Introduction à la psychologie (Semestre 1) PDF

Title Introduction à la psychologie (Semestre 1)
Course Licence 1 STAPS
Institution Université de Nantes
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Cours n°1 et 2 Introduction à la psychologie Introduction En quoi la psychologie est elle une science ? Pourquoi particulièrement dans le monde sportif ? En quoi permet elle le comportement adoptés par les pratiquants dans les APS ? Pourquoi étudier la psychologie ? Applications immédiates et essentielles sur notre quotidien (santé physique et mentale, capacité à créer, maintenir des relations sociales, évoluer… ) Nous allons donc organiser des enquêtes sur notre comportement, et observer les causes et les conséquences. Les études se font sur des individus (parfois même des animaux)  éthologie Le but est d’étudier les processus mentaux, les opérations de l’esprit humain. C’est l’aspect important de la psychologie (exemple : penser, planifier, créer …) Définition psychologie : Etude scientifique du comportement des individus et de leurs processus mentaux (dans l’environnement physique et social). C’est également une science formée de multiples sous-disciplines, courants et autres approches, tant au niveau théorique qu’au niveau méthodologique. C’est en usant de plusieurs disciplines et test que la psychologie s’est formée. Il est nécessaire de posséder des méthodes scientifiques expérimentales (Cf TD n°1) puis des méthodes cliniques. Le comportement est le moyen par lequel les organismes s’adaptent à leur environnement (ex : parler, courir, pleurer…) Deux grands axes = le normal ou le pathologique Sur deux autres = le social ou le biologique

Normal Psychologie expérimentales générale ou différentielle cognitive

Social Psychologie de l’éducation, psychologie du travail, psychologie industrielle, psychologie social, psychologie de la santé, Ethnopsychiatrie

Psychologie du sport

Pathologique Psychopathologie, psychologie cliniques, psychanalyse

Biologique Psychologie du développement, Ethologie, Psychophysiologie, Neurosciences, Neuropsychologie, Psychopharmacologie, Psychiatrie

Normal : Etude des mécanismes généraux du comportements (exemple : perception, motivation, apprentissage, émotion). Pourquoi levons nous la jambe devant une marche ? Et pourquoi est-ce difficile lorsqu’on ferme les yeux ? (Exemple : Déséquilibre plus le temps passe, mais vers 7,8 ans, on observe un déséquilibre anormal, la cause = besoin de concentration à cette âge là  équilibre postural). Pathologique (à l’opposé du normal) : Elle concerne les maladies et troubles psychologiques  psychologie clinique (Freud). C’est une approche personnalisée du patient = compréhension globale et unique de l’individu  théorie de Freud. Elle est basé sur les observations des réactions  écoute du patient, parole … Interprétation de documents personnels et applications de tests personnalisés. Biologique : Etude des bases biologiques du comportement (conception matérialiste  Darwin, théorie de l’évolution = il ne peut pas y avoir de psychologie sans cerveau ni système nerveux). Toutes les neurosciences. (Mécanisme d’attachement, premier mécanisme entre l’enfant et la mère, il est durable. Il est également observé et étudié chez les oies cendrées entre le scientifique et les oies, premier contact après la naissance). Social : Interactions individuelles dans le groupe, phénomène de direction (leadership) ou de soumission à l’autorité, d’influence du groupe sur l’individu  comparaison sociale (comparaison des performances sportives…), attributions causales (on attribut à notre quotidien des échecs ou des réussites que l’on explique par des causes internes ou externes). L’homme est amené naturellement à vivre en groupe. Un être vivant naissant sans le phénomène de groupe est incapable de se développer normalement. La psychologie du sport est un peu au centre de ces 4 pôles de la psychologie  Normal, pathologique, biologique, social. 4 rubriques principales Les psychologues cliniciens (santé) : psychanalystes, psychothérapeutes, neuropsychologues … Les psychologues de l’éducation Les psychologues du travail et des organisations Enseignement et recherche Ils interviennent aussi dans les champs de l’environnement (écologie…), de la justice (expertise, aide aux victimes…), du sport (coaching, préparation mentale), des centres sociaux …

