Fiche Capes PDF

Title Fiche Capes
Author Marine BOUTARD
Course Grammaire
Institution Université de Reims Champagne-Ardenne
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Summary

fiches de grammaire pour le capes...


Description

ANALYSER UN TEXTE.

les pronoms de reprise complément (il, elle, leur).

Repérage de ce qui détermine un registre […], et de ce qui le caractérise (organisation du propos, lexique, syntaxe)

sujet

et

Identification et utilisation des marques d’organisation du texte (mise en page, typographie, ponctuation, connecteurs).

Approche de la variation […] en fonction du lieu, du contexte, du moyen de communication.

Observation de la progression thématique du texte.

Identification et interprétation des éléments de la situation d’énonciation : […] (marques de personne, de lieu et de temps) ; […]

Reconnaissance des formes actives/passives et de leurs valeurs sémantiques ; permutations pour marquer l’insistance ou l’emphase ; présentatifs ; valeur sémantique de la phrase impersonnelle.,

Observation, reconnaissance et utilisation de paroles rapportées, directement ou indirectement ; repérage des indices qui signalent le doute, ou la certitude. Repérage et interprétation modalisation […].

des marques

Identification et utilisation des éléments linguistiques de cohésion textuelle : substituts nominaux et pronoms de reprise ; procédés de désignation et de caractérisation, rôle des déterminants indéfinis et définis ; i ndicateurs de temps et de lieu, de relations logiques ; système des temps. Identification des phénomènes orthographiques, en particulier incidences orthographiques sur 1

EMPHASE

de L’emphase est un terme grammatical et de rhétorique. On peut lire dans la Grammaire méthodique du français : « L’emphase […] désigne tout procédé d’insistance ou de mise en relief. » En rhétorique, l’emphase est un terme qui désigne l’ensemble des procédés qui permettent de renforcer une image ou une idée (au moyen, par exemple, de l’hyperbole, de l’hypotypose ou encore de la répétition). Qu'est-ce qu'une phrase emphatique ? Un mot ou un groupe de mots peut être mis en relief quand on donne à la phrase une forme

emphatique. Cette forme de phrase utilise deux procédés de mise en relief. 1. Mettre en relief le thème : le procédé du détachement

C’est Mardi que je pars en voyage. -L’élément encadré est le propos, car il représente l’élément nouveau.

- On peut mettre l’accent sur un mot ou un groupe de mots en le détachent : *En tête de phrase : il est ensuite repris par un pronom.

LE PRONOM La classe syntaxique des pronoms Souvent strictement équivalents à un GN, les pronoms peuvent

Ce voyage tant attendu, je vais enfin le faire à Noël. *En fin de phrase : il est alors annoncé par un pronom. Je vais enfin le faire à Noël, ce voyage tant attendu.

néanmoins se comporter comme les équivalents fonctionnels d’autres catégories grammaticales. Les pronoms peuvent donc avoir des fonctions diverses (sujet, COD, COI, attribut, CDN, complément de l’adjectif, complément d’agent,

-Dans tous les cas, l’élément détaché est le thème de la phrase, car il représente l’élément connu. Le reste de la phrase apporte l’élément nouveau. 2. Mettre en relief le propos : le procédé du présentatif

CC).

La sémantique des pronoms Sémantiquement, un pronom se caractérise par la manière dont il réfère à ce qu’il désigne dans le discours. Les pronoms sont des symboles incomplets qui permettent d’identifier ce à quoi ils

- On peut mettre l’accent sur un élément de la phrase en l’encadrant avec un présentatif :

réfèrent. Pour ce faire, ils font appel trois modes différents de référence :

C’est … qui (que)… , il y a … qui (que)… , voici (voilà … qui (que)… 2

- la référence déictique : le référent du pronom est identifié plus ou

Les formes disjointes : elles ont un comportement syntaxique

moins directement à partir de l’énonciation même de cette forme,

semblable à celui d’un GN séparé du verbe (par une préposition,

en fonction de la situation d’énonciation.

une pause, etc.).

