Cours introduction à la Psychologie Sociale PDF

Title Cours introduction à la Psychologie Sociale
Course Psychologie sociale
Institution Université de Montpellier
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Cours de psychologie sociale - semestre 2...


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Cours psychologie sociale

I – Le regard psychosocial Introduction : Naissance de la psychologie sociale : Ce placer dans le champ de l’éducation scolaire, nous permet de s’introduire dans la psychologie sociale. Qu’est-ce que la psychologie sociale ? Et à quoi cela sert ? (Questions légitimes du chercheur). Dans un premier temps, c’est discipline est une branche de la psychologie générale, et cette dernière permet de mieux comprendre les affects et les comportements de tous les individus. Peu à peu, au fil des siècles, la psychologie s’est subdivisées et spécialisée exemple : psychologie du développement, psychologie clinique, et un jour psychologie sociale. La psychologie sociale est née au 19ème siècle en France, sous l’impulsion du philosophe : Gabriel TARDE (1843-1904). Mais, elle va se développer aux Etats Unis. Pourquoi ? Deux raisons fondamentales. D’abord les chercheurs sont plus nombreux aux Etats Unis, et ensuite, parce qu’ils ont plus de moyens dans ce pays que en France. Cependant, elle reviendra en France pour se développer. La psychologie sociale, dans son historique, s’appelle également : psycho sociologie. Comment différencier cette psychologie par rapport aux autres psychologies ? La différence est que celle-ci, ne va pas s’orienter vers le sujet, c’est-à-dire vers la personne, vers l’ego. Au contraire, la psychologie sociale va s’intéresser aux relations plurielles, entre les individus qui composent la société, des groupes et des sous groupes. Cette discipline va donc s’intéresser à l’observation, et à l’étude des comportements des personnes réunies ensembles. Au tout début de son histoire, comme toute science, elle a connu la mise en place de ces théories, de ces models et il a fallu du temps, pour se positionner et se faire reconnaître en tant que science académique. (Comme bien d’autres). Bref historique : Au 19ème siècle, on va s’intéresser aux relations collectives avec d’abord l’étude de la foule, proposé par un chercheur en psychologie (La foule écrit par Gustave Le Bon). Aux Etats-Unis, les chercheurs vont commencer à étudier les relations collectives, donc ils vont commencer à s’intéresser au groupe plus restreins comme les groupes de travail. (Etude d’Elton Mayo) Les années passent, et les chercheurs vont s’intéresser à des relations collectives d’autant plus petites, et c’est là que le mot « groupe » va apparaître. Ces chercheurs vont alors étudier la vie et la mort de ces groupes en général. C’est alors là qui vont déterminer qu’un groupe commence à 3.

Définition de la psychologie sociale :

Il n’existe pas de définition exacte ou unidimensionnelle de cette discipline, cependant, on peut dire simplement que c’est l’étude des relations entre un individu dans un groupe , les relations des membres entre eux dans un groupe, et les relations d’un groupe vis-à-vis d’un autre groupe. Qu’allons-nous observer dans ce type de relations collectives ? Par exemple, les relations d’influence entre les uns et les autres, les échanges et la communication entre les uns et les autres, les relations de pouvoirs également, les conflits et les résolutions de ceux-ci, le leadership, la cohésion, la compétition… Finalement, cette discipline peut étudier tous les phénomènes qui peuvent se passer dans un groupe, et par rapport à un autre groupe. De ce fait, on parle alors d’étudier les phénomènes ou les relations intergroupales (relation d’un groupe par rapport à un autre groupe) et / ou intragroupale (relation à l’intérieur d’un groupe). Quelques définitions scientifiques : - Première définition possible : 1965 avec BROWN (chercheur américain) : « La psychologie sociale étudie les processus mentaux ou les comportements des individus, déterminés par les interactions actuelles ou passées que ces derniers entretiennent avec d’autres personnes. » En fait, cela revient pour lui à se poser la question suivante : comment les personnes agissent-elles quand elles sont confrontées à d’autres personnes ? On ne se comporte pas de la même façon quand on est tout seul et en public c’est bien connu. - Deuxième définition possible : 1979, avec LEYENS (américain) : « La psychologie sociale traite de la dépendance et de l’interdépendance des conduites humaines. » - Troisième définition possible 1992, avec MYERS et LAMARCHE : « La psychologie sociale est l’étude scientifique de la façon dont les gens se perçoivent s’influencent et entre en relation les uns avec les autres. »

