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Title La méthode expérimentale
Course Méthodologie disciplinaire
Institution Université de Lille
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UE : 7 METHODOLOGIE

Méthodologie Disciplinaire La méthode expérimentale : I.

Introduction à la psychologie expérimentale !

La psychologie est l’étude du comportement. Toutes activités de l’organisme est un comportement. Il y a des comportements visibles (parler), et invisibles(calcul mental). ! Comment avons nous eu toutes ses connaissances sur les comportements des individus? Grâce à de nombreuses expérimentations ou observations réalisées partout dans le monde. (la recherche est internationale). ! Les méthodes utilisées pour obtenir ces connaissances sont les mêmes d’un chercheur à l’autre et d’un pays à l’autre. Tous les chercheurs utilisent des méthodes standardisées. C’est ce qui permet de vérifier le résultat obtenu par un chercheur ou de compléter ce résultat. Cette standardisation repose sur 3 facteurs essentiels :! - Les conditions d’observation d’un comportement doivent être parfaitement bien préciser : on détail comment on a enregistrer/ observer ce résultat. ! - Les conditions d’observation doivent être systématique : on doit toujours utiliser les mêmes méthodes ! - Les conclusions d’une expérience ou d’une étude doivent pouvoir être discutés ! Ces différents éléments font que la psychologie est une science exact comme les autres sciences. ! La méthodologie est l’ensemble des techniques utilisées pour récolter des données comportementales les plus fiables possibles. Tous les psychologues utilisent des méthodologies, mais tous les psychologues n’utilisent pas une méthodologie expérimentale. ! Il ne faut pas confondre science et expérimentation. ! La science est un ensemble de connaissances considérées comme fiables et vraies. Pour obtenir cet ensemble de connaissance le chercheur se basera sur une méthode scientifique. Parmi les méthodes scientifiques, il y a la méthode expérimentale. ! La méthode expérimentale est une méthode qui consiste à agir directement sur l’environnement.! En psychologie, l’objectif est d’expliquer les comportements. En psychologie on considère qu’un comportement est expliqué quand on peur le prédire. ! Dans une expérience, on va recréer les conditions d’apparition d’un comportement : c’est ce qu’on appelle la situation expérimentale. La situation expérimentale est une situation artificielle dans laquelle je vais créer les conditions qui vont permettre de voir le comportement. ! 1.2.1) Les critiques morales ! Les critiques morales ne reposent pas sur des arguments objectifs. La psychologie est très souvent critiquée car on considère que l’esprit humain ne peut pas être étudier, car l’esprit humain. ! La psychologie est apparue à la fin du XIX° siècle. Étudier l’esprit humain revient a étudier une divinité qui nous à crée. ! L’expérimentation chez l’humain est très réglementé. ! 1.2.2) critiques épistémologiques ! L’épistémologie est une discipline philosophique qui s’intéresse au développement des recherches. !

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- remise en cause de la généralisation d’un résultat obtenu chez l’humain : 2 courants qui

s’opposent : ! - le courant naturaliste : considère qu’il existe des lois générales valables pour tout le monde. ! - Le courant clinique : considère que chaque individu est particulier, et qu’il n’existe pas de lois générales. !

Il existe des lois générales a la psychologie, mais la généralisation des lois nécessite des procédures assez complexes à mettre en oeuvre. !

- aspect analytique des études expérimentales : (analytique : décomposer en sous parties) les

études du comportement humain sont très complexes, dans les expériences on va sélectionner un seul comportement : le réductionnisme. «!Le tout est différent de la somme des parties!». Les comportement interagissent entre eux : c’est ce qu’on appelle le multidéterminisme.

- l’aspect artificiel de l’expérimentation : pour étudier un individu on doit créer une situation

expérimentale, hors les situations expérimentales sont différentes des situations naturelles auxquelles nous sommes confronter au quotidien. Est-ce qu’un résultat que je peux observer en laboratoire peut aussi être observé dans la vie de tous les jours ? La réponse apporter par les psychologie repose sur les avancés technologiques. Grâce aux avancées technologie, on peut expérimenter dans les lieux naturelles.!

