CM2 neurobiologie du comportement (clément) notes PDF

Title CM2 neurobiologie du comportement (clément) notes
Course Neurobiologie
Institution Université de Reims Champagne-Ardenne
Pages 3
File Size 100.8 KB
File Type PDF
Total Downloads 24
Total Views 156

Summary

cours de neurobiologie sur les macroglies et leurs fonctionnement par rapport au comportement...


Description

CM2

Neurobiologie C

Les cellules gliales Les cellules gliales sont des petites cellules apparentés aux macrophages dans d’autres tissus nerveux. Elles jouent un rôle d’épurateurs du système nerveux de tous les débris cellulaires, cellules mortes qui sont éliminées de l’espace extracellulaire. elles jouent aussi le rôle de cellules immunitaires lorsqu’elles sont absentes, à chaque intrusion pathogène à partir d’une différenciation des cellules des vaisseaux sanguins, se transformer en cellules microglies en réparant ou éliminant ces agents ontogénèses. C’est possible grâce à la capacité de diapédèse qui permettent de quitter le compartiment sanguin et de rejoindre à un mécanisme moléculaire, le parenchyme cérébral. Les microfibres au seins du SNC occupe une place prépondérante importante dans la physiologie du système nerveux, celles-ci régule l’ontogenèse (développement biologique d’un individu de sa conception à l’âge adulte) en favorisant la migration des cellules (MG2, précurseur de tous les types cellulaire gliaux) qui vont également participé au cours de cette ontogenèse à la croissance des axones (cône axonal) qui ont besoin d’être guidées pour rejoindre leur destination finale. Elles ont aussi un rôle dans la prolifération cellulaire et la formation des synapses durant la période embryonnaire). D’une manière générale ces cellules gliales ne sont pas considérer comme des cellules nerveuse bien qu’elles fassent partie du tissus nerveux, mais font partie de la substance blanche, elles sont excitable comme la cellule nerveuse lorsqu’on modifie la perméabilité de la membrane, mais elles ne sont pas en capacité de propager la communication nerveuse. En revanche cette excitabilité à pour conséquence la fabrication biosynthétique de molécule qui jouent le rôle de transmetteur qu’on appelle gliotransmetteur (ex : ATP, glutamate, sérine). Elles jouent un rôle important au niveau de l’espace synaptique, car capable d’augmenter l’effet du message neuronale en agissant directement sur la cible (amplification) et peut aussi, si nécessaire contrôler l’effet du message neuronale s’il y a un excès du message neuronal (inhibition). Au niveau de la fonction cérébrale, les cellule qui constitue le cerveau exerce une influence directe sur l’organisme grâce à l’établissement de connexions avec des synapses impliquées dans la réponses et l’effet qu’aura cette réponse chaque fois que l’organisme sera stimulé. Qu’elles soient qualifié de sensorielles ou motrices les cellules du tissus nerveux et l’activité des cellules nerveuse s’observe grâce à l’effet induit sur les cellules cible (en évaluant le niveau de contraction musculaire). Ce système nerveux dans son ensemble est capable d’agir sur ses cellules ou à distance de l’axe centrale grâce à la moelle épinière. Ce SNP est impliqué dans la perception sensorielle de l’information qui vient de la périphérie du névraxe dont on peut observer le comportement (extéroception), on parle d’intéroception chaque fois que ces sensations proviennent de l’intérieur du corps et de proprioception lorsque les sensations proviennent des articulations mais qui ne sont pas tourné vers l’extérieur. L’autre fonction majeure est la motricité : le SN dans sa composante centrale, reçoit toute les informations sensorielles du SNP et dans sa commande motrice et l’envoie à destination des cibles impliquées dans les 3 types de perceptions. Ce phénomène est possible grâce au phénomène de

Neurobiologie C

CM2

transduction, qui permet de traduire un stimulus physique en signaux neuronaux. Au seins de se phénomène on observe une mécanique qui va permettre d’activé des ions qui ont pour conséquence un potentiel d’action. Tout ceci est dépendant du phénomène de neurotransmission, d’un pdv anatomique la neurotransmission nécessite un certain nombre d’éléments (un neurone, un message, une cellule cible). -

Il faut repérer un mécanisme de biosynthèse (biotransmetteurs, tryptophane, tyrosine : acide aminé). Les acides aminé et les enzyme sont impliqué dans la biosynthèse d’un neurotransmetteur. A chaque étape une enzyme intervient pour transformer l’élément (biosynthèse) qui a besoin d’être acheminé à l’endroit où il sera libéré (terminaison axonale) grâce à un trafic axonal puis un stockage des neurotransmetteurs.

