HMC Synthèse 1-45 - Résumé Histoire contemporaine PDF

Title HMC Synthèse 1-45 - Résumé Histoire contemporaine
Course Histoire contemporaine
Institution Université Libre de Bruxelles
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Summary

Synthèse Histoire moderne et contemporaine...


Description

Introduction à l’histoire moderne et contemporaine 1. Histoire moderne et contemporaine 1.1. Histoire, chronologie, périodisation(s) 1.1.1. Histoire et chronologie o

o

Chronologie :  Liste d’événements en ordre chronologique  Succession d’évènements, sans interprétation ou mise en perspective Histoire (ἱστορία) :  Double réalité : objet = le passé + discipline = étude du passé  Etymologie grecque : connaissance acquise à travers la recherche  Mise en perspective des évènements et leur interprétation des évènements  Périodisation (= segmentation du temps) : activité d’interprétation et de reconstruction du passé  L’historien analyse les évènements partie d’un sujet qui l’intéresse, selon une certaine perspective. Il fait des choix dans sa recherche > non exhaustive + dépend du regard de celui qui décrit les faits

1.1.2. Périodisation(s) en histoire o

o

o

1.2.

Définition :  Articuler le continuum du temps/ la durée dans le temps grâce à l’identification de moments de rupture, de définition dans le temps  Élément conventionnel, arbitraire et symbolique : interprétation Plusieurs périodisations possibles :  Périodes/tranches canoniques = découpage pas naturel  Différentes en Chine, Europe, USA, … Exemple : Pour un historien qui étudie l’Afrique du Sud, la périodisation conventionnelle de l’Europe (Antiquité, Moyen Age, Temps Modernes, Epoque Contemporaine) n’a pas de valeur « Toute l’histoire est contemporaine » ! (B. Croce) : la périodisation = travail interprétatif

Epoque « moderne » ?

1.2.1. « Moderne » : un terme ambigu o

o

Significations :  Moderne (1) = Récent (// à moi)  Moderne (2) = Différent, nouveau (// au passé) Moderne par rapport à quoi ? Au MA ?

1.2.2. Histoire moderne o

Terminus a quo = point de départ :  Prise de Constantinople (1453) par les Ottomans  Fin de l’Empire romain d’Orient et développement de l’Empire ottoman qui devient la plus grande puissance d’Europe et du Moyen-Orient  Changement cartographique, nouvelles frontières

 Division de la Méditerranée « Découverte » de l’Amérique (1492) par Christophe Colomb Changement de la géographie mentale et de la représentation du monde : NB : colonnes d’Hercule = fin du monde connu AVANT les découvertes La mer n’est plus considérée comme une frontière, mais comme une voie de communication L’histoire européenne devient mondiale  Réforme protestante (1517) par Martin Luther  Moine allemand ayant placardé ses idées/thèses sur les portes des églises de Wittenberg (= ville allemande) = acte de communication de masse  Symbole de la réforme  Entre dans l’imaginaire collectif (cf. sa représentation dans les Lego)  Humanisme et renaissance (1400-1500) Emergence d’une nouvelle culture plaçant l’Homme au cœur de l’Univers Redéfinition du système de connaissances Leonardo da Vinci Terminus ad quem = point d’arrivée :  Révolution industrielle (Mi- 18 ème siècle)  Révolution française (1789) – fin de l’Ancien Régime c-à-d de la monarchie Rupture(s) :  Economiques :  Urbanisation (villes)  Commerce  Artisanat  Proto-industrialisation (= Activité de fabrication rurale, domestique et saisonnière pour des marchés extérieurs à la région de production, qui a précédé en Europe la révolution industrielle/dispersion dans une campagne périurbaine d’une part de la production)  Emergence de la « Bourgeoisie » (vs. Système féodal)  Politiques :  Emergence des Etats territoriaux - Centralisation du pouvoir - Centaine d’entités deviennent un pays avec des frontières  Centralisation administrative (féodalisme devient absolutisme)  Culturelles/Epistémologiques (= discipline prenant la connaissance scientifique pour objet)  Rupture de la Respublica christiana car Eglise divisée à cause de la Réforme protestante + critiquée  Redécouverte des textes antiques  Humanisme et renaissance (contre Magistère de l’Eglise = autorité en matière de morale et de foi) 

