, plus il s’inscrira dans le cadre normal. Les stratégies défensives – ils sont plus ou moins adaptées Un mécanisme de décence permet l’adaptation. Prise en compte de l’environnement – il est important de se dégager de culpabiliser l’environnement. On prend en compte dans le prise en charge global de l’enfant, et non pas comme la cause de pathologie. Cependant si la cause n’est pas dans l’environnement, le dvpt de l’enfant (croissance psychique) est dépendant de qualité de relation avec ces parents.

Troubles qu’on retrouve chez l’enfant :  Le faîte de la relation précoce Défaut de fonction contentant, transformatrice – existante (quand enfant manifeste angoisse si la mère réagit en miroir on voir rien. Si la mère réagit comme l’adulte, s’elle protège l’enfant ca va lui aider de passe l’angoisse. Même si fait partie de la réalité, ils sont concerne comme mythe. Une expérience traumatique ne suffit pas a ’affecte durablement le psychisme d’être humain, sauf de le cas de traumatisme répétitif, intense et qui concerne la survie même ou sentiment de l’existence de sujet. Ex. Le traumatisme qui porte l’intégrité du sujet – abus sexuel, maltraitance etc. L’enfant qui a surveillé ce type de traumatisme a plus de chances de dvpt les troubles. C’est une l’hypothèse valable.

Si le modèle de trb précoce et pertinente graves, il ne suffit pas parce qu’il va se conjuguer avec d’autres paramètres.  Facteur constitutionnel Testin, en observant un nourrisson avec hypersensibilité. Ou Merzel, aussi travailler avec des enfants psychotiques qui a parle de défaut d’équipement. Ces auteurs ont aborde la question de facteur constitutionnel. - Heure dépressif avec l’enfant  Qqn va essayer de se retrouver dans la situation de détresse qui va empêcher de s’adapter de la situation.  Projection parental Joue en rôle important dans la constitution psychopathologique de l’enfant. L’enfant symptôme = c’est l’enfant qui pose problème a fratrie. Il va subir tout la projection parentale, il pose problème, fait obstacles aux autres. Cet enfant symptôme est celui qui va exprimer la souffrance familiale, voir de sacre de famille en génération de génération, ce peut être vecteur de pathologie dans la famille. Cet enfant renvoi message de souffrance familiale.

Psychose infantile : Elle reste tout au long de la vie comme une psychose infantile. Elle ne se transforme par dans la psychose d’adulte. Ces deux sont différents. Il y des adultes qui souffrent d’une psychose infantile. Def : Le premier point commun chez ces deux types de psychose est la rupture avec la réalité, c’est le délire qui n’est pas tjr systématique. On peut retrouver les symptômes délirant chez l’adulte mais qui ne s’exprime pas de la même manière. Chez l’enfant c’est en peu plus difficile à détecter les symptômes de délire. Le diagnostic :  Désorientation spatio-temporel  Incohérence,  Trouble de communication avec le moment de retrait etc.  La concrétude de la pense on trouve chez l’enfant, mais pas chez l’adulte. Il fait lien avec utilisation des symboles, imagination et obstructions.  Les actes violents sont très cesti, angoisse – qui va provoquer le moment de régression, de repli, déclenche la destruction soit hétéro-agressive soit autorégressive  Intolérance à la frustration – l’enfant va le produire d’un sorte décentrement. Ou tel qui va opérer les toutes puissances de l’enfant qui caractérise enfant psychotique.  Vive dans un univers de persécution. On peut voir projection, clivage, déni.  Incapacité de s’adapter à l’environnement Ces enfants ne peuvent s’adapter a l’environnement, c’est l’environnement qui s’adapter a eux. Il y une désorganisation complète au niveau corporel et psychique et mise en place de processus intégrative est impossible. Si on prend un enfant il est aussi incohérence. Mais dans les histoires qu’il rencontre il y qq logique. La psychose infantile peut apparaitre des la première année de la vie.