Listing du vocabulaire : -

Psychologie inter groupale Psychologie intra groupale Les conduites humaines Les relations d’influence L’individu en interaction

La représentation et les applications de la psychologie sociale : Schéma 1 Les applications de la psychologie sociale : On l’applique dans de nombreux domaines. Schéma 2

Les outils de la psychologie sociale : - l’observation directe : toute science à des théories et des méthodes. Ça veut dire que l’on va observer soit à l’intérieur d’un groupe soit ce qu’il se passe entre groupe. - L’entretien : on peut faire un entretien individuel, soit entre groupe. - Les questionnaires standardisés : cela veut dire qu’on fera passer un certain nombre de questionnaire, en général anonyme et on utilise des échelles de mesure. (Echelle de satisfaction, cocher dans une case correspondante…)

Chapitre 1 : Le regard psychosociale 1.1. La situation éducative : Etudier une situation éducative, c’est mettre en relation les acteurs qui œuvrent pour l’éducation en général. Dans notre contexte, il s’agit de la situation éducative dans le milieu scolaire avec comme acteurs : les élèves qu’on appelle aussi le groupe classe, les enseignants qu’on appelle aussi l’équipe pédagogique ou les professeurs, et l’établissement ; on l’appelle aussi l’institution scolaire, sous-entendu avec sa direction, son personnel. Il s’agira pour nous de décrypter des situations problématiques à l’école qui lient les trois acteurs du champ éducatif. Situation éducative : plusieurs éléments qui composent une réalité sociale, les acteurs peuvent être les enseignants. Situations problématiques : des interactions qui ne vont pas, il y a conflit, essayer de comprendre ce qui se passe. (Exemple : photo). Cela peut être un frein au bon déroulement de la classe.

1.2.

Les apports de Serge MOSCOVICI :

Serge MOSCOVICI est né en 1925 en Roumanie, et pendant la Seconde Guerre Mondiale, il va notamment apprendre à parler le français et arrivé en France en 1948. Il va faire des études de psychologie à Paris et va devenir docteur en psychologie à la Sorbonne. En 1961 il fait publier sa thèse de doctorat : « la représentation sociale de la psychanalyse » : la psychanalyse, son image et son public. Il va étudier également d’autres disciplines comme la sociologie, les mathématiques… Et, il va développer, travailler sur trois axes principaux en psychologie sociale qui vont bouleverser les canons classique de la discipline qui existaient jusque-là. Il va beaucoup voyager, et va enseigner dans beaucoup d’écoles dans le monde, et on va pouvoir dire que S. MOSCOVICI a moderniser la psychologie sociale. (Acception). Il va obtenir des prix, et va beaucoup produire, communiquer. Il va créer la première école européenne qui va s’appeler La Maison Des Sciences De L’homme en 1975, qui va devenir le premier laboratoire européen. Il est toujours vivant. 1.3.

De la lecture binaire à la lecture ternaire :

Petite introduction : il existe différentes approches psychosociales pour tenter de comprendre et d’expliquer une situation éducative problématique. Dans ce cours, nous verrons au minimum 2 auteurs (chercheurs) : les apports de Serge MOSCOVICI avec la lecture/ le regard ternaire et nous verrons également les apports de Willem DOISE avec l’explication psychosociale a 4 niveaux. S’il n’y avait pas de problèmes, on ne parlerait pas de communication. Lecture binaire : c’est le fait de regarder deux choses en même temps.