Quels sont les objectifs de la psychologie ? :

1°/ Décrire :  



Faire des observations précises sur le comportement (en sachant de quelle thématique nous parlons, il ne suffit pas de prescrire un traitement à un patient) Choisir un niveau d’analyse (niveau cellulaire  (…)  niveau comportemental : individu  niveau social : collectif  niveau culturel et linguistique : culture) adéquat pour répondre à une question précise. Choisir son niveau d’analyse en fonction de la question Décrire la réponse comportementale objectivement  faire correspondre les 7 émotions aux visages ? (joie, surprise, colère, dégoût, peur, tristesse, mépris)

2°/ Expliquer :    

Découvrir comment le comportement fonctionne Ces comportements sont influencés par une combinaison de facteurs internes, externes ou les deux (variables internes : patrimoine génétique, degré d’intelligence, estime de soi… et variables externes : corruption…) Quelle(s) cause(s) sous-jacente(s) est (sont) à l’origine du comportement observé ? Synthétiser ce qui est connu et ce qui n’est pas encore connu (création d’hypothèses)

3°/ Prévoir :  

Affirmations sur l’éventualité future d’un certain comportement ou d’une relation donnée (exemple : pouvons nous prédire la performance d’un athlète ?  Prédiction du développement des nos aptitudes) Différence entre aptitude et habileté : Habileté : « capacité (…) à élaborer et à réaliser une réponse efficace et économique pour atteindre un objectif précis » Durand, 1987 Produire une réponse efficace ≠ adroit. Expertise spécifique. Produit d’un apprentissage. Aptitude : Facteurs sous-jacents, des caractéristiques stables des sujets, qui peuvent expliquer les différences interindividuelles. Expertise non spécifique, « qualité physique »  naturel Deux courants au XXème siècles : Courant global : performances sportives  une seule cause probable Courant analytique : connexions limitées d’aptitudes différentes (Bellin du Coteau, médecin et athlète, proposa un modèle avec 4 aptitudes : Vitesse Adresse Résistance Force  VARF)

L’approche factorielle repose sur le fait qu’aucune hypothèse n’est faite à priori sur la nature du système des aptitudes. Elle propose un certains nombres de tests à différents sportifs. Il met ensuite en relation les résultats des tests deux par deux pour ensuite calculer un coefficient de corrélation (Tracer la droite passant par un maximum de points sur un graphique) ainsi le signe de ce coefficient permet la

relation entre les deux performances et si ce coefficient tend vers zéro alors les deux performances ne possèdent aucune relation entre elles. Ainsi nous obtenons une matrice de corrélation (calcul des différents rapports entre les performances). Cette technique va permettre d’identifier les facteurs sous jacents susceptibles d’expliquer les relations mises en évidences. Ainsi si deux tests sont en corrélation, on suppose que ces deux tests sont tout deux déterminés par au moins une cause commune. Fleischman a ainsi permis de mettre en évidence 52 aptitudes : expression écrite, vitesse de catégorisation, orientation spatiale … Il les regroupera alors en 4 catégories principales : 1. Aptitudes perceptives 2. Aptitudes cognitives 3. Aptitudes physiques 4. Aptitudes psychomotrices (coordination) Les tests fonctionnels permettent de définir ces aptitudes En conclusion les travaux de Fleischman ont permis de démontrer qu’il n’existait pas uniquement une seule aptitude physique général mais plusieurs  aptitudes. Que ces aptitudes sont indépendantes et que les facteurs de ces aptitudes tendent à être stables chez l’adulte. Ces aptitudes sont également peu modifiables par la pratique et l’entrainement. Chez l’enfant, son répertoire d’aptitudes est relativement pauvre. Ensuite il subira une évolution de ses aptitudes quantitativement et qualitativement. Quantitatif : - Evolution des performances dans les batteries classiques - Variable d’une aptitude à l’autre : certaines arrivant à maturité, se stabilisent plus précocement que d’autres. Existerait-il donc une hérédité de ces aptitudes ?  Inné ou acquis ? D’une manière générale, on considère que l’hérédité détermine les limites à l’intérieur desquelles l’influence de l’environnement (entrainement) pourra agir. (Exemple : tests de course anaérobie sur des jumeaux : un entrainé et l’autre non  et nous comparons leurs performances). Qualitatif : - Evolution dans l’organisation et la composition du répertoire d’aptitudes. Expérience psychomotrices complexes : Nous analysons les résultats obtenus en fonction de l’entrainement reçu et ensuite nous déterminons les variables qui sont en cause des différences de performance (variable inexpliquée, temps de réaction, allure du mouvement, coordination psychomotrice, dextérité, expérience perceptive, mécanique, verbale, relations spatiales)