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1.2.3. Périodisation = interprétation o o

Interprétation « progressiste » (transformation des structures politique et sociale apporte une amélioration sur les conditions de vie/progrès moral de l’humanité) et « eurocentrée » Critiques du Terminus a quo par les historiens étudiant le Moyen Age :  Théorie d’un long Moyen Age :

Prendre en compte la vie quotidienne des gens normaux (alimentation, condition de vie…) pas seulement des puissants  pas de changements  Annales et longue durée  Marxisme et continuité précapitaliste : pas de grand changement dans la production + longue continuité précapitaliste Critiques du terminus ad quem :  Débat sur la « Révolution » industrielle qui n’a pas eu lieu en même temps partout 

o

2. Un fil rouge : la communication 2.1.

Communication(s) : notion plurielle

2.1.1. Définition(s) o o o

Origine latine : Communicatio, -onis = Action de partager, faire part, communiquer Communication humaine étudiée depuis l’Antiquité avec la rhétorique, l’argumentation, etc. Aujourd’hui, communication =  Action de transmettre des idées  Moyen qui permet de communiquer :  Voie de communication contenant une dimension de la découverte, de l’exploration, du voyage  Moyen de communication = médium/média(s) (= support(s) permettant une communication des tablettes de cire à Internet)

2.1.2. Voies de communication o

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Lien entre flux d’information et flux commerciaux (déplacement des marchandises) : l’information se transmettait par les marchands et les voies de communication > si voies de communication rompues, l’information aussi 15ème-16ème siècles : conscience du problème des voies de communication :  Centralisation des Etats : le monarque a besoin d’outils de contrôle sur ses territoires > sur les voies de communication car besoin de transmission des ordres dans les provinces à partir de la capitale  Transformation et amélioration des routes NB : Jusqu’aux Temps Modernes, lien entre le transport physique et la transmission/communication d’informations  Empires et communication (Charles V et Philippe II) :  Charles V ou Charles Quint, l’empereur romain germanique voyageait tout le temps pour contrôler son empire. Autrement dit, la dimension du voyage était constitutive de la dimension du règne.  ≠ Philippe II, son fils n’a plus le besoin de voyager pour contrôler l’empire grâce à l’apparition du service postal > le « Roi du papier » reste dans son bureau à Madrid où il lit les correspondances de ses territoires et écrit ses ordres (c’est cela sa stratégie du pouvoir)  Expansion du service postal : révolution de la communication  Apparition au 15ème siècle  Un service REGULIER : Messages transmis d’une ville à l’autre avec régularité et avec sécurité  Système de courrier à cheval qui est changé dans toutes les villes (relais). Le cor postal/de postillon est un instrument de musique utilisé par certains porteurs de courrier. Ils signalaient ainsi leur arrivée et leur départ d'un lieu

 

pour que les destinataires et les expéditeurs de lettres puissent venir à leur rencontre. Il est devenu le symbole de la poste ; en effet, certaines sociétés de distribution de la poste s’y sont inspirées pour leur logo. Tributaire (dépendant) de l’amélioration des voies de communication Fondateurs : Von Thurn und Tassis ou Tour et Taxis = ancien et vaste site industriel bruxellois dont certaines parcelles ont appartenu à la famille Thurn und Tassis qui assurait déjà « la poste » de la cour du temps du Saint-Empire romain germanique au point de développer un monopole perdu avec l’avènement des postes nationales au 19ème siècle.

2.1.3. Moyens de communication o o

o o

Communication orale Communication écrite :  Manuscrits  Imprimés Communication visuelle :  Cartes géographiques Communication multimédia

Interaction entre médias o o o

2.2. 2.3.