Le plan de recherche est composé de 4 grandes étapes : !

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La phase d’observation (au sens large) ! Formation d’hypothèse : poser une question théorique ! Verification experimentale ! Traitement des résultats et confrontation avec l’hypothèse !

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II. Les hypothèses ! L’hypothèse est l’idée principale d’une expérience, elle prédit une relation entre au moins deux variable, elle s’exprime sous forme d’une relation de cause à effet. ! Une hypothèse prédit quelque chose qui n’est pas montré , elle établit une relation de causalité ! Une hypothèse doit respecter certains critères :! 2.2.1) être synthétique ! Il faut qu’elle soit synthétique, la présentation doit être sous forme booléenne (vrai ou faux). ! 2.2.2) être testable ! Il faut une variable qu’on puisse manipuler et avoir une mesure de se qui varie en conséquence…! 2.2.3) être réfutable ! Si la relation causale n’est pas observée on doit pouvoir conclure que l’hypothèse est fausse. ! Il est nécessaire de poser une hypothèse de manière a trouver une situation dans laquelle elle est réfutable. On se donne les moyens pour que l’hypothèse soit réfutable. Si elle n’est pas réfutable l’expérience est mauvaise. ! Validation probabilité : calcul statistique du risque d’erreur : alpha =0,5 ! 2.2.4) être utile ! Elle doit pouvoir donner lieu à plusieurs expériences.! Buurhus Frederic Skinner (1948), Donald Broaddbent (1958) Il y a deux types de raisonnement qui permettent de créer une hypothèse : !

- Le raisonnement par induction : on a les faits d’abord et les fait vont permettre d’apporter de la théorie. !

- La raisonnent par déduction : la théorie génère des hypothèses et ajoutent des faits à la théorie. !

Savoir ce qu’est une théorie :! Une théorie est un système qui permet de structurer, de rassembler et d’expliquer un ensemble de données (ce qu’on observe) ! Il y a plusieurs niveaux d’explication : ! - la loi : une loi est une explication qui peut s’appliquer à un ensemble très varié de situations différentes. ! - La théorie : permet de rassembler et d’unifier différentes données en un ensemble de règles et de principes généraux. ! Une théorie est un ensemble d’explications intermédiaires qui risque d’être invalidé à un moment donné. ! Les modèles : si l’hypothèse est validée alors le modèle a pris de la valeur! Le modèle est une explication concernant les faits expérimentaux précis, il permet d’expliquer ce qui se passe entre le S(sinus) et R(réponse). Un modèle est sans cesse révisé par des observations issues d’expériences, il génère des expériences pour la validation des hypothèses.! On considère que les théories sont confirmées ou non par approximation déductives à partir d’un raisonnement inductif : c’est la méthode hypothético déductible. ! Il y a des connaissances et des théories qui naissent par hasard, qui n’ont pas été déduites d’une connaissance préalable. !

Les hypothèses théoriques prévoient une relation entre deux classes de faits de type abstrait. Lorsqu’une hypothèse théorique est vérifiée elle passe au statut de loi ou théorie. ! 3 sur 11