L’entrainement a donc un effet qualitatif sur nos aptitudes. Nous savons désormais que l’entrainement a un effet qualitatif et quantitatif sur les aptitudes. Ainsi pouvons nous prédire et déterminer quel individu sera plus tard athlète de haut niveau ?  Les performances précoces sont un indicateur très peu fiable des performances futures. Substitution à la problématique de la détection celle du développement de l’expertise. La question « à qui va t-on proposer l’accession au plus haut-niveau ? » n’est plus à se poser mais plutôt « comment va-t-on assurer la réussite cette accession ? » 4°/ Contrôler :  

Faire en sorte qu’un comportement ait lieu ou pas – l’initier, le prolonger, le stopper ainsi qu’influencer sa forme, sa force ou son taux d’occurrence. Aider les gens à améliorer leur vie.

Cours n°3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9 Introduction à la psychologie Evolution de la psychologie moderne 1) Les fondations historiques de la psychologie La psychologie est une discipline jeune ne datant que du XIXème siècle. « La psychologie a un long passé, mais seulement une courte histoire » 1908  Institutionnalisation comme discipline scientifique distincte et autonome  Fondation en 1879 par Wilhelm Wundt du premier « laboratoire de psychologie expérimentale » à l’Université de Leipzig. Il s’appuie sur la méthode expérimentale pour essayer de comprendre le fonctionnement de la mémoire …  Etude des processus élémentaires de la sensation et de la perception ainsi que la vitesse des processus mentaux simples. Ces 3 pères fondateurs furent - Herbart  « De la psychologie comme science, appuyé pour la première fois sur l’expérience, la métaphysique et les mathématiques » : premier à émettre l’hypothèse de créer une science autonome concernant la psychologie - Fechner   Fondateur de psychophysique : rapports existants entre les phénomènes psychologiques et physiques.  Problématique de la sensation : établir une relation entre les variations de la sensation et les variations de l’excitation (Weber) : expériences sur les plus petites différences perceptibles dans les sensations tactiles (mesure de l’écartement minimal entre deux pointes d’un compas posé sur la peau sur différentes zones du corps humain afin que les deux pressions simultanées soient perçues comme distinctes)  Weber c’était rendu compte qu’il fallait une certaine distance entre les 2 pointes sur la peau pour que le sujet puissent les percevoir comme distincts et que cette perception était différente selon les parties du corps. Ces expériences ont permis de déterminer un seuil sensorielle (minimum de différenciation)

Avec l’expérience de peser : pour une masse de départ de 100g, il faut au minimum 5g de plus pour percevoir une différence de poids. Ainsi pour 1kg, nous percevons une différence avec un minimum de 50g d’ajouter. Ces expériences ont permis de déterminer une valeur seuil et à construire l’échelle psychologique reliant l’intensité des stimuli à celle des sensations. Une autre expérience consiste à déterminer l’ouverture de l’articulation du genou( avec une machine  Or ce sont les sportifs de haut niveau qui possèdent le seuil le plus bas. Ainsi les sportifs utilisent d’avantage leurs capteurs corporels que des sédentaires. -