- la référence anaphorique : l’identification du référent du pronom

SYNTAGME PRÉPOSITIONNEL.

nécessite le recours à l’environnement contextuel. - la référence par défaut : l’interprétation générique qui s’impose, réduisant la valeur référentielle du pronom à ses seuls traits définitoires stables, sans autre limitation situationnelle ni textuelle ( = emploi fréquent des pronoms indéfinis et des pronoms négatifs). IRéférence déictique. IIRéférence anaphorique. IIIRéférence nulle / par défaut.

 Pronoms

personnels :

les

IIIIIIIVVVI-

formes

Pronom personnel Impersonnel il Pronom possessif Demonstratif Relatif Indéfini un

conjointes

:

elles

sont

C’est le syntagme prépositionnel et non la préposition seule qui exerce une fonction dans la phrase. Reliable au nom tête par être. Ia. IIa. b. IIIa. b. c. d. e. IVa.

Incident à un nom ou pronom. Expansions Incident à un verbe. COI Attribut. Incident à une phrase. CC lieu CC temps CC cause CC manière CC moyen Lexicalisation. Ex : Tout à fait

généralement antéposées au verbe dont elles ne peuvent être séparées que par une autre forme conjointe et, si elles sont sujets, par le premier élément de la négation : Je ne le lui avais pas dit.

ATTRIBUT. Exprime une qualité, un état, une manière d’être du sujet ou de l’objet direct.

3

Rapport d’identité entre attribut et élément qu’il renseigne par l’intermédiaire d’un verbe attributif. S’accorde en genre et en nombre avec le sujet ou le COD. Construction directe ou indirecte (Prépositions ou conjonctions) Nature : - Nom - Pronom - Adjectif qualificatif - Participe passé - Adverbe - Locution adjective - Infinitif - Proposition conjonctive complétive. Ia. b. IIa. b.

a. Du sujet. (Peu déplaçable – non supprimable) b. Être Autre verbe d’état a. Du COD (après certains verbes transitifs direct = idée de jugement, b. opinion ou possession) IIIUn nom avec ou sans préposition. a. Un adjectif. b.

« DE » : morphème issu d’un signifiant unique : la préposition latine « de », à valeur spatiale, temporelle, traduisant la matière, l’origine... En Français Moderne, on postulera une continuitéI entre les différentes occurrences et une subduction de « de » en différents signifies de discours. De plus, « de » a une tendance à se grammaticaliser : de préposition, il passe à un élément de ligature réglant des problèmes de transitivitéI/ intransitivitéI : il devient un élément permettant la médiation.

Préposition Valeur (origine, spatiale, temporelle) Dans locution Article Réduction de des Énoncé négatif Particule Indice infinitif Démarcatif

DE SI 4

LES PRÉPOSITIONS.

Face à l’éventail des emplois syntaxiques de si, la question est de savoir si on a affaire à un ou plusieurs morphèmes. Nous avons 2 étymons en latin : si et sic Et 3 types d’identification en gram traditionnelles : adverbe d’affirmation, de degré, et conjonction de subordination (interrogative indirecte ou hypothèse) Si adverbe est en effet compris comme l’homonyme de si conjonction, en vertu des hasards de l’évolution phonétique qui, en français, rassemble ces deux signes sous une forme unique Se démarquant de cette description homonymique, les travaux d’inspiration guillaumienne voient en effet en si un cas de synonymie grammaticale, et rapportent les différents signifiés de discours à un unique signifié de langue : mouvement de pensée de l’hypothèse à la thèse :