Ego

Alter

Objet

Exemple :

Simon Tout psychologique

Elèves Classe Enseignants Parents d’élèves Tout sociologique Ecole

Pour Moscovici, on a oublié d’étudier une relation, il va donc se mettre en place le regard ternaire ou le regard psychosocial. Pour lui, ce serait une erreur de mettre en place une frontière comme si on vivait dans un monde séparé entre « le tout psychologique » et le « tout sociologique ». Pour lui, on vit les deux en même temps tous les jours. Pour lui, il y a la possibilité de lier le psychologique au sociologique en regardant un type de relation (de l’ego à l’alter). C'est-à-dire ne pas regarder que l’institution ou que simon, c'est-à-dire l’ego. On va regarder les relations entre les acteurs, c'est-à-dire entre l’ego et l’alter. Il s’agit du regard ternaire : apport de Moscovici, permet d’approfondir une situation éducative problématique. Lorsqu’on est dans une lecture ternaire, on regarde les 3 relations. L’intérêt du regard ternaire, psychosocial a été apporté par Nicole LAUTIER, professeur social de l’éducation qui a écrit dans un livre psychologie sociale de l’éducation et a dit dans un de ses travaux en 2001 : « Tout est plus simple lorsqu’on explique le fonctionnement d’un élève par le tout psychologique ou le tout sociologique. Mais le regard psychosocial relève d’une lecture ternaire : alors que l’objet du psychologue est le sujet pris dans son individualité (personnalité de simon), l’objet du sociologue est un sujet collectif (étude du système avec les autres acteurs) ; en fait l’objet du psychosociologue est de reconstituer la dynamique entre les deux perspectives (on casse la frontière). » Extrait et résumé de certains chapitres du livre psychologie sociale de moscovici, 1984, il apporte son avis sur le regard ternaire, le 1er apport c’est d’expliquer ce

qu’est la psychologie sociale et pourquoi c’est important de ne pas mettre une frontière : « tout serait simple si on pouvait dire sans hésiter : il y a l’individu et il y a la société. Nous acceptons tous, comme allant de soi, que les deux termes soient séparés, que chacun soit autonome et possède une réalité propre. Cela signifie que nous pouvons connaitre l’un sans connaitre l’autre à la façon de deux mondes étrangers. Mais c’est la banalité même que de reconnaitre qu’il n’y a d’individu que pris dans un réseau social, et qu’il n’y a de société que fourmillant d’individu divers. Chaque individu habite une société. Donc, lorsqu’on dit ; il y a l’individu, il y a la société, on passe à côté de l’expérience commune de presque tout le monde. » Deuxième petit apport, il insiste davantage sur cette vision psychosociologique pour expliquer la réalité sociale : « ce qui compte par ce nouveau regard, c’est le relationnel, l’interaction et la communication, ce n’est donc pas l’objet en lui-même. Rien n’est plus important que la relation entre l’alter et l’ego. Nous sommes dans une société qui souffre de la solitude. La psychologie sociale est alors une psychologie de la société pour éviter de sombrer dans une société de solitaire. Pour accéder à la communication, il faut adopter une lecture ternaire, c’est à dire étudier de manière approfondie la relation entre l’alter et l’égo.

1.4. Les apports de Willem DOISE C’est un psychosociologue, et avant même d’avoir l’apport de Moscovici, il va sortir un livre en 1982, s’appelle les 4 niveaux d’explications psychosociale (étude de cas : possible en examen) : simon est un petit garçon de 8 ans, en CE2, dans une école catholique urbaine, il a 2 grandes sœurs, il a des difficultés en mathématiques, simon s’attend à un contrôle de mathématiques dans les jours qui suivent, ses parents sont croyants pratiquants. Constat : Simon est régulièrement agressif dans la cour de récréation : il donne des coups de pieds aux garçons et il tire les cheveux des filles. L’enseignante le remarque et déclare qu’il y a donc un problème. Les 2 questions fondamentales sont : - Que se passe-t-il ? - Comment résoudre ce problème ? Willem DOISE va donc proposer une façon d’expliquer ce qui se passe, il ne connait pas le regard ternaire encore car c’est avant les travaux de Moscovici. Les 4 niveaux d’explication psychosociale : Niveau idéologique