Helmoltz  Former par Muller. L’analyse des sensations Mesurer la vitesse de transmission de l’influx nerveux en stimulant un nerf de grenouille à des distances différentes de sa jonction avec le muscle  Il en conclut qu’il existe un intervalle important entre la pensée et le mouvement (inférieur à la vitesse de la lumière et du son ≈ 50m/s) : la route vers l’étude de la vitesse des processus mentaux …

Inspiration du modèle physiologique, de la phrénologie de Gall à la physiologie du cerveau de Broca : - La phrénologie (étude scientifique de la forme des crânes) de Gall était de déterminer le caractère, la personnalité, les compétences d’un individu grâce aux formes du crâne. - La physiologie du cerveau de Broca était de déterminer une aire précise à un processus psychologique élémentaire (exemple : le langage : l’aire de Broca) Théodule Ribot : Grande figure de la psychologie fin XIXème siècle 1885 : Poste de chargé de cours de psychologie expérimentale à la Sorbonne 1888 : Professeur titulaire au Collège de France 1889 : Premier laboratoire français de psychologie à l’aide d’Henry Beaunis La psychologie devient alors une science autonome utilisant les méthodes expérimentales Jean-Martin Charcot : Orientation psychopathologique Alfred Binet : Un des premiers à intégrer cette structure, inventeur du test de Q.I 1894 : première revue française de psychologie : l’année psychologique Henry Piéron : Créateur du premier institut de psychologie (1920) Paul Fraisse : Promoteur de la psychologie universitaire  science très jeune au contraire de médecine, droit … William James : Fondateur de la psychologie scientifique américaine  début du débat sur le sujet et les méthodes de cette nouvelle discipline, science de la vie mentale : principe de la psychologie Deux écoles : Structuralisme vs fonctionnalisme

Structuralisme :

Edward Bradford Titchener a introduit la psychologie de Wundt aux Etats-Unis : préconisations de ces méthodes scientifiques dans l’étude de la conscience  Examen du psychisme conscient par l’introspection expérimentale : examen systématique par les individus de leurs propres pensées et sentiments sur des expériences sensorielles. Il s’interroge sur le « quoi » du contenu mental, plutôt que le « pourquoi » ou le « comment » de la pensée. Il emploie alors une approche structuraliste : étude de la structure de l’esprit et du comportement Toute expérience sensitive humaine est la combinaison d’éléments Le but est de révéler la structure sous-jacente de l’esprit humain, en analysant les éléments de la sensation et autres expériences qui forment le psychisme d’un individu Trois critiques contre le structuralisme :  Réductionniste, car il réduit les expériences complexes de l’humain à de simples sensations  Elémentaire, car il tend à combiner des éléments pour en faire un tout  Mentaliste, car l’étude porte uniquement sur des rapports verbaux d’humains conscients

Marx Wertheimer Kurt Koffka Wolfgang Köhler

Expériences de l’esprit considérées comme un gestalt (un tout organisé), une forme (plutôt une somme d’éléments)

« Le tout est supérieur à la somme des parties » « L’ensemble prime sur les éléments qui le composent … » Kurt Lewin = Théoricien de la dynamique des groupes et des champs  Relations d’un individu ou d’un groupe à son environnement régies par des attractions et répulsions comparables à des champs de force. Fonctionnalisme, l’esprit avec un but « L’étude de la conscience n’est pas réduite à des éléments et des structures », William James. Or la conscience est plutôt un flot continu, une propriété de l’esprit en interaction continue avec l’environnement  Quelle est la fonction et quel est le but de tout comportement ? Ainsi on considère aujourd’hui que la psychologie se doit d’étudier la structure et la fonction du comportement. Les 3 perspectives principales de la psychologie : - La perspective béhavioriste (tout est conditionnement) - La perspective cognitive - La perspective biologique La perspective béhavioriste : Peut-on développer une science psychologique sans étudier la pensée, les processus mentaux, la conscience ?  Etudié par Watson : Perspective comportementaliste

 

Etude des relations entre des stimuli et des réponses (exemple : réponse de peur à l’organisme = mouvement de peur, cris …) Recherche des lois qui gouvernent le comportement observable des espèces.

