Commentaire La grammaire est une chanson douce PDF

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La grammaire est une chanson douce -Erik Orsenna

Biographie de l’auteur Il est un philosophe, politologue et écrivain français né à Paris le 22 mars 1947. Son vrai nom c’est Eric Arnoult et il est d’une famille où l’on trouve des banquiers saumurois, des paysans luxembourgeois et une papetière cubaine. Il va étudier philosophie et sciences politiques choisissant l’économie. Il va retourner à Angleterre pour aller à la London School of Economics. Il va faire une carrière d’enseignant et chercheur se spécialisant dans la finance internationale et l’économie du développement dans l’Université de Paris et il est devenu docteur d’État. En 1974 il a publié son premier roman, Loyola’s Blues. En 1981 il rejoint le cabinet du ministre de la Coopération où il s’occupe des questions relatives aux matières premières et aux négociations multilatérales. En 1983 il devient conseiller culturel de François Mitterrand et écrit quelques discours mineurs pour lui. Parallèlement à ses activités administratives, il a écrit sept romans, dont La Vie comme à Lausanne, prix Roger Nimier 1978, et L'Exposition coloniale, prix Goncourt 1988, Madame Bâ, L’Entreprise des Indes et Mali, ô Mali. Il a été élu, le 28 mai 1998, à l'Académie française, au fauteuil de Jacques-Yves Cousteau (17e fauteuil). En 2001 il va écrire cette livre la grammaire est une chanson douce. Erik c’est un homme qui aime l'écriture, aussi les voyages, la mer et la musique et il dit qu’il doit ces passions à sa famille parce que son père, sa mère, son frère et son grand-père l’ont enseigné tous ces goûts.

Les personnages Jeanne : C’est une fillette douce de dix ans, timide et rêveuse. Elle est le protagoniste et personnage narrateur du roman. Ses parents se sont divorcés et habitent de part et d’autre de l’Atlantique et ça les oblige à prendre beaucoup le bateau dans lequel un jour ils font la traversée et fait naufrage au milieu d’une tempête. Thomas : C’est le frère de Jeanne, il a quatorze ans et aime la musique et la guitare. Il survive au naufrage avec Jeanne. Mademoiselle Laurencin : c’est la professeure de classe de Jeanne. Elle est jeune et blonde. M. Besançon : c’est le directeur de l'école, il est très maigre. Mme Jargonos : elle est vérifieuse pédagogique et critique les leçons de Melle Laurencin. M. Henri : Petit de taille, il maintenait toujours une posture érigée et était vêtu d’un costume de lin blanc et de mocassins bicolores rouge et crème.

Uni v e r s i daddeAl i c ant e Es t udi osFr ance se s Comuni caci óne scr i t aI I La nommeuse : la vielle dame est une personne très âgée étant ridée, crevassée, ridée, la chevelure d'une lionne blanche. Elle prononce des mots peu utilisés afin de leur redonner vie, elle habite dans une maison au bord de la plage vivant avec un chien. Le directeur de l’usine : c’était un homme gentil de l’île et qui aimait tellement les mots parce qu’il s’occupait d’eux jour et nuit. Nécrole : Il est le gouverneur de l'archipel et avait ainsi pour mission de faire régner l’ordre. Il est toujours accompagné d'un policier. Madame Jargonos travaille pour lui. Il pense que les mots ne sont que des outils de communication et ne comprend pas la passion des gens pour les mots. Les écrivains Antoine Saint-Exupéry, Marcel Proust & Jean de La Fontaine : Ils étaient mots qui construisaient des phrases intelligentes sans suivre les règles, son travail c’était de rechercher et d’explorer la vérité. Commentaire « Tout le monde dit et répète « Je t’aime ». Il faut faire attention aux mots. Ne pas les répéter à tout bout de champ. Ni les employer à tort et à travers, les uns pour les autres, en racontant des mensonges. Autrement, les mots s’usent. Et parfois, il est trop tard pour les sauver. » Monsieur Henri amène Jeanne à l’hôpital de la ville, afin qu’elle y rende visite à « Je t’aime ». C’est un épisode émouvant de l’histoire qui fait attirer l’attention du lecteur sur l’utilisation abusive de certains mots, ce qui finit par les tuer parce qu’ils perdent peu à peu toute valeur et finalement meurent. « Tu me permets d’être franc, Jeanne ? Tu es grande maintenant, presqu’une adulte. Alors je vais te dire la vérité. […] Les mots ne peuvent pas toujours faire recommencer l’amour. Ni les mots, ni la musique. Hélas. » Le deuxième fragment proposé se produit à la fin du livre. Thomas et Jeanne retrouvent la parole et ses parents viennent les chercher par avions séparés tandis que Jeanne et M. Henri parlent de l’amour. Jeanne demande si on peut revivre l'amour et lui dit par la possibilité de réconcilier ses parents, mais Henri lui explique qu'il est très difficile de faire revivre l'amour quand les mots ont causé des blessures et ont fait mal au cœur néanmoins il ne lui élimine pas l’espoir et pour ça lui répond « pas toujours ». La manière qu’il parle maintenant à Jeanne révèle qu’il la considère désormais comme une adulte après tout ce qu'elle a connu dans cette histoire et peut raisonner de la même façon qu'un. Finalement, Jeanne comprend que les mots, malgré la manière dont on les utilise, ne peuvent pas toujours faire recommencer l’amour, surtout lorsqu’on se sert des mots qui blessent et qui font de la peine.

Conclusion Dans mon opinion j’ai aimé ce livre qui est raconté par Jeanne de manière enfantine parce que ça fait une lecture compréhensible pour tous et son auteur, Erik Orsenna, veut nous faire comprendre la légèreté avec laquelle la grammaire française peut être appréhendée, contrairement aux méthodes drastiques qui sont très souvent utilisées. C’est ainsi qu’il choisit un thème divertissant et relaxant, une île qui évoque aussitôt la mer et la plage, la beauté des fleurs, la lumière du soleil, etc.

Uni v e r s i daddeAl i c ant e Es t udi osFr ance se s Comuni caci óne scr i t aI I Il a eu beaucoup de succès dans la création de cette œuvre littéraire parce qu’il approche le lecteur (surtout enfants) au monde de la grammaire et son innovation les aide à apprendre de manière amusant....