Niveau positionnel

Niveau interpersonnel

Il correspond aux représentations sociales, les valeurs, religion, idéologie, manière de penser le monde… (ça représente le monde d’une personne par rapport à son éducation scolaire, familial, professionnel il faut tenir compte de tout son passé) C’est regarder le statut qu’à la personne dans le système (=la société), les rapports entre les groupes que la personne peut fréquenter. (ici c’est ce qui se passe autour de la personne, et ce qui n’inclut pas la personne elle-même) On va regarder quelles sont les relations de simon directement avec les autres personnes, relations interindividuelles.

Niveau intrapsychique

Niveau idéologique

Niveau positionnel

Niveau interpersonnel

Niveau intrapsychique

(ici, avec des proches ou moins proches cela concerne la personne elle-même, c'està-dire simon) ce sont les caractéristiques immuables de la personne elle-même : personnalité, caractère. (ici ce sont les aspects descriptifs de la personne qui ne change pas avec le temps, exemple : son sexe, prénom). On peut presque tout mettre.

Comment le monde de simon est construit ? ce qu’on lui a appris ? Qu’estce que ça veut dire pour Simon ? Simon à une vision religieuse. Il vit dans un monde solitaire et non pas dans un monde solidaire. Il a reçu une éducation stricte. Ses parents sont distants, le père avec la mère. Ses deux sœurs sont fusionnelles entre elles car en plus ce sont des jumelles, il se sent mis à l’écart. L’enseignante a tendance à délaisser les élèves en difficultés. La classe a tendance à se regrouper sans simon. Il se retrouve donc souvent seul. On image quand on a peu d’informations : Relation avec les 2 grandes sœurs : relation conflictuelle + relation tendu avec les parents, peu de communication. Il a également des relations violentes avec ses camarades de classe. Les relations avec l’enseignante, il participe très peu en classe et répond peu aux sollicitations de l’enseignante en mathématiques En plus, il va avoir un contrôle, il est stressé. Sexe masculin, il s’appelle Simon, il a 2 grandes sœurs : cadet, il a 8 ans, il est en CE2. (Dans la situation où on est, cela ne change pas). Il a des tendances agressives. Il a des difficultés en mathématiques.

A partir de cela, comment peut-on expliquer, pourquoi simon est agressif ? Trouver une solution psycho sociologique. Simon va avoir un devoir de mathématiques, et il a de grosse difficultés, son stress se caractérise alors par la violence. Se sentant isolé, il veut attirer l’attention de l’enseignante puis celle de ses parents. Il est le seul garçon et sa famille de par son éducation stricte, ils veulent qu’il a des bonnes note car c’est le seul garçon, il va

donc à l’école avec de la pression sur les épaules. Difficultés en maths pression supplémentaire, ses sœurs pourraient l’aider. En plus de cela, un contrôle approche. On pourrait expliquer ce comportement violent momentané. Lorsqu’on est professionnel en éducation, il faut faire attention aux élèves car cela peut avoir un impact important sur ceux-ci. Convoquer parents : punitions, maltraitances par la suite ? Donc, pour conclure, que peut-on faire maintenant après avoir trouvé l’origine de l’agressivité de simon ? Convoquer les parents pour parler de ses difficultés scolaire en mathématiques et proposer du soutien (et ne pas dire il est infernal dans la cour de récréation), demande s’il y a des problèmes à la maison, leur demander de mieux l’accompagner dans les devoirs : sœurs par exemple. Demander à l’inscrire dans une activité sportive : diminuer le stress.