La prép est invariable et est définie comme pivot relationnel. Elle n’a pas de fonction en soi mais assure la liaison entre un support d’avant et un support

d’après

appelé

régime,

toujours

de

statut

nominal,

et

syntaxiquement dépendant. C’est un mot subordonnant, qui marque la dépendance entre les termes qui l’environnent. On distingue des prép à très large polysémie, dites prép vides, et des prép dites sémantiques. On signalera les emplois figés, dans les locutions conj de sub (jusqu’à ce que, d’autant que, selon que), dans les locutions adv (à dans, peu à peu, du tout), et lorsque la prép sert de préfixe (par dans parfait, pour dans pourquoi). I-

Prép introduisant les cpt à valeur circ :

• avec l’adverbe d’affirmation, on a le maximum du positif,

Qd elle introduit le cc adjoint, elle garde sa pleine valeur sémantique. Les

• avec l’adverbe d’intensité, image d’un positif moyen (incomplet)

prép peuvent ainsi marquer le temps, le lieu, la manière, l’accompagnement,

• avec la conjonction, le positif est en cause.

le moyen, la cause, le but, l’opposition.

IIIIII-

I- Adverbe affirmation II- Adverbe intensité III- Conjonction de subordination a. Hypothèse b. Interrogation indirecte. 5

Qd elle introduit le cc intégré, le choix de la prép est libre aussi, de même que qd elle introduit le cpt de nom ou d’adj à valeur circ, le choix de la prép se fait en fonction du sens.

II-

INDÉFINIS

Prép introduisant des cpts imposés :

Seules les prép à faible valeur de sens, comme en, à, de, ont pu se prêter aux constructions imposées. Dans ce cas, introduit le COS, le COI, le cpt de l’adj dit transitif, le cpt du nom. Dans ce cas, la prép est plus ou moins grammaticalisée.

DÉTERMINANT C’est le mot qui doit nécessairement précéder un nom commun pour constituer un GN dans la phrase de base. Formes et fonctions Le déterminant porte les marques de genre et de nombre du GN. Sémantiquement, ils participent à l’actualisation

Comme l’explique Moignet, le chapitre des indéfinis dans les grammaires invite le moins à l’idée que la langue est un système : Il n’y a pas de système des indéfinis. L’appellation traditionnelle d’indéfinis recouvre des éléments hétérogènes, • sur le plan syntaxique • sur le plan morphologique Nécessité d’interroger les limites de ce regroupement, essentiellement sémantique De nombreux indéfinis peuvent fonctionner comme déterminants et / ou comme adjectifs et / ou comme adverbes et / ou comme pronoms

du nom. On peut répartir les déterminants en deux grandes classes : les

déterminants

définis,

les

déterminants

indéfinis.

Le

déterminant peut s’adjoindre des éléments annexes facultatifs pour former un groupe déterminant. IQualifiants IICaractérisant IIILes deux IVPas de déterminant

6

 Spécifique : il aboit./Générique : Ça aboit.  L’article défini sert à référer à une entité identifiable à partir du seul contenu descriptif du reste du GN. Emploi spécifique/générique  Indéfinis : Les emplois génériques/spécifiques

PROBLEME : A-t-on affaire à une seule unité ou à plusieurs unités homonymes ? Au-delà de la diversité sémantique, distinction : - dét. et pronoms indéfinis qui opèrent une quantification. - dét. et pronoms indéfinis qui n’en opèrent pas. IDéterminant IIPronom IIIAdverbe IVAdjectif  Quantification  Qualification

hypothétique

SUBJONCTIF Définition morphologique C’est un mode personnel et « temporel » : il comporte officiellement quatre temps : présent, passé, imparfait, plus-queparfait (= « conditionnel passé deuxième forme »), dont seuls les deux premiers sont véritablement utilisés en français moderne. L’imparfait et le plus-que-parfait ne sont plus utilisés que dans la langue littéraire et ont perdu leur sémantisme particulier, qu’ils conservaient encore en langue classique. Caractérisation fonctionnelle Il s’emploie le plus souvent dans une proposition subordonnée (complétive, relative ou circonstancielle), et plus rarement en proposition indépendante. Définition sémantique Selon G. Guillaume, on emploie le subjonctif chaque fois que l’interprétation l’emporte sur la prise en compte de l’actualisation du procès, lorsque s’interpose entre le procès et sa verbalisation l’écran d’un acte psychique qui empêche le procès d’aboutir à son actualisation totale, lorsque celui-ci est le premier sujet de la phrase. Morphosyntaxe