Entre texte et image (icono-textes) Entre textes imprimés et oralité :  Traités sur l’art de la conversation Entre manuscrits et imprimés :  Lettres et traités sur l’écriture épistolaire  Manuscrits et diffusion clandestine

Censure Production et réception

Rappel : o Toute périodisation est une interprétation : les dates symboliques et rupture(s) sont définies par la perspective de l’historien. Elle n’est donc pas universelle ! o La communication est une notion plurielle : les voies de communication (qui permettent de communiquer dans l’espace), les moyens de communication, la censure (communication et pouvoir) et la production à la réception (=le publique) o Le point de départ de l’époque moderne à partir de la communication est l’invention de l’imprimerie par Gutenberg en 1456. C’est un événement capital qui surpasserait tous les autres (effet de cause à effet) selon l’historienne, Isabelle Eisenstein. Cet évènement marque donc une césure entre les 2 époques car il bouleverse l’histoire de la communication et de la culture et est donc utilisé dans une périodisation générale…

3. Une périodisation 3.1. L’invention de l’imprimé 3.1.1. Une nouvelle technique : du manuscrit au livre imprimé (fin 15- début 16e siècle)

o

Conservation et diffusion du savoir avant l’imprimerie :  Quelles techniques ?  Ecriture à la main  Élément clé à la transmission du savoir  Textes manuscrits recopiés à la main en plusieurs exemplaires par des moines copistes  Transmission manuscrite = processus très lent  Xylographie  Gravure sur bois  Technique inventée par les chinois au 7ème siècle pour automatiser la copie et augmenter la production  Emportée en Europe au 14ème siècle  Se développe surtout en Allemagne et en Hollande  Processus de standardisation donc reproduction d’images identiques  Problème de taille dans la reproduction de textes : en cas d’erreur, il faut tout refaire à zéro  Quels supports ?  Parchemin  Peau d’animal tannée (comme peau de mouton)  Support assez cher (car produit à partir d’une peau d’animal) qui empêche une production en quantité  Papier fabriqué avec des vieux chiffons  Entrée en Europe au 13ème siècle  Petite révolution car ça permet le développement de la correspondance  Moins cher que le parchemin donc plus grande productivité donc un plus grand nombre d’hommes de lettres pouvaient être leur propre scribe

3.1.2. Une « révolution » de la communication ? 3.1.2.1. Gutenberg et l’invention de l’imprimerie en 1456 o Travail d’orfèvre avec l’invention des caractères mobiles en plomb o Introduction des caractères séparés grâce à la fendeuse o Presse à bras réalise l’impression o 1er livre imprimé = la Bible à 42 lignes dont la réalisation a duré plus ou moins 2 ans o Travail lent mais une fois que les textes sont composés on peut en tirer un nombre quasi infini (VS le recopiage à la main) o C’est le texte qui est imprimé pas les images ! En effet, les enluminures sont rajoutées par après là où des espaces sont laissés volontairement vides. 3.1.2.2. « Révolution » ? o Avantages :  Rapidité de duplication d’un même texte grâce à l’assemblage des caractères (vs. l’écriture à la main) Avec cette invention on peut produire même 300 textes par jour  Possibilité de corriger un texte sans devoir tout refaire (vs. la xylographie)  Caractères réutilisables donc économies possibles o Conséquences :

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 Réduction du coût de production du livre et donc du prix de vente des livres  Elargissement considérable de la diffusion vers un public plus diversifié Bible à 42 lignes  1er livre imprimé (1456)  À la fin du 15e siècle, 35 000 éditions (15-20 millions d’exemplaires) donc grande diffusion  236 villes d’Europe possèdent 1 ou plusieurs imprimeries (vers 1500)  Répandage grâce aux imprimeurs allemands qui voyageaient pour partager leurs techniques même et grâce aux humanistes qui diffusaient leurs savoirs dans les centres d’imprimerie.