II – Le groupe en psychologie sociale Introduction socio-historique : Le groupe n’est pas une notion qu’on aborde facilement, il s’agit d’une notion pluridimensionnelle. Il n’a donc pas une seule définition. Selon les équipes de recherche, on fera une approche des groupes différenciés. Une des premières études qui est devenue universelle, un best-seller en psychologie sociale est celle d’un chercheur en psychologie sociale qui s’appelle Gustave LEBON. Il a fait part de ses travaux dans un livre qui s’appelle « Psychologie des foules » (1841-1931). Dans la psychologie des foules, il va tenter de donner une définition : la foule correspond à un rassemblement d’hommes et de femmes guidés par des attitudes irrationnelles et qui peuvent suivre aveuglement un leader, un chef. Cela va permettre à Gustave LEBON d’expliquer pourquoi parfois il y a hystérie, les émotions de la foule sont contagieuses… Avec le développement des entreprises et l’organisation du travail, des chercheurs américains vont s’intéresser à des équipes de travail dans les entreprises et voir comment elles peuvent faire pour rester actives et augmenter leur productivité. Une expérience devenue célèbre : celle d’Elton MAYO, il va faire une enquête dans une grande entreprise d’électricité américaine (exemple : on baisse le chauffage, on va regarder comment l’équipe de travail va s’organiser, on baisse la lumière et regarder s’ils sont toujours aussi productifs..). Il s’est aperçu qu’au-delà du règlement intérieur de l’entreprise, une équipe de travail est capable de créer son propre règlement, mettre en place des codes de fonctionnement de façon à rester productif et à fonctionner de la meilleure façon qu’il soit. Cela a permis de monter qu’il existait des règles formelles à respecter et initié par l’entreprise et qui sont différentes des règles informelles mises au point par l’équipe elle-même donc les équipes s’entraident lorsqu’il y a un problème. Quelques années plus tard, nous allons découvrir que le groupe est un acteur important de la vie sociale, économique et politique d’une nation. En 1948, un travail post-mortem va être produit par Kurt LEWIN, chercheur en psychologie sociale, allemand émigré aux USA (1890-1947). Ses travaux sortent post-mortem. Il s’est intéressé aux groupes mais en particulier à des petits groupes, mais plus petit que des équipes de travail : les groupes restreints composés de 3 à 12-13 personnes. Il va observer le fonctionnement de ces derniers et va s’apercevoir qu’il y a une foule de phénomènes à étudier. Il va approcher le petit groupe de la manière suivant : il dira que dans un groupe il y a multiples influences entre les individus et qu’il y a un rapport de force permanent (forces qui s’attirent ou forces qui se répulsent). Tout cela à travers des échanges verbaux et para verbaux. Cela lui fait penser par analogie à une propriété de

sciences physique : la dynamique des forces. Pour rendre son travail plus pertinent, il invente le titre de ses travaux : la dynamique des groupes. Le travail princeps (=premier) date de LEWIN. Une autre approche du groupe ; n’est pas groupe ceux qui veulent. (Histoire de l’arrêt du bus : des gens attendant à l’arrêt de bus ils ne se connaissent pas, ils ne se sont jamais parlé, le bus n’arrive pas il a du retard, les gens commencent à se parler conversation banale et lorsqu’il arrive plus de communication dans le bus.) Ce n’est pas parce que des personnes sont regroupées qu’on peut parler d’un groupe. (À contre-exemple : des personnes dans une file a attendre quelque chose, ils ont un objectif commun acheter les tickets pour manger mais on ne peut pas parler d’un groupe car il n’y a pas d’échange.) 1- Définition et caractéristique du groupe En général, un groupe c’est la réunion de plusieurs personnes dans un même lieu. Scientifiquement, on R.W.MERTON qui donnera la définition suivante, il va retenir 2 critères : « il dira qu’il y a groupe lorsqu’il y a existence d’une interaction entre les personnes composant le groupe. Il y a groupe lorsqu’il y a la conscience d’une appartenance commune. » Pour K.LEWIN le groupe est un tout dynamique, un lieu d’apprentissage, de comportements nouveaux, d’acquisitions de nouvelles connaissances. Quant à Gustave.N.FISCHER, en 1990, a dit le groupe est un ensemble social identifiable et ...


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