Lorsque le neurone est dépolarisé on observe un phénomène qui se d »place le long de l’axone qui favorise l’ouverture des canaux ioniques, le calcium rentre dans la cellule ; puis le phénomène d’exocytose transmet le message neuronal. -

Il y a un système qui permet de récupérer l’excès de neurotransmetteur, qui est recapté pour l’intégrer dans le neurone et le restocker, processus qui vise à nettoyer l’espace synaptique (enzyme de dégradation). Cette enzyme qui nettoie l’espace synaptique a un effet limitant qui aura des effet sur la constitution de la membrane. Une mutation au sein des gènes peut avoir une répercussion soit dans la biosynthèse, soit dans la capacité final à éliminer et donc conséquence physiques et psychologiques pouvant se traduire par une maladie. La réponse biologique quelque soit le niveau de réponse est directement tributaire du rôle qu’exerce un neuromédiateur dans son espace tissulaire à condition que cette molécule puisse atteindre au niveau de la cible cellulaire un endroit particulier de la membrane qui sont les récepteurs des messages la conséquence de cette liaison déclenchera au niveau de la cellule cible PPFI se traduira par une contraction musculaire au niveau d’un vaisseaux ou un phénomène d’inhibition par un relâchement du comportement musculaire.

Quels mécanisme sont à l’origine de ce que j’observe ? Déterminant : - Tout facteur/ toute variable (selon les condition), d’origine biologique qui déclenche/ initialise la réponse d’un organisme. - Tout facteur qui maintient/ prolonge la commande effectrice à l’origine de ce que j’observe. Ou qui stoppe une mécanique quelque soit sa nature. Ces facteurs font office de stimuli qui, si l’intensité est suffisante génèrera une réaction cellulaire voire l’organisme tout entier. Soit c’est un stimulus qui déclenche, soit c’est une mécanique qui maintien. Deux sous catégorie différentes de déterminant qui déclenchent (facteur causal : le covid) et qui maintiennent (genèse d’un PA, toutes les mécaniques biologiques,

CM2

Neurobiologie C

constituants anatomiques impliqués dans les comportements comme celui de l’agression). D’un point de vue neurobiologique, un déterminant concerne tout facteur de nature biologique, stimulus chimique qui participera à l’activité hippocondrial, quo en informera le cerveau, ce qui déclenchera un comportement sous la forme d’une molécule de nature anatomique sous forme de région cortical ou sous cortical. Chaque fois que ce sera possible, on essaie de repérer le déterminant causale pour provoquer/arrêter le développement d’un comportement (stimulus manque de sucre -> faim-> comportement = manger). Une structure est rarement impliqué dans une seule fonction, on parle plutôt de réseaux neuronaux qui mettent en relation les régions corticales du cerveau. Comportement : rend compte de tout ce qu’on observe, il est constitué par toute réponse induite par une stimulation/ toute réaction observable induit par un élément causal qui déclenche une activité mécanique de nature biologique dont on observe la conséquence ; réponse en réaction à une stimulation. A toute stimulation il y a une réponse et si on ne peut pas voir la stimulation c’est qu’il n’y a pas les outils pour ou que le seuil minimum pour observer un réponse n’a pas été atteint. Donc un ensemble constitué d’un tout, lui-même constitué de parties plus ou moins nombreuses où chacune de ces parties peuvent être regroupés dans des sousensembles, chacun s’additionnant pour former le tout (comportement d’agression), et dans chacun de ces sous-ensembles, on doit retrouver les traits comportementaux (schèmes moteurs) suffisamment petits qui ne puissent plus être réduit au-delà de ce qu’on nomme (agression a une définition qui varie beaucoup). Ce comportement doit être réduit à un certains nombres d’items objectifs (action motrice) suffisamment faiblement défini pour que personne ne doute de ce qu’on observe. Dans l’analyse intellectuel, on est obligé d’atteindre ce niveau d’objectivité avant de nommer l’ensemble de ce qu’on a nommé un comportement (référence à la subjectivité de chacun) Faire de la science = partir d’un environnement objectif et rester le plus longtemps possible dans le caractère objectif et non basculer dans la subjectivité interprétative qui est la conséquence d’une évaluation qualitative sous la forme d‘un jugement ou d’un préjugé....


Similar Free PDFs