Conclusion : Tout le monde n’accueille pas cette révolution à bras ouverts notamment les religieux qui ne sont pas d’accord d’éditer des Bibles sans l’accord du Clergé et les moines copistes qui perdent leur boulot et le prestige qui va avec celui-ci. Les états sont indignés que d'autres états puissent savoir ce qu'ils font, ou pire, ce qui se passe dans leur fief. Le livre en tant que tel devient un objet sensiblement démocratique et moins luxueux. En ce qui concerne les lecteurs de l'époque, ils veulent lire les auteurs classiques dont les grands penseurs grecs et latins. 3.1.3

Histoire(s) de l’imprimerie

Rappel : Historiographie = Activité de celui qui écrit l'histoire de son temps ou des époques antérieures

3.1.3.1. Marshall McLuhan et la « Galaxie Gutenberg » o Sociologue célèbre pour son étude sur les transformations culturelles apportées par l'imprimerie dans le monde occidental o Différents âges du manuscrit :  Age des manuscrits = culture orale  Age de l’imprimé = culture de l’ère visuelle définit dans la « Galaxie de Gutenberg ». En effet, pour McLuhan, la naissance de l’univers des textes imprimés fut une révolution pour la société, la mentalité des hommes devenus typographiques et même leur perception du monde.  Age électronique = inventeur de la radio et retour à la culture orale) o La « Galaxie Gutenberg » (= ouvrage et concept des années 60) :  Avec Gutenberg, « toute l’histoire devient simultanée » car on peut partager les mêmes références culturelles dans différents espaces  L’homme se replie sur lui-même au moyen du livre de poche qui transforme la lecture. En effet, avant l’invention de l’imprimerie, la lecture était collective. Avec le livre de poche, elle devient individuelle.  L’imprimé habitue l’homme à dépendre de sa vue (= point de départ de l’ère visuelle). Autrement dit, l’homme marginalise les autres sens au détriment de la vue. L’époque moderne est donc une ère visuelle  Le tirage de l’imprimé à grande diffusion dans toutes les langues et dans tous les dialectes provoque la naissance du nationalisme  Mais avec l’apparition des médias électroniques (TV, radio), la Galaxie se termine !  Le déterminisme technologique : impact fort de cause à effet de la technologie sur le changement social (sur le monde et les mentalités)

Exemple : La TV ou les jeux vidéo et la violence 3.1.3.2. Elizabeth Eisenstein et la « révolution méconnue » o Imprimerie = élément périodisant de l’époque moderne o Une « révolution méconnue » par les historiens : littérature abondante sur l’histoire de l’imprimerie mais coupée du reste de la littérature historique. En effet, toutes les recherches sur l’imprimerie sont faites par les historiens des médias et non pas par les historiens économistes qui ignorent toujours son importance. o Objectif : intégrer l’histoire de l’imprimerie (générale, pas celle des médias) avec celle des autres transformations. o « Imprimerie » = faisceau d’innovations (l’emploi des caractères mobiles en métal, d’encre à base d’huile, de la presse à bras, etc.) o L’âge des incunables (= 1ers livres imprimés entre 1450 et 1500) = berceau de l'imprimerie Conclusion : étude des éléments concrets et tentation de trouver des liens entre les transformations techniques et la société

3.1.3.3. Du manuscrit à l’imprimé : discontinuités Culture du manuscrit o Multiformité (erreurs, modifications, etc.) : prolifération des exemplaires uniques et accumulation de variantes o Peu d’exemplaires car production lente o Coût élevé car produit de luxe, pour riches o Articulation entre plusieurs métiers (copiste, enlumineurs, miniaturistes,…)

Culture de l’imprimé o Uniformité (standardisation, production d’exemplaires identiques) o Nombre illimité d’exemplaires car production rapide o Baisse des prix > élargissement du marché, des nouveaux lecteurs (public plus large) o L’atelier typographique en tant qu’espace de culture et entreprise commerciale basé sur le travail d’équipe + réorganisation des métiers (fondeur, presseur,…)