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Les hypothèses opérationnelles constituent une traduction de l’hypothèse théorique en précisant clairement quelle est la sources de variation et quelles sont les conséquences au niveau des variations. ! Pour chaque expérience il faut une hypothèse opérationnelle. Pour qu’une hypothèse théorique soit validée, il faut beaucoup d’expériences. ! Le vieillissement occasionne une diminution des capacités intellectuelle. Variable indépendante : jeune/âgés : 20 ans; 70 ans. Variable dépendante : mémoire -> rappel d’une liste de mots : nombre de mots rappelés. Dans une épreuve de rappel libre(paradigme expérimental) d’une liste de 40 mots, le nombre de mot rappelés(VD) par un groupe âgés de 20 ans(VI) sera supérieur(relation VI/VD) a celui d’un groupe âgés de 70 ans(VI). Une hypothèse = équation mathématique! L’hypothèse formule une relation hypothétique : on pense que quelque chose est vrai mais cette relation peut être : soit vraie (hypothèse alternative : H1) soit fausse (hypothèse nulle : H0) ! H0 : le nombre moyen de mots rappelés par le groupe de 20 ans = celui du groupe 70 ans ! H1 : le nombre d-moyen de mots rappelés par le groupée 20 ans > celui du groupe 70 ans ! H1 : moyenne 20 ans - moyenne 70 ans > 0 comment vérifier cette équation? ! H0 : moyenne 20 ans - moyenne 70 ans = 0 ! Avant la réalisation d’expérience, on doit se représenter une configuration possible des résultats attendus. ! Si le vieillissement occasionne une diminution des capacités mnésiques alors les participants âgés rappelleront moins de mots, en moyenne, que les participants plus jeunes. III. Les variables ! Une variable est une dimension extraite de l’environnement qui peut prendre plusieurs états ou valeurs différentes. ! 3.1.1) variables indépendantes! Variables manipulées par l’expérimentateur afin d’étudier son influence sur le comportement. ! Il existe trois types de variables indépendantes : ! - Individuelles (variables de personnalité) : les caractéristiques personnelles des sujets ! Exemple : âge, leur genre, la personnalité, le milieu sociale. - Environnementales (variables physiques que le sujet peut contrôler directement.) l’expérimentateur va manipuler des éléments de l’environnement. ! - Situationnelles (contrôler les différents aspects de l’épreuve que le sujet doit réaliser) ! La complexité de l’épreuve, le mode des signes de l’épreuve. Ces VI donne lieu a deux statut de VI : ! - invoqué : VI de premier type! - Provoqué : VI de type environnementale et situationnelle. ! Dans les VI, il faut deux valeurs appelées modalité. ! Chaque modalité de la variable permettra de créer une situation expérimentale. ! 4 sur 11

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3.1.2) les variables dépendantes ! La variable dépendante est la mesure de la réponse du sujet, de son comportement. ! Elle dépend des variations de la VI. ! Si l’hypothèse expérimentale est correcte, alors les changements de la modalité de la VI vont entrainer un changement sur la VD. ! Effet plafond : l’échelle ne permet pas de discriminer sur sa partie supérieure, le comportement ! des sujets sur le haut de l’échelle si l’expérience est trop simple, tout le monde réussi.! Effet plancher : l’échelle ne permet pas de discriminer sur sa partie inférieur, le comportement des sujets sur le haut de l’échelle si l’expérience est trop dure, personne ne la réussi.! La VD est une mesure précise du comportement étudié dans l’expérience. ! Certains comportements ne sont pas directement observables. ! L’échelle utilisée doit être adaptée au comportement étudié. ! Les modification apportées à la VD lors de l’analyse des résultats. On distingue : ! - la VD brute : ce qui est directement recueilli dans l’expérience (la réponse du sujet)! - La VD observée : ce qui est directement mesuré dans l’expérience. ! - La VD transformé : modification des mesures pour l’analyse des résultats. ! On dit que la VD est transformée lorsque la mesure est modifiée pour l’analyse des résultats. ! Attention : il est possible de représenter 2 VD conjointement sur un même graphique. Cela ne permet pas d’étudier des relations causales (VI/VD) mais des corrélation (VD/VD). 3.1.3) les variables parasites ! Les variables parasites sont des variables qui ne sont pas directement testées par l’expérimentateur. Elles peuvent avoir une action sur le comportement observé soit de façon direct soit en entrant en interaction avec les VI. ! Le but de la méthode est de faire des expériences avec les moins de variables parasites possible.! Mais on ne sait pas au départ qu’elles sont les variables parasites. On essaie de contrôler les effets des variables parasites potentielles. On peut parfois neutraliser les variables parasites potentielles : c’est-à-dire, la supprimer complètement, la maintenir à un niveau constant, la distribuer dans les différents groupes de l’expérience.! Mais la variable parasite peut aussi concerner ce que j’ai : le matériel, on peut aussi en trouver dans le déroulement de mon expérience.! Par exemple, on demande aux sujets de réaliser la tâche A et ensuite la tâche B, ce qu'ils font tous, mais il y a une variable parasite : il y a un effet d’ordre, faire la tâche A peut modifier la tâche B et inversement.!