III-

7

APPOSITION Élément de la phrase détaché ou lié par rapport à un nom. Une expansion du nom – donne renseignement supplémentaire sur le nom complété. Supprimable car pas fonction majeure. Qualité du nom complété, rapport d’identité ou d’égalité. Ia. b. II

Apposition nominale Liée Détachée Apposition adjectivale // Adjectif épithète détaché. Attention à la composition

Syntaxe

Formes simples Formes composées

Attention

II-

c. Exprimant une supposition d. Affirmation polémique Propositions subordonnées a. Complétive b. Circonstancielle c. Relative

au

système

I-

Proposition indépendante a. Phrase injonctive b. Exprimant un souhait

PÉRIPHRASE VERBALE.

Désigne le cas particulier de l’association d’un verbe à l’infinitif et

On dit que l’interrogation est un type de phrase. Cette catégorie

d’un semi-auxiliaire d’aspect, de mode ou de voix. On parle de semi-

regroupe modalités énonciatives et formes de phrases. Types

auxiliaire par analogie avec les constructions [être / avoir + participe

obligatoires : Assertif, interrogatif, impératif, exclamatif. Facultatifs :

passé], ou l’auxiliaire et la marque de participe passé apporte les

passif, négatif, emphatique et impersonnel.

éléments grammaticaux (nombre, personne, mode, temps, voix) et

Interrogation = modalités énonciatives.

le radical apporte l’élément lexical ou encore notionnel.

3 comportements fondamentaux de l’homme parlant et agissants par le discours sur l’interlocuteur. Se distingue par courbe intonative

I-

II-

III-

Aspectuelles a. Commencer à b. Venir de c. Cas délicat : Aller + infinitif Modales a. Devoir b. Pouvoir c. Savoir d. Cas délicat : Avoir + infinitif De voix / diathétique a. Faire b. Laisser

INTERROGATION 8

et l’ordre des éléments et parfois un morphème interrogatif. (Assertive, impératif, interrogative) Acte de questionnement. IDirecte a. Totale – reprend le contenu dans son ensemble (oui ou non) – oral =intonation / écrit = ? b. Partielle – Sur une partie de la phrase – intonation descendante. Exprimé par pronom, déterminants ou adverbes interrogatifs. +inversion du sujet + est-ce que ? IIIndirecte partielle

LES TYPES DE PHRASES.

Énonciative = acte de langage. Asserter / questionner / ordonner. 3 types : assertif, interrogatif, injonctif. Parfois sentiment vif = exclamation. Toute phrase = un seul type. Mais assertive + exclamative possible. Se combine avec formes négative et passive.

Résulte d’un choix de l’énonciateur. I-

La négation. a. Dans phrase déclarative. b. Dans interrogation = une assertion déguisée ou demande de confirmation. c. Exclamation négative = pas négatif. L’emphase. a. L’extraction. b. La dislocation. Passivation. Tours impersonnels.

II Phrase déclarative. Affirmer Donner une information à l’interlocuteur. Ordre canonique des constituants.  Phrase interrogative. (Voir interrogation.)  Phrase injonctive.

IIIIV-

CONSTRUCTION IMPERSONNELLES. Le mode impersonnel indique que le verbe ne varie pas selon les

Acte d’injonction = ordonner. Demande quelque chose à quelqu’un. Diverses nuances. Obtenir un acte ou un comportement mais pas une réplique. Intonation descendante / impératif pas de sujet / présent / futur. La personne concernée.

personnes.