Remarques : o La production rapide des textes dans l’imprimerie détermine une véritable rupture avec la culture du manuscrit. Certains la considèrent même comme un produit de Dieu qui veut que sa parole soit transmise. o Concernant le produit, on assiste à une continuité apparente. En effet, l’imprimerie n’affecte pas la forme des livres : les 1ers imprimeurs cherchent à reproduire le plus fidèlement possible un manuscrit (l’imiter). En revanche, des transformations radicales s’opèrent du point de vue des méthodes utilisées…

Transformation radicale des méthodes de production : o

Les règles du calligraphe sont abandonnées au profit de la commodité du lecteur. Il faut donc tenir compte de cette commodité et faire en sorte que le texte soit lisible.

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o o

Naissance de la page du titre (inexistante au MA) : elle devient courante car permet de savoir tout de suite le contenu du livre. Dès qu’il y a un public de lecteurs, cette page devient très importante. Production multiple d’images (grâce à la xylographie) Invention de nouveaux caractères Exemple : la typographie gothique est remplacée par une typographie plus lisible qui permet de compresser plus de texte sur une page comme la typographie italique

Extrait de la « Révolution de l’imprimé » d’Eisenstein qui délimite l’impact de cette révolution à la vie occidentale : « Une méthode inédite de reproduction de l’écrit (…) fut mise au point et employée pour la première fois voici cinq siècles. Elle a suscité la transformation la plus radicale des conditions de la vie intellectuelle dans l’histoire de la civilisation occidentale, et ses effets furent, tôt ou tard, ressentis dans tous les secteurs de la vie des hommes. (…) Dans la seconde partie du présent ouvrage, un certain nombre d’évolutions sont examinées plus à fond. Des parentés et des relations possibles sont explorées dans le but de fournir la base à des conclusions, susceptibles de révision, concernant les effets de la transformation des communications sur trois mouvements qui semblent avoir été fondamentaux dans la formation de l’esprit moderne ». (Elizabeth L. Eisenstein, La révolution de l’imprimé, op. cit., pp. 134-135)

3.2.

« Effets » et transferts

3.2.1. Renaissance, Humanisme et communication(s) La Renaissance et l’humanisme sont des conséquences de la « révolution de la communication c-à-d l’invention de l’imprimerie 3.2.1.1. « Renaissance » o Origine du mot : 16ème siècle o Mouvement littéraire et artistique du 15ème – 16ème en Italie et en Europe  Remise à l’honneur de la culture antique :  Redécouverte  Imitation de certains de ses thèmes/récupération  Actualisation Exemple : Platon a le visage de Leonardo De Vinci dans « L’école d’Athènes » ; Les hommes de la Renaissance se sentent comme les héritiers de la période antique.  L’art pénètre dans la sphère du privé > apparition de nouveaux types picturaux comme le portrait et le paysage. En effet, alors qu’au Moyen-âge la création artistique était essentiellement tournée vers la religion, la Renaissance utilise des thèmes terrains, profanes qui touchent à l’homme  Rupture due aux lettrés, à une élite o Phénomène culturel  Economie et société  Réseaux urbains : une plus grande densité de la population dans les villes  Reprise/effervescence démographique par rapport à la crise/au déclin démographique grâce à beaucoup de facteurs > élargissement des villes  Multiplication des entreprises commerciales  Croissance démographique > augmentation du commerce à Londres et Anvers

La production domestique et artisanale laisse place à des formes plus élaborées de division du travail > précapitalisme : accélération des échanges commerciaux et donc accélération de la circulation des informations.  Mobilité des hommes et apparition de nouveaux modes de diffusion de l’information : L’urbanisation permet l’accélération des échanges de l’information. Le déplacement physique est très fortement lié à la diffusion de l’info. Les hommes voyagent avec différentes intentions et font des échanges ...


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