Cette théorie fut empruntée à Pavlov (prévoir les comportements et ainsi peut être les limiter ou les contrôler or elle nécessite une théorie de l’apprentissage). Pavlov est donc le père fondateur du principe de conditionnement à la base de l’apprentissage. Travaux de Pavlov : - Recherches sur la digestion (implant de tubes dans les glandes et organes digestifs pour recueillir les sécrétions organiques). Observations  Salivation à la simple vue de la nourriture (premiers jours), puis à la vue de l’assistant qui apporte la viande (après plusieurs répétitions) ou même au son de ses pas (habitudes). Il en conclut qu’il existe un stimulus qui précédait régulièrement la présentation de la nourriture suscitait la salivation. Ainsi l’apprentissage peut résulter de deux stimuli devenant associés l’un à l’autre. Un réflexe est une réponse automatique déclenchée par des stimuli spécifiques ayant une pertinence biologique pour l’organisme. Pour obtenir une réponse inconditionnelle (exemple : salivement), il nous faut avant passer par un stimulus inconditionnel (nourriture) avant le conditionnel (stimulation). Ainsi le chien développe un réflexe de salivement à l’écoute de l’arrivée de l’assistant  Apprentissage

Les caractéristiques de base du conditionnement classique :  Le principe de conditionnement serait à la base de toutes les acquisitions comportementales pour les béhavioristes.  Si Pavlov a cherché une explication du conditionnement au niveau cérébral, J. Watson s’est refusé à formuler des hypothèses sur les mécanismes internes du conditionnement.  Aucune investigation de la « boîte noire » Timing essentiel = Stimulus conditionnel et inconditionnel présentés de façon assez rapprochée dans le temps pour être perçus comme étant liés. Le conditionnement le plus efficace étant le conditionnement retardé (et non le conditionnement de trace, simultané ou encore rétroactif), c’est-à-dire que le début du stimulus conditionnelle (sonnerie) précède le début du stimulus inconditionnelle (nourriture) Les conditionnements pauvres sont donc le conditionnement simultané (sonnerie et nourriture arrivent en même temps) et le rétroactif (la nourriture précède le début de la nourriture)  Il y a donc une importance de la contingence Que se passe-t-il lorsque le stimulus conditionnel ne prédit plus le stimulus inconditionnel ?  Lorsque la réaction conditionnelle n’apparaît plus en présence du stimulus conditionnelle, on dit que le processus d’extinction a eu lieu.

La répartition de la réaction conditionnelle après une période de repos sans exposition au stimulus inconditionnelle, on dit le processus de restauration spontanée. L’apprentissage initial n’est pas effacé, on dit processus de sauvegarde Connaître le conditionnement classique aide à comprendre nos comportements quotidiens. Emotions et préférences  exemple : manger caramels en forme de crotte de chien ? Boire café avec sucre marqué « poison » ? Boire jus de pomme avec un cafard stérilisé ?  Ainsi la réponse de conditionnement classique, sentiments de dégoût ou de danger, l’emporte sur le fait de savoir que le stimulus est vraiment sans danger.  Les réponses du conditionnement classique ne sont pas construites sur une pensée consciente  Réponses difficiles à éliminer par un raisonnement conscient. Le conditionnement opérant : apprendre les conséquences La loi de l’effet par Edward L. Thorndike :  Observations des chats essayant de s...


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