 Phrase exclamative. Une modalité / Attitude affective du locuteur / Correspond à aucun acte de langage / Se surajoute aux 3 types. / nuance subjective.

Occasionnellement : Toujours impersonnel : o Intransitif voix active. Manque o Évoque la situation o Copule être ou autre attributif atmosphérique. o Locution avec faire. o Verbe voix pronominale. o Construction : il faut, il y o Verbe transitif voix passive.

LES FORMES DE PHRASE. 9

Le verbe impersonnel ou construction signifie que le verbe est conjugué à la 3eme personne du singulier, un sujet exprimé mais impersonnel. Ce sujet Il est grammatical il ne représente personne ni chose ni être - > invariable et pas de sens. Il impersonnel.

a. o Agir à la voix pronominale toujours impersonnel.

La proposition subordonnée entretient un lien de dépendance avec la ppale. L’élément subordonné ne peut faire phrase à lui seul. En ceci, la conjonction de subordination est différente de la conjonction de coordination. De plus, la conjonction de

LES PRÉSENTATIFS.

subordination peut être reprise par que (outil conjonctif universel). Tantôt le mot marquant la dépendance peut introduire un mot ou

Permet une mise en évidence, mise en relief d’un mot ou groupe de mots. Ils présentent un être ou une chose.

un gpe de mots à valeur nominale. C’est dans ce cas une prép. Tantôt il introduit une proposition, c’est une conjonction de subordination. Mais il peut aussi y avoir une absence de mot

I-

Locution C’est. A tous les modes et tous les temps, suivie d’une forme que, qui, où.

II-

Locution Il y a. impersonnelle mais devient présentative quand elle est suivie de qui, que.

III-

Voici, voilà. Employés seuls ou suivis de qui, que. Ils sont toujours présentatifs.

subordonnant. Le plan doit être discuté, car il y a plusieurs plans possibles qui ne sont jamais parfaitement satisfaisants. - Un classement FONCTIONNEL de la subordonnée : 1) les complétives, qui ont la fonction du nom ; 2) les circ ; 3) les relatives. Le problème est que l’on mélange nature et fonction (entre circ et relative par exemple), mais aussi qu’il n’y a pas moyen de caser les relatives substantives. Le plan est efficace qd il n’y a pas de relatives substantives, tout en restant incohérent en ce qu’il mélange nature

SUBORDONNÉE 10

et fonction.

- Un classement MORPHOLOGIQUE : 1) substantives (fonctionne

ETRE ET AVOIR.

comme un nom, complétives...) ;2) adverbiales (les circ et les

Verbes les plus fréquents dans la langue française. Morpho : se caractérisent selon les modes, temps, personnes, nombreux radicaux. Comme verbes ordinaires en sens plein ou comme auxiliaire alors leurs sémantismes s’amenuisent.

participiales) ; 3) adjectives. Plan qui fonctionne mais joue sur les analogies entre les classes des noms, adv, adj et les subordonnées. -

Un

classement EN

FONCTION

DES

CONJONCTIONS

SUBORDINATIONS, que nous allons appliquer. Ia. b. i. ii. iii. iv. v. vi. vii. II-

Présence de subordonnant Type de subordonnant Type de subordonnée Relative Conjonctive complétive Conjonctive circonstancielle Interrogative indirecte Exclamative indirecte Infinitive Implicite Absence de subordonnant a. La parataxe formelle/ les tours subordonnants b. Les subordonnées infinitives ou participiales c. Les interrogatives indirectes partielles

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DE

 ETRE. Morphosyntaxe : Classer selon mode et temps. IMorphologie a. Indicatif b. Conditionnel c. Infinitif IILes emplois. a. Copule b. Dans présentatif c. Comme auxiliaire  AVOIR. // Classement qu’être. IIIMorphologie a. Indicatif b. Conditionnel c. Infinitif IVLes emplois. a. + COD Ex : chat à quatre pattes b. Verbe support Ex : j’ai de la force c. Dans pr...


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