On va choisir certaines variables pour essayer de démontrer ce que l’on veut prouver. Elles nous permettent de mettre en évidence des notions psychologiques, qui sont des définitions conceptuelles que l'on retrouve dans des exposés théoriques. Le but est de définir ces termes théoriques en termes précis.! On passe d'un contexte très général à une variable concrète.! Mais ça ne se fait pas n’importe comment : les variables permettent de mettre en évidence des fonctions psychologiques de façon générale. Selon la façon dont on opérationnalise, la qualité de l’expérience ne sera pas la même.! Exemple : on opérationnalise la mémoire car la mémoire n’est pas opérationnelle seule. La mémoire correspond à la capacité de rappel de mot et cela on peut l’opérationnaliser.! Passer d’un concept très général à une variable concrète au moment où on pose hypothèse opérationnelle. Cela pose un problème car selon la façon dont on opérationnalise, on va avoir un résultat différent.! Il faut bien faire ses choix car la qualité de l’expérience dépend de ce choix, de notre opérationnalisation.! 5 sur 11

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Il existe trois niveaux des opérationnalisations :! • L’opérationnalisation de la situation expérimentale : il faut définir tous les paramètres de la! situation expérimentale (les procédures utilisées, les stimulus et comment on les a construit) ce! qui permet de répliquer l’expérience.! • L’opérationnalisation de la mesure : on décrit précisément comment le comportement est! mesuré (quelle technique, quel outil) ce qui permet aussi de répliquer l’expérience et d’être! certain qu’il n’y a pas d’erreur dans l’expérience.! • L’opérationnalisation de l’interférence théorique : c’est la façon dont on va passer de cette! fonction théorique à quelque chose de plus précis, à quelque chose que l’on va étudier. On sait que cela peut être étudié de plusieurs façon et la question est quelle façon on va choisir. Cette façon est fondamentale car c’est là que l’on peut faire des erreurs. Il faut qu’il y ait une concordance entre ce que l’on veut montrer et la variable que l’on utilise.!

Estimer la validité d’une recherche revient à évaluer le degré de confiance que l’on peut accorder aux conclusions d’une expérience. Plus la validité est importante, plus les résultats sont fiables.! On considère deux validités :! • Opérationnelle (VI et VD),! • Expérimentale (structure globale de l’expérience).! 3.3.1) validité opérationnelle ! Obtenir des définitions stables des différentes variables. ! Il y a 4 points importants : ! - la validité des VI : Est ce que j’ai choisi la bonne VI. Chosir les meilleures variables possibles. Voir si la VI choisie en fonction de la fonction psychologique étudiée? ! - stabilité inter-expérimentateur : doit obtenir le même résultat à plusieurs expériences! - stabilité test-retest : un même sujet qui est confronté deux fois à la même expérience va obtenir les mêmes résultats. ! - stabilité inter-items : les différents VI utilisés doivent donner une variabilité stable. Il faut que la variabilité soit homogène. ! 3.3.2) la validité expérimentale ! 2 types de validité expérimentale : ! - validité interne : estimation du degrés de confiance que l’on peut attribuer à la relation causale qui existe entre la situation expérimentale et le comportement du sujet. On doit pouvoir voir que les modification du comportement du sujet coïncident avec les modification de variables.! Si les modalités de la VI change (si les situations expérimentale changent) alors le comportement change aussi. ! - Validité externe : degrés de généralisation (statistiques inférentielles) ! 3.4.1) cas général (mais rare en psycho) : 1 seule VI !