Mélanie Klein :  Traitement psychanalytique de l’enfant (surtout dans jeu) Melanie Klein révolution la théorie psychanalytique. Elle a analyse des enfants différemment de Freund qui à analysé les adultes. Elle est la première qui parle de psychose d’enfant et la psychose d’adulte qui peut etre retrouve chez l’enfant. L’angoisse précise ne juge pas la psychopathologie. L’angoisse précoce fait partie de dvpt. -Comme va évoluer ces enfants à l’âge adulte ? Elle a montré comment enfant va passer certain type de positionnement d’organisation psychique pour réguler le fonctionnement. Deux concepts majeurs : 1) Position SCHIZO-PARANOIDE 2) Position DEPRESSIVE Chaque position fait partie de dvpt. ● Position schizo-paranoïde – concerne le bébé des 4 premiers mois. Chez les schizophrènes. Dans la première semaine de sa vie le bébé est dominé par angoisse caractéristique considéré comme points de fixation de toutes les psychoses de l’adulte. Le premier mois au départ est sans cohésion, très dépendant de son environnement, et donc le bébé fait intégration de nouveaux mouvement dans l’environnement pour faire une stabilité. Pour Klein, la perte de l’état intra-utérin (= la traumatisme de la naissance- RANK) sont source majeur des angoisses primitives. L’angoisse parce qu’il ne connait pas l’environnement dans quel il arrive. Le nourrisson va ressentir tout les mouvements dans l’environnement comme agression, et sont le noyau de persécution. A ce stade, les processus qui son a lèvre vont être : clivage, la projection (issu de différentiation de Moi et Non-moi). S’ils se répètent ils vont faire partie de la personnalité psychique d’être humain. Ils peuvent s’exprimer s’il y déplaisir chez le bébé ● Position dépressif – 6-10 mois On retrouve chez les patients mélancoliques. A ce moment le bébé va rencontre sa mère comme un objet, il s’individualise et se différencie de la mère. L’enfant ne support pas la séparation de sujet satisfaisante. Ce sont les personnes qui ne peuvent pas accéder à la nostalgie, tristesse, de représentation de perte .Ce sont les patients qui sont désespérés. Un sentiment de désespoir qui va être générer par le peur de perdre la personne aimée. Ce sont des enfants insécurités qui entent la personne aimée désespérer. Ces symptômes sont réactivés au cours de la vie, surtout dans l’adolescence. Ca va mettre à l’épreuve la sécurité de personne pour voir si la personne aimée va podnesse son perte.

L’enfant peut perdre face à la perte grâce à l’identification aux personnes aimées. Il introjecter une partie de ces personnes et cette identification et intériorisation permet de se dvpt normal. Le réussit dépend des épreuves de perte tout au long de la vie Klein dit : l’échec de position dépressive va exposer le sujet à la maladie mentale de quel qui n’est pas réussir de passer la fixation. Une psychose infantile ne se transforme jamais dans une psychose d’adulte. 

Psychose déficitaire précoce

Elle se déclare dans la première année de la vie. Elle regroupe tous les symptômes classiques de la psychose : actes d’angoisse, régression avec cpt agressif, retrait autistique (repli sur soi, retrait du monde). Cette psychose se caractérise avec retard mental sévère. Elle est caractérise par la déficience cognitive. Ce retard mental va entraver l’apprentissage de langage. L’enfant n’acquiert pas la base qui permet d’interagir avec les autres gens.

 Psychose symbiotique Margaret Malere introduit se terme de psychose symbiotique qui différencie de psychose autistique. Elle met accent sur la relation fusionnelle à la mère. Dans le terme symbiotique il y différenciation entre l’enfant et sa mère et la sa relation rest au l’etat de symbiose. Cette psychose est plutôt sur l’individualisation de séparation. Margaret Malere est suite sur la recherche d’observation des enfants âgés d’1 – 3 ans. Elle a dégagé +eurs caractéristiques de bébé normal et bébé très psychotique. 1ère caractéristique: 3-4 ans (au niveau de complexe œdipien) – l’enfant reste dans une symbiose avec sa mère. L’enfant aurait atteint le complexe d’Oedipe mais n’aurait pas réussit à la dépasser. Ce sont les enfants avec :  les troubles de sommeil perturbé  ils sont disharmoniques des évolutions de fonctions  ils présentent intolérance extrême à la frustration  on peut observer détérioration de langage  état de panique. Chez ces enfants il y soit un déficit, soit un trop plein de stimulation mutuelle entre la mère et son enfant. 2ème caractéristique : Distorsion de la réalité -Echec du processus de séparation, d’individualisation qui ne permet pas a l’enfant de se construire une identité entrainerait une impossibilité de se créer.qui entrainerait une impossibilité d’accéder à la perception du monde externe car tout serait vu sous l’angle du désir de la mère. 3ème caractéristique : Défaut de construction du moi -corps :

Insuffisance de la constitution de la relation entre l’enfant ne permet pas la constitution normale de l’enfant. 4ème : Obstacle a la maturation de la personnalité : pas autonome donc va peiner à se développer normalement.

 Psychose schizophrenique chez l’enfant Debout vers l’age de 4-5 ans, on dit qu’elle est tardive. Peut se manifester dans une phase aigue ou dans un processus progressif. On retrouve dans cette psychose les mêmes choses comme dans schizophrénie: - La discordance affective, parfois motrice - dissociation de la personnalité (unité de moi, morcèlement, il n’y pas harmonie, il y décalage de manière que la personne pense que les autres la voir) - Incohérence : pas de pensée fluide, pas de consistance - Angoisse archaïques - Retrait et désorganisation majeure de la vie mentale - Pert de capacité adaptative - Présence d’un délire souvent avec des idées de persécution, de transformation corporel. - Phobies tres étrangers Psychose schizophrénique peut être une évolution d’une psychose précoce. Il y aggravation des troubles schizophrénique avec l’âge.

 Psychose disthymique Psychose avec les troubles de l’humeur. Versa 3-4 ans chez l’enfant. Formes mélancoliques : très proche de la psychose mélancolique chez l’adulte. - Relativement psychomoteur - Douleur morale - Culpabilité - Des idées suicides Formes cognit...


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