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L’effet d’une VI : transcription en termes mathématiques de l’influence qu’elle exerce sur la VD.! 3.4.2) cas de plusieurs VI !

- effet principal d’une VI : !

C’est la relation d’une VI avec la VD mais représentée indépendamment des autres VI. Il y a tant d’effet principaux que de VI. ! C’est un effet isolé. !

- effet simple d’une VI : ! Il s’agit de la liaison entre une VI et une VD, mais pour une modalité particulière d’une autre VI. ! C’est un effet conjoint. ! L’écart entre les milieux favorisés et défavorisés augmente entre une méthode moderne. ! Si les effets simples d’une VI sont différents, alors il y a une interaction entre les variables.! On observe que les pentes ! Les effets simples sont identiques : on parle d’additif ou d’additivité.! !

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IV. Le choix des sujets ! L’expérimentateur a besoin de sujets pour faire une expérience. Il extrait donc un échantillon d’une population.! Cependant avec cet extrait, il risque d’introduire des variables parasites. Il va tout faire pour qu’il y en ait peu, pour ça, il va utiliser une procédure d’échantillonnage. Il va faire en sorte qu’elle ne soit pas biaisée pour que la validité interne soit bonne, mais il faut aussi penser à la validité externe, c’est-à-dire que ça doit être une bonne représentation de la représentation. ! Lorsque ce sont les mêmes sujets qui sont affectés aux modalités de la VI on dit que les groupes de structures sont appareillées / répétées! Les groupes de mesures sont indépendants.! !

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Effets des VI = effets systématiques. !

- Effet principal ! - Effet simple !

Influence des variables parasites = effet aléatoire ! Effet observé = effet systématique + effet aléatoire. !

Le nombre de groupe de mesure dépend toujours du nombre de modalité des VI.! Si 2 VI à 2 modalités = 2 groupes de mesures ! Les deux groupes de mesures sont indépendants quand on y affecte des participants différents. ! Caractéristiques principales des groupes de mesures indépendants : ! avantage : - pas ou peu d’erreur progressive. ! Inconvénients : - nécessite de contrôler l’homogénéité des groupes (à cause des différences interindividuelles) ! 4.2.1) répartition aléatoire ! On peut choisir d’affecter les sujets au hasard dans différents groupes. L’aléatoire se fait que si la répartition est équitable, les différences individuelles vont s’annuler.! Il faut avoir des échantillon et des groupes de sujets assez importants pour pouvoir répartir les sujets de façon aléatoire dans différents groupes de mesure, sinon il y a une mauvaise répartition et on ne peut pas savoir d’où vient l’erreur aléatoire. On utilise une table de hasard.! 4.2.2) utilisation d’un pré-test ! On rend les groupes de mesures indépendants équivalents grâce à un pré-test. Suite à ce prétest, on s’arrange pour mettre les sujets dans des groupes en fonction de leurs caractéristiques.! Le pré-test doit être une épreuve assez semblable à l’expérience proprement dite, sans l’être de trop car sinon il y a un effet de transfert ou d’interférence ce qui revient à faire l’expérience.! De manière générale, on doit prendre des précautions quand on utilise un pré-test : il faut un éloignement temporel entre le pré-test et l’expérience. Il faut utiliser du matériel différent. La moyenne n’est pas le meilleur indicateur, il faut la somme de la moyenne, la variance et l’écarttype.! On prend quelques précautions :! • Éloignement temporel pré-test/expérience,! • Ressemblance modérée entre test et pré-test,! • Utilisation de matériel différent du pré-test pour l’expérience.! 4.2.3) groupes pairés ! Faire des groupes pairés est une méthode d’appareillement sujet par sujet. Il égalise automatiquement et de façon absol...


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